968 resultados para 5-HT(1A) receptors
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Serotonergic mechanisms have an important function in the central control of circulation. Here, the acute effects of three selective serotonin (5-HT) reuptake inhibitors (SSRIs) on autonomic and cardiorespiratory variables were measured in rats. Although SSRIs require 2-3 weeks to achieve their full antidepressant effects, it has been shown that they cause an immediate inhibition of 5-HT reuptake. Seventy male Wistar rats were anesthetized with urethane and instrumented to record blood pressure, heart rate, renal sympathetic nerve activity (RSNA), and respiratory frequency. At lower doses, the acute cardiovascular effects of fluoxetine, paroxetine and sertraline administered intravenously were insignificant and variable. At middle and higher doses, a general pattern was observed, with significant reductions in sympathetic nerve activity. At 10 min, fluoxetine (3 and 10 mg/kg) reduced RSNA by -33±4.7 and -31±5.4%, respectively, without changes in blood pressure; 3 and 10 mg/kg paroxetine reduced RSNA by -35±5.4 and -31±5.5%, respectively, with an increase in blood pressure +26.3±2.5; 3 mg/kg sertraline reduced RSNA by -59.4±8.6%, without changes in blood pressure. Sympathoinhibition began 5 min after injection and lasted approximately 30 min. For fluoxetine and sertraline, but not paroxetine, there was a reduction in heart rate that was nearly parallel to the sympathoinhibition. The effect of these drugs on the other variables was insignificant. In conclusion, acute peripheral administration of SSRIs caused early autonomic cardiovascular effects, particularly sympathoinhibition, as measured by RSNA. Although a peripheral action cannot be ruled out, such effects are presumably mostly central.
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Hoodia gordonii is a plant species used traditionally in southern Africa to suppress appetite. Recently, it has been associated with a significant increase in blood pressure and pulse rate in women, suggesting sympathomimetic activity. The present study investigated the possible antidepressant-like effects of acute and repeated (15 days) administration of H. gordonii extract (25 and 50 mg/kg, po) to mice exposed to a forced swimming test (FST). Neurochemical analysis of brain monoamines was also carried out to determine the involvement of the monoaminergic system on these effects. Acute administration of H. gordonii decreased the immobility of mice in the FST without accompanying changes in general activity in the open-field test during acute treatment, suggesting an antidepressant-like effect. The anti-immobility effect of H. gordonii was prevented by pretreatment of mice with PCPA [an inhibitor of serotonin (5-HT) synthesis], NAN-190 (a 5-HT1A antagonist), ritanserin (a 5-HT2A/2C antagonist), ondansetron (a 5-HT3A antagonist), prazosin (an α1-adrenoceptor antagonist), SCH23390 (a D1 receptor antagonist), yohimbine (an α2-adrenoceptor antagonist), and sulpiride (a D2 receptor antagonist). A significant increase in 5-HT levels in the striatum was detected after acute administration, while 5-HT, norepinephrine and dopamine were significantly elevated after chronic treatment. Results indicated that H. gordonii possesses antidepressant-like activity in the FST by altering the dopaminergic, serotonergic, and noradrenergic systems.
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Metarhizium is a soil-inhabiting fungus currently used as a biological control agent against various insect species, and research efforts are typically focused on its ability to kill insects. In section 1, we tested the hypothesis that species of Metarhizium are not randomly distributed in soils but show plant rhizosphere-specific associations. Results indicated an association of three Metarhizium species (Metarhizium robertsii, M. brunneum and M. guizhouense) with the rhizosphere of certain types of plant species. M. robertsii was the only species that was found associated with grass roots, suggesting a possible exclusion of M. brunneum and M. guizhouense, which was supported by in vitro experiments with grass root exudate. M. guizhouense and M. brunneum only associated with wildflower rhizosphere when co-occurring with M. robertsii. With the exception of these co-occurrences, M. guizhouense was found to associate exclusively with the rhizosphere of tree species, while M. brunneum was found to associate exclusively with the rhizosphere of shrubs and trees. These associations demonstrate that different species of Metarhizium associate with specific plant types. In section 2, we explored the variation in the insect adhesin, Madl, and the plant adhesin, Mad2, in fourteen isolates of Metarhizium representing seven different species. Analysis of the transcriptional elements within the Mad2 promoter region revealed variable STRE, PDS, degenerative TATA box, and TATA box-like regions. Phylogenetic analysis of 5' EF-Ia, which is used for species identification, as well as Madl and Mad2 sequences demonstrated that the Mad2 phylogeny is more congruent with 5' EF-1a than Madl. This suggests Mad2 has diverged among Metarhizium lineages, contributing to clade- and species-specific variation. While other abiotic and biotic factors cannot be excluded in contributing to divergence, it appears that plant associations have been the driving factor causing divergence among Metarhizium species.
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Le dihydrofolate réductase (DHFR) est la principale cible du méthotrexate, un important composant du traitement de la leucémie lymphoblastique aiguë (LLA). Une association des polymorphismes du promoteur de DHFR avec l’issue de la LLA a été mise en évidence au laboratoire. Une survie sans événement (EFS) réduite corrélait avec les allèles A -317 et C -1610, et l’haplotype *1, défini par ces allèles. L’haplotype *1 était aussi associé à une expression élevée du DHFR. Dans cette étude, nous étendons l’analyse à la région régulatrice adjacente, d’environ 400 pb, correspondant au transcrit mineur non-codant du DHFR, qui joue un rôle essentiel dans la régulation de la transcription au niveau du promoteur majeur. Six polymorphismes ont été identifiés, parmi lesquels 5 étaient des SNPs et un polymorphisme de longueur composé d’un nombre variable d’éléments de 9 pb et d’une insertion/délétion de 9 pb. L’analyse d’haplotype, incluant tous les polymorphismes promoteurs, a révélé une diversification de l’haploytpe *1 en 5 sous-types (*1a à *1e). Les variations du promoteur majeur et les sous-types de l’haplotype *1 ont été par la suite analysés pour l’association avec l’issue de LLA. Un EFS réduit corrélait avec l’allèle A du polymorphisme G308A (p=0,02) et avec l’haplotype *1 (p=0,01). Des niveaux élevées d’ARNm étaient trouvés chez les porteurs de l’haplotype *1b (p=0,005) et pas pour les autres sous-types de l’haplotype *1. Alors, la mauvaise issue de LLA associée avec l'haplotype *1 est en effet déterminée par le sous-type *1b. Cette étude donne un nouvel aperçu des polymorphismes régulateurs du DHFR définissant plus précisément les variations du DHFR prédisposant un événement.
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La voie mésocorticolimbique est constitutée d’un ensemble d’éléments nerveux issus de l’aire tegmentaire ventrale mésencéphalique et projettant vers des régions corticales et sous-corticales. Les neurones à dopamine (DA) qui en font partie modulent plusieurs fonctions cognitives dont l’attention, l’apprentissage et la récompense. L’activité nerveuse des cellules à DA augmente lorsque l’organisme anticipe et reçoit une récompense, ainsi qu’au cours de la phase d’apprentissage des comportements d’appétence. Or, si l’activité dopaminergique de la voie mésocorticolimbique est désordonnée, voire aberrante, des stimuli neutres deviennent saillants et prennent une signification erronée. Cette anomalie fonctionnelle du système dopaminergique pourrait être à l’origine des symptômes psychotiques observés dans la schizophrénie. Cette hypothèse est renforcée par le fait que les médicaments antipsychotiques efficaces ont tous une activité antagoniste aux récepteurs à DA de type 2 (D2); les antipsychotiques dits classiques (i.e. halopéridole) possèdent une forte affinité pour les récepteurs D2 tandis que les antipsychotiques dits atypiques (i.e. clozapine) présentent une plus forte affinité pour les récepteurs à sérotonine de type 2a (5-HT2a) que pour les récepteurs D2. Les antipsychotiques atypiques semblent plus efficaces contre les symptômes négatifs (i.e. anhédonie) de la schizophrénie et induisent moins d’effets moteurs extrapyramidaux et de dysphorie que les antipsychotiques classiques. Il a été proposé que l’efficacité des antipsychotiques atypiques soit expliqué par leur double action antagoniste aux récepteurs 5-HT2a et D2. Afin de mieux comprendre les mécanismes de ces médicaments, nous avons étudié leurs effets sur la récompense en utilisant le modèle d’autostimulation intracérébrale (ASI) chez le rongeur. Le but de la première étude était d’évaluer l’effet d’un antagoniste sélectif des récepteurs 5-HT2a, le M100907, sur la récompense et sur l’atténuation de la récompense induite par l’halopéridole. L’hypothèse était que l’atténuation de la récompense induite par l’ajout du M100907 à l’halopéridole serait similaire à celle induite par la clozapine. Dans une seconde étude, l’effet sur la récompense d’un agoniste partiel aux récepteurs D2, l’OSU-6162, a été caractérisé sous deux conditions : i) en condition de base et ii) lorsque la neurotransmission dopaminergique est altérée par l’administration systémique de quinpirole, un agoniste des récepteurs D2/D3. Les hypothèses étaient que l’OSU-6162 i) atténuerait la récompense induite par la stimulation et ii) empêcherait l’atténuation et la facilitation de la récompense induites par le quinpirole. Les données obtenues montrent que le M100907 n’altère pas la récompense par lui-même mais réduit l’atténuation de la récompense induite par l’halopéridole. La co-administration du M100907 et de l’halopéridole induit une atténuation de la récompense d’amplitude similaire à celle induite par la clozapine, ce qui suggère que l’activité antagoniste aux récepteurs 5-HT2a de la clozapine contribue à son efficacité. Les données de la seconde étude montrent que l’OSU-6162 atténue la récompense, de manière dose-dépendante, ainsi que la facilitation, mais pas l’atténuation de la récompense induite par le quinpirole. Cette dernière observation suggère que l’OSU-6162 agit comme un antagoniste fonctionnel aux récepteurs D2 post-synaptiques. Un ensemble de données suggèrent que le comportement d’ASI constitue un modèle valide permettant d’évaluer l’efficacité antipsychotique potentielle de nouvelles molécules. Le comportement d’ASI est atténué par les antipsychotiques cliniquement efficaces mais est peu ou pas modifié par des molécules dépourvues d’activité antipsychotique. Les données obtenues dans cette thèse permettent de supposer que l’OSU-6162 possède une activité antipsychotique de nature atypique, et cela sans altérer la neurotransmission sérotoninergique.
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La dépression est une pathologie grave qui, malgré de multiples stratégies thérapeutiques, demeure résistante chez un tiers des patients. Les techniques de stimulation cérébrale sont devenues une alternative intéressante pour les patients résistants à diverses pharmacothérapies. La stimulation du nerf vague (SNV) a ainsi fait preuve de son efficacité en clinique et a récemment été approuvée comme traitement additif pour la dépression résistante. Cependant, les mécanismes d’action de la SNV en rapport avec la dépression n’ont été que peu étudiés. Cette thèse a donc eu comme premier objectif de caractériser l’impact de la SNV sur les différents systèmes monoaminergiques impliqués dans la pathophysiologie de la dépression, à savoir la sérotonine (5-HT), la noradrénaline (NA) et la dopamine (DA), grâce à l’utilisation de techniques électrophysiologiques et de la microdialyse in vivo chez le rat. Des études précliniques avaient déjà révélé qu’une heure de SNV augmente le taux de décharge des neurones NA du locus coeruleus, et que 14 jours de stimulation sont nécessaires pour observer un effet comparable sur les neurones 5-HT. Notre travail a démontré que la SNV modifie aussi le mode de décharge des neurones NA qui présente davantage de bouffées, influençant ainsi la libération terminale de NA, qui est significativement augmentée dans le cortex préfrontal et l’hippocampe après 14 jours. L’augmentation de la neurotransmission NA s’est également manifestée par une élévation de l’activation tonique des récepteurs postsynaptiques α2-adrénergiques de l’hippocampe. Après lésion des neurones NA, nous avons montré que l’effet de la SNV sur les neurones 5-HT était indirect, et médié par le système NA, via l’activation des récepteurs α1-adrénergiques présents sur les neurones du raphé. Aussi, tel que les antidépresseurs classiques, la SNV augmente l’activation tonique des hétérorécepteurs pyramidaux 5-HT1A, dont on connait le rôle clé dans la réponse thérapeutique aux antidépresseurs. Par ailleurs, nous avons constaté que malgré une diminution de l’activité électrique des neurones DA de l’aire tegmentale ventrale, la SNV induit une augmentation de la DA extracellulaire dans le cortex préfrontal et particulièrement dans le noyau accumbens, lequel joue un rôle important dans les comportements de récompense et l’hédonie. Un deuxième objectif a été de caractériser les paramètres optimaux de SNV agissant sur la dépression, en utilisant comme indicateur le taux de décharge des neurones 5-HT. Des modalités de stimulation moins intenses se sont avérées aussi efficaces que les stimulations standards pour augmenter l’activité électrique des neurones 5-HT. Ces nouveaux paramètres de stimulation pourraient s’avérer bénéfiques en clinique, chez des patients ayant déjà répondu à la SNV. Ils pourraient minimiser les effets secondaires reliés aux périodes de stimulation et améliorer ainsi la qualité de vie des patients. Ainsi, ces travaux de thèse ont caractérisé l’influence de la SNV sur les trois systèmes monoaminergiques, laquelle s’avère en partie distincte de celle des antidépresseurs classiques tout en contribuant à son efficacité en clinique. D’autre part, les modalités de stimulation que nous avons définies seraient intéressantes à tester chez des patients recevant la SNV, car elles devraient contribuer à l’amélioration des bénéfices cliniques de cette thérapie.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Certains gènes, modulant la sérotonine (5-hydroxytryptamine, 5-HT), ont été associés aux tempéraments liés à l'anxiété. Une limitation dans la plupart de ces études est que les études sont de nature transversale et l'anxiété a été évaluée à un seul point dans le temps. De plus, seules quelques études ont été réalisées chez les enfants. Le but de la présente étude était d'étudier le rôle des gènes HTR2A et TPH2 dans le développement des trajectoires d’anxiété durant l’enfance. Les associations entre ces gènes, ces trajectoires, le diagnostic d’anxiété à l'âge adulte et les différences entre les sexes ont été examinées dans l'Étude Longitudinale des Enfants de Maternelle au Québec, composée de 3185 enfants recrutés en 1986-1987. Leur anxiété a été cotée par leur professeur annuellement entre 6 et 12 ans. Ces cotes ont été modélisées en trajectoires comportementales. Les données genotypées de 5-HT, disponibles pour 1068 personnes, ont été analysées en utilisant les statistiques du Chi-carré, des régressions logistiques et des analyses de variance. Sur les 37 polymorphismes étudiés, plusieurs ont été associés à la trajectoire de forte anxiété, tels le 5-HTR2A (rs1328684, rs95534511, rs1745837, rs7984966, 7330636) et TPH2 (rs11179050, rs11179052, rs1386498). Bien que les trajectoires d’anxiété en enfance n’aient pas prédit le diagnostic d'anxiété à 21 ans, les relations ont été trouvées entre ce diagnostic, HTR2A et les polymorphismes du nucléotide simple (PNS) de TPH2. On remarque que les PNS associés à l’anxiété durant l’enfance et l’âge adulte ne sont pas les mêmes. La force d'association entre les gènes étudiés et l'anxiété diffère entre les garçons et les filles. Cette étude est la première à identifier une association entre les variantes TPH2, 5-HTR2A et les trajectoires d’anxiété en enfance. Les études futures devraient reproduire les résultats dans d'autres échantillons, enquêter sur l'interaction avec les facteurs de stress, et étudier la pertinence fonctionnelle de la PNS.
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La sérotonine (5-HT) joue un rôle crucial dans l'étiologie des troubles mentaux comme la dépression majeure, les troubles de comportement et les troubles anxieux. Des études ont montré que des altérations précoces du système 5-HT peuvent potentiellement influencer le développement du cerveau et le fonctionnement du système fronto-limbique, engendrant des conséquences pour la régulation émotionnelle. Il existe aussi des évidences que le stress précoce peut affecter la méthylation de l'ADN résultant d'une altération de l'expression génique. Toutefois, le lien entre la méthylation de l'ADN et la réactivité comportementale à des facteurs de stress de la vie quotidienne est inconnu. La méthylation du gène transporteur 5-HT (SLC6A4) est d'un intérêt particulier, étant donné le rôle de SLC6A4 dans le développement du cerveau, les troubles mentaux et la régulation du stress. L'objectif de cette thèse est d'étudier l'association entre (1) les niveaux périphériques de méthylation de l'ADN dans le gène SLC6A4 et les réponses neurales aux stimuli émotionnels dans les circuits fronto-limbiques du cerveau, ainsi qu’entre (2) la méthylation périphérique de SLC6A4 et la réactivité comportementale au stress de la vie quotidienne. Nous explorons également l'association entre les réponses neuronales fronto-limbique à des stimuli émotionnels et la réactivité comportementale au stress de la vie quotidienne (3). À cette fin, vingt-deux personnes (11 femmes) d’âge moyen de 34,0 ans (SD : 1,5) avec différents niveaux de méthylation au gène SLC6A4 ont été recrutés à partir de deux études longitudinales. Les participants ont subi une analyse IRMf qui comprenait une tâche de traitement émotionnel. Un questionnaire en ligne sur la réactivité au stress quotidien de la vie a été réalisé pendant 5 jours consécutifs. Des analyses corrélationnelles et de régression ont été effectuées pour examiner les associations entre les variables primaires. Les résultats préliminaires de cette étude ont montré que la méthylation de l'ADN est associée à la désactivation significative du gyrus précentral et gyrus fusiforme respectivement face à des stimuli de peur et de tristesse. Aucune association significative n'a été observée entre les niveaux de méthylation et l'activation de l'amygdale. En outre, les scores obtenus aux variables de stress de la vie quotidienne tels que la détresse chronique ont été associées à la désactivation du précuneus et du cortex cingulaire postérieur face à la tristesse. Ces résultats suggèrent l'implication potentielle des processus épigénétiques dans l'activation cérébrale spécifique et la sensibilité au stress de la vie courante.
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Pvridoxine deficiency causes physiologically significant decrease in brain serotonin (5-HT) due to decreased decarboxylation of 5- hvdroxvtrvptophan (5-HTP). We have examined the effect of pyridoxine deficiency on indoleamine metabolism in the pineal gland, a tissue with high indoleamine turnover. Adult male Sprague-Dawley rats were fed either a pyridoxine-supplemented or pyridoxinedeficient diet for 8 weeks. Pyridoxine deficiency did not alter the pattern of circadian rhythm of pineal 5-HT. 5-hvdroxvindoleacetic acid (5-HIAA), V-acetvlserotonin (NAS). and melatonin. However the levels of these compounds were significantly lower in the pineal glands of pyridoxine-deficient animals. Pineal 5-HTP levels were consistently higher in the pyridoxine-deficient animals and a conspicuous increase was noticed at 22.00 h. Increase in pineal NAS and melatonin levels caused by isoproterenol (5 mg kg at 17.00 h) were significantly lower (P < 0.05) in the pyridoxine-deficient animals. Treatment of pyridoxine-deficient rats with pvridoxine restored the levels of pineal 5-HT, 5-HIAA. NAS. and melatonin to values seen in pyridoxine-supplemented control animals. These results suggest that 5-HT availability could be an important factor in the regulation of the synthesis of pineal NAS and melatonin.
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5-HT2A receptor binding parameters were studied in the cerebral cortex and brain stem of control, diabetic, insulin, insulin + tryptophan and tr3yptophan treated streptozotocin diabetic rats. Scatchard analysis using selective antagonist, [-H](±)2,3-dimethoxyphenyl-l-[2-(4-piperidine)- methanol] ([3H]MDL100907) in cerebral cortex of diabetic rats showed a significant decrease in dissociation constant (Kd) without any change in maximal binding (Bm). Competition binding studies in cerebral cortex using ketanserin against [3H]MDL100907 showed the appearance of an additional site in the low affinity region during diabetes. In the brain stem, Scatchard analysis showed a significant increase in Bmax and Kd. Displacement studies showed a shift in the receptor affinity towards a low affinity state. All these altered parameters in diabetes were reversed to control level by insulin, insulin + tryptophan and tryptophan treatments. Tryptophan treatment is suggested to reverse the altered 5-HT2Abinding and blood glucose level to control status by increasing the brain 5-HT content.
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Pyridoxal phosphate (PLP) is the coenzyme of various decarboxylases involved in the formation of monoamine urotransmitters such as y-aminobulyric acid (GAE3A), serotonin (5-HT) and dopamine. 1-lowever; in the pyridoxine-deficient rats GABA and 5-HT are decreased in various brain areas including the hypothalamus, with no change in the catecholamine levels. Serotonin and GABA are known to be involved in blood pressure control mechanisms. In this study adult Sprague-Dawley rats placed on a pyridoxine-deficient diet for 8 weeks showed significant hypertension compared with pyridoxine-supplemented controls. This was associated with a general sympathetic stimulation. Treatment of deficient rats with a single dose of pyridoxine (10 mg/kg body weight) reversed the blood pressure to normal levels within 24 h, with concomitant restoration of hypothalamic 5-HT and GABA, as well as the return of plasma norepinephrine to nornr;l levels. The results indicate that there is a cause-and-effect relationship between pyridoxine deficiency and hypertension.
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Mast cells that are in close proximity to autonomic and enteric nerves release several mediators that cause neuronal hyperexcitability. This study examined whether mast cell tryptase evokes acute and long-term hyperexcitability in submucosal neurons from the guinea-pig ileum by activating proteinase-activated receptor 2 (PAR2) on these neurons. We detected the expression of PAR2 in the submucosal plexus using RT-PCR. Most submucosal neurons displayed PAR2 immunoreactivity, including those colocalizing VIP. Brief (minutes) application of selective PAR2 agonists, including trypsin, the activating peptide SL-NH2 and mast cell tryptase, evoked depolarizations of the submucosal neurons, as measured with intracellular recording techniques. The membrane potential returned to resting values following washout of agonists, but most neurons were hyperexcitable for the duration of recordings (> 30 min-hours) and exhibited an increased input resistance and amplitude of fast EPSPs. Trypsin, in the presence of soybean trypsin inhibitor, and the reverse sequence of the activating peptide (LR-NH2) had no effect on neuronal membrane potential or long-term excitability. Degranulation of mast cells in the presence of antagonists of established excitatory mast cell mediators (histamine, 5-HT, prostaglandins) also caused depolarization, and following washout of antigen, long-term excitation was observed. Mast cell degranulation resulted in the release of proteases, which desensitized neurons to other agonists of PAR2. Our results suggest that proteases from degranulated mast cells cleave PAR2 on submucosal neurons to cause acute and long-term hyperexcitability. This signalling pathway between immune cells and neurons is a previously unrecognized mechanism that could contribute to chronic alterations in visceral function.
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Early-life environmental events, such as the handling procedure, can induce long-lasting alterations upon several behavioral and neuroendocrine systems. However, the changes within the pups that could be causally related to the effects in adulthood are still poorly understood. In the present study, we analyzed the effects of neonatal handling on behavioral (maternal odor preference) and biochemical (cyclic AMP response element-binding protein (CREB) phosphorylation, noradrenaline (NA), and serotonin (5-HT) levels in the olfactory bulb (OB)) parameters in 7-day-old male and female rat pups. Repeated handling (RH) abolished preference for the maternal odor in female pups compared with nonhandled (NH) and the single-handled (SH) ones, while in RH males the preference was not different than NH and SH groups. In both male and female pups, RH decreased NA activity in the OB, but 5-HT activity increased only in males. Since preference for the maternal odor involves the synergic action of NA and 5-HT in the OB, the maintenance of the behavior in RH males could be related to the increased 5-HT activity, in spite of reduction in the NA activity in the OB. RH did not alter CREB phosphorylation in the OB of both male and females compared with NH pups. The repeated handling procedure can affect the behavior of rat pups in response to the maternal odor and biochemical parameters related to the olfactory learning mechanism. Sex differences were already detected in 7-day-old pups. Although the responsiveness of the hypothalamic-pituitary-adrenal axis to stressors is reduced in the neonatal period, environmental interventions may impact behavioral and biochemical mechanisms relevant to the animal at that early age. (C) 2009 IBRO. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.
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The goal of the present study was to investigate morphological changes in the serotonergic neurons/terminals in the dorsal (DR) and median (MnR) raphe nuclei and on the hippocampal dentate gyrus (DG) in neonatal rats treated from the 1st to the 21st postnatal day with fluoxetine (10 mg/kg sc, daily) or drug vehicle (0 9% saline 1 ml/kg). The results show that postnatal chronic treatment with fluoxetine promoted. (1) a smaller body weight increase during the pre-weaning period; (2) smaller number of 5-HT neurons in the DR, (3) smaller 5-HT neuronal cell bodies (area, perimeter and diameter) in the DR and the MnR and (4) diminished serotonergic terminals in the DG. These data suggest that the development of the serotonergic system was impaired and that early exposure to fluoxetine damaged the morphology of 5-HT neurons in young adult rats While these findings are consistent with other work, more studies are needed to better clarify the effects of postnatal chronic treatment with fluoxetine on the serotonergic system and, consequently, on the functions modulated by serotonin (C) 2010 Elsevier Ireland Ltd All rights reserved