720 resultados para Crisis intervention (Mental health services)


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Aim: To analyze changes in access to health care and its determinants in the immigrant and native-born populations in Spain, before and during the economic crisis. Methods: Comparative analysis of two iterations of the Spanish National Health Survey (2006 and 2012). Outcome variables were: unmet need and use of different healthcare levels; explanatory variables: need, predisposing and enabling factors. Multivariate models were performed (1) to compare outcome variables in each group between years, (2) to compare outcome variables between both groups within each year, and (3) to determine the factors associated with health service use for each group and year. Results: unmet healthcare needs decreased in 2012 compared to 2006; the use of health services remained constant, with some changes worth highlighting, such as the decline in general practitioner visits among autochthons and a narrowed gap in specialist visits between the two populations. The factors associated with health service use in 2006 remained constant in 2012. Conclusion: Access to healthcare did not worsen, possibly due to the fact that, until 2012, the national health system may have cushioned the deterioration of social determinants as a consequence of the financial crisis. Further studies are necessary to evaluate the effects of health policy responses to the crisis after 2012.

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Background: Migrant workers have been one of the groups most affected by the economic crisis. This study evaluates the influence of changes in employment conditions on the incidence of poor mental health of immigrant workers in Spain, after a period of 3 years, in context of economic crisis. Methods: Follow-up survey was conducted at two time points, 2008 and 2011, with a reference population of 318 workers from Colombia, Ecuador, Morocco and Romania residing in Spain. Individuals from this population who reported good mental health in the 2008 survey (n = 214) were interviewed again in 2011 to evaluate their mental health status and the effects of their different employment situations since 2008 by calculating crude and adjusted odds ratios (aORs) for sociodemographic and employment characteristics. Findings: There was an increased risk of poor mental health in workers who lost their jobs (aOR = 3.62, 95%CI: 1.64–7.96), whose number of working hours increased (aOR = 2.35, 95%CI: 1.02–5.44), whose monthly income decreased (aOR = 2.75, 95%CI: 1.08–7.00) or who remained within the low-income bracket. This was also the case for people whose legal status (permission for working and residing in Spain) was temporary or permanent compared with those with Spanish nationality (aOR = 3.32, 95%CI: 1.15–9.58) or illegal (aOR = 17.34, 95%CI: 1.96–153.23). In contrast, a decreased risk was observed among those who attained their registration under Spanish Social Security system (aOR = 0.10, 95%CI: 0.02–0.48). Conclusion: There was an increase in poor mental health among immigrant workers who experienced deterioration in their employment conditions, probably influenced by the economic crisis.

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Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.

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Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.

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Every individual with mental illness has the right to be safe and cared for. Most people will receive the love and care from their families and friends, but they will also expect mental-health professionals, occupational therapists and the community to work together to provide the necessary services to support their recovery from mental illness. This article highlights the development of the recovery approach for people with mental illness in Australia and New Zealand. The implications of recovery concepts for occupational therapy, in the areas of individualized approach, participation of service users and carers, person-centred assessment and intervention, intersectoral links and mental-health promotion, are discussed. There are a number of key areas requiring further research and debate, notably the most effective means of implementing and evaluating recovery-focused interventions.

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The concept of the burden of disease, introduced and estimated for a broad range of diseases in the World Bank report of 1993 illustrated that mental and neurological disorders not only entail a higher burden than cancer, but are responsible, in developed and developing countries, for more than 15% of the total burden of all diseases. As a consequence, over the past decade, mental disorders have ranked increasingly highly on the international agenda for health. However, the fact that mental health and nervous system disorders are now high on the international health agenda is by no means a guarantee that the fate of patients suffering from these disorders in developing countries will improve. In most developing countries the treatment gap for mental and neurological disorders is still unacceptably high. To address this problem, an international network of collaborating institutions in low-income countries has been set up. The establishment and the achievements of this network-the International Consortium on Mental Health Policy and Services-are reported. Sixteen institutions in developing countries collaborate (supported by a small number of scientific resource centres in industrialized nations) in projects on applied mental health systems research. Over a two-year period, the network produced the key elements of a national mental health policy; provided tools and methods for assessing a country's current mental health status (context, needs and demands, programmes, services and care and outcomes); established a global network of expertise, i.e., institutions and experts, for use by countries wishing to reform their mental health policy, services and care; and generated guidelines and examples for upgrading mental health policy with due regard to the existing mental health delivery system and demographic, cultural and economic factors.

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The purpose of this paper is to conduct a qualitative review of randomised controlled trials in relation to the treatment of adults with co-occurring mental health and substance use disorder (MH/SUD). In particular, integrated approaches are compared with non-integrated approaches to treatment. Ten articles were identified for inclusion in the review. The findings are equivocal with regard to the superior efficacy of integrated approaches to treatment, although the many limitations of the studies need to be considered in our understanding of this finding. Clearly, this is an extremely challenging client group to engage and maintain in intervention research, and the complexity and variability of the problems render control particularly difficult. The lack of available evidence to support the superiority of integration is discussed in relation to these challenges. Much remains to be investigated with regard to integrated management and care for people with co-occurring and MH/SUD, particularly for specific combinations of dual diagnosis and giving consideration to the level of inter-relatedness between the disorders. (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Audit report on the County Rural Offices of Social Services Mental Health Region (CROSS) for the year ended June 30, 2015

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Audit report on Mental Health Disability Services of the East Central Region (MHDS-ECR) for the year ended June 30, 2015

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Objective: To examine the impact on dental utilisation following the introduction of a participating provider scheme (Regional and Rural Oral Health Program {RROHP)). In this model dentists receive higher third party payments from a private health insurance fund for delivering an agreed range of preventive and diagnostic benefits at no out-ofpocket cost to insured patients. Data source/Study setting: Hospitals Contribution Fund of Australia (HCF) dental claims for all members resident in New South Wales over the six financial years from l99811999 to 200312004. Study design: This cohort study involves before and after analyses of dental claims experience over a six year period for approximately 81,000 individuals in the intervention group (HCF members resident in regional and rural New South Wales, Australia) and 267,000 in the control group (HCF members resident in the Sydney area). Only claims for individuals who were members of HCF at 31 December 1997 were included. The analysis groups claims into the three years prior to the establishment of the RROHP and the three years subsequent to implementation. Data collection/Extraction methods: The analysis is based on all claims submitted by users of services for visits between 1 July 1988 and 30 June 2004. In these data approximately 1,000,000 services were provided to the intervention group and approximately 4,900,000 in the control group. Principal findings: Using Statistical Process Control (SPC) charts, special cause variation was identified in total utilisation rate of private dental services in the intervention group post implementation. No such variation was present in the control group. On average in the three years after implementation of the program the utilisation rate of dental services by regional and rural residents of New South Wales who where members of HCF grew by 12.6%, over eight times the growth rate of 1.5% observed in the control group (HCF members who were Sydney residents). The differences were even more pronounced in the areas of service that were the focus of the program: diagnostic and preventive services. Conclusion: The implementation of a benefit design change, a participating provider scheme, that involved the removal of CO-payments on a defined range of preventive and diagnostic dental services combined with the establishment and promotion of a network of dentists, appears to have had a marked impact on HCF members' utilisation of dental services in regional and rural New South Wales, Australia.