744 resultados para Geriatric Depression Scale (GDS-30)


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BACKGROUND: No previous studies have explored how closely women follow their psychotropic drug regimens during pregnancy. This study aimed to explore patterns of and factors associated with low adherence to psychotropic medication during pregnancy. METHODS: Multinational web-based study was performed in 18 countries in Europe, North America, and Australia. Uniform data collection was ensured via an electronic questionnaire. Pregnant women were eligible to participate. Adherence was measured via the 8-item Morisky Medication Adherence Scale (MMAS-8). The Beliefs about Prescribed Medicines Questionnaire (BMQ-specific), the Edinburgh Postnatal Depression Scale (EPDS), and a numeric rating scale were utilized to measure women's beliefs, depressive symptoms, and antidepressant risk perception, respectively. Participants reporting use of psychotropic medication during pregnancy (n = 160) were included in the analysis. RESULTS: On the basis of the MMAS-8, 78 of 160 women (48.8%, 95% CI: 41.1-56.4%) demonstrated low adherence during pregnancy. The rates of low adherence were 51.3% for medication for anxiety, 47.2% for depression, and 42.9% for other psychiatric disorders. Smoking during pregnancy, elevated antidepressant risk perception (risk≥6), and depressive symptoms were associated with a significant 3.9-, 2.3-, and 2.5-fold increased likelihood of low medication adherence, respectively. Women on psychotropic polytherapy were less likely to demonstrate low adherence. The belief that the benefit of pharmacotherapy outweighed the risks positively correlated (r = .282) with higher medication adherence. CONCLUSIONS: Approximately one of two pregnant women using psychotropic medication demonstrated low adherence in pregnancy. Life-style factors, risk perception, depressive symptoms, and individual beliefs are important factors related to adherence to psychotropic medication in pregnancy.

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This study tested a model which predicted the relationship between underemployment and depressive affect as moderated by coping styles. A randomly selected community sample of 574 young adults completed a self-report employment status measure, the Underemployment Scale, the Center for Epidemiological Study Depression Scale, and the Coping^Stralegy Indicator. The interaction model was supported for men only. Results indicated that significant interactions between Perceived Job Requirements Underemployment by avoidance copings and Subjective Underemployment by avoidance coping predicted depressive affect for men. Further, the same results were found even after controlling for prior depressive affect. UsingJhe^ selfreport employment status measure revealed significant group differences between unemployed and underemployed men. Underemployed men who utilized more support seeking coping strategies reported higher depressive affect than unemployed men. The interaction model was not supported for women even though women have consistently reported higher depressive affect rates. These results have implications for underemployment and depressive affect research and practical implications for assisting men who feel subjectively underemployed and need to find an appropriate strategy to cope with the situation.

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The purpose of this study was to investigate the effects of a 12-week FES-ambulation program on locomotor function and quality of life after incomplete spinal cord injury. Six individuals with incomplete SCI participated in the study. Over-ground walking endurance (6MWT), speed (10MWT), independence (WISCI II) and body-weight support were assessed. Quality of life was assessed via the SF-36, WHOQOL-BREF, Perceived Stress Scale, Center of Epidemiological Studies for Depression scale, and task self-efficacy. Participants experienced significant improvements in walking endurance (223.6±141.5m to 297.3±164.5m; p=0.03), body-weight support (55.3±12.6% to 14.7±23.2%; p= 0.005) and four of the six participants showed improvements on the WISCI II scale (1-4 points). In addition, there was a significant reduction in reported bodily pain (6.5±1.2 to 5.0±1.7; p=0.04). Therefore, FES-ambulation is an effective means for enhancing over-ground locomotor function in individuals with incomplete SCI. It may also be an effective method for reducing pain in individuals with SCI.

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Bien que les troubles cognitifs soient un aspect essentiel de la schizophrénie, le dysfonctionnement des systèmes émotionnels y est également considéré comme un élément très important de cette maladie d’autant plus que plusieurs régions du cerveau sont concernées par la régulation émotionnelle. Le principal objectif du présent travail était d’explorer, en imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf), l’effet de la ziprasidone sur les différentes réponses neuronales à l’affichage de stimuli émotionnels au niveau de la région préfrontale,particulièrement dans le cortex cingulaire antérieur [CCA], le cortex orbito-frontal [COF] et le cortex préfrontal dorso-latéral [CPFDL]. Nous avons examiné les activations cérébrales, chez des patients souffrants de schizophrénie avant et après médication à la ziprasidone, en leur présentant des séries d’images émotionnellement chargées (négatives, neutres et positives) associées à différentes instructions quand aux types d’images qu’ils devaient sélectionner (négatives,neutres et positives). Nous avons analysé les différents changements d’activation (avant et après médication) essentiellement pour les valences extrêmes des stimuli (positives et négatives), ensuite nous avons regardé l’effet du type d’instruction sur ces changements. L’échantillon comprenait 13 patients atteints de schizophrénie et 15 témoins sains. Nous avons également effectué une évaluation clinique des symptômes dépressifs, positifs et négatifs de la maladie ainsi que des mesures biochimiques et de poids avant et après 16 semaines de médication. Malgré l’absence de changement significatif sur les mesures cliniques (PANSS et Dépression) avant et après une moyenne de 14.3 semaines de médication à la ziprasidone, plusieurs régions préfrontales (CCA, COF, CPDL) ont sensiblement accru leur réponse aux stimuli positifs par rapport aux stimuli négatifs. En outre, dans les régions habituellement impliquées dans le contrôle cognitif (CCA et CPFDL), cette tendance s'est accentuée lorsque les patients ont été invités à ne sélectionner que les stimuli négatifs (effet du type d’instruction). Nous avons également trouvé plusieurs similitudes dans le fonctionnement préfrontal (à la fois dans le volume et la force d'activation) entre les contrôles sains et les patients après médication en tenant compte du type d’instruction plus que de la valence émotionnelle des images. Pour conclure, les résultats de la présente étude suggèrent que le traitement antipsychotique avec la ziprasidone améliore le fonctionnement cognitif lié au traitement de l'information émotionnelle dans le cortex préfrontal chez les patients souffrant de schizophrénie. Étant donné le mécanisme d'action neuro-pharmacologique de la ziprasidone (plus d'affinité pour la sérotonine que pour les récepteurs de la dopamine dans le cortex préfrontal), nous pensons que nos résultats démontrent que le contrôle cognitif et la régulation des réactions face à des stimuli émotionnellement chargés dans la schizophrénie sont liés à une plus forte concentration de dopamine dans les voies préfrontales.

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Contexte Autant dans une population schizophrène que non schizophrène, l‘abus de substance a pour conséquence la manifestation de symptômes psychiatriques et neurologiques. Dans les présentes études cas-témoins, nous avons examiné les différences initiales ainsi que les changements suite au traitement de 12 semaines à la quetiapine au niveau de la sévérité de la toxicomanie et des symptômes psychiatriques et neurologiques chez 3 groupes distincts. Ces 3 groupes sont: des patients schizophrènes avec une toxicomanie (double diagnostic: DD), des patients schizophrènes sans toxicomanie concomittante (SCZ) et finalement, des toxicomanes non schizophrènes (SUD). Parallèlement, afin de nous aider à interpréter nos résultats, nous avons mené deux revues systématiques: la première regardait l‘effet d‘antipsychotiques dans le traitement de troubles d‘abus/dépendance chez des personnes atteintes ou non de psychoses, la deuxième comparait l‘efficacité de la quetiapine et sa relation dose-réponse parmi différents désordres psychiatriques. Méthodes Pour nos études cas-témoins, l‘ensemble des symptômes psychiatriques et neurologiques ont été évalués via l‘Échelle du syndrome positif et négatif (PANSS), l‘Échelle de dépression de Calgary, l‘Échelle des symptômes extrapyramidaux (ESRS) ainsi qu‘avec l‘Échelle d‘akathisie de Barnes. Résultats À la suite du traitement de 12 semaines avec la quetiapine, les groupes SCZ et DD recevaient des doses de quetiapine significativement plus élevées (moyenne = 554 et 478 mg par jour, respectivement) par rapport au groupe SUD (moyenne = 150 mg par jour). Aussi, nous avons observé chez ces mêmes patients SUD une plus importante baisse du montant d‘argent dépensé par semaine en alcool et autres drogues, ainsi qu‘une nette amélioration de la sévérité de la toxicomanie comparativement aux patients DD. Par conséquent, à la fin de l‘essai de 12 semaines, il n‘y avait pas de différence significative dans l‘argent dépensé en alcool et drogues entre les deux groupes de toxicomanes iv or, les patients DD présentait, comme au point de départ, un score de toxicomanie plus sévère que les SUD. Étonnamment, aux points initial et final de l‘étude, le groupe DD souffrait de plus de symptômes parkinsoniens et de dépression que le groupe SCZ. Par ailleurs, nous avons trouvé qu‘initiallement, les patients SUD présentaient significativement plus d‘akathisie, mais qu‘en cours de traitement, cette akathisie reliée à l‘abus/dépendance de cannabis s‘est nettement améliorée en comparaison aux patients SCZ. Enfin, les patients SUD ont bénéficié d‘une plus grande diminution de leurs symptômes positifs que les 2 groupes atteints de schizophrénie. Conclusions Bref, l‘ensemble de nos résultats fait montre d‘une vulnérabilité accentuée par les effets négatifs de l‘alcool et autres drogues dans une population de patients schizophrènes. Également, ces résultats suggèrent que l‘abus de substance en combinaison avec les états de manque miment certains symptômes retrouvés en schizophrénie. De futures études seront nécessaires afin de déterminer le rôle spécifique qu‘a joué la quetiapine dans ces améliorations.

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Contexte : Environ 20 % des femmes enceintes présentent un risque élevé de dépression prénatale. Les femmes immigrantes présentent des symptômes dépressifs élevés pendant la grossesse, le début de la période suivant l'accouchement et comme mères de jeunes enfants. Tandis que les disparités ethniques dans la symptomatologie dépressive pendant la grossesse ont été décrites, la combinaison de la longueur du séjour dans le pays d’accueil et la région d'origine sont rarement évalués dans des études qui portent sur la santé des immigrants au Canada. En outre, les études auprès des femmes immigrantes enceintes ont souvent un échantillon de taille qui ne suffit pas pour démêler les effets de la région d'origine et de la durée du séjour sur la santé mentale. De plus, au Canada, presque une femme sur cinq est un immigrant, mais leur santé mentale au cours de la grossesse, les niveaux d'exposition aux facteurs de risque reconnus pour la dépression prénatale et comment leur exposition et la vulnérabilité face à ces risques se comparent à celles des femmes enceintes nés au Canada, sont peu connus. De plus, le processus d'immigration peut être accompagné de nombreux défis qui augmentent le risque de violence subie par la femme. Néanmoins, les preuves existantes dans la littérature sont contradictoires, surtout en ce qui concerne le type de violence évaluée, les minorités ethniques qui sont considérées et l'inclusion de l'état de santé mentale. Objectifs : Tout d'abord, nous avons comparé la santé mentale de femmes immigrantes et les femmes nées au Canada au cours de la grossesse en tenant compte de la durée du séjour et de la région d'origine, et nous avons évalué le rôle des facteurs socio-économiques et du soutien social dans la symptomatologie dépressive prénatale. Deuxièmement, nous avons examiné la répartition des facteurs de risque contextuels de la symptomatologie dépressive prénatale selon le statut d'immigrant et la durée du séjour au Canada. Nous avons ensuite évalué l'association entre ces facteurs de risque et les symptômes de dépression prénataux et ensuite comparé la vulnérabilité des femmes nés au Canada et les femmes immigrantes à ces facteurs de risque en ce qui concerne les symptômes de la dépression prénatale. En troisième lieu, nous avons décrit la prévalence de la violence pendant la grossesse et examiné l'association entre l'expérience de la violence depuis le début de la grossesse et la prévalence des symptômes de la dépression prénatale, en tenant compte du statut d’immigrant. Méthodes : Les données proviennent de l'étude de Montréal sur les différences socio-économiques en prématurité. Les femmes ont été recrutées lors des examens de routine d'échographie (16 à 20 semaines), lors de la prise du sang (8-12 semaines), ou dans les centres de soins prénatals. L’échelle de dépistage Center for Epidemiologic Studies (CES-D) a été utilisée pour évaluer la symptomatologie dépressive à 24-26 semaines de grossesse chez 1495 immigrantes et 3834 femmes nées au Canada. Les niveaux d'exposition à certains facteurs de risque ont été évalués selon le statut d'immigrant et la durée de séjour à l'aide des tests Chi-2 ou test- t. L'échelle de dépistage Abuse Assessment screen (AAS) a été utilisée pour déterminer la fréquence et la gravité de la violence depuis le début de la grossesse. La relation avec l'agresseur a été également considérée. Toutes les mesures d'association ont été évaluées à l'aide de régressions logistiques multiples. Des termes d'interaction multiplicative furent construits entre chacun des facteurs de risque et statut d'immigrant pour révéler la vulnérabilité différentielle entre les femmes nés au Canada et immigrantes. Résultats : La prévalence des symptômes de dépression prénatales (CES-D > = 16 points) était plus élevée chez les immigrantes (32 % [29,6-34,4]) que chez les femmes nées au Canada (22,8 % (IC 95 % [21.4-24.1]). Des femmes immigrantes présentaient une symptomatologie dépressive élevée indépendamment du temps depuis l'immigration. La région d'origine est un fort indice de la symptomatologie dépressive : les prévalences les plus élevées ont été observées chez les femmes de la région des Caraïbes (45 %), de l’Asie du Sud (43 %), du Maghreb (42 %), de l'Afrique subsaharienne (39 %) et de l’Amérique latine (33 %) comparativement aux femmes nées au Canada (22 %) et celle de l'Asie de l’Est où la prévalence était la plus faible (17 %). La susceptibilité de présenter une dépression prénatale chez les femmes immigrantes était attenuée après l’ajustement pour le manque de soutien social et de l'argent pour les besoins de base. En ce qui concerne la durée du séjour au Canada, les symptômes dépressifs ont augmenté avec le temps chez les femmes d’origines européenne et asiatique du sud-est, diminué chez les femmes venant du Maghreb, de l’Afrique subsaharienne, du Moyen-Orient, et de l’Asie de l'est, et ont varié avec le temps chez les femmes d’origine latine et des Caraïbes. Les femmes immigrantes étaient beaucoup plus exposées que celles nées au Canada à des facteurs de risques contextuels indésirables comme la mésentente conjugale, le manque de soutien social, la pauvreté et l'encombrement au domicile. Au même niveau d'exposition aux facteurs de risque, les femmes nées au Canada ont présenté une plus grande vulnérabilité à des symptômes de la dépression prénatale en l'absence de soutien social (POR = 4,14 IC95 % [2,69 ; 6.37]) tandis que les femmes immigrées ont présentées une plus grande vulnérabilité à des symptômes de la dépression prénatale en absence d'argent pour les besoins de base (POR = 2,98 IC95 % [2.06 ; 4,32]). En ce qui concerne la violence, les menaces constituent le type de la violence le plus souvent rapporté avec 63 % qui ont lieu plus d'une fois. Les femmes immigrantes de long terme ont rapporté la prévalence la plus élevée de tous les types de violence (7,7 %). La violence par le partenaire intime a été la plus fréquemment rapportées (15 %) chez les femmes enceintes les plus pauvres. Des fortes associations ont été obtenues entre la fréquence de la violence (plus d'un épisode) et la symptomatologie dépressive (POR = 5,21 [3,73 ; 7,23] ; ainsi qu’entre la violence par le partenaire intime et la symptomatologie dépressive (POR = 5, 81 [4,19 ; 8,08). Le statut d'immigrant n'a pas modifié les associations entre la violence et la symptomatologie dépressive. Conclusion: Les fréquences élevées des symptômes dépressifs observées mettent en évidence la nécessité d'évaluer l'efficacité des interventions préventives contre la dépression prénatale. La dépression chez les femmes enceintes appartenant à des groupes minoritaires mérite plus d'attention, indépendamment de leur durée de séjour au Canada. Les inégalités d’exposition aux facteurs de risque existent entre les femmes enceintes nées au Canada et immigrantes. Des interventions favorisant la réduction de la pauvreté et l'intégration sociale pourraient réduire le risque de la dépression prénatale. La violence contre les femmes enceintes n'est pas rare au Canada et elle est associée à des symptômes de la dépression prénatale. Ces résultats appuient le développement futur du dépistage périnatal de la violence, de son suivi et d'un système d'aiguillage culturellement ajusté.

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Notre thèse de doctorat a pour but d’évaluer les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes. Plus spécifiquement, il est question d’identifier les facteurs associés aux symptômes dépressifs majeurs, à une tension psychologique au travail ou travail "tendu" ("high-strain" job), à un travail "tendu" avec un faible soutien social au travail ("Iso-strain"), et enfin d’évaluer l’association entre ces contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes au travail. Les données analysées sont issues de l’Étude Montréalaise sur la Prématurité, une étude de cohorte prospective menée entre mai 1999 et avril 2004, auprès de 5 337 femmes enceintes interviewées à 24-26 semaines de grossesse dans quatre hôpitaux de l’île de Montréal (Québec, Canada). L’échelle CES-D (Center for Epidemiological Studies Depression Scale) a été utilisée pour mesurer les symptômes dépressifs majeurs (score CES-D ≥23). L’échelle abrégée de Karasek a été utilisée pour mesurer les contraintes psychosociales au travail. La présente étude a conduit à la rédaction de quatre articles scientifiques qui seront soumis à des revues avec comité de pairs. Le premier article a permis de comparer la prévalence des symptômes dépressifs majeurs dans différents sous-groupes de femmes enceintes : femmes au foyer, femmes au travail, femmes en arrêt de travail, femmes aux études et de rechercher les facteurs de risque associés aux symptômes dépressifs majeurs pendant la grossesse. À 24-26 semaines de grossesse, la prévalence des symptômes dépressifs majeurs était de 11,9% (11,0-12,8%) pour l’ensemble des femmes enceintes à l’étude (N=5 337). Les femmes enceintes au travail avaient une proportion de symptômes dépressifs moins élevée [7,6% (6,6-8,7%); n=2 514] par rapport aux femmes enceintes au foyer qui avaient les prévalences les plus élevées [19,1% (16,5-21,8%); n=893], suivi des femmes enceintes en arrêt de travail [14,4% (12,7-16,1%); n=1 665] et des femmes enceintes aux études [14,3% (10,3-19,1%); n=265]. Les caractéristiques personnelles (non professionnelles) associées aux symptômes dépressifs majeurs étaient, après ajustement pour toutes les variables, le statut d’emploi, un faible niveau d’éducation, un faible soutien social en dehors du travail, le fait d’avoir vécu des événements stressants aigus, d’avoir manqué d’argent pour les besoins essentiels, les difficultés relationnelles avec son partenaire, les problèmes de santé chronique, le pays de naissance et le tabagisme. Le deuxième article avait pour objectif de décrire l’exposition aux contraintes psychosociales au travail et d’identifier les facteurs qui y sont associés chez les femmes enceintes de la région de Montréal, au Québec (N=3 765). Au total, 24,4% des travailleuses enceintes se trouvaient dans la catégorie travail "tendu" ("high-strain" job) et 69,1% d’entre elles avaient eu un faible soutien social au travail ("Iso-strain"). Les facteurs de risque associés à un travail "tendu" étaient : un faible soutien social au travail, certains secteurs d’activité et niveaux de compétences, le fait de travailler plus de 35 heures par semaine, les horaires irréguliers, la posture de travail, le port de charges lourdes, le jeune âge des mères, une immigration ≥ 5 ans, un bas niveau d’éducation, la monoparentalité et un revenu annuel du ménage <50 000$. Le troisième article a évalué l’association entre les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs chez les femmes enceintes au travail (N=3 765). Dans les analyses bivariées et multivariées, les femmes enceintes qui avaient un "high-strain job" ou un "Iso-strain" présentaient davantage de symptômes dépressifs majeurs que les autres sous-groupes. Les contraintes psychosociales au travail étaient associées aux symptômes dépressifs majeurs lorsqu’on prenait en compte les autres facteurs organisationnels et les facteurs personnels auxquels elles étaient confrontées à l’extérieur de leur milieu de travail. Notre étude confirme les évidences accumulées en référence aux modèles théoriques "demande-contrôle" et "demande-contrôle-soutien" de Karasek et Theorell. L’impact de ce dernier et le rôle crucial du soutien social au travail ont été mis en évidence chez les femmes enceintes au travail. Cependant, l’effet "buffer" du modèle "demande-contrôle-soutien" n’a pas été mis en évidence. Le quatrième article a permis d’évaluer l’exposition aux contraintes psychosociales au travail chez les femmes enceintes au travail et en arrêt de travail pour retrait préventif et de mesurer l’association entre les contraintes psychosociales au travail et les symptômes dépressifs majeurs en fonction du moment du retrait préventif (N=3 043). À 24-26 semaines de grossesse, les femmes enceintes en retrait préventif du travail (31,4%) avaient été plus exposées à un "high-strain job" (31,0% vs 21,1%) et à un "Iso-strain" (21,0% vs 14,2%) que celles qui continuaient de travailler (p<0,0001); et elles avaient des proportions plus élevées de symptômes dépressifs majeurs. Après ajustement pour les facteurs de risque personnels et professionnels, "l’Iso-strain" restait significativement associé aux symptômes dépressifs majeurs chez les femmes qui continuaient de travailler tout comme chez celles qui ont cessé de travailler, et cela quel que soit leur durée d’activité avant le retrait préventif du travail (4 à 12 semaines/ 13 à 20 semaines/ ≥ 21 semaines). Les contraintes psychosociales au travail représentent un important facteur de risque pour la santé mentale des travailleuses enceintes. Malgré l’application du programme "pour une maternité sans danger" il s’avère nécessaire de mettre en place dans les milieux de travail, des mesures de prévention, de dépistage et d’intervention afin de réduire la prévalence des symptômes dépressifs prénataux et l’exposition aux contraintes psychosociales au travail pour prévenir les complications maternelles et néonatales. D’autant plus que, la dépression prénatale est le principal facteur de risque de dépression postpartum, de même que les enfants nés de mères souffrant de dépression sont plus à risque de prématurité et de petit poids de naissance.

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Essai doctoral présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l’obtention du grade de Doctorat en psychologie clinique (D.Psy.)

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The effect of multiple sclerosis (MS) on the ability to identify emotional expressions in faces was investigated, and possible associations with patients’ characteristics were explored. 56 non-demented MS patients and 56 healthy subjects (HS) with similar demographic characteristics performed an emotion recognition task (ERT), the Benton Facial Recognition Test (BFRT), and answered the Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS). Additionally, MS patients underwent a neurological examination and a comprehensive neuropsychological evaluation. The ERT consisted of 42 pictures of faces (depicting anger, disgust, fear, happiness, sadness, surprise and neutral expressions) from the NimStim set. An iViewX high-speed eye tracker was used to record eye movements during ERT. The fixation times were calculated for two regions of interest (i.e., eyes and rest of the face). No significant differences were found between MS and HC on ERT’s behavioral and oculomotor measures. Bivariate and multiple regression analyses revealed significant associations between ERT’s behavioral performance and demographic, clinical, psychopathological, and cognitive measures.

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Objective To assess the efficacy of an intervention designed to improve the mother-infant relationship and security of infant attachment in a South African peri-urban settlement with marked adverse socioeconomic circumstances. Design Randomised controlled trial. Setting Khayelitsha, a peri-urban settlement in South Africa. Participants 449 pregnant women. Interventions The intervention was delivered from late pregnancy and for six months postpartum. Women were visited in their homes by previously untrained lay community workers who provided support and guidance in parenting. The purpose of the intervention was to promote sensitive and responsive parenting and secure infant attachment to the mother. Women in the control group received no therapeutic input from the research team. Main outcome measures Primary outcomes: quality of mother-infant interactions at six and 12 months postpartum; infant attachment security at 18 months. Secondary outcome: maternal depression at six and 12 months. Results The intervention was associated with significant benefit to the mother-infant relationship. At both six and 12 months, compared with control mothers, mothers in the intervention group were significantly more sensitive (6 months: mean difference=0.77 (SD 0.37), t=2.10, P<0.05, d=0.24; 12 months: mean difference=0.42 (0.18), t=-2.04, P<0.05, d=0.26) and less intrusive (6 months: mean difference=0.68 (0.36), t=2.28, P<0.05, d=0.26; 12 months: mean difference=-1.76 (0.86), t=2.28, P<0.05, d=0.24) in their interactions with their infants. The intervention was also associated with a higher rate of secure infant attachments at 18 months (116/156 (74%) v 102/162 (63%); Wald=4.74, odds ratio=1.70, P<0.05). Although the prevalence of maternal depressive disorder was not significantly reduced, the intervention had a benefit in terms of maternal depressed mood at six months (z=2.05, P=0.04) on the Edinburgh postnatal depression scale). Conclusions The intervention, delivered by local lay women, had a significant positive impact on the quality of the mother-infant relationship and on security of infant attachment, factors known to predict favourable child development. If these effects persist, and if they are replicated, this intervention holds considerable promise for use in the developing world. Trial registration Current Controlled Trials ISRCTN25664149.

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The study investigated the relationship between depressive feelings and coping amongst older widowed men and women. Participants were interviewed about their affective experiences of widowhood and completed two depression questionnaire assessments, the Symptoms of Anxiety and Depression Scale ( SAD) and the Hospital Anxiety and Depression Scale ( HADS). Participants were assessed as either coping or not coping. The results showed that both measures were effective at differentiating those who coped (Copers) from those who did not (Non-Copers) in the sample as a whole. Amongst the widows the HADS significantly differentiated the two groups. Amongst men, neither measure significantly distinguished Copers from Non-Copers. However, an examination of the interviews suggested that widowers reported depressive feelings significantly more often than widows. The results suggest that depressive feelings are associated with non-coping in older widowed people. There is also evidence to suggest that widows and widowers respond differentially to assessment measures.

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Background Few studies of the effects of postnatal depression on child development have considered the chronicity of depressive symptoms. We investigated whether early postnatal depressive symptoms (PNDS) predicted child developmental outcome independently of later maternal depressive symptoms. Methods In a prospective, longitudinal study, mothers and children were followed-up from birth to 2 years; repeated measures of PNDS were made using the Edinburgh Postnatal Depression Scale (EPDS); child development was assessed using the Bayley Scales II. Multilevel modelling techniques were used to examine the association between 6 week PNDS, and child development, taking subsequent depressive symptoms into account. Results Children of mothers with 6 week PNDS were significantly more likely than children of non-symptomatic mothers to have poor cognitive outcome; however, this association was reduced to trend level when adjusted for later maternal depressive symptoms. Conclusion Effects of early PNDS on infant development may be partly explained by subsequent depressive symptoms.

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Objective To assess the efficacy of an intervention designed to improve the mother-infant relationship and security of infant attachment in a South African peri-urban settlement with marked adverse socioeconomic circumstances. Design Randomised controlled trial. Setting Khayelitsha, a peri-urban settlement in South Africa. Participants 449 pregnant women. Interventions The intervention was delivered from late pregnancy and for six months postpartum. Women were visited in their homes by previously untrained lay community workers who provided support and guidance in parenting. The purpose of the intervention was to promote sensitive and responsive parenting and secure infant attachment to the mother. Women in the control group received no therapeutic input from the research team. Main outcome measures Primary outcomes: quality of mother-infant interactions at six and 12 months postpartum; infant attachment security at 18 months. Secondary outcome: maternal depression at six and 12 months. Results The intervention was associated with significant benefit to the mother-infant relationship. At both six and 12 months, compared with control mothers, mothers in the intervention group were significantly more sensitive (6 months: mean difference=0.77 (SD 0.37), t=2.10, P<0.05, d=0.24; 12 months: mean difference=0.42 (0.18), t=−2.04 , P<0.05, d=0.26) and less intrusive (6 months: mean difference=0.68 (0.36), t=2.28, P<0.05, d=0.26; 12 months: mean difference=−1.76 (0.86), t=2.28 , P<0.05, d=0.24) in their interactions with their infants. The intervention was also associated with a higher rate of secure infant attachments at 18 months (116/156 (74%) v 102/162 (63%); Wald=4.74, odds ratio=1.70, P<0.05). Although the prevalence of maternal depressive disorder was not significantly reduced, the intervention had a benefit in terms of maternal depressed mood at six months (z=2.05, P=0.04) on the Edinburgh postnatal depression scale). Conclusions The intervention, delivered by local lay women, had a significant positive impact on the quality of the mother-infant relationship and on security of infant attachment, factors known to predict favourable child development. If these effects persist, and if they are replicated, this intervention holds considerable promise for use in the developing world.

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Background The objective was to examine the course and longitudinal associations of generalized anxiety disorder (GAD) and major depressive disorder (MDD) in mothers over the postpartum 2 years. Method Using a prospective naturalistic design, 296 mothers recruited from a large community pool were assessed for GAD and MDD at 3, 6, 10, 14, and 24 months postpartum. Structured clinical interviews were used for diagnoses, and symptoms were assessed using self-report questionnaires. Logistic regression analyses were used to examine diagnostic stability and longitudinal relations, and latent variable modeling was employed to examine change in symptoms. Results MDD without co-occurring GAD, GAD without co-occurring MDD, and co-occurring GAD and MDD, displayed significant stability during the postpartum period. Whereas MDD did not predict subsequent GAD, GAD predicted subsequent MDD (in the form of GAD + MDD). Those with GAD + MDD at 3 months postpartum were significantly less likely to be diagnosis free during the follow-up period than those in other diagnostic categories. At the symptom level, symptoms of GAD were more trait-like than those of depression. Conclusions Postpartum GAD and MDD are relatively stable conditions, and GAD is a risk factor for MDD but not vice versa. Given the tendency of MDD and GAD to be persistent, especially when comorbid, and the increased risk for MDD in mothers with GAD, as well as the potential negative effects of cumulative exposure to maternal depression and anxiety on child development, the present findings clearly highlight the need for screening and treatment of GAD in addition to MDD during the postpartum period.

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BACKGROUND: The English Improving Access to Psychological Therapies (IAPT) initiative aims to make evidence-based psychological therapies for depression and anxiety disorder more widely available in the National Health Service (NHS). 32 IAPT services based on a stepped care model were established in the first year of the programme. We report on the reliable recovery rates achieved by patients treated in the services and identify predictors of recovery at patient level, service level, and as a function of compliance with National Institute of Health and Care Excellence (NICE) Treatment Guidelines. METHOD: Data from 19,395 patients who were clinical cases at intake, attended at least two sessions, had at least two outcomes scores and had completed their treatment during the period were analysed. Outcome was assessed with the patient health questionnaire depression scale (PHQ-9) and the anxiety scale (GAD-7). RESULTS: Data completeness was high for a routine cohort study. Over 91% of treated patients had paired (pre-post) outcome scores. Overall, 40.3% of patients were reliably recovered at post-treatment, 63.7% showed reliable improvement and 6.6% showed reliable deterioration. Most patients received treatments that were recommended by NICE. When a treatment not recommended by NICE was provided, recovery rates were reduced. Service characteristics that predicted higher reliable recovery rates were: high average number of therapy sessions; higher step-up rates among individuals who started with low intensity treatment; larger services; and a larger proportion of experienced staff. CONCLUSIONS: Compliance with the IAPT clinical model is associated with enhanced rates of reliable recovery.