956 resultados para Fort Erie (Ont.) -- History -- Sources.
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"The first part of the following is entirely derived from the Harleian MS. no. 6395, entitled "Merry Passages and Gests", compiled by Sir Nicholas Lestrangs... The Second Part... from the Lansdowne MS. No. 231, written by the well-known John Aubry... The Third... from No. 3890 of the Additional MSS. in the British Museum, the commonplace-book of a Mr. John Collet..." -- Pref.
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Bibliography: p. 217-224.
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"First published London 1894."
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Vols. 1, 3-12, 14-16, 18-20, 22, 25-27 have no date on t. p.
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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Latest issue consulted: Vol. 6, no. 5, 1900.
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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La Tunisie a été toujours considérée comme terre de rencontre de plusieurs civilisations, compte tenu de son emplacement stratégique et de son histoire très enracinée. En effet, depuis l’Antiquité ce pays a connu l’installation ou le passage de plusieurs ethnies, qui ont profondément marqué les trois milles ans de son Histoire en dépit de la période ou de la nature de l’occupation et dont les traces constituent aujourd’hui le patrimoine de ce pays. Cet héritage matériel et immatériel semble être parmi les plus riche de la Méditerranée, pour ce, plusieurs villes historiques et sites archéologiques ont été inscrites sur la liste du patrimoine mondial depuis plusieurs décennies. Plusieurs composantes de ce patrimoine furent l’objet de certains projets d’inventaire et d’études, de sauvegarde et de valorisation, tels les sites archéologiques libyques, puniques ou romains, ou même les villes arabo-islamiques. Plusieurs musées, circuits culturels et Parcs archéologiques furent crées. D’autres projets de mise en valeur sont en cours, tels ceux des villes et des villages andalous ou ceux des villages montagneux et des Ksours du sud tunisien… alors que le patrimoine architectural espagnol en Tunisie n’a pas eu jusqu’à présent l’intérêt qu’il mérite malgré son importance et son authenticité et doit être aujourd’hui sauvegardé, mis en valeur et intégré dans la vie patrimoniale et le les circuits culturels et touristiques de la région. Le présent travail réalisé dans le cadre du mémoire de master traite la problématique de la sauvegarde et la mise en valeur d’un monument de type défensif comme cas d’étude. Il s’agit de la Karraka, forteresse bâtie à la ville de la Goulette réagissant à son milieu comme un organisme vivant avec toutes ses variations et déformations de volumes et surtout dans cette typologie dite défensive en se concentrant sur le rôle magistral de la Karraka. L’objectif final de ce projet est de mettre en valeur la validité d’une perception dynamique du patrimoine à travers l’étude de ce monument défensif dans son contexte historique et géographique en particulier et l’essai sur l’histoire de la Goulette; ABSTRACT: Tunisia has always been considered as the meeting earth of several civilizations regarding its strategic position on its deep rooted history. Since the antiquity this country was known the installation or the passage of several ethnics which deeply marqued the three Milles years of its history despite the difficult period of the French occupation its traces are still the country's heritage. This tangible and intangible heritage seems to be among the richest in the Mediterranean in several historic towns and archaeological sites have been listed on the World Heritageas well List for several decades. Many components of this heritage were the object of some inventory projects and studies, Backup and recovery, such the archaeological sites Libyan, Punic, Roman, and even the Arab Islamic cities. Many museums created cultural tours and archaeological parks, we have also other development projects are on the way, such as the Andalusian villages and those of mountain villages and southern Tunisia Ksours….. While the heritage of Spanish architecture in Tunisia has no interest despite its importance and authenticity it must be saved, and it must integrated into the life and heritage and the cultural tours of the region. This work carried out under the master thesis deals with the problem of preservation and development of a defensive type of monument as a case study “ Karraka” This fortress was built in the city of « La Goulette » reacting to his environment as a living organism with all its variations and volume deformations and especially in this so-called defensive typology by focusing on the role of magisterial Karraka. The final objective of this project is to highlight the validity of a dynamic perception of heritage through the study of the defensive monument in its historical and geographical context in particular and the article on the history of « La Goulette ».
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A community history project must be relevant to each person within it so that they see themselves as part of the socio-cultural fabric of the area and feel a sense of ownership of their environment. The Mill Albion community history project is a diverse, multi-layered public history/art program that captures the social heritage of The Mill Albion and allows the community to contribute to their ongoing history. The Albion Flour Mill was built in 1930 at a time when Australia was feeling the effects of its worst economic depression and continued operations for more than 72 years. After ceasing operation in 2005 the site was left to deteriorate. The FKP Property Group purchased the land to undertake a new urban redevelopment project, drawing on the design principles of a traditional ‘village’, while valuing the importance of remembering the community that once included the Flour Mill. This paper reflects on the this project and showcases some of the culturally creative ways this community’s history was told, using methods such as digital stories, contemporary and historical photography and oral history.
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Anna Hirsch and Clare Dixon (2008, 190) state that creative writers’ ‘obsession with storytelling…might serve as an interdisciplinary tool for evaluating oral histories.’ This paper enters a dialogue with Hirsch and Dixon’s statement by documenting an interview methodology for a practice-led PhD project, The Artful Life Story: Oral History and Fiction, which investigates the fictionalising of oral history. ----- ----- Alistair Thomson (2007, 62) notes the interdisciplinary nature of oral history scholarship from the 1980s onwards. As a result, oral histories are being used and understood in a variety of arts-based settings. In such contexts, oral histories are not valued so much for their factual content but as sources that are at once dynamic, emotionally authentic and open to a multiplicity of interpretations. How can creative writers design and conduct interviews that reflect this emphasis? ----- ----- The paper briefly maps the growing trend of using oral histories in fiction and ethnographic novels, in order to establish the need to design interviews for arts-based contexts. I describe how I initially designed the interviews to suit the aims of my practice. Once in the field, however, I found that my original methods did not account for my experiences. I conclude with the resulting reflection and understanding that emerged from these problematic encounters, focusing on the technique of steered monologue (Scagliola 2010), sometimes referred to as the Biographic Narrative Interpretative Method (Wengraf 2001, Jones 2006).
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A century ago, as the Western world embarked on a period of traumatic change, the visual realism of photography and documentary film brought print and radio news to life. The vision that these new mediums threw into stark relief was one of intense social and political upheaval: the birth of modernity fired and tempered in the crucible of the Great War. As millions died in this fiery chamber and the influenza pandemic that followed, lines of empires staggered to their fall, and new geo-political boundaries were scored in the raw, red flesh of Europe. The decade of 1910 to 1919 also heralded a prolific period of artistic experimentation. It marked the beginning of the social and artistic age of modernity and, with it, the nascent beginnings of a new art form: film. We still live in the shadow of this violent, traumatic and fertile age; haunted by the ghosts of Flanders and Gallipoli and its ripples of innovation and creativity. Something happened here, but to understand how and why is not easy; for the documentary images we carry with us in our collective cultural memory have become what Baudrillard refers to as simulacra. Detached from their referents, they have become referents themselves, to underscore other, grand narratives in television and Hollywood films. The personal histories of the individuals they represent so graphically–and their hope, love and loss–are folded into a national story that serves, like war memorials and national holidays, to buttress social myths and values. And, as filmic images cross-pollinate, with each iteration offering a new catharsis, events that must have been terrifying or wondrous are abstracted. In this paper we first discuss this transformation through reference to theories of documentary and memory–this will form a conceptual framework for a subsequent discussion of the short film Anmer. Produced by the first author in 2010, Anmer is a visual essay on documentary, simulacra and the symbolic narratives of history. Its form, structure and aesthetic speak of the confluence of documentary, history, memory and dream. Located in the first decade of the twentieth century, its non-linear narratives of personal tragedy and poetic dreamscapes are an evocative reminder of the distance between intimate experience, grand narratives, and the mythologies of popular films. This transformation of documentary sources not only played out in the processes of the film’s production, but also came to form its theme.
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Recently, there has been an increased use of oral history as source material and inspiration for creative products, such as new media productions; visual art; theatre and fiction. The rise of the digital story in museum and library settings reflects a new emphasis on publishing oral histories in forms that are accessible and speak to diverse audiences. Visual artists are embracing oral history as a source of emotional, experiential and thematic authenticity (Anderson 2009 and Brown 2009). Rosemary Neill (2010) observes the rise of documentary and verbatim theatre — where the words of real people are reproduced on-stage — in Australia. Authors such as Dave Eggers (2006), M. J. Hyland (2009), Padma Viswanathan (2008) and Terry Whitebeach (2002) all acknowledge that interviews heavily inform their works of fiction. In such contexts, oral histories are not valued so much for their factual content but as sources that are at once dynamic, evolving, emotionally authentic and ambiguous. How can practice-led researchers design interviews that reflect this emphasis? In this paper, I will discuss how I developed an interview methodology for my own practice-led research project, The Artful Life Story: Oral History and Fiction. In my practice, I draw on oral histories to inform a work of fiction. I developed a methodology for eliciting sensory details and stories around place and the urban environment. I will also read an extract from ‘Evelyn on the Verandah,’ a short story based on an oral history interview with a 21 year-old woman who grew up in New Farm, which will be published in the One Book Many Brisbanes short story anthology in June this year (2010).