983 resultados para galaxies: nuclei
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We report the results of our search for the progenitor candidate of SN 2013dk, a Type Ic supernova (SN) that exploded in the Antennae galaxy system. We compare pre-explosion Hubble Space Telescope (HST) archival images with SN images obtained using adaptive optics at the ESO Very Large Telescope. We isolate the SN position to within 3σ uncertainty radius of 0.02 arcsec and show that there is no detectable point source in any of the HST filter images within the error circle. We set an upper limit to the absolute magnitude of the progenitor to be MF555W ≳ -5.7, which does not allow Wolf-Rayet (WR) star progenitors to be ruled out. A bright source appears 0.17 arcsec away, which is either a single bright supergiant or compact cluster, given its absolute magnitude of MF555W = -9.02 ± 0.28 extended wings and complex environment. However, even if this is a cluster, the spatial displacement of SN 2013dk means that its membership is not assured. The strongest statement that we can make is that in the immediate environment of SN 2013dk (within 10 pc or so), we find no clear evidence of either a point source coincident with the SN or a young stellar cluster that could host a massive WR progenitor.
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We present the Pan-STARRS1 discovery and light curves, and follow-up MMT and Gemini spectroscopy of an ultraluminous supernova (ULSN; dubbed PS1-11bam) at a redshift of z = 1.566 with a peak brightness of M UV ≈ -22.3 mag. PS1-11bam is one of the highest redshift spectroscopically confirmed SNe known to date. The spectrum exhibits broad absorption features typical of previous ULSNe (e.g., C II, Si III), and strong and narrow Mg II and Fe II absorption lines from the interstellar medium (ISM) of the host galaxy, confirmed by an [O II]λ3727 emission line at the same redshift. The equivalent widths of the Fe II λ2600 and Mg II λ2803 lines are in the top quartile of the quasar intervening absorption system distribution, but are weaker than those of gamma-ray burst intrinsic absorbers (i.e., GRB host galaxies). We also detect the host galaxy in pre-explosion Pan-STARRS1 data and find that its UV spectral energy distribution is best fit with a young stellar population age of τ* ≈ 15-45 Myr and a stellar mass of M * ≈ (1.1-2.6) × 109 M ⊙ (for Z = 0.05-1 Z ⊙). The star formation rate inferred from the UV continuum and [O II]λ3727 emission line is ≈10 M ⊙ yr-1, higher than in previous ULSN hosts. PS1-11bam provides the first direct demonstration that ULSNe can serve as probes of the ISM in distant galaxies. The depth and red sensitivity of PS1 are uniquely suited to finding such events at cosmologically interesting redshifts (z ~ 1-2); the future combination of LSST and 30 m class telescopes promises to extend this technique to z ~ 4.
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Un nouveau contrôleur de EMCCD (Electron multiplying Charge Coupled Device) est présenté. Il permet de diminuer significativement le bruit qui domine lorsque la puce EMCCD est utilisé pour du comptage de photons: le bruit d'injection de charge. À l'aide de ce contrôleur, une caméra EMCCD scientifique a été construite, caractérisée en laboratoire et testée à l'observatoire du mont Mégantic. Cette nouvelle caméra permet, entre autres, de réaliser des observations de la cinématique des galaxies par spectroscopie de champ intégral par interférométrie de Fabry-Perot en lumière Ha beaucoup plus rapidement, ou de galaxies de plus faible luminosité, que les caméras à comptage de photon basées sur des tubes amplificateurs. Le temps d'intégration nécessaire à l'obtention d'un rapport signal sur bruit donné est environ 4 fois moindre qu'avec les anciennes caméras. Les applications d'un tel appareil d'imagerie sont nombreuses: photométrie rapide et faible flux, spectroscopie à haute résolution spectrale et temporelle, imagerie limitée par la diffraction à partir de télescopes terrestres (lucky imaging), etc. D'un point de vue technique, la caméra est dominée par le bruit de Poisson pour les flux lumineux supérieurs à 0.002 photon/pixel/image. D'un autre côté, la raie d'hydrogène neutre (HI) à 21 cm a souvent été utilisée pour étudier la cinématique des galaxies. L'hydrogène neutre a l'avantage de se retrouver en quantité détectable au-delà du disque optique des galaxies. Cependant, la résolution spatiale de ces observations est moindre que leurs équivalents réalisés en lumière visible. Lors de la comparaison des données HI, avec des données à plus haute résolution, certaines différences étaient simplement attribuées à la faible résolution des observations HI. Le projet THINGS (The HI Nearby Galaxy Survey a observé plusieurs galaxies de l'échantillon SINGS (Spitzer Infrared Nearby Galaxies Survey). Les données cinématiques du projet THIGNS seront comparées aux données cinématiques obtenues en lumière Ha, afin de déterminer si la seule différence de résolution spatiale peut expliquer les différences observées. Les résultats montrent que des différences intrinsèques aux traceurs utilisées (hydrogène neutre ou ionisé), sont responsables de dissemblances importantes. La compréhension de ces particularités est importante: la distribution de la matière sombre, dérivée de la rotation des galaxies, est un test de certains modèles cosmologiques.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La thèse qui suit est organisée en deux volets: un premier volet portant sur les modèles de masse de galaxies et un second volet sur la conception de revêtements optiques et le contrôle de leurs propriétés mécaniques. Les modèles de masse présentés dans cette thèse ont été réalisés sur un sous-échantillon de dix galaxies de l'étude SINGS comprenant neuf galaxies normales et une galaxie naine. Ce travail visait à fixer le rapport masse-luminosité du disque à tout rayon en utilisant les résultats de modèles d'évolution galactique chimio-spectrophotométriques ajustés spécifiquement à chaque galaxie grâce à son profil de photométrie multi-bandes. Les résultats montrent que les disques stellaires tels que normalisés par les rapports masse-luminosité issus des modèles ont des masses cohérentes dans toutes les bandes étudiées de l'ultra-violet, du visible ainsi que du proche infrarouge (bandes FUV à IRAC2). Ces disques peuvent être considérés comme maximaux par rapport aux données cinématiques des galaxies étudiées. Ceci est dû au fait que le rapport M/L est plus élevé au centre que sur les bords. Les disques étant maximaux et physiquement justifiés, on ne peut dès lors ignorer les effets de composants tels que les bulbes ou les barres et les corrections nécessaires doivent être apportées aux profils de luminosité et de vitesses de rotation de la galaxie. Dans les travaux de la seconde partie, le logiciel en développement libre OpenFilters a été modifié afin de tenir compte des contraintes mécaniques dans la conception numérique de revêtements optiques. Les contraintes mécaniques dans les couches minces ont un effet délétère sur leurs performances optiques. Un revêtement destiné à rendre réflectives les lames d'un étalon Fabry-Perot utilisé en astronomie a été conçu et fabriqué afin d'évaluer les performances réelles de la méthode. Ce cas a été choisi à cause de la diminution de la finesse d'un étalon Fabry-Perot apporté par la courbure des lames sous l'effet des contraintes. Les résultats montrent que les mesures concordent avec les modèles numériques et qu'il est donc possible à l'aide de ce logiciel d'optimiser les revêtements pour leur comportement mécanique autant que pour leurs propriétés optiques.
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A simple method is presented to evaluate the effects of short-range correlations on the momentum distribution of nucleons in nuclear matter within the framework of the Greens function approach. The method provides a very efficient representation of the single-particle Greens function for a correlated system. The reliability of this method is established by comparing its results to those obtained in more elaborate calculations. The sensitivity of the momentum distribution on the nucleon-nucleon interaction and the nuclear density is studied. The momentum distributions of nucleons in finite nuclei are derived from those in nuclear matter using a local-density approximation. These results are compared to those obtained directly for light nuclei like 16O.
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In the Thomas-Fermi model, calculations are presented for nuclei beyond the nuclear drip line at zero temperature. These nuclei are in equilibrium by the presence of an external gas, as may be envisaged in the astrophysical scenario. We find that there is a limiting asymmetry beyond which these nuclei can no longer be made stable.
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The influence of Delta isobar components on the ground-state properties of nuclear systems is investigated for nuclear matter as well as finite nuclei. Many-body wave functions, including isobar configurations and binding energies, are evaluated employing the framework of the coupled-cluster theory. It is demonstrated that the effect of isobar configurations depends in a rather sensitive way on the model used for the baryon-baryon interaction. As examples for realistic baryon-baryon interactions with explicit inclusion of isobar channels we use the local (V28) and nonlocal meson-exchange potentials (Bonn2000) but also a model recently developed by the Salamanca group, which is based on a quark picture. The differences obtained for the nuclear observables are related to the treatment of the interaction, the pi-exchange contributions in particular, at high momentum transfers.
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Stability of nuclei beyond the drip lines in the presence of an enveloping gas of nucleons and electrons, as prevailing in the inner crust of a neutron star, is studied in the temperature-dependent Thomas-Fermi framework. A limiting asymmetry in the isospin space beyond which nuclei cannot exist emerges from the calculations. The ambient conditions such as temperature, baryon density, and neutrino concentration under which these exotic nuclear systems can be formed are studied in some detail.
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Isotopic and isotonic chains of superheavy nuclei are analyzed to search for spherical double shell closures beyond Z=82 and N=126 within the new effective field theory model of Furnstahl, Serot, and Tang for the relativistic nuclear many-body problem. We take into account several indicators to identify the occurrence of possible shell closures, such as two-nucleon separation energies, two-nucleon shell gaps, average pairing gaps, and the shell correction energy. The effective Lagrangian model predicts N=172 and Z=120 and N=258 and Z=120 as spherical doubly magic superheavy nuclei, whereas N=184 and Z=114 show some magic character depending on the parameter set. The magicity of a particular neutron (proton) number in the analyzed mass region is found to depend on the number of protons (neutrons) present in the nucleus.
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Accurately calibrated effective field theories are used to compute atomic parity nonconserving (APNC) observables. Although accurately calibrated, these effective field theories predict a large spread in the neutron skin of heavy nuclei. Whereas the neutron skin is strongly correlated to numerous physical observables, in this contribution we focus on its impact on new physics through APNC observables. The addition of an isoscalar-isovector coupling constant to the effective Lagrangian generates a wide range of values for the neutron skin of heavy nuclei without compromising the success of the model in reproducing well-constrained nuclear observables. Earlier studies have suggested that the use of isotopic ratios of APNC observables may eliminate their sensitivity to atomic structure. This leaves nuclear structure uncertainties as the main impediment for identifying physics beyond the standard model. We establish that uncertainties in the neutron skin of heavy nuclei are at present too large to measure isotopic ratios to better than the 0.1% accuracy required to test the standard model. However, we argue that such uncertainties will be significantly reduced by the upcoming measurement of the neutron radius in 208^Pb at the Jefferson Laboratory.