754 resultados para Metabolic syndrome (MetS)


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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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La découverte du système des peptides natriurétiques (NP), au début des années 80, fut une découverte majeure qui révéla le rôle endocrinien du cœur. Les connaissances sur la relaxation vasculaire, la diurèse et la natriurèse provoquées par ce système ont évolué vers un niveau de complexité insoupçonné à cette époque. Nous savons à présent que les NP sont impliqués dans plusieurs autres mécanismes dont la prolifération cellulaire, l’apoptose, l’inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone (RAAS) et le métabolisme des adipocytes. Le métabolisme des lipides est maintenant devenu une cible de choix dans la lutte contre l’obésité. Cette condition aux proportions pandémiques est un facteur de risque majeur dans l’apparition de l’hypertension et du syndrome métabolique (MetS). La compréhension des mécanismes et des défauts de la voie des NP pourrait avoir un impact positif sur le contrôle du MetS et de l’hypertension. L’expression du récepteur des peptides natriuretiques de type 1 (NPR1/GCA) est contrôlée par plusieurs agents incluant son propre ligand, le peptide natriurétique de l’oreillette (ANP). La découverte d’une boucle de retro-inhibition, dans les années 90, a été un événement majeur dans le domaine des NP. En effet, suite à une stimulation à l’ANP, le NPR1/GCA peut inhiber l’activité transcriptionnelle de son propre gène par un mécanisme dépendant du cGMP. Notre groupe a identifié un élément cis-régulateur responsable de cette sensibilité au cGMP et mon projet consistait à identifier la ou les protéine(s) liant cet élément de réponse au cGMP (cGMP-RE). Nous avons identifié un clone liant le cGMP-RE en utilisant la technique du simple hybride chez la levure et une banque d’ADN complémentaire (ADNc) de rein humain. Ce clone provient d’un ADNc de 1083-bp dont le gène est localisé sur le chromosome 1 humain (1p33.36) et codant pour une protéine dont la fonction était inconnue jusqu’ici. Nous avons nommé cette nouvelle protéine GREBP en raison de sa fonction de cGMP Response Element Binding Protein. Des essais de liaison à l’ADN ont montré que cette protéine possède une affinité 18 fois plus élevée pour le cGMP-RE que le contrôle, tandis que des expériences de retard sur gel (EMSA) ont confirmé la spécificité des interactions protéine-ADN. De plus, l’immuno-précipitation de la chromatine (ChIP) a prouvé que GREBP lie le cGMP-RE dans des conditions physiologiques. La liaison de GREBP au cGMP-RE inhibe l’expression du gène rapporteur luciférase sous contrôle du promoteur de npr1/gca. L’inhibition de GREBP à l’aide d’ARN interférant active le promoteur de npr1/gca. Dans les cellules NCI-H295R, l’ANP stimule l’expression de grebp de 60% après seulement 3 heures et inhibe l’expression de npr1/gca de 30%. GREBP est une protéine nucléaire surtout exprimée dans le cœur et ayant le facteur eIF3F comme partenaire. Les variations nucléotidiques du gène sont plus fréquentes chez les patients hypertendus que chez des patients normotendus ou hypertendus souffrant de MetS. Nous rapportons ici l’existence d’un gène spécifique à l’humain qui agit comme répresseur transcriptionnel de npr1/gca et potentiellement impliqué dans le développement de l’hypertension.

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Les objectifs de l’étude de l’évolution du risque cardiométabolique (RCM) sur une période de quatre ans (2006-2010) chez des adultes béninois consistaient à: • Examiner les relations entre l’obésité abdominale selon les critères de la Fédération Internationale du Diabète (IFD) ou l’insulino-résistance mesurée par le Homeostasis Model Assessment (HOMA) et l’évolution des autres facteurs de RCM, • Examiner les liens entre les habitudes alimentaires, l’activité physique et les conditions socio-économiques et l’évolution du RCM évalué conjointement par le score de risque de maladies cardiovasculaires de Framingham (FRS) et le syndrome métabolique (SMet). Les hypothèses de recherche étaient: • L’obésité abdominale telle que définie par les critères de l’IDF est faiblement associée à une évolution défavorable des autres facteurs de RCM, alors que l’insulino-résistance mesurée par le HOMA lui est fortement associée; • Un niveau socioéconomique moyen, un cadre de vie peu urbanisé (rural ou semi-urbain), de meilleures habitudes alimentaires (score élevé de consommation d’aliments protecteurs contre le RCM) et l’activité physique contribuent à une évolution plus favorable du RCM. L’étude a inclus 541 sujets âgés de 25 à 60 ans, apparemment en bonne santé, aléatoirement sélectionnés dans la plus grande ville (n = 200), une petite ville (n = 171) et sa périphérie rurale (n = 170). Après les études de base, les sujets ont été suivis après deux et quatre ans. Les apports alimentaires et l’activité physique ont été cernés par deux ou trois rappels de 24 heures dans les études de base puis par des questionnaires de fréquence simplifiés lors des suivis. Les données sur les conditions socioéconomiques, la consommation d’alcool et le tabagisme ont été recueillies par questionnaire. Des mesures anthropométriques et la tension artérielle ont été prises. La glycémie à jeun, l’insulinémie et les lipides sanguins ont été mesurés. Un score de fréquence de consommation d’« aliments sentinelles » a été développé et utilisé. Un total de 416 sujets ont participé au dernier suivi. La prévalence initiale du SMet et du FRS≥10% était de 8,7% et 7,2%, respectivement. L’incidence du SMet et d’un FRS≥10% sur quatre ans était de 8,2% et 5%, respectivement. Le RCM s’était détérioré chez 21% des sujets. L’obésité abdominale définie par les valeurs seuils de tour de taille de l’IDF était associée à un risque plus élevé d’insulino-résistance: risque relatif (RR) = 5,7 (IC 95% : 2,8-11,5); d’un ratio cholestérol total/HDL-Cholestérol élevé: RR = 3,4 (IC 95% : 1,5-7,3); mais elle n’était pas associée à un risque significativement accru de tension artérielle élevée ou de triglycérides élevés. Les valeurs seuils de tour de taille optimales pour l’identification des sujets accusant au moins un facteur de risque du SMet étaient de 90 cm chez les femmes et de 80 cm chez les hommes. L’insulino-résistance mesurée par le HOMA était associée à un risque élevé d’hyperglycémie: RR = 5,7 (IC 95% : 2,8-11,5). En revanche, l’insulino-résistance n’était pas associée à un risque significatif de tension artérielle élevée et de triglycérides élevés. La combinaison de SMet et du FRS pour l’évaluation du RCM identifiait davantage de sujets à risque que l’utilisation de l’un ou l’autre outil isolément. Le risque de détérioration du profil de RCM était associé à un faible score de consommation des «aliments sentinelles» qui reflètent le caractère protecteur de l’alimentation (viande rouge, volaille, lait, œufs et légumes): RR = 5,6 (IC 95%: 1,9-16,1); et à l’inactivité physique: RR = 6,3 (IC 95%: 3,0-13,4). Les sujets de niveau socioéconomique faible et moyen, et ceux du milieu rural et semi-urbain avaient un moindre risque d’aggravation du RCM. L’étude a montré que les relations entre les facteurs de RCM présentaient des particularités chez les adultes béninois par rapport aux Caucasiens et a souligné le besoin de reconsidérer les composantes du SMet ainsi que leurs valeurs seuils pour les Africains sub-sahariens. La détérioration rapide du RCM nécessité des mesures préventives basées sur la promotion d’un mode de vie plus actif associé à de meilleures habitudes alimentaires.

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The prevalence of the metabolic syndrome (MetS), CVD and type 2 diabetes (T2D) is known to be higher in populations from the Indian subcontinent compared with the general UK population. While identification of this increased risk is crucial to allow for effective treatment, there is controversy over the applicability of diagnostic criteria, and particularly measures of adiposity in ethnic minorities. Diagnostic cut-offs for BMI and waist circumference have been largely derived from predominantly white Caucasian populations and, therefore, have been inappropriate and not transferable to Asian groups. Many Asian populations, particularly South Asians, have a higher total and central adiposity for a similar body weight compared with matched Caucasians and greater CVD risk associated with a lower BMI. Although the causes of CVD and T2D are multi-factorial, diet is thought to make a substantial contribution to the development of these diseases. Low dietary intakes and tissue levels of long-chain (LC) n-3 PUFA in South Asian populations have been linked to high-risk abnormalities in the MetS. Conversely, increasing the dietary intake of LC n-3 PUFA in South Asians has proved an effective strategy for correcting such abnormalities as dyslipidaemia in the MetS. Appropriate diagnostic criteria that include a modified definition of adiposity must be in place to facilitate the early detection and thus targeted treatment of increased risk in ethnic minorities.

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Subjects with the metabolic syndrome (MetS) have enhanced oxidative stress and inflammation. Dietary fat quality has been proposed to be implicated in these conditions. We investigated the impact of four diets distinct in fat quantity and quality on 8-iso-PGF2α (a major F2-isoprostane and oxidative stress indicator), 15-keto-13,14-dihydro-PGF2α (15-keto-dihydro-PGF2α, a major PGF2α metabolite and marker of cyclooxygenase-mediated inflammation) and C-reactive protein (CRP). In a 12-week parallel multicentre dietary intervention study (LIPGENE), 417 volunteers with the MetS were randomly assigned to one of the four diets: two high-fat diets (38 % energy (%E)) rich in SFA or MUFA and two low-fat high-complex carbohydrate diets (28 %E) with (LFHCC n-3) or without (LFHCC) 1·24 g/d of very long chain n-3 fatty acid supplementation. Urinary levels of 8-iso-PGF2α and 15-keto-dihydro-PGF2α were determined by RIA and adjusted for urinary creatinine levels. Serum concentration of CRP was measured by ELISA. Neither concentrations of 8-iso-PGF2α and 15-keto-dihydro-PGF2α nor those of CRP differed between diet groups at baseline (P>0·07) or at the end of the study (P>0·44). Also, no differences in changes of the markers were observed between the diet groups (8-iso-PGF2α, P = 0·83; 15-keto-dihydro-PGF2α, P = 0·45; and CRP, P = 0·97). In conclusion, a 12-week dietary fat modification did not affect the investigated markers of oxidative stress and inflammation among subjects with the MetS in the LIPGENE study.

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Objective Omega-3 polyunsaturated fatty acids (n-3 PUFA) may protect against the development of cardiovascular disease (CVD). Genotype at key genes such as nitric oxide synthase (NOS3) may determine responsiveness to fatty acids. Gene–nutrient interactions may be important in modulating the development of CVD, particularly in high-risk individuals with the metabolic syndrome (MetS). Methods Biomarkers of CVD risk, plasma fatty acid composition, and NOS3 single nucleotide polymorphism (SNP) genotype (rs11771443, rs1800783, rs1800779, rs1799983, rs3918227, and rs743507) were determined in 450 individuals with the MetS from the LIPGENE dietary intervention cohort. The effect of dietary fat modification for 12 weeks on metabolic indices of the MetS was determined to understand potential NOS3 gene–nutrient interactions. Results Several markers of inflammation and dyslipidaemia were significantly different between the genotype groups. A significant gene–nutrient interaction was observed between the NOS3 rs1799983 SNP and plasma n-3 PUFA status on plasma triacylglycerol (TAG) concentrations. Minor allele carriers (AC + AA) showed an inverse association with significantly higher plasma TAG concentrations in those with low plasma n-3 PUFA status and vice versa but the major allele homozygotes (CC) did not. Following n-3 PUFA supplementation, plasma TAG concentrations of minor allele carriers of rs1799983 were considerably more responsive to changes in plasma n-3 PUFA, than major allele homozygotes. Conclusions Carriers of the minor allele at rs1799983 in NOS3 have plasma TAG concentrations which are more responsive to n-3 PUFA. This suggests that these individuals might show greater beneficial effects of n-3 PUFA consumption to reduce plasma TAG concentrations.

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The metabolic syndrome (MetS) involves a group of risk factors and is associated with a significantly higher risk of developing cardiovascular diseases (CVD) and type 2 diabetes. Recent studies have shown the importance of preventing CVD through early diagnosis and treatment of patients with MetS. The objective of our study was to determine the prevalence of MetS by different diagnostic criteria in postmenopausal women and analyze the influence of socioeconomic factors on cardiovascular risk in this sample of the population. A cross-sectional study involving 127 postmenopausal women (45 to 64 years) from Natal and Mossoró, Brazil. The study was approved by the Research Ethics Committee of the Federal University of Rio Grande do Norte. The experimental protocol consisted of applying structured interview, clinical examination and implementation of dosages blood. The diagnosis of MetS was based on NCEP-ATP III (National Cholesterol Education Program-Adult Treatment Panel III) and IDF (International Diabetes Federation) criteria. The research was accomplished with the participation of an interdisciplinary team in their several phases. The result of the sample studied had mean age of 53.9 ± 4.6 years and per capita income of 54.5 dollars. The prevalence of MetS, according to NCEP-ATP III and IDF criteria, was 52.8% and 61.4$, respectively. The agreement rate between NCEP-ATP III and IDF criteria was 81.9%, with a kappa value of 0.63 (CI 95%, 0.49-0.76), indicating good agreement between the two definitions. The most prevalent cardiovascular risk factor was HDL < 50 mg/dl, observed in 96.1% of the women analyzed, followed by increased waist circumference (≥ 80 cm) in 78.0%, elevated blood pressure in 51.2%, triglycerides ≥ 150 mg/dl in 40.9% and glycemia ≥ 100 mg/dl in 37.0% of the women. The occurrence of MetS was significantly associated with schooling and body mass index (BMI). High blood pressure was significantly associated with low family income, low schooling and weight gain. There was no significant association between the intensity of climacteric symptomatology and the occurrence of MetS. The conclusions of the research were that MetS and its individual components show a high prevalence in postmenopausal Brazilian women, and significant associations with weight gain and low socioeconomic indicators. The data point to the need for an interdisciplinary approach at the basic health care level, directed toward the early identification of risk factors and the promotion of cardiovascular health of climacteric women.

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PURPOSE: To assess the occurrence of metabolic syndrome (MetS) in postmenopausal breast cancer survivors. METHODS: A total of 158 breast cancer survivors were included in this cross-sectional study. Eligibility criteria were: women with amenorrhea >12 months and age ≥45 years, treated for breast cancer and no metastasis for at least five years. Clinical history and anthropometric indicator data (body mass index (BMI), and waist circumference, (WC) were collected. Biochemical parameters, including total cholesterol, HDL, LDL, triglycerides (TG), glucose and C-reactive protein (CRP), were measured. MetS was diagnosed as the presence of at least three of the following diagnostic criteria: WC>88 cm, blood pressure≥130/85 mmHg, triglycerides≥150 mg/dl, HDL <50 mg/dL,and glucose≥100 mg/dL. The Student's t-test and χ 2 test were used for statistical analysis. RESULTS: The mean age of breast cancer survivors was 63.1±8.6 years, with a mean follow-up of 9.1±4.0 years. MetS was diagnosed in 48.1% (76/158) and the most prevalent diagnostic criterion was abdominal obesity (WC>88 cm), affecting 54.4% (86/158) of the women. The patients without MetS had a longer follow-up compared those with MetS (p<0.05). Regarding the current BMI, PN average, those without MetS were overweight, and those with MetS were obese (p<0.05). Among the latter, comparison of BMI at the time of cancer diagnosis and current BMI (27.8±5.4 versus 33.4±5.4 kg/m2) showed a significant weight gain (p<0.05). Mean CRP values were higher in women with MetS (p<0.05). In the comparison of tumor characteristics and cancer treatments there was no difference between groups (p>0.05). CONCLUSION: Postmenopausal breast cancer survivors had a higher risk of developing metabolic syndrome and central obesity.

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Objective: To compare estimation of cardiovascular risk using the Framinghan Risk Score (FRS) and the presence of the metabolic syndrome (MetS) in postmenopausal women to prevent primary cardiovascular disease (CVD). Methods: This cross-sectional study included 497 Brazilian women (aged 45 years and amenorrhea >12months). Cardiovascular risk was calculated using the FRS that includes age, total cholesterol, HDL, systolic blood pressure and smoking status. Women showing three or more of the following criteria were diagnosed with MetS: waist circumference (WC) >88cm, blood pressure 130/85mmHg, triglycerides 150mg/dl, HDL<50mg/dl and glucose 100mg/dl. For statistical analysis, the Chi-square, Fisher's exact, and logistic regression (odds ratio-OR) were used. Results: The mean age was 55.3±7.0 years and time since menopause 7.2±5.9 years. Based on FRS, 72.4% of women were classified as low-risk, 16.5% moderate risk and 11.1% a high-risk. MetS was identified in 40% of the women, and 46.2% were considered of moderate risk for CVD, while 84.9% of those without MetS were classified as low-risk (p<0.001). The risk for CVD increased significantly with age at menopause (OR1.10; 95% CI, 1.04-1.17), time since menopause (OR1.13; 95% CI, 1.08-1.18), elevated triglycerides (OR1.03; 95% CI, 1.0-1.10) and presence of MetS (OR1.72; 95% CI 1.48-1.84). Conclusions: By using only FRS to estimate cardiovascular risk, a substantial number of postmenopausal women showing evidence of MetS were not identified, even though women with MetS are at higher risk of CVD. © 2013 Informa UK Ltd.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Pós-graduação em Ginecologia, Obstetrícia e Mastologia - FMB

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Pós-graduação em Ginecologia, Obstetrícia e Mastologia - FMB

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Pós-graduação em Ginecologia, Obstetrícia e Mastologia - FMB