1000 resultados para Florence (Italie) -- Chiesa di Santa Croce
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Référence bibliographique : Weigert, 730
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Collectionneur : Lesouëf, Auguste (1829-1906)
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Collectionneur : Lesouëf, Auguste (1829-1906)
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Collectionneur : Lesouëf, Auguste (1829-1906)
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Contient : 1 Lettre du roi « HENRY » II au connétable Anne de Montmorency ; 2 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... à... monsieur le conestable deuc de Monmoransi » ; 3 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... à... monsieur le duc de Montmorancy » ; 4 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... à... monsieur le connestable » ; 5 Lettre d'HENRY [D'ALBRET]... roy de Navarre... à... monseigneur le grand maistre... De Perigueux, le XIIIIe jour de janvier » ; 6 Lettre d'« ANTOYNE [DE BOURBON, roi de Navarre]... A Nerac, le XIe jour de juing 1556 » ; 7 Lettre non signée ni datée, « à... monseigneur le duc de Montmorancy » ; 8 Lettre, en italien, de « PIETRO STROZI,... a monsignore il duca di Momoransi,... Di Stabbia, alli XVIII di gennaro M.D.LVI » ; 9 « Sommaire du contenu ou traicté de paix faict entre le roy [Henri II] et le roy d'Angleterre. Du moys de mars V.C.XLIX » ; 10 Mémoire « sur le faict de Ferrare » ; 11 « Promesses faictes... au roy [Henri II]... le VIIIe du moys mars 1548... par monseigneur DE VAULDEMONT, NICOLAS DE LORRAINE » ; 12 « Double de la responce faicte par le roy [HENRI II] à monseigneur le duc de Ferrare,... Fait à Bloys, le XIXe jour d'avril, l'an M.V.C. cinquante six » ; 13 Mémoire sur l'affaire de Parme ; 14 « Les Poinctz de la capitulacion passée avec monseigneur le duc de Ferrare » ; 15 Mémoire en chiffre ; 16 Nouvelles « de Rome, le XVIIe mars 1559... à monseigneur le duc de Montmorency » ; 17 « Proclamation de la royne d'Angletterre [ÉLISABETH]... sur l'observation de la paix avecques les royaulmes de France et Escosse... Londres... 1559 » ; 18 « Reglement pour les gens de pied estans en Piedmont » ; 19 Adresse des gens de « la ville de Gennes » au roi Henri II ; 20 Offres de Charles, cardinal de Lorraine, « à monseigneur d'Auzanes, lieutenant pour le roy à Metz... A Nancy, le XVIIIe jour de juillet 1565 » ; 21 Lettre de « COSME CLAUSSE,... à monseigneur le grand maistre... De Mirande, ce dimanche IIIe jour d'avril » ; 22 Lettre de « RENEE DE FRANCE,... à... monseigneur le duc de Montmorency,... De Ferrare, le VIIe jour d'octobre 1554 » ; 23 Lettre de « JEHAN [DE BOURBON, comte D'ENGHIEN]... à monseigneur de Humyeres,... De Reims, ce XVIe de juing 1557 » ; 24 « Estat des compaignies de la gendarmerie » ; 25 Lettre de « MARGUERITE DE FRANCE [duchesse de Savoye]... à... monseigneur le duc de Montmorency,... De Verseil, ce XXe febvrier » ; 26 Lettre de l'« e[vêque] d'Avranches... à monseigneur le grand maistre... A Venyse, le XIe jour de may » ; 27 « Memoire de monseigneur de Morvillier » pour le roi et le connétable ; 28 Lettre d'ANNE DE « MONTMORENCY,... à monseigneur de La Pommeraye,... De Lymours, ce XXIe jour de may » ; 29 « Double de lettre du legat... cardinalis POLUS,... al... Sr Santa Croce, nuncio... Di Bruxelles, alli 26 d'aprile 1554 » ; 30 Lettre de « CLAUDE DE TANDE,... à monseigneur le duc de Montmorency,... A Villeneuve, le XXIe d'octobre 1563 » ; 31 « Cappitullation accordée par les gouverneur, cappitaines et soldatz de Mariembourg », lors de la reddition de la ville en la puissance du roi ; 32 Lettre de FRANÇOIS « DE MONTMORENCY,... à monseigneur le duc de Montmorency,... De Sainct Omer, ce dernier de juing 1553 » ; 33 Lettre d'ANNE DE « MONTMORENCY,... à monseigneur de Humyeres,... De Challons sur Saonne, le XXe de juillet 1548 » ; 34 Lettre de « l'advoyer, petit et grand conseil de la ville et canton de Soleurre en Suisse... à monseigneur le duc de Mommerancy,... De Solleure, ce XIIIIe jour de novembre 1596 » ; 35 Lettre du baron DE « SAINT BLANCART,... à monseigneur le grant maistre... De Marselle, le XVIIIe jour de may »
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Contient : 1 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, al primo di luglio 1589 ». En italien ; 2 Fragment d'une lettre en italien ; 3 Lettre de « FILIPPO DE' Sri DI PASSANO,... al ducca di Navers,... Di Genoa, a 2 luglio 1589 ». En italien ; 4 Lettre de VINCENT Ier, « duca DI MANTOVA,... al duca di Nivers,... Di Casale, a 18 luglio 1589 ». En italien ; 5 Lettre de « FABIO GONZAGA,... al duca di Nivers,... Di Casale, alli 16 luglio 1589 ». En italien ; 6 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, a XVI di luglio 1589 ». En italien ; 7 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Navers,... Di Genova, a 15 di luglio 1589 ». En italien ; 8 Lettre de VINCENT Ier, « duca DI MANTOVA,... all' illustrissimo Sor di Nevers,... Di Millano, a 23 di luglio 1589 ». En italien ; 9 Lettre adressée « al signor duca di Nivers,... Di Roma, a 24 di luglio 1589 ». En italien ; 10 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, a XXX di luglio 1589 ». En italien ; 11 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, a XIII di agosto 1589 ». En italien ; 12 Lettre de « FABIO GONZAGA,... al duca di Nivers,... Di Mantova, a 15 di agosto 1589 ». En italien ; 13 « Coppie de la lettre escripte par monseigneur le cardinal MONTALTO à messrs du conseil de Paris... Di Roma, alli 26 d'agosto M.D.LXXXIX ». En italien ; 14 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, à XXVII di agosto 1589 ». En italien ; 15 Lettre de « GIOVANNI MARIA MANELLI,... al duca di Nevers,... Di Nivers, à XXVIII di agosto 1589 ». En italien ; 16 Lettre de « LODOVICO PICO [DELLA MIRANDOLA]... al duca di Nevers,... Della Mirandola, alli 30 agosto 1589 ». En italien ; 17 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à « Fabio Gonzaga,... Di Clamecy, il 29 settembre 1589 ». En italien ; 18 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à « Francesco Beceio,... Di Clamecy, il 29 settembre 1589 ». En italien ; 19 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au « marchese del Vaste,... Di Clamecy, il 29 settembre 1589 ». En italien ; 20 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à « Steffano Guazzo,... Di Clamecy, il 29 settembre 1589 ». En italien ; 21 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au Sr « Ascanio Andreasio,... Di Clamecy... settembre 1589 ». En italien ; 22 Lettre de « CESARE CEPPO » au duc de Nevers. « Di Venezia, il di 5 di settembre 1589 ». En italien ; 23 Lettre de « CESARE CEPPO,... al duca di Nevers,... Di Venezia, il 5 di settembre 1589 ». En italien ; 24 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Mondevi,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 25 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Santa Croce,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 26 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Santa Severina,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 27 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Arragona,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 28 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Gonzaga,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 29 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Montalto,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 30 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Rusticuzi,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 31 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Alessno,... Di Clamecy, il 19 settembre 1589 ». En italien ; 32 Lettre de « CAMILLO VOLTA,... al duca de Nevers,... Di Roma, li 6 settembre 1589 ». En italien ; 33 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, à X di settembre 1589 ». En italien ; 34 Lettre de « MARIO VOLTA,... al duca di Nevers,... Di Roma, li XV di settembre 1589 ». En italien ; 35 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI » au duc de Nevers. « Di Genova, il XXIII settembre 1589 ». En italien ; 36 Lettre de « V[INCENT Ier], duca DI MANTOVA,... al duca di Nevers,... Da Mantova, alli 24 settembre 1589 ». En italien ; 37 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à Vincent Ier, « duca di Mantova,... Di Nevers, il 27 settembre 1589 ». En italien ; 38 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à Vincent Ier, « duca di Mantova,... Di Nevers, il 25 ottobre 1589 ». En italien ; 39 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à Camillo « Volta,... Di Nevers, il 4 ottobre 1589 ». En italien ; 40 Lettre du Sr « MATTEO » à « Horatio Balbano,... Di Lione, a 5 di ottobre 1589 ». En italien ; 41 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à « Scipion » de Gonzague. « Nevers, 1589, 8 ottobre ». En italien ; 42 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à Vincent Ier, « duca di Mantova,... Di Nivers, il 8 di ottobre 1589 ». En italien ; 43 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au « cardinal Scipion Gonzaga,... Di Nevers, il 8 ottobre 1589 ». En italien ; 44 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au Sr « Gorgonio Galeazzi,... Di Nevers, il 8 ottobre 1589 ». En italien ; 45 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Santa Croce,... Di Nevers, il 8 di ottobre 1589 ». En italien ; 46 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au cardinal « Aragone,... Di Nevers... 8 ottobre 1589 ». En italien ; 47 Lettre du Sr « GORGONIO GALEAZZI,... al duca di Nivers et di Retel,... Di Mantova... a VIIII ottobre 1589 ». En italien ; 48 Lettre du Sr « ASCANIO ANDREASI,... al cavaliero Guardi,... Di Casale, li 13 ottobre 1589 ». En italien ; 49 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, « al Sr cardinale Scipione Gonzaga,... Di Desciza, il 14 ottobre 1589 ». En italien ; 50 Lettre de « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nivernoys et Rotelloys,... Di Lione, alli XVI ottobre M.D.LXXXVIIII ». En italien ; 51 Lettre d' « ASCANIO ANDREASI,... al duca di Nivers,... Di Casale, li 19 ottobre 1589 ». En italien ; 52 Lettre d' « ASCANIO ANDREASI,... al cavaliero Guazzo,... Di Casale, li 21 ottobre 1589 ». En italien ; 53 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nevers,... Di Genova, il 22 di ottobre 1589 ». En italien ; 54 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, « al Sr Scipione [Gonzaga]... Nevers, 1589, 26 ottobre ». En italien ; 55 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, « à monsieur le duc de Mantova [Vincent Ier]... Di Nevers, il 28 ottobre 1589 ». En italien ; 56 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, « al Sr cardinale Scipione [Gonzaga]... Di Nivers, il 28 ottobre 1589 ». En italien ; 57 Lettre de « MARIO VOLTA,... al duca di Nevers,... Di Venetia, li XXVIII d'ottobre 1589 ». En italien ; 58 Lettre de « MARIO VOLTA,... al duca di Nevers,... Di Venetia, li 31 d'ottobre 1589 ». En italien ; 59 Lettre de « FABIO GONZAGA,... al duca di Nevers,... Di Mantua, alli 7 novembre 1589 ». En italien ; 60 Lettre du Sr « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nivernoys,... Di Lione, alli 11 novembre 1589 ». En italien ; 61 Lettre du Sr « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nivernoys,... Di Lione, alli XV novembre M.D.LXXXVIV ». En italien ; 62 Lettre du Sr « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nivernoy,... Di Lione, a 15 di novembre 1589 ». En italien ; 63 Lettre de « LEONORA, duchessa di Mantova, et nata archiduchessa di Austria... al duca di Nivers,... Di Mantova, a 6 di novembre 1589 ». En italien ; 64 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS. « Di Nevers, il 16 di novembre 1589 ». En italien ; 65 Lettre de « GIOVANNI MARIA MANELLI,... al Sr Bernardo del Barbigia,... Di Roma, li XVIII di novembre [MD]LXXXVIIII ». En italien ; 66 Lettre de « GIOVANNI MARIA MANELLY,... Di Roma, li XVIII di novembre 1589 ». En italien ; 67 Lettre adressée « al Sr duca di Nivers,... Di Genova, a XIX di novembre 1589 ». En italien ; 68 Avis transmis d'«Anverza, de 19 novembre 1589 ». En italien ; 69 Lettre de « FRANCESCO, vescovo d'Asti... al duca di Nivers,... Di Lione, alli 23 novembre 1589 ». En italien ; 70 Lettre de « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nevernoys,... Di Lione, alli XXIII novembre M.D.LXXXVIV ». En italien ; 71 Lettre de « il principe DI MASSA,... al duca di Nivers,... Di Genova, à 29 di novembre 1589 ». En italien ; 72 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à Vincent Ier, « duca di Mantova,... Di Nevers, il primo decembre 1589 ». En italien ; 73 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, « al Sr cardinale Scipione [Gonzaga]... Di Nevers, il primo decembre 1589 ». En italien ; 74 Lettre de « VINCENT Ier, « duca DI MANTOVA,... al duca di Nevers,... Di Mantova, a 3 di decembre 1589 ». En italien ; 75 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, a 3 di decembre 1589 ». En italien ; 76 Lettre de « FABIO GONZAGA,... al duca di Nivers,... Di Mantua, alli 4 di decembre 1589 ». En italien ; 77 Copie d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, « al Sr Collonnello Andreaso,... Di Nevers, il 4 decembre 1589 ». En italien ; 78 Lettre de « MARIO VOLTA,... al duca di Nevers,... Di Bologna, li V di decembre 1589 ». En italien ; 79 Lettre de « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nevernoys,... Di Lione, alli VII di decembre M.D.LXXXVIV ». En italien » ; 80 Lettre de « HIERONIMO GRIMALDI,... al duca di Nivers,... Di Genova, a XI di decembre 1589 ». En italien ; 81 Lettre de « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nevernoys,... Di Lione, alli XV decembre M.D.LXXXVIV ». En italien ; 82 Lettre de « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nivernoys,... Di Lione, alli XXII decembre M.D.LXXXVIV ». En italien ; 83 Lettre de « GIUSEPPE ARNOLFINI,... al duca di Nivernoys,... Di Lione, alli 26 decembre 1589 ». En italien ; 84 Avis concernant « il Sr Pragadino... Di Venetia, a XXX di decembre 1589 ». En italien ; 85 Lettre de « VINCENZIO BADALOCCHIO,... al duca di Nivers,... In Roma, il di XXVIII di giugno M.D.XCI ». En italien ; 86 Lettre de « VINCENZIO BADALOCCHIO,... al duca di Nivers,... In Roma, il di XXVIII di settembre M.D.XCI ». En italien ; 87 Lettre de « FRANCESCO NUCCOLONI,... à monseignur le duc de Nivernois,... Di Mantova, il 15 novembre 1591 ». En italien ; 88 Lettre du Sr « DELLA CUGNA,... al duca di Nivers,... Dal Campo, le 14 di marzo 1592 ». En italien ; 89 Lettre de « FRANCESCO ANDREOSSY,... à monseigneur le duque de Nivernois,... Di Langres, alli XVII gennaro M.D.LXXXXIII ». En italien ; 90 Lettre de « HIPPOLITO CAPILUPI,... Di Molain, il 21 di giugno 1593 ». En italien ; 91 Lettre de « LEONORA, duchessa DI MANTOVA,... al duca di Nevers,... Di Mantova, agosto 1594 ». En italien ; 92 Lettre de FRANCESCO « NUCCOLONI,... à monseignur le duc de Nivernois,... Di San Quintino, il 7 decembre 1594 ». En italien ; 93 Lettre de « FRANCESCO NUCCOLONI,... à monseigneur le duc de Nivernois,... Di San Quintino, li 8 decembre 1594 ». En italien ; 94 Copie d'un mémoire sur la terre de Masières, « per il sigr duca di Nevers,... 16 decembre [15] 94 ». En italien ; 95 Lettre de « CESARE CEPPO,... alla signora duchessa di Nevers,... Di Mantova, il 18 di luglio 1596 ». En italien ; 96 Lettre de « CESARE CEPPO,... alla signora duchessa di Nevers,... Di Mantova, il 13 decenbre 1596 ». En italien ; 97 Lettre de « CARLO GAZZINI,... alla duchessa di Nevers,... Di Mantova, il di 3 di marzo 1598 ». En italien ; 98 Lettre de « FRANCESCO GONZAGA, vescovo di Mantova... al sigr Francesco Nuccoloni,... Di Vervino, a 9 di maggio 1598 ». En italien ; 99 Lettre de « FRANCESCO NUCCOLONI,... à madama di Nivers,... Di Parigi, il 25 maggio 1598 ». En italien
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Contient : 1 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER [évêque de Quimper]... à la royne, mere du roy... De Rome, ce premier jour de juillet 1560 » ; 2 Lettre du « cardinal STROZZI,... alla regina, madre del re... Di Roma, il primo di gennaro nel M.D.LX ». En italien ; 3 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XX novembre 1559 » ; 4 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne... De Rome, le jour de Noël » ; 5 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY », à Catherine de Médicis. « Du conclave, ce Xe de novembre 1559 » ; 6 Lettre de « BARTOLOMEO CAMERARIO, conservateur de Naples... alla Maesta christianissima della regina di Francia... Da Roma, li 15 di novembre 1559 ». En italien ; 7 Lettre de « PANDOLPHO STUPHA,... alla serenissima regina madre di Francia... Di Fiorenza, alli 30 di maggio M.D.LX ». En italien ; 8 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne... De Rome, ce VIIe octobre 1557 » ; 9 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne... De Rome, ce XIIe jour de septembre 1557 » ; 10 « Sommaire de la depesche » de PHILIBERT BABOU DE LA BOURDAISIERE, évêque d'Angoulême, « venue de Rome depuis le partement de la royne mere » ; 11 « Don faict par la royne [CATHERINE DE MEDICIS] à Me Estienne Mauguin : tout ce à quoy peuvent monter les lotz et ventes qui luy pourroient appartenir pour l'acquisition d'une maison, du VIIIe jour de novembre V.C.LVII ». Minute ; 12 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le doyen de la Roue, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 13 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur de St Ferme,... De St Germain en Laye, ce XVe jour de decembre 1557 » ; 14 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le cardinal Strossy,... De St Germain en Laye, ce XIIe jour d'octobre 1557 » ; 15 Donation faite par « CATHERINE » DE MEDICIS à Hippolyte, « cardinal de Ferrare », des territoires situés en Italie entre les villes de Terracine, Piperne et Sezzi. Copie ; 16 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... à monseigneur le cardinal Du Bellay,... De St Germain en Laye, ce XVe jour de decembre 1557 ». Minute ; 17 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance... à monsieur de Fizes, secretaire des finances... De Lyon, le XVIIIe apvril 1561 » ; 18 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance... à monsieur de Fizes,... De Molins, ce XIIe apvril 1561 » ; 19 Lettre du marquis « DE MONTE-SARCHIO,... alla serenissima et christianissima reina di Francia... Di Roma, el di XVI di novembre M.D.LIX ». En italien ; 20 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XVIe jour de juin 1560 » ; 21 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne... De Rome, ce XVIIIe novembre 1557 » ; 22 Lettre d'ÉTIENNE « BOUCHER,... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XXVe jour de novembre 1557 » ; 23 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur l'evesque de Forly, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 24 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le conte de Paliane ». Minute ; 25 Lettre de « PIERO CAPPONI, consule... a la regina, madre del re... Di Lyone, alli VI d'agosto 1559 » ; 26 Lettre du « duque DE ALVA,... à la royne tres chrestienne... De Tolede, le XXIXe decembre 1559 » ; 27 Lettre du duc de Ferrare « ALFONSO D'ESTE,... alla serenissima regina, madre del re... Di Ferrara ». En italien ; 28 Lettre de SEBASTIANO GUALTERIO, « vescovo de Viterbo... alla regina, madre del re... Da Roma, il di X di novembre 1559 ». En italien ; 29 Lettre du « cardinal STROZZI,... alla regina, madre del re... Del conclave, alli 9 di novembre del M.D.LVIII ». En italien ; 30 Lettre de « PEDRO MONTEMERLO » et « AMBROSIO DA FIRENZA ». En italien ; 31 Lettre de « PEDRO MONTEMERLO » et « AMBROSIO DA FIRENZA,... allo illmo... mons. lo admiraglio... 29 maii 1571 ». En italien ; 32 Lettre de « TORQUATO CONTI,... alla regina, madre del re... Di Roma, a di X di novembre nel [MD]LIX ». En italien ; 33 Lettre de « LODOVICO ANTINORI,... alla regina, madre del re... Di Roma, alli XIIII di novembre del [MD]LIX ». En italien ; 34 Lettre de « J[EAN BERTRANDI], cardinal [archevêque] de Sens... à la royne... De Rome, ce premier jour de l'an 1559 » ; 35 Lettre de « RUBERTO STROZZI,... alla regina, madre del re... Di Roma, il primo di gennaro nel [MD]LIX ». En italien ; 36 Lettre de « BARTOLOMEO CAMERARIO, conservateur de Naples... alla regina, matre del re... Da Roma, il primo di gennaro 1560 ». En italien ; 37 Lettre d'«E[MMANUEL-]PHILIBERT [duc] DE SAVOYE,... à la royne, mere du roy... De Nice, ce XIIe jour de jung 1560 » ; 38 Lettre d'«E[MMANUEL-]PHILIBERT, [duc] DE SAVOYE,... à la royne, mere du roy... De Nice, ce XXIXme jour de juin 1560 » ; 39 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « au pape, du IXe septembre M.V.C.LVII ». Minute ; 40 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... au pape... Escript à St Germain en Laye, le XVe decembre 1557 ». Minute ; 41 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « au pape, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 42 Lettre de « CATERINE [DE MEDICIS]... au pape... Escript à Compiegne, le VIIIe juillet 1557 ». Minute ; 43 Lettre d'ANTONIO ALTOVITI, « arcivescovo di Firenze... alla regina, madre del re... Di Roma, alli 30 di decembre 1559 ». En italien ; 44 Lettre de CHARLES DE COSSE, maréchal DE « BRISSAC,... à la royne... De Turin, le XXIme jour de juillet 1559 » ; 45 Lettre de « J[EAN], cardinal DU BELLAY,... à la royne, mere du roy... De La Ruffine pres Rome, le Xme jour d'aoust 1559 » ; 46 Lettre de JEAN-ANGE, « cardinale DE MEDICI,... alla regina madre di Francia... Di Roma, a XI di novembre 1559 ». En italien ; 47 Lettre des Srs « RAPHAELLO BARTHOLI, THOMMASO FORTINI, LUIGI GUIDICCIONI, GIROLAMO BONVISI,... deputati fiorentini e luchesi, creditori della Maesta del re, al gran partito... alla regina, madre del re... Di Lyone, addi X di luglio M.D.LX ». En italien ; 48 Lettre de « HIPPOLITO, cardinale DI FERRARA,... a la serenissima regina madre... Di Roma, li XV di giugno 1560 ». En italien ; 49 Lettre de CATHERINE DE MEDICIS « à monseigneur le conservateur de Naples, du XIIIe octobre 1557 ». Minute ; 50 Lettre de PHILIBERT « BABOU[DE LA BOURDAISIERE], e[vêque] d'Angoulesme... à la royne, mere du roy... De Romme, ce XIIe janvier 1560 » ; 51 Lettre de CESARE CIBO, « arcivescovo di Torino... alla serenissima reina matre... Da Roma, il XV di febrajo del 1560 ». En italien ; 52 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance... à la royne... De Molins, ce XIIe apvril 1561 » ; 53 Lettre de PHILIBERT « BABOU [DE LA BOURDAISIERE], e[vêque] d'Angoulesme... à la royne, mere du roy... De Romme, ce XXIe novembre 1559 » ; 54 Lettre des « gens tenans le parlement du roy... à la royne, mere du roy... Escript à Paris en parlement, soubz le signet d'icelluy, le vingtiesme juillet 1560 » ; 55 « Double des lettres de [JOACHIM], marquis DE BRANDEBOURG, à Mr l'admyral... Escript hastivement ce lundi apres la St Jehan... XXVIIe jung » de « l'an [MD]XIX » ; 56 Lettre de PHILIBERT « BABOU [DE LA BOURDAISIERE], e[vêque] d'Angoulesme... à la royne, mere du roy... De Rome, ce XXVIIe jour de feuvrier 1559 » ; 57 Lettre de JEAN-ANGE, « cardinale DE MEDICI,... alla serenissima et christianissima regina madre... Di Fiorenza, li VIIII di febraro MD5VIIII ». En italien ; 58 Lettre de « MARIO SFORZA,... alla regina... Di Santa Fiora, li XXV de giugno 1560 ». En italien ; 59 Lettre de « HIPPOLITO, cardinale DI FERRARA,... a la serenissima regina madre... Di Roma, li 2 di luglio 1560 ». En italien ; 60 Lettre de FRANCESCO BANDINI, « arcivescovo di Siena... a la christianissima regina, madre del re... Di Viterbo, il di XXII di novembre 1559 ». En italien ; 61 Lettre de « J[EAN DE] MONLUC, e[vêque] de Valance », et de M. de « RANDAN,... à la royne, mere du roy... De Lislebourg, ce IX juillet 1560 » ; 62 « Revocation fecte par la royne [CATHERINE DE MEDICIS] du don par elle cy devant faict à monseigneur le cardinal Ferneze de sa vigne de Rome... A St Germain en Laye, octobre » 1557. Minute ; 63 « Roolle et estat des officiers de l'ostel du roy [François Ier], que ledict Sr a ordonné estre paiez pour l'année commançant le premier jour de janvier mil cinq cens vingt six et finissant le dernier jour de decembre ensuyvant mil cinq cens vingt et sept, par Me Guillaume Tertreau ». Copie ; 64 et 65 « Roolle et estat des officiers de l'hostel du roy » François Ier, pour l'année 1524. Copie double ; 66 « Ordonnances et despartement fait par le roy pour le fait de sa maison et de ses officiers domesticques, lesquelz ledict Sr veult et entend qui le serve dorezenavant par cartiers ». Copie ; 67 « Roolle et estat des officiers de l'hostel du roy [François Ier], pour le quartier de janvier, fevrier et mars MV.C.XXVI ». Copie ; 68 « Estat fait par NICOLAS DE PARIS, marchant et bourgeois de Paris, à cause des deniers par luy receuz des bourgeois et habitans du quartier des Halles, dont est quartinier Nicolas Bourbon, presenté et affermé au bureau par ledit DE PARIS,... le IIIe jour de juillet M.V.C.IIII.XX.XII ». Copie ; 69 « Estat au vray de la recepte et despense faicte par Me BENJAMYN LE RICHE, receveur du taillon en l'ellection de Paris cy devant et en l'année mil V.C.IIII.XX. cinq » ; 70 Requête adressée par « BENJAMIN LE RICHE, receveur du taillon en l'election de Paris... à nosseigneurs des comptes », pour demander le remboursement des frais de sa charge. Le 12 septembre 1592. Copie ; 71 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par PIERRE COCQUART, l'un des six dixiniers au quartier de sire Blaise par l'an cy devant... Cloz au bureau, le dernier jour d'aoust M.V.C.???IIII.XX.XII ; 72 « Estat au vray des recepte et despence faictes par CLAUDE DU PRE, commis au quartier de Saincte Geneviefve de la ville de Paris es mois de novembre et decembre mil V.C.IIII.XX.IX », pour le duc de Mayenne ; 73 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par NICOLAS BRICART, l'un des six dixiniers au quartier de sire Blaise par l'an cy devant... Cloz au bureau, le dernier jour d'aoust M.V.C.IIII.XX.XII » ; 74 « Extraict faict en la chambre des comptes... à Paris... d'une partie de recepte emploiée soubz le nom de Me Pierre Le Gay, tresorier de l'extraordinaire des guerres en Piedmont », en 1554 ; 75 « Estat abbregé de la recepte et despence faicte par Me FRANÇOIS PASCAL, tresorier ordinaire des guerres, en l'année finye en decembre 1565 » ; 76 « Estat au vray de la recepte et despense faicte par sire GEOFFROY CHAILLOU, commis et depputté en cinq dixaines du quartier de sire Nicollas Bourlon,... Cloz le dernier jour d'aoust M.V.C.IIII.XX.XII » ; 77 Mémoire pour « Me Robert Marteau, tresorier des officiers domesticques de la maison du roy », contre « Me Jehan Berot », receveur général de Toulouse. 1574 ; 78 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par PHILLIPPES PASSART, l'un des six dixiniers du quartier de sire Blaise par l'an cy devant... Cloz et arresté le dernier jour d'aoust M.V.C.IIII.XX.XII » ; 79 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par PIERRE DE LASSUS, commis au quartier de Jacques Huot,... Cloz au bureau, le 7e septembre M.V.C.IIII.XX.XII » ; 80 « Estat au vray de la recepte et despence faicte par feu RAOUL MUTEAU, vivant l'un des six dixiniers au quartier de sire Blaise par l'an ci devant... Cloz au bureau, le dernier jour d'aoust » 1592 ; 81 « Estat des recepte et despence faictes par feu FRANÇOIS PREDESEIGLE, luy vivant commis à la recepte des deniers provenus des cottisations faictes par les bourgeois des quatorze dizaines du quartier de Saincte Geneviefve... Cloz au bureau, le quatriesme jour de febvrier » 1592 ; 82 « Estat des ordonnances faictes à Jehan de Gilles, commis par Mr de Martigues, gouverneur et lieutenant general pour le roy en Bretaigne, à l'extraordinaire des guerres à sa suitte, pour le payement et solde des gens de guerre, qu'il a amenez dudict pays... durant les moys de novembre et decembre derniers et present moys de janvyer 1568 » ; 83 « Estat du paiement de la solde et entretenement de douze galeres et une fregate... » pour le premier quartier de l'année 1560. « Faict à Orleans, le XIIIIe jour de janvier, l'an mil V.C. soixante ». Copie
Resumo:
L’obiettivo della presente dissertazione è la valutazione della vulnerabilità sismica del nucleo storico del complesso di San Giovanni in Monte a Bologna, con i metodi indicati nelle “Linee Guida” del Ministero per i Beni e le Attività Culturali, secondo i livelli di valutazione LV1 ed LV3. Gli edifici oggetto di studio si inseriscono all’interno di un aggregato storico unico nel suo genere che ha avuto come centro di sviluppo la Chiesa di San Giovanni in Monte e successivamente il complesso costituito da Chiesa e monastero adiacente.
Resumo:
Prima di procedere con il progetto sono state fatte sezioni storiche dell’area, in epoche indicative, per comprendere quelle che sono le invarianti e le caratteristiche di tale tessuto. Da qui si è dedotto lo schema generatore dell’insediamento che parte dall’identificazione degli assi viari (pedonali e carrabili) già presenti nell’area, che fanno diretto riferimento allo schema cardo-decumanico generatore dell’impianto angioino della città. Con il tracciamento si individuano gli isolati base, che con variazioni formali e tipologiche hanno originato gli edifici di progetto. I corpi di fabbrica generatori della planimetria, dialogano e rimangono a stretto contatto con i pochi edifici agibili, per i quali sono previsti consolidamenti e ristrutturazioni, qualora necessari. Inevitabile è stato il confronto con l’orografia, prestando particolare attenzione a non annullare con l’inserimento degli edifici il dislivello presente, ma lasciarlo percepire chiaramente: l’attacco a terra di ogni edificio avviene gradualmente, passando dai due piani fuori terra a monte ai tre, quattro a valle. Ovviamente non tutti gli assi sono stati trattati allo stesso modo, ma conseguentemente alla loro funzione e carattere di utilizzo. Analizzando la struttura viaria dell’intera area, si presentano schematicamente due anelli di circonvallazione del centro urbano: uno più esterno, di più recente costruzione, rappresentato da via XX Settembre, e uno più vecchio, che rimane rasente al centro storico, costituito dal viale Duca Degli Abruzzi, che prosegue in viale Giovanni XXIII e termina nel viadotto Belvedere. Quest’ultimo asse rappresenta sicuramente un importante collegamento cittadino, sia per la vicinanza al centro, sia per le porzioni di città messe in comunicazione; nonostante ciò il viadotto ha subito, all’altezza di viale Nicolò Persichetti, uno smottamento dopo il 6 aprile, ed essendo un elemento di scarso valore architettonico e spaziale, la sua presenza è stata ripensata. Compiendo una deviazione su via XX Settembre al termine di viale Duca Degli Abruzzi, che va a sfruttare la già presente via Fonte Preturo, non si va a rivoluzionante l’odierno assetto, che confluisce comunque, qualche centinaio di metri dopo, in via XX Settembre è si eliminano le connotazioni negative che il viadotto avrebbe sul rinnovato ingresso al centro storico. La vivibilità tende a favorire così collegamento e all’eterogeneità degli spazi più che la separazione fisica e psicologica: il concetto di città fa riferimento alla vita in comune; per favorirla è importante incentivare i luoghi di aggregazione, gli spazi aperti. Dalle testimonianze degli aquilani la vita cittadina vedeva il centro storico come principale luogo d’incontro sociale. Esso era animato dal numeroso “popolo” di studenti, che lo manteneva attivo e vitale. Per questo nelle intenzioni progettuali si pone l’accento su una visione attiva di città con un carattere unitario come sostiene Ungers3. La funzione di collegamento, che crea una struttura di luoghi complementari, può essere costituita dal sistema viario e da quello di piazze (luoghi sociali per eccellenza). Via Fontesecco ha la sua terminazione nell’omonima piazza: questo spazio urbano è sfruttato, nella conformazione attuale, come luogo di passaggio, piuttosto che di sosta, per questo motivo deve essere ricalibrato e messo in relazione ad un sistema più ampio di quello della sola via. In questo sistema di piazze rientra anche la volontà di mettere in relazione le emergenze architettoniche esistenti nell’area e nelle immediate vicinanze, quali la chiesa e convento dell’Addolorata, Palazzo Antonelli e la chiesa di San Domenico (che si attestano tutte su spazi aperti), e la chiesa di San Quinziano su via Buccio di Ranallo. In quest’ottica l’area d’intervento è intesa come appartenente al centro storico, parte del sistema grazie alla struttura di piazze, e allo stesso tempo come zona filtro tra centro e periferia. La struttura di piazze rende l’area complementare alla trama di pieni e vuoti già presente nel tessuto urbano cittadino; la densità pensata nel progetto, vi si accosta con continuità, creando un collegamento con l’esistente; allontanandosi dal centro e avvicinandosi quindi alle più recenti espansioni, il tessuto muta, concedendo più spazio ai vuoti urbani e al verde. Via Fontesecco, il percorso che delimita il lato sud dell’area, oltre ad essere individuata tra due fronti costruiti, è inclusa tra due quinte naturali: il colle dell’Addolorata (con le emergenze già citate) e il colle Belvedere sul quale s’innesta ora il viadotto. Questi due fronti naturali hanno caratteri molto diversi tra loro: il colle dell’Addolorata originariamente occupato da orti, ha un carattere urbano, mentre il secondo si presenta come una porzione di verde incolto e inutilizzato che può essere sfruttato come cerniera di collegamento verticale. Lo stesso declivio naturale del colle d’Addolorata che degrada verso viale Duca Degli Abruzzi, viene trattato nel progetto come una fascia verde di collegamento con il nuovo insediamento universitario. L’idea alla base del progetto dell’edilizia residenziale consiste nel ricostruire insediamenti che appartengano parte della città esistente; si tratta quindi, di una riscoperta del centro urbano e una proposta di maggior densità. Il tessuto esistente è integrato per ottenere isolati ben definiti, in modo da formare un sistema ben inserito nel contesto. Le case popolari su via Fontesecco hanno subito con il sisma notevoli danni, e dovendo essere demolite, hanno fornito l’occasione per ripensare all’assetto del fronte, in modo da integrarlo maggiormente con il tessuto urbano retrostante e antistante. Attualmente la conformazione degli edifici non permette un’integrazione ideale tra i percorsi di risalita pedonale al colle dell’Addolorata e la viabilità. Le scale terminano spesso nella parte retrostante gli edifici, senza sfociare direttamente su via Fontesecco. Si è quindi preferito frammentare il fronte, che rispecchiasse anche l’assetto originario, prima cioè dell’intervento fascista, e che consentisse comunque una percezione prospettica e tipologica unitaria, e un accesso alla grande corte retrostante. Il nuovo carattere di via Fontesecco, risultante dalle sezioni stradali e dalle destinazioni d’uso dei piani terra degli edifici progettuali, è quello di un asse commerciale e di servizio per il quartiere. L’intenzione, cercando di rafforzare l’area di progetto come nuovo possibile ingresso al centro storico, è quella di estendere l’asse commerciale fino a piazza Fontesecco, in modo da rendere tale spazio di aggregazione vitale: “I luoghi sono come monadi, come piccoli microcosmi, mondi autonomi, con tutte le loro caratteristiche, pregi e difetti, inseriti in un macrocosmo urbano più grande, che partendo da questi piccoli mondi compone una metropoli e un paesaggio”.4[...] Arretrando verso l’altura dell’Addolorata è inserita la grande corte del nuovo isolato residenziale, anch’essa con servizi (lavanderie, spazi gioco, palestra) ma con un carattere diverso, legato più agli edifici che si attestano sulla corte, anche per l’assenza di un accesso carrabile diretto; si crea così una gerarchia degli spazi urbani: pubblico sulla via e semi-pubblico nella corte pedonale. La piazza che domina l’intervento (piazza dell’Addolorata) è chiusa da un edificio lineare che funge da “quinta”, il centro civico. Molto flessibile, presenta al suo interno spazi espositivi e un auditorium a diretta disposizione del quartiere. Sempre sulla piazza sono presenti una caffetteria, accessibile anche dal parco, che regge un sistema di scale permettendo di attraversare il dislivello con la “fascia” verde del colle, e la nuova ala dell’Hotel “Duca degli Abruzzi”, ridimensionata rispetto all’originale (in parte distrutto dal terremoto), che si va a collegare in maniera organica all’edificio principale. Il sistema degli edifici pubblici è completo con la ricostruzione del distrutto “Istituto della Dottrina Cristiana”, adiacente alla chiesa di San Quinziano, che va a creare con essa un cortile di cui usufruiscono gli alunni di questa scuola materna ed elementare. Analizzando l’intorno, gran parte dell’abitato è definito da edifici a corte che, all’interno del tessuto compatto storico riescono a sopperire la mancanza di spazi aperti con corti, più o meno private, anche per consentire ai singoli alloggi una giusta illuminazione e areazione. Nel progetto si passa da due edifici a corti semi-private, chiusi in se stessi, a un sistema più grande e complesso che crea un ampio “cortile” urbano, in cui gli edifici che vi si affacciano (case a schiera e edifici in linea) vanno a caratterizzare gli spazi aperti. Vi è in questa differenziazione l’intenzione di favorire l’interazione tra le persone che abitano il luogo, il proposito di realizzare elementi di aggregazione più privati di una piazza pubblica e più pubblici di una corte privata. Le variazioni tipologiche degli alloggi poi, (dalla casa a schiera e i duplex, al monolocale nell’edilizia sociale) comportano un’altrettanta auspicabile mescolanza di utenti, di classi sociali, età e perché no, etnie diverse che permettano una flessibilità nell’utilizzo degli spazi pubblici.
Resumo:
Data la forte prolificazione culturale, sbocciata a Faenza all’inizio del XIX secolo, nasce intorno al 1830, nel pieno centro storico della città, un giardino di stampo romantico. Si affacciano a questo piccolo parco due edifici: uno è il convento di Santa Caterina, l’altro è il palazzo più importante per il neoclassicismo in Romagna, palazzo Milzetti. La sua forte caratteristica è un nucleo centrale costituito da ponticelli, vasche e una particolarissima piccola costruzione di legno con tetto in paglia, affrescata all’interno con tempere di Romolo Liverani, risalente al 1851. Nel passare degli anni il parco subirà notevoli modifiche e nel 1947 sarà incautamente diviso a metà, tramite una recinzione. In questo modo il complesso romantico rimarrà di proprietà non più di palazzo Milzetti, ma del circolo del Dopo Lavoro Ferroviario. Attorno a questo nucleo all’inglese verranno nel tempo costruiti molte strutture a servizio del circolo, e demolite le aiuole e il verde che un tempo caratterizzavano questo luogo. Anche il capanno di legno rimarrà per anni abbandonato e senza la manutenzione necessaria per la sua sopravvivenza. Solo nel 1981 saranno condotti i primi lavori di restauro, con l’intento di recuperare il manufatto e il suo intorno. Ma solo un decennio dopo, una grossa nevicata crea grossi danni alla copertura del capanno, il quale verrà poi protetto da una struttura in tubi metallici, esteticamente poco congrua al carattere del sito. Il progetto di restauro, che viene qui presentato, riguarda in primo luogo il recupero dell’assetto originario del giardino, eliminando quindi la barriera che separa le due parti, per far acquisire una ritrovata spazialità e una originaria interezza. Dopo un rilievo dell’area, sono state quindi esaminate, una ad una, le piante del giardino e catalogate per capirne l’importanza estetica, storica o progettuale. In questo modo è stata scelta la vegetazione che dovrà essere rimossa per creare un ambiente più lineare, pulito e organizzato. Anche per gli elementi artificiali che sono stati incautamente aggiunti, è stata pensata la rimozione: pavimentazioni, palco, campo coperto da bocce, servizi igienici. L’area è stata risarcita tenendo in considerazione il tessuto originario dell’Ottocento, caratterizzato da aiuole verdi sinuose e sentieri in ghiaia. Sono stati utilizzati materiali conformi e già presenti nel parco, come la ghiaia, pavimentazione in ciottolato e aiuole erbose, ma al tempo stesso gli elementi di nuova costruzione non si vogliono del tutto mimetizzare con il resto ma denunciare, anche se sottovoce, la loro contemporaneità. Come secondo passo, si è pensato al restauro del capanno rustico. La prima necessaria operazione è stata quella di compiere il rilievo del manufatto e capire così in che modo fosse possibile intervenire. Il lavoro è stato quindi condotto su due registri: il primo quello dell’analisi dello stato di conservazione dei materiali, l’altro per capire la sua resistenza strutturale. Grazie ad un restauratore del legno, si è compreso quali trattamenti fossero più idonei, a seconda dell’essenza, dell’età e della collocazione. Per quanto riguarda la verifica strutturale si è giunti alla conclusione che l’edificio non è in uno stato di rischio e che quindi è necessaria la sola sostituzione degli elementi della copertura, ormai deteriorata. Proprio lo stato terminale del tetto, in paglia, è in condizioni precarie ed è necessario sostituirlo. Per quel che riguarda il complesso romantico, vengono ristuccate e impermeabilizzate le vasche e vengono poi sostituiti i parapetti lignei con altri che si avvicinano maggiormente alle forme riprodotte nella tela di Tancredi Liverani (1851) dove immortala l’edificio subito dopo la sua costruzione. Il nuovo progetto non vuole essere un intervento invasivo, ma desidera invece riprendere le linee e i punti di vista di un parco in stile romantico. Come infatti è noto, sono gli scorci, le pause e i percorsi le fondamenta del progetto, che vuole ridare a Faenza un’ area verde nel suo pieno centro storico.
Resumo:
Cosa e’ stato fatto e il fine della ricerca in questi tre anni si è esaminato il materiale edito sui sarcofagi del periodo in esame, sui culti funerari, i problemi religiosi ed artistici. Per trovare confronti validi si sono resi necessari alcuni viaggi sia in Italia che all’estero. Lo scopo della ricerca è stato quello di “leggere” i messaggi insiti nelle figurazioni delle casse dei sarcofagi, per comprendere meglio la scelta dei committenti verso determinati temi e la ricezione di questi ultimi da parte del pubblico. La tomba, infatti, è l’ultima traccia che l’uomo lascia di sé ed è quindi importante cercare di determinare l’impatto psicologico del monumento funerario sul proprietario, che spesso lo acquistava quando ancora era in vita, e sui familiari in visita alla tomba durante la celebrazione dei riti per i defunti. Nell’ultimo anno, infine, si è provveduto a scrivere la tesi suddivindendo i capitoli e i pezzi in base all’argomento delle figurazioni (mitologici, di virtù, etc.). I capitoli introduttivi Nel primo capitolo di introduzione si è cercato di dare un affresco per sommi capi del periodo storico in esame da Caracalla a Teodosio e della Chiesa di III e IV secolo, mettendo in luce la profonda crisi che gravava sull’Impero e le varie correnti che frammentavano il cristianesimo. In particolare alcune dispute, come quella riguardante i lapsi, sarà alla base di ipotesi interpretative riguardanti la raffigurazione del rifiuto dei tre giovani Ebrei davanti a Nabuchodonosor. Nel capitolo seguente vengono esaminati i riti funerari e il ruolo dei sarcofagi in tali contesti, evidenziando le diverse situazioni emotive degli osservatori dei pezzi e, quindi, l’importanza dei temi trattati nelle casse. I capitolo Questo capitolo tratta dei sarcofagi mitologici. Dopo una breve introduzione, dove viene spiegata l’entrata in uso dei pezzi in questione, si passa alla discussione dei temi, suddivisi in paragrafi. La prima classe di materiali è qualla con la “caduta di Fetonte” la cui interpretazione sembra chiara: una tragedia familiare. Il compianto sul corpo di un ragazzo morto anzi tempo, al quale partecipa tutto il cosmo. L’afflizione dei familiari è immane e sembra priva di una possibile consolazione. L’unico richiamo a riprendere a vivere è solo quello del dovere (Mercurio che richiama Helios ai propri impegni). La seconda classe è data dalle scene di rapimento divino visto come consolazione e speranza in un aldilà felice, come quelle di Proserpina e Ila. Nella trasposizione della storia di Ila è interessante anche notare il fatto che le ninfe rapitrici del giovane – defunto abbiano le sembianze delle parenti già morte e di un fanciullo, probabilmente la madre, la nonna e un fratello deceduto anzi tempo. La terza classe presenta il tema del distacco e dell’esaltazione delle virtù del defunto nelle vesti dei cacciatori mitici Mealeagro, Ippolito e Adone tutti giovani, forti e coraggiosi. In questi sarcofagi ancor più che negli altri il motivo della giovinezza negata a causa della morte è fondamentale per sottolineare ancora di più la disperazione e il dolore dei genitori rimasti in vita. Nella seguente categoria le virtù del defunto sono ancora il tema dominante, ma in chiave diversa: in questo caso l’eroe è Ercole, intento ad affrontare le sue fatiche. L’interpretazione è la virtù del defunto che lo ha portato a vincere tutte le difficoltà incontrate durante la propria vita, come dimostrerebbe anche l’immagine del semidio rappresentato in età diverse da un’impresa all’altra. Vi è poi la categoria del sonno e della morte, con i miti di Endimione, Arianna e Rea Silvia, analizzato anche sotto un punto di vista psicologico di aiuto per il superamento del dolore per la perdita di un figlio, un marito, o, ancora, della sposa. Accanto ai sarcofagi con immagini di carattere narrativo, vi sono numerosi rilievi con personaggi mitici, che non raccontano una storia, ma si limitano a descrivere situazioni e stati d’animo di felicità. Tali figurazioni si possono dividere in due grandi gruppi: quelle con cortei marini e quelle con il tiaso dionisiaco, facendo dell’amore il tema specifico dei rilievi. Il fatto che quello del tiaso marino abbia avuto così tanta fortuna, forse, per la numerosa letteratura che metteva in relazione l’Aldilà con l’acqua: l’Isola dei Beati oltre l’Oceano, viaggi per mare verso il mondo dei morti. Certo in questo tipo di sarcofagi non vi sono esplicitate queste credenze, ma sembrano più che altro esaltare le gioie della vita. Forse il tutto può essere spiegato con la coesistenza, nei familiari del defunto, della memoria retrospettiva e della proiezione fiduciosa nel futuro. Sostanzialmente era un modo per evocare situazioni gioiose e di godimento sensibile, riferendole ai morti in chiave beneaugurale. Per quanto rigurda il tiaso di Bacco, la sua fortuna è stata dettata dal fatto che il suo culto è sempre stato molto attivo. Bacco era dio della festa, dell’estasi, del vino, era il grande liberatore, partecipe della crescita e della fioritura, il grande forestiero , che faceva saltare gli ordinamenti prestabiliti, i confini della città con la campagna e le convenzioni sociali. Era il dio della follia, al quale le menadi si abbandonavano nella danza rituale, che aggrediva le belve, amante della natura, ma che penetra nella città, sconvolgendola. Del suo seguito facevano parte esseri ibridi, a metà tra l’ordine e la bestialità e animali feroci ammansiti dal vino. I suoi nemici hanno avuto destini orribili di indicibile crudeltà, ma chi si è affidato anima e corpo a lui ha avuto gioia, voluttà, allegria e pienezza di vita. Pur essendo un valente combattente, ha caratteri languidi e a tratti femminei, con forme floride e capelli lunghi, ebbro e inebriante. Col passare del tempo la conquista indiana di alessandro si intrecciò al mito bacchico e, a lungo andare, tutti i caratteri oscuri e minacciosi della divinità scomparirono del tutto. Un esame sistematico dei temi iconografici riconducibili al mito di Bacco non è per nulla facile, in quanto l’oggetto principale delle raffigurazioni è per lo più il tiaso o come corteo festoso, o come gruppi di figure danzanti e musicanti, o, ancora, intento nella vendemmia. Ciò che interessava agli scultori era l’atmosfera gioiosa del tiaso, al punto che anche un episodio importante, come abbiamo visto, del ritrovamento di Arianna si pèerde completamente dentro al corteo, affollatissimo di personaggi. Questo perché, come si è detto anche al riguardo dei corte marini, per creare immagini il più possibile fitte e gravide di possibilità associative. Altro contesto iconografico dionisiaco è quello degli amori con Arianna. Sui sarcofagi l’amore della coppia divina è raffigurato come una forma di stupore e rapimento alla vista dell’altro, un amore fatto di sguardi, come quello del marito sulla tomba della consorte. Un altro tema , che esalta l’amore, è senza ombra di dubbio quello di Achille e Pentesilea, allegoria dell’amore coniugale. Altra classe è qualla con il mito di Enomao, che celebra il coraggio virile e l’attitudine alla vittoria del defunto e, se è presente la scena di matrimonio con Ippodamia, l’amore verso la sposa. Infine vi sono i sarcofagi delle Muse: esaltazione della cultura e della saggezza del morto. II capitolo Accanto ad i grandi ambiti mitologici dei due tiasi del capitolo precedente era la natura a lanciare un messaggio di vita prospera e pacifica. Gli aspetti iconografici diq uesto tema sono due: le stagioni e la vita in un ambiente bucolico. Nonostante la varietà iconografica del soggetto, l’idea di fondo rimane invariata: le stagioni portano ai morti i loro doni affinchè possano goderne tutto l’anno per l’eternità. Per quanto riguarda le immagini bucoliche sono ispirate alla vita dei pastori di ovini, ma ovviamente non a quella reale: i committenti di tali sarcofagi non avevano mai vissuto con i pastori, né pensavano di farlo i loro parenti. Le immagini realistiche di contadini, pastori, pescatori, tutte figure di infimo livello sociale, avevano assunto tratti idilliaci sotto l’influsso della poesia ellenistica. Tutte queste visioni di felicità mancano di riferimenti concreti sia temporali che geografici. Qui non vi sono protagonisti e situazioni dialogiche con l’osservatore esterno, attraverso la ritrattistica. I defunti se appaiono sono all’interno di un tondo al centro della cassa. Nei contesti bucolici, che andranno via, via, prendendo sempre più piede nel III secolo, come in quelli filosofici, spariscono del tutto le scene di lutto e di cordoglio. Le immagini dovevano essere un invito a godersi la vita, ma dovevano anche dire qualcosa del defunto. In una visione retrospettiva, forse, si potrebbero intendere come una dichiarazione che il morto, in vita, non si era fatto mancare nulla. Nel caso opposto, poteve invece essere un augurio ad un’esistenza felice nell’aldilà. III capitolo Qui vengono trattati i sarcofagi con l’esaltazione e l’autorappresentazione del defunto e delle sue virtù in contesti demitizzati. Tra i valori ricorrenti, esaltati nei sarcofagi vi è l’amore coniugale espresso dal tema della dextrarum iunctio, simbolo del matrimonio, la cultura, il potere, la saggezza, il coraggio, esplicitato dalle cacce ad animali feroci, il valore guerriero e la giustizia, dati soprattutto dalle scene di battaglia e di giudizio sui vinti. IV capitolo In questo capitolo si è provato a dare una nuova chiave di lettura ai sarcofagi imperiali di S. Elena e di Costantina. Nel primo caso si tratterebbe della vittoria eterna sul male, mentre nel secondo era un augurio di vita felice nell’aldilà in comunione con Dio e la resurrezione nel giorno del giudizio. V capitolo Il capitolo tratta le mediae voces, quei pezzi che non trovano una facile collocazione in ambito religioso poiché presentano temi neutri o ambivalenti, come quelli del buon pastore, di Prometeo, dell’orante. VI capitolo Qui trovano spazio i sarcofagi cristiani, dove sono scolpite varie scene tratte dalle Sacre Scritture. Anche in questo caso si andati al di là della semplice analisi stilistica per cercare di leggere il messaggio contenuto dalle sculture. Si sono scoperte preghiere, speranze e polemiche con le correnti cristiane considerate eretiche o “traditrici” della vera fede, contro la tradizionale interpretazione che voleva le figurazioni essenzialmente didascaliche. VII capitolo Qui vengono esposte le conclusioni da un punto di vista sociologico e psicologico.
Resumo:
L’attenzione dei pochi automobilisti che oggi passano velocemente per via Cavalli, nella frazione di Santa Maria Nuova, sotto il comune di Bertinoro (FC), non viene attirata dal palazzo settecentesco seminascosto dalla vegetazione che cresce incolta. L’edificio potrebbe passare per un casolare di campagna abbandonato, senza alcuna pretesa di bellezza, mutilato dei suoi terreni. Solo salendo lo scalone dissestato si può scoprire la ricchezza delle decorazione interne, stucchi baroccheggianti con maschere di volti provenienti da terre lontane e abbondanti cornucopie che circondano lo stemma della famiglia Cavalli. La piccola cappella della villa, in perfetto stato di conservazione, mostra, con un trionfo di stucchi, l’assunzione della Vergine al cielo, osservata dai santi Pietro e Paolo. Le quattro stanze centrali del piano nobile sono finemente dipinte con paesaggi marini e lacustri, stanze sepolcrali egizie e atrii di templi antichi. La ravennate famiglia dei marchesi Cavalli, una delle più ricche della zona nel XVIII e XIX secolo, utilizzava la villa come luogo di villeggiatura e come casino per la caccia. Testimonianze della loro presenza sono conservate nelle mappe storiche all’Archivio del Comune di Bertinoro e nell’Archivio parrocchiale di Santa Maria Nuova, dove si trovano descrizioni della ricchezza sia dell’edificio che delle terre possedute dai marchesi. Il complesso di villa Cavalli ha subito numerosi passaggi di proprietà dal 1900 ad oggi, è stato utilizzato come magazzino, pollaio, essiccatoio per il tabacco e le sue proprietà sono state frazionate fino a ridursi al piccolo parco presente oggi. Poiché gli attuali proprietari non possono garantire né la manutenzione ordinaria né quella straordinaria e il complesso è tutelato dal D. Lgs. 42/2004 Codice dei Beni Culturali e del Paesaggio è stato messo all’asta per tre volte, l’ultima nel dicembre 2011, senza risultato. La tesi sviluppa un’analisi dello stato di fatto della villa e del parco, partendo dal suo inserimento nel territorio fino allo studio dei dettagli costruttivi, per giungere ad un’ipotesi di progetto che vede il complesso strettamente legato a Santa Maria Nuova e alla sua gente. L’edificio fungerà da centro culturale, con mostre permanenti e temporanee, laboratori didattici, ludoteca per bambini e ospiterà la sede distaccata della biblioteca del comune di Bertinoro, ora inserita in un edificio di Santa Maria Nuova ma con dimensioni estremamente limitate. Si intendono effettuare interventi di consolidamento strutturale su tutti i solai della villa, su volte e copertura, con un atteggiamento di delicatezza verso il piano nobile, agendo dal piano inferiore e da quello superiore. Capitoli specifici trattano il restauro delle finiture e delle superfici dipinte e stuccate, per finire con l’intervento di adeguamento impiantistico e di valorizzazione del parco.
Resumo:
Ogni luogo, ogni città, reca i segni dell’evoluzione e della trasformazione dettata dal tempo. In alcuni casi il passato viene visto con un’accezione negativa, in altri positiva a tal punto da monumentalizzarla. Nel caso della città di Verucchio non è possibile mettere in ombra il valore, e la forza della Rocca del Sasso, che per la sua storia e la sua posizione, che la rende visibile sia dall’interno che dall’esterno del centro storico, la attesta come simbolo della città. Allo stesso tempo questa città di piccole dimensioni possiede un ricco passato che non è rintracciabile all’interno della città storica ma che emerge dal verde, nonchè dagli spazi nascosti sotto il parco che cinge perimetralmente la città. Questi momenti della storia, importanti e riconoscibili, possono essere connessi nonostante sia notevole il salto temporale che li divide. Lo strumento deve essere una forma che li unisca, uno spazio pubblico, limitato ma aperto, distinguibile ma integrato nel paesaggio, un nuovo “layer” che si sovrapponga a quelli precedenti esaltandone il valore. Il tema della direzione, del percorso, è alla base dei ragionamenti e delle soluzioni proposte per la realizzazione di un museo archeologico. A differenza dei luoghi pubblici come la piazza o il teatro, in questo caso l’esposizione prevede che l’utente si muova negli ambienti, che segua in maniera dinamica una serie di spazi, di figure, di affacci, che devono essere in grado si susseguirsi in maniera fluida, attraverso un “respiro” che mantenga alta l’attenzione del visitatore. Adottato questo tema si ha la possibilità di declinarlo più volte, attraverso non solo la disposizione degli spazi ma anche con la posizione dei volumi e degli assi che li generano. Il progetto del nuovo museo si pone in una zona che può essere definita come “di cerniera” tra il centro storico e il parco archeologico. A livello territoriale questa può essere giudicata una zona critica, poiché sono più di trenta i metri di dislivello tra queste due zone della città. La sfida è quindi quella di trasformare la lontananza da problema a opportunità e relazionarsi con la conformazione del territorio senza risultare eccessivamente impattanti ed invasivi su quest’ultimo. Poiché la città di Verucchio possiede già un museo archeologico, inserito all’interno dell’ex convento e della chiesa di Sant’Agostino, il percorso archeologico, che vede il museo progettato come fulcro del tutto, prevede che il turista abbia la possibilità di conoscere la civiltà villanoviana visitando sia il museo di progetto che quello esistente, avendo questi differenti allestimenti che non creano delle “sovrapposizioni storiche”, poiché sono uno tematico e l’altro cronologico. Il museo esistente si inserisce all’interno di un edificio esistente, adattando inevitabilmente i propri spazi espositivi alla sua conformazione. La realizzazione di un una nuova struttura porterebbe a una migliore organizzazione degli spazi oltre che ad essere in grado di accogliere anche i reperti presenti all’interno dei magazzini dell’ex convento e dei beni culturali di Bologna. La necropoli Lippi è solo una delle necropoli individuate perimetralmente alla città e i reperti, rilevati, catalogati e restaurati, sono in numero tale da poter essere collocati in una struttura museale adeguata. Il progetto si sviluppa su più fronti: l’architettura, l’archeologia ed il paesaggio. Il verde è una componente fondamentale del sistema della città di Verucchio, risulta essere un elemento di unione, che funge talvolta da perimetro del centro, talvolta da copertura della nuda roccia dove l’inclinazione del terreno non ha permesso nel tempo la realizzazione di edifici e strutture urbane, si mette in contrapposizione con la forma e i colori della città.
Resumo:
Progetto per una chiesa cattolica ad Ottawa, capitale del Canada. Nel lotto dove sorgeva la chiesa di Saint Charles su Beechwood Avenue, nel quartiere storicamente francofono di Vanier, si è progettata la nuova chiesa con le annesse opere parrocchiale. Dopo un'attenta analisi del sito sono state identificate le peculiarità storiche, paesaggistiche e socio-culturali della chiesa esistente e nel nuovo progetto si valorizzano i punti di forza del precedente edificio e li si integrano con un'architettura contemporanea. L'architettura sacra è stata sviluppata facendo riferimento all'archetipo della tenda che è, fin dalle origine della soria della salvezza cristiana, il tempio in cui Dio si rivela e in cui si rende presente fra gli uomini: "E il Verbo si fece carne e pose la sua tenda in mezzo a noi" (Giovanni 1, 14)
Resumo:
Gonocerus acuteangulatus (Hemiptera: Coreidae) è considerato uno dei principali fitofagi del nocciolo, in grado di causare con l’attività trofica pesanti perdite quali-quantitative di produzione. Nel triennio sono state quindi condotte indagini sulla bioetologia di G. acuteangulatus volte a: I) studiare comportamento alimentare ed effetti sulla produzione corilicola, II) identificare i feromoni e valutarne l’attività mediante biosaggi fisiologici e comportamentali in laboratorio, semi-campo e campo, III) rilevare le piante ospiti alternative al nocciolo. Mediante isolamento di adulti del coreide su rami di nocciolo con frutti è stata confermata l’assenza di correlazione fra entità del danno e numerosità degli individui presenti in corileto. Dalle analisi sensoriali su nocciole sane e danneggiate è emerso che le alterazioni causate delle punture di nutrizione sono rese più evidenti da conservazione e tostatura. Variazioni di tempi e temperature di tostatura potrebbero mitigare gli effetti del cimiciato. Nello studio dei feromoni, G. acuteangulatus, molto mobile nell’ambiente, è risultato poco adatto ai biosaggi in condizioni artificiali, come quelle in olfattometro e semi-campo. Le femmine sono tuttavia apparse attrattive per adulti di entrambi i sessi, mentre la miscela feromonale sintetizzata ha mostrato un’azione attrattiva, seppure non costante. Pertanto, ulteriori ripetizioni sono necessarie per convalidare questi risultati preliminari, modificando le condizioni di saggio in relazione alle caratteristiche della specie. Infine è stata accertata la preferenza del fitofago per alcune specie vegetali rispetto al nocciolo. Nel corso del triennio, popolazioni molto consistenti di G. acuteangulatus sono state rilevate su bosso, ciliegio di Santa Lucia, rosa selvatica, sanguinello, spino cervino, in corrispondenza del periodo di comparsa e maturazione dei frutti. Nell’impostazione di una strategia di difesa a basso impatto ambientale, l’attrattività di queste piante, in sinergia con eventuali feromoni di aggregazione, potrebbe essere utilmente sfruttata, per mantenere il coreide lontano dalla coltura.