826 resultados para Unit Ball
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State Agency Audit Report
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The prevalence of delirium in the Intensive Care Unit (ICU) is reported to vary from 20 to 80 %. Delirium in the ICU is not only a frightening experience for the patient and his or her family, it is also a challenge for the nurses and physicians taking care of the patient. Furthermore, it is also associated with worse outcome, prolonged hospitalisation, increased costs, long-term cognitive impairment and higher mortality rates. Thus, strategies to prevent ICU-delirium in addition to the early diagnosis and treatment of delirium are important. The pathophysiology of delirium is still incompletely understood, but numerous risk factors for the development of delirium have been identified in ICU-patients, among which are potentially modifiable factors such as metabolic disturbances, hypotension, anaemia, fever and infection. Key factors are the prevention and management of common risk factors, including avoiding overzealous sedation and analgesia and creating an environment that enhances reintegration. Once delirium is diagnosed, treatment consists of the use of typical and atypical antipsychotics. Haloperidol is still the drug of choice for the treatment of delirium and can be given intravenously in incremental doses of 1 to 2 to 5 (to 10) mg every 15 - 20 minutes.
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State Agency Audit Report
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BACKGROUND: Antipyresis is a common clinical practice in intensive care, although it is unknown if fever is harmful, beneficial, or a negligible adverse effect of infection and inflammation. METHODS: In a randomized study, rectal temperature and discomfort were assessed in 38 surgical intensive care unit patients without neurotrauma or severe hypoxemia and with fever (temperature >/=38.5 degrees C) and systemic inflammatory response syndrome. Eighteen patients received external cooling while 20 received no antipyretic treatment. RESULTS: Temperature and discomfort decreased similarly in both groups after 24 hours. No significant differences in recurrence of fever, incidence of infection, antibiotic therapy, intensive care unit and hospital length of stay, or mortality were noted between the groups. CONCLUSIONS: These results suggest that the systematic suppression of fever may not be useful in patients without severe cranial trauma or significant hypoxemia. Letting fever take its natural course does not seem to harm patients with systemic inflammatory response syndrome or influence the discomfort level and may save costs.
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En Suisse, un peu moins de 5 % de la population se déclarent musulmans. Originaires pour la majeure partie des grandes vagues migratoires de la fin du XXe siècle, les musulmans helvétiques sont le plus souvent identifiés individuellement. Ce livre présente la réalité institutionnelle et peu connue de l'islam en Suisse à partir de plusieurs enquêtes menées sur la manière dont il s'organise. Sa présence est très diversifiée selon les contextes cantonaux différents et les origines culturelles bien contrastées d'un musulman des Balkans, du Maghreb ou de la Turquie. Ces recherches menées par des sociologues et des politologues dessinent une mosaïque qui montre à partir de l'islam pratiquant et confessant qu'il ne peut être réduit aux formes conservatrices et violentes que certains considèrent comme la traduction obligée de toute posture musulmane. Cet ouvrage propose un portrait contrasté de l'islam en Suisse avec, d'une part, des ensembles qui tentent d'organiser légitimement leur culte et de maintenir leur héritage religieux et, d'autre part, des défis déterminants à relever pour l'intégration des fidèles, comme les liens avec le pays d'origine, l'indépendance financière des mosquées ou les questions relatives aux revendications religieuses ou culturelles de l'identité musulmane. A partir de la réalité musulmane, ce livre expose toute l'ambiguïté de nos sociétés « tolérantes » et « ouvertes », mais démunies et contradictoires face à l'émergence récente de la pluralité religieuse.
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State Agency Audit Report
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AIMS: Adolescent mental health problems require treatment and care that are adapted to their needs. To evaluate this issue, it was decided to implement a multidimensional instrument focused on a global approach to adolescent social and behavioural functioning, combined with the ICD-10 classification. METHODS: The combination of an assessment interview and a classification tool enabled the method to integrate the measurement of several domains of patient-based outcome rather than focus on the measurement of symptoms. A group of 68 adolescents from an inpatient unit were compared with 67 adolescents from the general population. RESULTS: Results suggest that adolescents from the care unit adopt significantly riskier behaviour compared with adolescents from the control group. As expected, the main problems identified refer to the psychological and familial areas. A cluster analysis was performed and provided three different profiles: a group with externalizing disorders and two groups with internalizing disorders. On the basis of a structured interview it was possible to obtain information in a systematic way about the adolescents' trajectory (delinquency, physical and sexual abuse, psychoactive substance use). CONCLUSION: It was shown that treatment and care should not focus exclusively on mental health symptoms, but also upon physical, psychological and social aspects of the adolescent. A global approach helps in the consideration of the multitude of factors which must be taken into account when working with people with serious mental health problems and may help to turn the care unit's activity more specifically towards the needs of these adolescents.
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One of the strategies of Universitat Pompeu Fabra to support Quality Learning has been the creation of Units for the Support of Teaching Quality and Innovation within each faculty. In the seminar we will present the role and activities of the Polytechnic School Unit in charge or coordinating the efforts towards quality learning in the Information and Communication Technologies (ICT) Engineering Studies. We will also discuss how these activities are informed to relevant academic stakeholders.
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Contexte: Impression clinique que l'Etat de Stress Post-traumatique (ESPT) est sous-diagnostiqué dans la prise en charge des patients qui sont évalués dans le cadre d'une urgence psychiatrique. Objectifs: (i) identifier la prévalence de l'ESPT dans une unité d'urgence psychiatrique au moyen d'un instrument diagnostic et la comparer avec le diagnostic clinique retenu dans un échantillon historique (ii) évaluer la perception des cliniciens quant à l'utilisation systématique d'un instrument diagnostic Méthodes: la prévalence de l'ESPT a été évaluée chez des patients consécutifs (N = 403) qui ont bénéficié d'une consultation par des psychiatres de l'Unité urgence-crise du Service de Psychiatrie de Liaison (PLI) du CHUV, en utilisant le module J du Mini Mental Neuropsychologic Interview (MINI 5.0.0, version CIM-10). Ce résultat a été comparé avec la prévalence de l'ESPT mentionné comme diagnostic dans les dossiers (N = 350) d'un échantillon historique. La perception des médecins-assistants de psychiatrie quant au dépistage systématique de l'ESPT avec un instrument a été étudiée en se basant sur la conduite d'un focus group d'assistants travaillant dans l'Unité urgence-crise du PLI. Résultats: Parmi les patients (N = 316) évalués à l'aide de l'instrument diagnostic, 20,3% (n = 64) réunissaient les critères de l'ESPT. Cela constitue un taux de prévalence significativement plus élevé que la prévalence d'ESPT documentée dans les dossiers de l'échantillon historique (0,57%). Par ailleurs, la prévalence de l'ESPT est significativement plus élevée parmi les groupes socio- économiques précarisés, tels que réfugiés et sans papiers (50%), patients venant d'un pays à histoire de guerre récente (47,1%), patients avec quatre (44,4%) ou trois comorbidités psychiatriques (35,3%), migrants (29,8%) et patients sans revenus professionnels (25%). Le focus groupe composé de 8 médecins-assistants a révélé que l'utilisation systématique d'un outil- diagnostic ne convenait pas dans le setting d'urgence psychiatrique, notamment parce que l'instrument a été considéré comme non adapté à une première consultation ou jugé avoir un impact négatif sur l'entretien clinique. Toutefois, après la fin de l'étude, les médecins-assistants estimaient qu'il était important de rechercher activement l'ESPT et continuaient à intégrer les éléments principaux du questionnaire dans leur travail clinique. Conclusion et perspectives: cette étude confirme que l'ESPT est largement sous-diagnostiqué dans le contexte des urgences psychiatriques, mais que l'usage systématique d'un outil diagnostic dans ce cadre ne satisfait pas les praticiens concernés. Pour améliorer la situation et au vu du fait qu'un instrument diagnostic est considéré comme non-adapté dans ce setting, il serait peut-être bénéfique d'envisager un dépistage ciblé et/ou de mettre en place une stratégie de formation institutionnelle.
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State Audit Reports