212 resultados para Wedding


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In 1917 the Coventry Evening Telegraph noted that the problems of ‘surplus garden produce’ had arisen and that ‘smallholders were being encouraged to group together in order to bring their supplies in quantity to market. Women’s Institutes have been formed, and these arrange for the opening of a market for a certain number of hours one day a week’. WIs, which had begun being formed under the auspices of the Agricultural Organisation Society from 1915 could be seen to be one of the earliest examples of Farmers Markets. These rural women were to improve the food supply in wartime when there was a food crisis; shortages, queues, price rises and in 1918 the introduction of rationing. The WIs encouraged food saving and preservation their markets enabled small holders, cottage gardeners and allotment holders to find a financial non- exploitive outlet for their produce. Markets and retail outlets developed in a number of towns or even cities in rural areas: Worcester, Leamington Spa and Lichfield and in post-war Britain depot trading centres were set up in some county towns Maidstone in Kent in 1919, Winchester in 1920. Between them they provided rural women with a retail space initially for their garden produce and then in time for the preserves, baking and craftwork. Jam, cakes, toys, knitted toys and garments even a wedding trousseau were ordered or sold through these retail outlets. The Markets were not restricted to WI members and often sold work produced by small­holders, the disabled and ex-servicemen. Membership required buying at least one share; as they were a co-operative venture there was a limit on the number of shares it was possible to purchase. Sales tables at some monthly WI meeting provided yet another retail outlet for rural women. This paper will explore the significance of these retail opportunities to rural women: as a chance to earn much needed cash, in placing a value on domestic labour and as an indication that when looking at rural women’s lives, in first half of the twentieth century, divisions between being consumers and producers of food and domestic products may be more fluid than it is something assumed.

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Cette thèse a pour objet de comprendre la question du mariage forcé vécu par des femmes immigrantes vivant au Québec et, les réponses politiques, législatives et sociales qu’on y apporte. De façon plus spécifique, il s’agit de mettre à jour la diversité des situations et des significations que recouvre la notion de mariage forcé pour tenter d’en dégager des éléments de définition et de compréhension. La thèse vise également à identifier les conséquences spécifiques qui découlent d’un mariage forcé pour les femmes immigrantes vivant au Québec, et enfin, d’analyser les réponses politiques, législatives et sociales visant le mariage forcé au Canada et au Québec afin de prévenir, dépister et d’en protéger ses victimes en contexte interculturel. S’appuyant sur un corpus de dix entrevues avec des femmes immigrantes vivant, ayant vécu ou menacées d’un mariage forcé et de dix-huit informateurs clés intervenant auprès d’elles et provenant de différents milieux de pratique (police, justice, santé services sociaux et communautaires), une analyse intersectionnelle a permis de révéler toute la complexité des mariages forcés due notamment aux interrelations entre des systèmes d’oppression et des vulnérabilités multiples. La recension des écrits et nos résultats indiquent que certains éléments caractérisent les mariages forcés. Premièrement, la préservation de l’honneur patriarcal qui problématise et contrôle le comportement des femmes en ce qui à trait notamment à leur vie sexuelle, mais aussi sociale. Deuxièmement, le fait que le mariage forcé soit un moyen de poursuivre des intérêts plus souvent collectifs qu’individuels. Dimension collective qui devra nécessairement être prise en considération lors des solutions à apporter à cette problématique. Troisièmement, le rôle des femmes (mères, belles-mères et autres femmes de la communauté culturelle d’appartenance) dans l’arrangement des mariages, mais également dans la surveillance et le contrôle de tous les faits et gestes des autres femmes. i Quatrièmement, le potentiel d’agresseurs multiples, y compris la communauté elle-même, dans les actes de violence commis avant, pendant et, le cas échéant, après le mariage. Une autre dimension qui devra elle aussi être prise en compte lors de l’inter- vention. Cinquièmement, le potentiel d’exploitation sexuelle (viol conjugal, grossesses forcées), physique (mauvais traitements, blessures), psychologique (pressions, manipulations) ou encore économique (travail forcé, privation d’autonomie financière). L’ensemble de ces résultats a permis de cerner certains besoins liés à l’intervention, en terme de prévention, de dépistage et de protection des victimes de mariage forcé.