992 resultados para Woolf, Virginia, 1882-1941


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A transcript of the Condition of the State of Iowa speech by Governor Wilson delivered at the State Capitol.

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This is the Inaugural Address of Governor to the General Assembly.

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Per Maria-Mercè Marçal, la poeta no es pot trobar, no es pot veure, en el «mirall del bell», que sempre han fomentat els discursos dominants. El seu és una altra mena de mirall trencat que reflecteix un ésser complex, híbrid i contaminat que lluita «entre un jo que es vol fer i els múltiples personatges que, des del mirall, li retornen una imatge múltiple». En aquest article, per explorar el tema de l’imaginari femení i el llenguatge poètic, hem escollit dialogar amb Maria- Mercè Marçal i examinar tres dels múltiples bocins que conformen la seva imatge en el mirall. Conversem amb dues mares i un pare simbòlics de l’altre cantó del seu espill, tots tres proveïdors de material ideològic i eixos vertebradors dels assaigs marçalians. Es tracta d’intel·lectuals ben diversos: l’escriptora anglesa Virginia Woolf, el filòsof francès Jacques Derrida i la poeta catalana Maria-Antònia Salvà. En definitiva, dividim la investigació en tres apartats, que volen coincidir amb el diàleg que Marçal suposem que hi mantingué. De primer, amb Virginia Woolf, explorem la necessitat de la poeta de descobrir el sentiment de «fúria» que porta a dins per tal d’assumir la irracionalitat del seu llenguatge. Després, ens endinsem en les teories derridianes sobre la dona i l’escriptura, en un intent de demostrar que ambdues són espècies híbrides que viuen en el llindar, en un espai d’entremig. A l’últim, amb Maria-Antònia Salvà, revisem la imatge de la dona-monstre amb la certesa que «el salvatge» i «l’incert » són el motor del llenguatge poètic femení.

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Se plaint des fausses informations dont les journaux se font l'écho et souhaite que "Le Ménestrel" rectifie les erreurs qu'il colporte au sujet de MM. Villaret et Maurel, de Gabrielle Krauss et des opéras "Françoise de Rimini" et "Henri VIII"

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2 février : Lui adresse son poème "Hommage à Auber" composé plusieurs strophes avec hendécasyllabes et lui explique qu'il a voulu "louer toutes les qualités distinctives du génie français : la clarté , la précision, le respect de la forme, l'inspiration mélodique, le goût sans lequel il n'y a pas de proportion. Et qui osera dire que c'est là une attaque contre Halévy, Thomas, Gounod, Massé, reyer et tant d'autres de mes illustres et chers collaborateurs, sans parler des musiciens étrangers qui, comme Meyerbeer, ont conquis leurs lettres de naturalisation en faisant de la musique vraiment française"?. - 3 février : Lui demande de publier "ne varietur" son poème à Auber accompagné de sa lettre "profession de foi" du 2 février. - 12 février : lui demande une avance et un premier paiement de "Françoise de Rimini" sans attendre la première représentation. - 8 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini". Débat avec Heugel sur certaines modifications du texte : "c'est ingénieux, mais cela détruirait certainement l'équilibre du second acte qui marche admirablement dans sa forme actuelle". - 20 avril : Au sujet de "Françoise de Rimini" et du refus de Lassalle de chanter son grand air : "On croit gagner beaucoup à avoir de pareils interprètes et l'on ne s'aperçoit que trop tard quel préjudice énorme portent à un ouvrage ces personnalités encombrantes." Défend son travail de librettiste : "Est-ce que le livret n'a pas été aussi longuement médité, fouillé, retourné que la partition même?". - 24 avril 1882 : Au sujet de "Françoise de Rimini" dont le succès n'a pas été au rendez-vous le soir de la première. Ne voit pas l'opportunité de modifier le livret : "Vous avez pu voir depuis quelques mois combien je suis accessible à toutes les idées et avec quelle sincérité je cherche à les mettre en œuvre, tant qu'on est dans la période de la gestation, mais après que l'enfant est venu au monde, j'éprouve comme une immense lassitude qui me rend incapable de le recommencer sur [de] nouveaux frais. Aussi bien ne le trouvè-je ni tordu ni bossu, et ce ne sont pas les critiques inconsistantes ou de mauvaises foi qui me feront changer d'avis". - 13 septembre 1882 : Réagit à la mort du compositeur Edmond Membrée : "Quel coup affreux et imprévu! J'en suis plus frappé que je ne puis vous dire. Il y avait tant d'énergie et d'espérances dans ce pauvre grand artiste atteint par la mort avant de l'être par la vieillesse". - 26 octobre : Au sujet de la question des droits d'auteur : souhaite obtenir 250 francs par représentation. Lettre cosignée d'Ambroise Thomas.