719 resultados para cranial calvarial
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L’ostéochondrite disséquante (OCD) est un défaut focal du processus d’ossification endochondrale en des sites spécifiques au niveau épiphysaire. Elle est caractérisée par la présence de fragments ostéochondraux pouvant se détacher de la surface articulaire. Cette maladie a un impact majeur sur les performances athlétiques des chevaux. Les deux hypothèses principales présentement véhiculées quant à sa pathogénie sont une nécrose ischémique du cartilage de croissance et une altération du métabolisme de la matrice de collagène de type II au sein du cartilage de croissance. Malgré de nombreuses années de recherche sur le sujet, plusieurs aspects de cette maladie demeurent inconnus. L’objectif de cette étude était de décrire le développement épiphysaire équin au niveau du membre pelvien à l’aide de l’imagerie médicale afin de déterminer si des variations du processus de maturation à certains sites pouvaient être un facteur prédisposant au développement de lésions d’OCD. Des membres pelviens de fœtus et de jeunes poulains ont été étudiés post-mortem. L’épiphyse du fémur distal, tibia distal et du talus ont été examinées par tomodensitométrie (CT) et résonnance magnétique 1.5 Tesla (IRM) dans le but de documenter le degré et le patron d’ossification, la régularité du front d’ossification, de même que le pourcentage du diamètre épiphysaire demeurant occupé par le complexe de cartilage articulaire-épiphysaire, et ce au niveau de certains sites prédéterminés. Les centres secondaires d’ossification (SOCs) ont été détectés pour la première fois à 7 mois de gestation (MOG) au niveau de l’épiphyse fémorale distale et à 8 MOG au niveau de l’épiphyse tibiale distale et du talus. À 8-9 MOG la lèvre latérale de la trochlée fémorale, la malléole médiale du tibia (MM) et la partie crâniale de la crête intermédiaire du tibia distal (DIRT(Cr)), tous des sites prédisposés à la maladie, avaient le plus haut pourcentage de cartilage de tous les sites évalués. Post-partum, le pourcentage de cartilage de la MM et de la DIRT(Cr) sont demeurés importants. Le CT et l’IRM ont su illustrer le développement épiphysaire équin et soutenir d’avantage le fait qu’un cartilage plus épais à certains sites articulaires pourrait avoir un rôle dans le développement de lésions d’OCD.
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Les modèles animaux d’arthrose permettent d’évaluer le potentiel d’agents thérapeutiques en phase préclinique de développement. Le présent ouvrage tient compte du chien comme modèle d’arthrose naturelle (chez l’animal de compagnie) ou expérimentale (par sectionnement chirurgical du ligament croisé crânial). Au sein des expérimentations, la force de réaction au sol verticale maximale, mesurée lors de l’analyse cinétique de la locomotion, est proposée comme témoin d’effets fonctionnels et structuraux sur ces modèles d’arthrose. Sur un modèle canin d’arthrose naturelle, le seuil de changement minimal détectable a été déterminé. Les changements au dysfonctionnement locomoteur peuvent désormais être cernés en s’affranchissant de la marge d’erreur inhérente à la mesure de la force verticale maximale. Il en découle l’identification de répondants lors d’essais cliniques entrepris chez le chien arthrosique. Une analyse rétrospective a, par la suite, déterminé un taux de répondants de 62.8% et d’une taille d’effet de 0.7 pour des approches thérapeutiques actuellement proposées aux chiens arthrosiques. Cette analyse détermina également que la démonstration d’une réponse thérapeutique était favorisée en présence d’un fort dysfonctionnement locomoteur. Sur un modèle canin d’arthrose par sectionnement chirurgical du ligament croisé crânial, la force verticale maximale a démontré une relation inverse avec certains types de lésions arthrosiques évaluées à l’aide d’imagerie par résonance magnétique. Également, la sensibilité de la force verticale maximale a été mise en évidence envers la détection d’effets structuraux, au niveau de l’os sous-chondral, par un agent anti-résorptif (le tiludronate) sur ce même modèle. Les expérimentations en contexte d’arthrose naturelle canine permettent de valider davantage les résultats d’essais cliniques contrôlés utilisant la force verticale maximale comme critère d’efficacité fonctionnelle. Des évidences cliniques probantes nécessaires à la pratique d’une médecine basée sur des faits sont ainsi escomptées. En contexte d’arthrose expérimentale, la pertinence d’enregistrer le dysfonctionnement locomoteur est soulignée, puisque ce dernier est en lien avec l’état des structures. En effectuant l’analyse de la démarche, de pair avec l’évaluation des structures, il est escompté de pouvoir établir la répercussion de bénéfices structurels sur l’inconfort articulaire. Cet ouvrage suggère qu’une plateforme d’investigations précliniques, qui combine le modèle canin d’arthrose par sectionnement chirurgical du ligament croisé crânial à un essai clinique chez le chien arthrosique, soit un moyen de cerner des bénéfices structuraux ayant des impacts fonctionnels. Le potentiel inférentiel de ces modèles canins d’arthrose vers l’Homme serait ainsi favorisé en utilisant la force verticale maximale.
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Introduction : La croissance maxillo-mandibulaire des enfants avec une séquence de Pierre Robin (SPR) est controversée dans la littérature. Certains auteurs croient que la croissance mandibulaire est accélérée après la naissance, mais peu se sont penchés sur la croissance du maxillaire supérieur. Cette étude rétrospective sur dossier vise à analyser la croissance maxillo-mandibulaire des enfants atteints de la SPR. Dans un deuxième temps, nous aurions aimé évaluer la sévérité et l’évolution de l’apnée du sommeil en lien avec la croissance des maxillaires, mais un manque de données a empêché l’atteinte de cet objectif. Matériel et méthode : Les dossiers médicaux et orthodontiques de 93 patients (82 volet apnée et 40 volet croissance) du CHU Ste-Justine avec une SPR isolée ont été révisés puis comparés au groupe contrôle composé d’enfants normaux de l’Université du Michigan. L’analyse statistique de modèle mixte pour mesures répétées de même que celle de Brunner-Langer furent effectuées. Résultats : L’évaluation orthodontique a montré un changement statistiquement significatif pour la relation molaire droite, la présence de chevauchement et de diastème au maxillaire et le surplomb vertical. L’analyse des données céphalométriques nous montre que le maxillaire supérieur, la branche montante et le corps de la mandibule sont tous réduits par rapport à la normale. Ce dernier montre une diminution significative avec l’âge (p = 0,03). L’angle gonial, le SNA, SNB, ANB, l’angle de convexité faciale et l’inclinaison de l’incisive supérieure par rapport à FH sont tous normaux. Par contre, on remarque une augmentation statistiquement significative de cette dernière avec l’âge (p = 0,04). L’angle Y est augmenté tandis que les hauteurs faciales supérieure (HFS) et inférieure (HFI) sont diminuées bien que cette dernière montre une tendance à s’approcher de la normale avec l’âge (p ≤ 0,001). Discussion : Les dimensions des maxillaires sont similaires à plusieurs études. En ce qui concerne la mandibule, la croissance est soit plus lente, soit diminuée. Cette observation est plus marquée lorsque l’on s’approche du pic de croissance puisque l’écart par rapport à la normale s’agrandit. On voit une tendance à la croissance hyperdivergente qui pourrait expliquer l’augmentation de la HFI avec l’âge. Le fait que SNA et SNB soient dans la normale pourrait s’expliquer par une diminution de la longueur de la base crânienne. Conclusion : Il n’y a pas de rattrapage de croissance maxillaire et mandibulaire. Les maxillaires restent micrognathes quoique proportionnels l’un envers l’autre et le profil est convexe tout au long de la croissance. La comparaison des données céphalométriques et des traitements orthodontiques avec ceux des patients présentant une fente palatine isolée devrait se faire sous peu. Nous n’avons pas été en mesure d’atteindre nos objectifs concernant l’apnée du sommeil. Une étude prospective serait à prévoir pour y arriver.
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El aumento del número de motocicletas en los últimos años se ha acompañado de un incremento en el porcentaje de accidentes que las involucra y se ha convertido en una causa relevante de morbilidad y mortalidad para la población Colombiana; razón por la cual, cobra importancia conocer las características sociodemográficas de la población involucrada en este tipo de accidentes, así como las características clínicas relacionadas con el tipo de trauma y tratamiento indicado. Para tal fin, se llevó a cabo un estudio observacional descriptivo de tipo retrospectivo que permitió establecer las características clínicas y sociodemográficas de la población víctima de accidentes de motocicleta, en un periodo comprendido desde Enero 1 del 2008 hasta el 31 de Diciembre de 2011; población atendida en una Institución de Salud de Bogotá. Se estudiaron 717 pacientes atendidos en el servicio de urgencias del Hospital de Kennedy: 531 Hombres y 186 Mujeres, de grupos etáreos desde los 0-4 años (6%), hasta >65 años (5%), con mayor prevalencia de accidentalidad en el grupo de 15 – 64 años (43%). El 86% de los accidentados utilizaban casco y el 45% presentaron accidentes en el horario del día comprendido entre las 13 y 18 horas (45%). Sólo el 7% de los pacientes tenían indicios de uso de alcohol. En cuanto a las características del trauma, tuvo mayor prevalencia en las extremidades inferiores (63%), el 94% de las fracturas fueron cerradas, con trauma asociado en el 35% de los casos, relacionado con Trauma Cráneo Encefálico en el 24% de los casos (TCE). La distribución del trauma según el segmento corporal afectado en orden es el siguiente: Fractura tibia (21%), tobillo (17.2%), radio distal (10.6%) y diáfisis de radio (8.5%). Este estudio ofrece una base para futuras conductas en los departamentos de trauma.
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El neurofeedback es una técnica no invasiva en la que se pretende corregir, mediante condicionamiento operante, ondas cerebrales que se encuentren alteradas en el electroencefalograma. Desde 1967, se han conducido numerosas investigaciones relacionadas con los efectos de la técnica en el tratamiento de alteraciones psicológicas. Sin embargo, a la fecha no existen revisiones sistemáticas que reúnan los temas que serán aquí tratados. El aporte de este trabajo es la revisión de 56 artículos, publicados entre los años 1995 y 2013 y la evaluación metodológica de 29 estudios incluidos en la revisión. La búsqueda fue acotada a la efectividad del neurofeedback en el tratamiento de depresión, ansiedad, trastorno obsesivo compulsivo (TOC), ira y fibromialgia. Los hallazgos demuestran que el neurofeedback ha tenido resultados positivos en el tratamiento de estos trastornos, sin embargo, es una técnica que aún está en desarrollo, con unas bases teóricas no muy bien establecidas y cuyos resultados necesitan de diseños metodológicamente más sólidos que ratifiquen su validez.
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Se realizó un capítulo sobre la descripción del examen neurológico como herramienta principal en el abordaje del paciente con patología neurológica.
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El traumatismo craneoencefálico, es la epidemia silenciosa de nuestra época, que genera gastos en salud, en países como Estados Unidos, cercanos a los 60 billones de dólares anuales, y cerca de 400 billones en rehabilitación de los discapacitados. El pilar del manejo médico del trauma craneoencefálico moderado o severo, es la osmoterapia, principalmente con sustancias como el manitol y las soluciones hipertónicas. Se realizó la revisión de 14 bases de datos, encontrando 4657754 artículos, quedando al final 40 artículos después de un análisis exhaustivo, que se relacionaban con el manejo de la hipertensión endocraneana y terapia osmótica. Resultados: Se compararon diferentes estudios, encontrando gran variabilidad estos, sin homogenización en los análisis estadísticos, y la poca rigurosidad no permitieron, la recolección de datos y la comparación entre los diferentes estudios, no permitió realizar el meta-análisis y por esto se decidió la realización de una revisión sistemática de la literatura. Se evidenció principalmente tres cosas: la primera es la poca rigurosidad con la que se realizan los estudios clínicos; la segunda, es que aún falta mucha más investigación principalmente, la presencia de estudios clínicos aleatorizados multicéntricos, que logren dar una sólida evidencia y que genere validez científica que se requiere, a pesar de la evidencia clara en la práctica clínica; la tercera es la seguridad para su uso, con poca presencia de complicaciones para las soluciones salinas hipertónicas.
Consumo de sustancias y noxas prenatales en madres de pacientes con síndrome de Möbius y Möbius Like
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Introducción: El síndrome de Möbius y Möbius Like es una entidad poco frecuente caracterizada principalmente por parálisis congénita del VI y VII par craneal. Su etiología es poco conocida aunque se ha asociado a inductores del aborto. El objetivo de este estudio es describir factores anómalos, tóxicos o nocivos que hayan estado presentes en el embarazo de las madres de estos pacientes. Metodología: se realizó una encuesta auto-diligenciable a 15 madres de pacientes con el diagnóstico, indagando sobre condiciones anómalas y/o exposicionales del embarazo, el padre y el ambiente. Resultados: Las madres se encontraban entre los 16 y 34 años al momento de quedar embarazadas, en su mayoría eran solteras, estudiantes y sin planes de embarazo. Once en total usaron algún medicamento y/o sustancias durante la gestación; seis de ellas Misoprostol (40%). Las otras sustancias utilizadas incluyeron: alternativas, cigarrillo, alcohol, ibuprofeno, anticonceptivos, otros. Como anomalías del periodo prenatal se reportaron sangrado activo y/o amenaza de aborto, infección, exposición a químicos ambientales y enfermedad materna activa. Las condiciones paternas descritas fueron alcoholismo y/o drogadicción, enfermedad y edad ≥ 40 años en bajo porcentaje. Conclusión: El síndrome de Möbius y Möbius Like es una patología poco frecuente de la cual aún se debe seguir investigando sobre su etiología, para plantear posibles medidas de prevención.
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Previous anthropological investigations at Trentholme Drive, in Roman York identified an unusual amount of cranial variation amongst the inhabitants, with some individuals suggested as having originated from the Middle East or North Africa. The current study investigates the validity of this assessment using modern anthropological methods to assess cranial variation in two groups: The Railway and Trentholme Drive. Strontium and oxygen isotope evidence derived from the dentition of 43 of these individuals was combined with the craniometric data to provide information on possible levels of migration and the range of homelands that may be represented. The results of the craniometric analysis indicated that the majority of the York population had European origins, but that 11% of the Trentholme Drive and 12% of The Railway study samples were likely of African decent. Oxygen analysis identified four incomers, three from areas warmer than the UK and one from a cooler or more continental climate. Although based on a relatively small sample of the overall population at York, this multidisciplinary approach made it possible to identify incomers, both men and women, from across the Empire. Evidence for possible second generation migrants was also suggested. The results confirm the presence of a heterogeneous population resident in York and highlight the diversity, rather than the uniformity, of the population in Roman Britain. Am J Phys Anthropol 140:546-561, 2009. (C) 2009 Wiley-Liss, Inc
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The vertebrate cranial sensory placodes are ectodermal embryonic patches that give rise to sensory receptor cells of the peripheral paired sense organs and to neurons in the cranial sensory ganglia. Their differentiation and the genetic pathways that underlay their development are now well understood. Their evolutionary history, however, has remained obscure. Recent molecular work, performed on close relatives of the vertebrates, demonstrated that some sensory placodes (namely the adenohypophysis, the olfactory, and accoustico-lateralis placodes) first evolved at the base of the chordate lineage, while others might be specific to vertebrates. Combined with morphological and cellular fate data, these results also suggest that the sensory placodes of the ancestor of all chordates differentiated into a wide range of structures, most likely to fit the lifestyle and environment of each species.
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Cranial sensory placodes are focused areas of the head ectoderm of vertebrates that contribute to the development of the cranial sense organs and their associated ganglia. Placodes have long been considered a key character of vertebrates, and their evolution is proposed to have been essential for the evolution of an active predatory lifestyle by early vertebrates. Despite their importance for understanding vertebrate origins, the evolutionary origin of placodes has remained obscure. Here, we use a panel of molecular markers from the Six, Eya, Pax, Dach, FoxI, COE and POUIV gene families to examine the tunicate Ciona intestinalis for evidence of structures homologous to vertebrate placodes. Our results identify two domains of Ciona ectoderm that are marked by the genetic cascade that regulates vertebrate placode formation. The first is just anterior to the brain, and we suggest this territory is equivalent to the olfactoty/adenohypophyseal placodes of vertebrates. The second is a bilateral domain adjacent to the posterior brain and includes cells fated to form the atrium and atrial siphon of adult Ciona. We show this bares most similarity to placodes fated to form the vertebrate acoustico-lateralis system. We interpret these data as support for the hypothesis that sensory placodes did not arise de novo in vertebrates, but evolved froth pre-existing specialised areas of ectoderm that contributed to sensory organs in the common ancestor of vertebrate and tunicates. Published by Elsevier Inc.
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In vertebrates, body musculature originates from somites, whereas head muscles originate from the cranial mesoderm. Neck muscles are located in the transition between these regions. We show that the chick occipital lateral plate mesoderm has myogenic capacity and gives rise to large muscles located in the neck and thorax. We present molecular and genetic evidence to show that these muscles not only have a unique origin, but additionally display a distinct temporal development, forming later than any other muscle group described to date. We further report that these muscles, found in the body of the animal, develop like head musculature rather than deploying the programme used by the trunk muscles. Using mouse genetics we reveal that these muscles are formed in trunk muscle mutants but are absent in head muscle mutants. In concordance with this conclusion, their connective tissue is neural crest in origin. Finally, we provide evidence that the mechanism by which these neck muscles develop is conserved in vertebrates.
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To investigate the neural network of overt speech production, eventrelated fMRI was performed in 9 young healthy adult volunteers. A clustered image acquisition technique was chosen to minimize speechrelated movement artifacts. Functional images were acquired during the production of oral movements and of speech of increasing complexity (isolated vowel as well as monosyllabic and trisyllabic utterances). This imaging technique and behavioral task enabled depiction of the articulo-phonologic network of speech production from the supplementary motor area at the cranial end to the red nucleus at the caudal end. Speaking a single vowel and performing simple oral movements involved very similar activation of the corticaland subcortical motor systems. More complex, polysyllabic utterances were associated with additional activation in the bilateral cerebellum,reflecting increased demand on speech motor control, and additional activation in the bilateral temporal cortex, reflecting the stronger involvement of phonologic processing.
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In vertebrates, body musculature originates from somites, whereas head muscles originate from the cranial mesoderm. Neck muscles are located in the transition between these regions. We show that the chick occipital lateral plate mesoderm has myogenic capacity and gives rise to large muscles located in the neck and thorax. We present molecular and genetic evidence to show that these muscles not only have a unique origin, but additionally display a distinct temporal development, forming later than any other muscle group described to date. We further report that these muscles, found in the body of the animal, develop like head musculature rather than deploying the programme used by the trunk muscles. Using mouse genetics we reveal that these muscles are formed in trunk muscle mutants but are absent in head muscle mutants. In concordance with this conclusion, their connective tissue is neural crest in origin. Finally, we provide evidence that the mechanism by which these neck muscles develop is conserved in vertebrates.