937 resultados para image de la pensée
Resumo:
La pensée de Marx a souvent été présentée comme étant une sortie de la philosophie (Althusser, Labica, Garo). À l’encontre de cette thèse, cet article vise à réhabiliter l’ancrage profondément philosophique de Marx dans la tradition de l’ontologie de l’agir de l’idéalisme allemand. En s’appuyant sur les écrits dits de jeunesse, ce texte vise à tirer au clair le sens de la métaphysique de Marx, c’est-à- dire ce qu’il conçoit comme étant la réalité première. Au travers des débats et critiques de Marx, il nous sera permis d’envisager une autre conception de la pratique philosophique découlant de sa prise de position métaphysique comprise comme une synthèse d’une ontologie de l’agir et d’une ontologie de la relation.
Resumo:
La pensée féministe s’inscrit, le plus généralement, dans un courant critique face aux pratiques et théories politiques ou philosophiques dominantes. Bien que la pensée féministe puisse trouver ses sources dans le libéralisme du XVIIIe siècle, elle s’en est séparée, dans les dernières décennies du XX e siècle, pour pouvoir mieux le critiquer. Les auteures féministes ne sont toutefois pas seules à voir dans le libéralisme une pensée politique à rejeter ou, au moins, à réformer. La « redécouverte » de la tradition républicaine a ainsi amené plusieurs chercheurs à proposer des théories qui s’en inspirent et qui pourraient combler les lacunes d’un libéralisme dont le vernis commence à craquer. Le républicanisme est-il toutefois à même de rénover les pratiques et les théories politiques tout en éliminant les insuffisance des théories politiques dominantes pointées par les féministes ? Un républicanisme dont la pièce maîtresse est la notion de domination semble pouvoir répondre à ces exigences.
Resumo:
La présente étude a pour but d’examiner le rapport de la philosophie cartésienne à la méditation dévotionnelle chrétienne. Une perspective nouvelle s’ouvre en effet dès lors que l’on considère les liens qui unissent la pensée de Descartes à la spiritualité de son temps, marquée par le courant dévotionnel (représenté notamment par la spiritualité ignacienne et l’École française de spiritualité). Cette présentation, centrée sur les Méditations touchant la première philosophie, doit permettre d’évaluer et, le cas échéant, de consolider les preuves qui soutiennent qu’une telle liaison existe – avec pour corollaire d’accorder entre elles les hypothèses d’une influence ignacienne et d’une influence augustinienne.
Resumo:
Quel est le statut ontologique du « possible » et du « réel » ? Sous l’angle de la substance, de la notion et du temps, l’un prend-il le pas sur l’autre, l’un est-il prioritaire ? Alors qu’Aristote et Hegel ont défendu l’idée que le réel jouit d’une primauté sur le possible, Heidegger et Bergson ont avancé la thèse inverse : ils ont laissé entendre que le possible a préséance sur le réel. Le dessein que nous poursuivrons ici possède deux volets : d’une part, nous chercherons à souligner la distance qui sépare le couple Aristote/Hegel de la pensée heideggérienne sur la question du possible ; d’autre part, et en particulier, nous tâcherons de montrer que si la thèse que soutient Bergson s’éloigne en apparence largement de la conception classique, elle la rejoint malgré tout à bien des égards.
Resumo:
Lorsqu’on pense à l’éthique d’Aristote, on pense tout d’abord à l’Éthique à Nicomaque. Or, Aristote a rédigé un autre traité éthique, l’Éthique à Eudème, de plus en plus considéré comme authentique et digne d’intérêt. Cette redécouverte de l’Éthique à Eudème a soulevé de nombreux problèmes d’interprétation, puisqu’on ignore pourquoi Aristote aurait rédigé deux œuvres éthiques qui traitent sensiblement des mêmes sujets. Ces deux traités sont-ils compatibles et complémentaires ou plutôt divergents et contradictoires ? Et s’ils sont différents, est-ce un témoignage d’une évolution dans la pensée d’Aristote ? Pour résoudre ce genre de questions, ou du moins pour leur apporter une réponse partielle, il n’y a pas de moyen plus approprié que l’analyse comparative. Ainsi, dans cet article, nous proposons d’analyser un thème très restreint présent dans les deux traités, à savoir la notion de fonction (ἔργον) dans la définition du bonheur.
Resumo:
Nous ne croyons pas qu’il soit réaliste de penser parvenir à un concensus solide, tellement les points de vue, tenant en partie aux nuances, sont partagés sur les orientations idéologiques du MINOM, sur la crainte que l’idéologie ne prenne le dessus sur les considérations professionnelles ou éthiques. Il faut seulement espérer que la voix univoque qui s’est permise, selon un mandat du mouvement, de lancer la ligne à l’eau, ne sera pas entièrement perdue, qu’elle produira à la longue une rérflexion stimulante sur les convictions, sur l’imaginatioin créatrice qui nous amènent à faire usage de tel ou tel langage, d’entrer plus profondément dans nos univers respectifs, mais également de renforcer notre système de valeurs communes. Il ne s’agit pas d’instituer, à travers l’imposition d’un langage commun, soit un monopole, soit une dictature de la pensée unique, mais plutôt d’amener le débat sur la viabilité d’un pluriel dialectique. Une dernière tentative de sondage auprès des membres actuels du Conseil d’administration (musealogando) et de personnes qui y sont associées, sur la définition du musée, n’aura donné aucun résultat.
Resumo:
Incluye Bibliografía
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
Resumo:
Dans un contexte de communication, des bonnes compétences linguistiques ne suffisent pas puisque la connaissance approfondie de la culture cible s’avère également une question fondamentale. Il est donc nécessaire d’adopter une attitude communicative adéquate pour que le message puisse être reçu correctement. Parmi les aspects culturels auxquels le parlant doit accorder une grande importance figurent les proverbes. Les proverbes sont des énoncés d’origine populaire qui recèlent un contenu moral et éthique dont la visée est apprendre aux hommes à bien vivre en société. Les messages véhiculés par les proverbes sont l’héritage de l’expérience des ancêtres dont il faut faire trésor pour comprendre les mœurs, le mode de vie et la pensée d’une communauté donnée : voilà donc pourquoi les proverbes ont été dénommés «sagesse des nations». Depuis la nuit de temps, les proverbes sont transmis de père en fils par voie orale : l’usage quotidien et l’apprentissage par cœur en ont fait des formules fixées dont la structure binaire rimique et rythmique facilite la mémorisation. Par ailleurs, les proverbes sont souvent à interpréter en clé métaphorique, le figement étant l’un des traits définitoires de ce genre du discours. Si les proverbes, énoncés de sagesse populaire, étaient autrefois des sources d’autorité morale, aujourd’hui, au contraire, ils ont perdu leur valeur éthique et sont en train de tomber en désuétude en tant que forme de littérature de deuxième rang, véhiculant des contenus stéréotypés. Néanmoins, les proverbes représentent toujours une clé de lecture pour étudier les sociétés dont ils constituent une partie très importante du patrimoine linguistique et culturel, ce que l’on nomme « patrimoine immatériel ». Le travail que nous allons proposer se penche sur le rôle et l’importance des proverbes, en présentant une approche à l’analyse contrastive des proverbes concernant la notion de temps en langue italienne et française.
Resumo:
par S. Ferdinand-Lop
Resumo:
Cet ouvrage propose une lecture radicalement nouvelle de la pensée saussurienne, fondée sur la reconnaissance de la distinction entre langue et idiome instaurée par la théorie saussurienne de la langue. Cette distinction, qui a été recouverte par l'ensemble de la linguistique postsaussurienne, ouvre l'espace du langage comme espace de théorisation. Une lecture qui donne lieu à une reconsidération des rapports entre linguistique et psychanalyse ainsi que de la question de la neurolinguistique.
Resumo:
Si Jakobson, par ailleurs si critique relativement à l’apport saussurien, s’inscrit, quant à la notion de valeur, dans la filiation de Saussure, il nous semble que cette filiation revendiquée par Jakobson repose sur un malentendu. La redéfinition jakobsonienne de la notion de valeur est en effet inséparable d’une disjonction des différentes dimensions constitutives du concept saussurien de valeur. Par ailleurs et corrélativement, la valeur jakobsonienne se caractérise d’emblée par sa positivité, qui se déploie sur deux plans : celui de la consistance objectale, qui répond à une problématique des rapports forme/substance et celui de la sémioticité, qui répond à une problématique des rapports son/sens, deux problématiques aussi étrangères l’une que l’autre à la linguistique saussurienne. A la définition saussurienne de la langue comme un fonctionnement dont son et sens apparaissent comme des effets, fonctionnement qu’est la division-combinaison des deux masses amorphes de la pensée et du son, se substitue la construction jakobsonienne d’une langue structure d’appariement du son et du sens, construction fondée sur l’évidence d’une définition de la langue comme instrument de communication. On peut cependant penser que cette substitution, ce malentendu, sont tout à fait révélateurs de la spécificité de l’objet de la linguistique, particulièrement résistant à la théorisation.
Resumo:
Este trabajo reflexiona acerca del momento constitutivo del modelo agroindustrial en Mendoza siguiendo las acciones que emprende la elite local de fines del siglo XIX para promoverlo. Basado en el planteo shumpeteriano sobre la importancia de los empresarios con respecto a la innovación para el desarrollo y el análisis de H. Nochteff sobre las carencias de políticas de ciencia y tecnología que caracterizan la economía Argentina como de adaptación tardía, se establecen una serie de diferenciaciones que colaboran a explicar el recorrido específico de la economía mendocina en su deriva pasada y actual frente el dominante patrón de acumulación nacional.
Resumo:
El presente trabajo tiene como propósito abordar los Diarios de mi vida de Rufino Blanco Fombona a través de un análisis de las diferentes imágenes que de sí da el diarista a lo largo del diario a partir de dos vertientes: su autofiguración artística y mundana y su autofiguración política. Al mismo tiempo, busca realizar un acercamiento a aquellos momentos de quiebre en los que la intimidad se manifiesta, corroyendo y desestabilizando esas imágenes y la propia escritura.
Resumo:
In this paper the author analyses the concept of the mind in the Alcuin’s treatise De ratione animae. Following the teaching of the Fathers, specially Augustine and Isidore of Sevilla, Alcuin of York comprehends the mind as a nominal part of the soul and as its highest peak, the way in which the man is a God’s image. Finally is presented an sketch of the Alcuin’s knowledge theory as exposed in this treatise.