889 resultados para Companies’ Occupational Health and Safety Internal Structures (COHSIS)
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Tämä diplomityö tehtiin Sampo-Rosenlewin Porin tehtaan toimeksiannosta. Työn tavoitteena oli kehittää ympäristö- ja turvallisuustoimintaa tehtaalla. Ympäristö- ja turvallisuustoimintaa kehitettiin luomalla toimintajärjestelmä sekä valitsemalla riskienhallintamenetelmä POA. Uusien työkalujen tuonti mukaan toimintakulttuuriin todettiin haastavaksi, sillä turvallisuus- ja ympäristökulttuuri on vielä matalalla tasolla. Ympäristö- ja turvallisuustoiminnan tasoa ja hallintakeinoja tutkittiin benchmarkkaamalla kolmea saman kokoluokan teollisuusyritystä ja keräämällä hyväksi todettuja metodeja toimintajärjestelmään. Sampo-Rosenlew on Porissa sijaitseva konepaja, joka valmistaa leikkuupuimureita ja metsäkoneita. Sampo-Rosenlew käyttää konepajana paljon kemikaaleja johtuen kolmesta maalaamostaan. Työn tavoitteena oli parantaa Sampo-Rosenlewin ympäristö- ja turvallisuusasioiden nykyistä tilaa erilaisten työkalujen avulla, joita yritykselle luotiin. Työssä kehitettiin Sampo-Rosenlewille toimintajärjestelmä ISO 14001 ympäristöjärjestelmästandardia ja OHSAS 18001 TTT- järjestelmästandardia mukaillen. Luotu toimintajärjestelmä on tulevaisuudessa tavoitteena sertifioida. Valittua riskianalyysimenetelmä POA:aa tullaan pilottivaiheessa testaamaan aluksi yrityksen maalaamoissa. Toimintajärjestelmä ja riskienhallintamenetelmä pyrittiin luomaan mahdollisimman yksinkertaiseksi, selkeäksi ja helpoksi kehittää. Näiden menetelmien käyttöönoton onnistumiseen vaikuttavat nykyinen toimintakulttuuri ja ylimmän johdon sitoutuminen asiaan. Järjestelmän käyttöönoton myötä on tavoitteena Sampo-Rosenlewin dokumentoinnin tason parantaminen ja kilpailukyvyn tehostaminen.
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Les systèmes de gestion intégrée en environnement et en santé et sécurité du travail (SGI) sont un nouveau paradigme de gestion dans les organisations modernes. Ces systèmes sont construits à partir des normes ISO 14001 et d’OHSAS 18001, basées sur la prévention des risques et le principe de précaution. La littérature sur les SGI témoigne d’un marasme conceptuel prédominant depuis plus de 10 ans; elle insiste sur l’urgence d’un consensus taxinomique et conceptuel afin de définir les systèmes de gestion intégrée et de différencier le mécanisme d’intégration de celui de l’implantation. Cette lacune conceptuelle enlise les connaissances dans un fossé épistémologique, retardant ainsi le débat dans ce nouveau champ d’études. Les rares connaissances dont nous disposons dans ce domaine proviennent de quelques études théoriques et de six études empiriques, toutes préoccupées par la compatibilité des multiples systèmes et des avantages économiques de leur intégration. Les évidences engendrées par ces études sont insuffisantes pour appréhender la dynamique du nouveau paradigme dont les effets demeurent peu connus. Cette situation révèle l’urgence d’agir dans un contexte où l’utilisation des SGI se multiplie, et où leur tendance à minimiser l’importance des risques devient de plus en plus préoccupante. Aucune étude ne s’est encore penchée sur l’implantation d’un SGI en environnement et en santé et sécurité du travail construit uniquement à partir des normes ISO 14001 et d’OHSAS 18001. Cette connaissance est importante pour expliquer les effets de tels systèmes. C’est dans cette perspective que nous avons réalisé cette première étude empirique d’un SGI selon les normes ISO 14001 et d’OHSAS 18001. Nos questions de recherche portent sur le mode, le degré d’implantation, les effets du SGI, ainsi que sur les facteurs contextuels qui interviennent pour expliquer les variations dans le degré d’implantation et les effets du SGI. Il s’agit d’une recherche à prélèvement qualitatif qui repose sur un devis d’étude de cas, avec des niveaux d’analyse imbriqués, et comportant une double visée descriptive et explicative. Notre échantillon, de type raisonné, regroupait trente-cinq intervenants provenant de différentes instances hiérarchiques ; il incluait également des représentants syndicaux. Notre échantillon était composé de 7 usines, accréditées aux normes ISO 14001, OHSAS 18001, et dispersées dans différentes villes du Québec. Ces usines différaient tant par leur technologie, leur âge, leur taille, et leurs types de production. Nos données ont été recueillies en 2004; elles sont basées sur des entrevues semi dirigées, sur des observations directes lors de la visite des lieux; elles s’appuient aussi sur des consultations de documents internes et sur des outils électroniques implantés. La transcription des entrevues effectuée, le contenu des discours a été catégorisé selon les cinq dimensions du SGI: engagement, planification, mise en opération, contrôle et revue de la direction. Une condensation horizontale avait précédé l’analyse de chaque cas et l’analyse transversale des cas selon une approche à la fois inductive et déductive. Les résultats de notre recherche ont révélé deux modes d’implantation : le mode d’enrichissement et le mode de fusion. Ces modes dépendaient de la nature des structures fonctionnelles en place. La visée d’amélioration continue à la base du SGI n’avait pas réussi à concilier les approches traditionnelles bottom up et top down qui ont dominé cette implantation; son mécanisme était guidé par 4 types de stratégies : l’économie des ressources, le contrôle des forces d’influences, la stratégie des fruits faciles à cueillir et la stratégie à petits pas. Pour analyser le degré d’implantation, nous avons tenu compte de l’effort de structuration du SGI et de la force d’utilisation des processus implantés à chacune des cinq dimensions du SGI. Les résultats de notre recherche révèlent une variabilité certaine du degré d’implantation entre les usines d’une part, et entre les processus associés aux cinq dimensions du SGI d’autre part. L’analyse des discours a permis de produire cinq hypothèses qui soutiennent l’effort de structuration et la force d’utilisation du SGI: (i) l’hypothèse de la force de cohésion, (ii) l’hypothèse de la spécificité du processus, (iii) l’hypothèse de la portée du processus, (iv) l’hypothèse de la capacité organisationnelle, (v) l’hypothèse de l’acceptation du changement. L’implantation du SGI était soumise à l’influence de multiples facteurs; ils étaient de nature politique, structurelle et organisationnelle. Ces facteurs avaient agi sur le processus d’implantation en amorçant une cascade d’interactions au cours desquelles leurs forces d’influences se renforçaient, se neutralisaient ou s’additionnaient pour affecter le degré d’implantation. Les facteurs facilitant touchaient surtout l’effort de structuration ; ils incluaient : l’expérience des systèmes de gestion, l’implication de la direction, celle du syndicat ou du CSS, la structure organisationnelle, le niveau d’éducation, l’âge et la taille de l’usine. Quant aux facteurs contraignants, ils agissaient sur la force d’utilisation ; ils incluaient : la lourdeur procédurale, le manque de temps, le manque de formation, le manque de ressources, la culture organisationnelle, la structure organisationnelle, le fossé intergénérationnel, l’absence du syndicat et l’âge de l’usine. Trois effets proximaux escomptés par l’entreprise ont été observés. (i) La rigueur de la gestion était associée à l’application des exigences du SGI; elle touchait la gouvernance en environnement et en santé et sécurité du travail, les mécanismes de gestion et les procédés de production. (ii) La standardisation était reliée au mode d’implantation du SGI; elle concernait les pratiques, les outils, les méthodes de travail et l’organisation des ressources. (iii) La rupture des silos est un effet relié au mode d’implantation du SGI; elle touchait les structures départementales, les frontières professionnelles, les relations et climat de travail. Ces effets proximaux avaient provoqué plusieurs effets émergents, plus distaux: une augmentation du pouvoir de contrôle syndical, un renforcement de la légitimité des recommandations soumises par les spécialistes professionnels, la création de réseaux inter organisationnels et le transfert du savoir. L’implantation du SGI avait transformé la gouvernance et les pratiques en environnement et en santé et sécurité du travail dans les sept usines. Toutefois, elle ne semblait pas garantir l’immunité du processus de gestion des risques à l’environnement ni à la santé et sécurité du travail. Sa capacité à diluer les risques devait retenir l’attention des politiques de santé publiques et des programmes de prévention des risques à l’environnement et à la santé et sécurité du travail. L’amélioration de la gestion des risques demeurait un effet attendu non observé et soumis à des facteurs contextuels qui pourraient l’empêcher de se concrétiser. À cet égard, le transfert du savoir, renforcé par l’émergence des réseaux inter organisationnels, semblait offrir une avenue beaucoup plus prometteuse et accessible. C’est l’une des contributions de cette recherche. Elle a aussi (i) proposé une typologie des modes d’implantation et des effets du SGI (ii) préconisé une méthode détaillée d’une meilleure appréciation du degré d’implantation (iii) précisé le rôle des facteurs contextuels dans l’explication des variations du degré d’implantation et dans la production des effets, (iv) proposé des hypothèses sur la structuration et l’utilisation du SGI (v) offert une perspective plurielle et approfondie de la dynamique de l’implantation du SGI grâce à la variété de l’échantillon des répondants et des usines. Il s’agit de la première étude de terrain dans le domaine. À notre connaissance, aucune autre étude n’a eu de tels résultats. Mots Clés : ISO 14001, OHSAS 18001, gestion intégrée, environnement, santé et sécurité du travail, risques environnementaux, risques en santé et sécurité du travail, analyse d’implantation, degré d’implantation, SGI, transfert du savoir.
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De nombreuses études concluent que la charge mécanique supportée par le genou, qu’elle soit reliée à l’obésité, aux sports intenses, à une altération biomécanique des structures de l’articulation ou à une exposition à des charges lourdes durant les activités occupationnelles, est considérée comme un facteur de risque important au développement de la gonarthrose. La gonarthrose reliée au travail a été le sujet de nombreuses études et plusieurs d’entre elles ont rapporté une prévalence accrue de la gonarthrose chez les travailleurs de certains domaines en particulier, comme la construction, la pose de plancher, la peinture, l’exploitation minière, l’agriculture et le travail en atelier et en milieu de la santé. Les personnes qui travaillent dans ces métiers sont exposées à des positions ou des activités nuisibles, comme travailler à genoux ou accroupi, monter des escaliers ou des échelles, transporter des changes lourdes et marcher de façon prolongée. Ces gestes surchargent l’articulation du genou, ce qui cause des modifications aux structures de l’articulation du genou ou aux adaptations neuromusculaires de patron de mouvement du genou. Ces modifications structurelles et adaptations neuromusculaires peuvent apporter des changements cinématiques à la marche qui peuvent initier la gonarthrose ou contribuer à sa progression. L’objectif principal de la présente étude était d’analyser l’effet d’une surcharge mécanique sur l’articulation fémoro-tibiale (AF-T) subie au travail lors d’une tâche de marche et comparer le patron cinématique de l’articulation fémoro-tibiale des travailleurs exposés à une surcharge mécanique à celui des travailleurs non exposés. Vingt-quatre travailleurs exposés à une surcharge mécanique et neuf travailleurs non exposés ont participé à l’étude. Les données cinématiques de la marche ont été enregistrées au niveau du genou dans des conditions cliniques en utilisant un système de suivi du mouvement électromagnétique. Les paramètres suivant ont été extraits et utilisés pour la comparaison des groupes : l’angle maximum lors du contact initial, l’angle ii maximum de flexion durant la réponse à la charge, l’angle minimum au moment de l’appui unipodal et l’étendue max-min du cycle. La comparaison des groupes pour les variables cliniques et cinématiques a été effectué par l’utilisation de tests-t bilatéraux (« Student-t tests ») et de tests ANCOVA utilisant le poids et la vitesse comme covariables. Les travailleurs exposés à une surcharge mécanique présentaient un plus grand angle de flexion de l’articulation fémoro-tibiale au contact initial, durant la réponse au chargement et à la phase unipodale et ils ont démontré une étendue d’angle moindre que les travailleurs non exposés. Nous croyons que les données cinématiques de la marche peuvent donner des idées sur les facteurs biomécaniques qui pourraient prédisposer les travailleurs au développement ou à la progression de la gonarthrose. Une meilleure compréhension de ces facteurs pourrait être un premier pas vers le développement d’une intervention plus efficace pour cette population.
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Objetivo: Caracterizar los sectores económicos con mayor susceptibilidad de exposición a agentes químicos carcinógenos, categorizados en el grupo 1 por la Agencia Internacional para la Investigación del Cáncer IARC (formaldehído, polvo de madera, benceno y sílice cristalina) afiliadas a una Administradora de riesgos Laborales (ARL) en Colombia entre el periodo 2011 a 2014. Método: Estudio de tipo descriptivo retrospectivo con datos históricos obtenidos desde 2011 hasta 2014. De acuerdo con el número de mediciones que se realizó en cada área y cargo de las empresas objeto de estudio, se utilizó la medición basal para determinar el estado inicial y evaluar de manera concurrente la exposición de estos cuatro agentes químicos. Resultados: En total se obtuvieron 201 mediciones de higiene industrial para cuatro agentes químicos carcinógenos. Los resultados mostraron que índice de riesgo de la exposición a agentes químicos carcinógenos en diferentes empresas, se encuentra en algunos casos en niveles altos o críticos dado que superar los valores máximos permisibles definidos por la Conferencia Americana de Higienistas Industriales de Gobierno (ACGIH). Conclusión: Los trabajadores de diferentes empresas en Colombia están expuestas a diferentes tipos de concentraciones por agentes químicos cancerígenos. Las concentraciones ambientales obtenidas en el ambiente laboral en algunos casos excedieron las concentraciones máximas permitidas, por lo que se recomienda que las empresas e instituciones del país fortalezcan las medidas de prevención, vigilancia y control para minimizar los riegos a que pueden estar expuestos sus trabajadores.
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Local, tacit and normally unspoken OHS (occupational health and safety) knowledge and practices can too easily be excluded from or remain below the industry horizon of notice, meaning that they remain unaccounted for in formal OHS policy and practice. In this article we stress the need to more systematically and routinely tap into these otherwise ‘hidden’ communication channels, which are central to how everyday safe working practices are achieved. To demonstrate this approach this paper will draw on our ethnographic research with a gang of migrant curtain wall installers on a large office development project in the north of England. In doing so we reflect on the practice-based nature of learning and sharing OHS knowledge through examples of how workers’ own patterns of successful communication help avoid health and safety problems. These understandings, we argue, can be advanced as a basis for the development of improved OHS measures, and of organizational knowing and learning.
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The concept of frontline safety encapsulates an approach to occupational health and safety that emphasizes the 'other side of the regulatory relationship' – the ways in which safety culture, individual responsibility, organizational citizenship, trust, and compliance are interpreted and experienced at the local level. By exploring theoretical tensions over the most appropriate way of conceptualizing and framing frontline regulatory engagement, we can better identify the ways in which conceptions of individuals (as rational, responsible, economic actors) are constructed and maintained through workplace interactions and decision-making, as part of the fulfilment of the ideological and constitutive needs of neoliberal labor markets.
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As pressões de mercado, os programas de abertura financeira, a desregulamentação da atividade produtiva e a diminuição de barreiras protecionistas afetam significativamente a competitividade da indústria nacional. Outras mudanças, não apenas econômicas, mas sociais, políticas e tecnológicas, também pressionam as organizações a adotar novas estratégias empresariais e deixam claro que modelos de gestão tradicionais já não são mais suficientes para enfrentar estes novos desafios. Na busca de diferenciais competitivos, as empresas têm adotado sistemas de gestão da qualidade, de gestão ambiental e de gestão da saúde e segurança do trabalhador. Como forma de evidenciar a terceiros sua preocupação simultânea com estas três disciplinas, as empresas têm buscado a certificação integrada destes sistemas por meio das normas ISO 9001, ISO 14001 e OHSAS 18001. Surgem, assim, os Sistemas de Gestão Integrados (SGIs), objetos de pesquisa deste estudo. O recorte é setorial, sendo que o setor de construção foi escolhido devido a características como singularidade de seus produtos, alto impacto ambiental e alto índice de acidentes de trabalho. Com o objetivo de investigar como os SGIs foram implementados no setor de construção, foram escolhidos três casos de empresas sabidamente adotantes deste modelo de gestão. Foram analisadas as motivações, o processo de implementação e certificação do sistema, os fatores críticos de sucesso, as dificuldades encontradas e os benefícios colhidos com a adoção de SGIs. A pesquisa confirmou estudos anteriores que demonstram que a motivação, dependendo do contexto em que as empresas se inserem, pode ser por necessidade de maior competitividade, de legitimação, ou ainda, por responsabilidade ambiental de sua liderança. Os fatores críticos de sucesso são, dentre outros, comprometimento da alta administração, comunicação eficiente com as partes interessadas, disponibilidade de recursos e maturidade das equipes. As dificuldades encontradas foram a valorização excessiva de resultados econômico-financeiros, a complexidade do modelo adotado, a utilização burocrática do sistema, a falta de maturidade e preparo dos profissionais, o porte dos projetos, o perfil de competências dos profissionais e variados tipos de resistências. A adoção do SGI nas empresas estudadas esteve condicionada a situações do cenário econômico, do alto índice de terceirização verificado no setor e às dificuldades com a qualificação da mão-de-obra. Não obstante as dificuldades e os condicionantes, o SGI trouxe vários benefícios para as organizações e, um dado relevante, é que ele pode desencadear reações positivas ao longo da cadeia de valor, uma vez que as empresas adotantes de SGI passam a ser mais exigentes em relação a seus fornecedores.
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Implantar um Centro de serviços Compartilhados (CSC) é uma prática atualmente utilizada tanto por empresas brasileiras quanto em outros países para padronizar processos, otimizar recursos e reduzir custos, permitindo que suas unidades operacionais se dediquem as suas atividades fim, deixando as atividades comuns (transacionais) sob suporte e responsabilidade do CSC. De outro lado, as áreas de Saúde Ocupacional e Meio Ambiente (SSMA) têm importante papel em grande parte das empresas, tendo em vista que a gestão da saúde e segurança dos empregados da empresa está sob sua responsabilidade. O objetivo deste trabalho é analisar a viabilidade e identificar os resultados da inserção de atividades relacionadas à SSMA em um Centro de Serviços Compartilhados (CSC). Para cumprir esse objetivo, optou-se por adotar como metodologia de pesquisa, além do levantamento bibliográfico, um estudo de caso em uma empresa multinacional atuante nos segmentos de Mineração, Logística, Energia, Óleo e Gás e Entretenimento. Os dados coletados permitiram uma comparação entre a bibliografia pesquisada e o estudo de caso realizado. Os resultados mostraram que o mapeamento dos processos da área de SSMA foi essencial para desafiar os processos existentes, gerando oportunidades de melhoria de desempenho organizacional ao identificar interfaces críticas e, sobretudo, criar bases para implantação do SAP. Este mapeamento estruturado de processos permitiu, ainda, reduzir custos no desenvolvimento de produtos e serviços, falhas de integração entre áreas e promover melhoria de desempenho organizacional, além de ser uma excelente ferramenta para o melhor entendimento dos processos atuais e eliminação ou simplificação dos que necessitam de mudanças.
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This Master s Thesis deals with an analysis of the Regulatory Standards NR-9 e NR-13 on the perspective of occupational health and safety management systems (OHSMS) such as ILO deployed ILO/OSH-2001. Since the revamped OHSAS 18001:2007 complies with the ILO/OSH-2001 model it is used as benchmark to compare against the NR-9 and NR-13. The analysis suggests that the NR-9 has some important features present on the OHSAS 18001:2007 but lacks important others. The NR-13 turns out to be far from a modern model of OHSMS such as OHSAS 18001:2007 and a deep reformulation should be done in order to achieve the Brazil commitment with ILO to adopt OHSMS. Also, a small survey with companies with ISO 9000 certificates suggests that a NR-13 revised toward OHSMS would be welcome, but also that some more advanced issues present in ILO/OSH-2001 should be imposed by law in order to be achieved
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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This PhD thesis focused on nanomaterial (NM) engineering for occupational health and safety, in the frame of the EU project “Safe Nano Worker Exposure Scenarios (SANOWORK)”. Following a safety by design approach, surface engineering (surface coating, purification process, colloidal force control, wet milling, film coating deposition and granulation) were proposed as risk remediation strategies (RRS) to decrease toxicity and emission potential of NMs within real processing lines. In the first case investigated, the PlasmaChem ZrO2 manufacturing, the colloidal force control applied to the washing of synthesis rector, allowed to reduce ZrO2 contamination in wastewater, performing an efficient recycling procedure of ZrO2 recovered. Furthermore, ZrO2 NM was investigated in the ceramic process owned by CNR-ISTEC and GEA-Niro; the spray drying and freeze drying techniques were employed decreasing NM emissivity, but maintaining a reactive surface in dried NM. Considering the handling operation of nanofibers (NFs) obtained through Elmarco electrospinning procedure, the film coating deposition was applied on polyamide non-woven to avoid free fiber release. For TiO2 NF the wet milling was applied to reduce and homogenize the aspect ratio, leading to a significant mitigation of fiber toxicity. In the Colorobbia spray coating line, Ag and TiO2 nanosols, employed to transfer respectively antibacterial or depolluting properties to different substrates, were investigated. Ag was subjected to surface coating and purification, decreasing NM toxicity. TiO2 was modified by surface coating, spray drying and blending with colloidal SiO2, improving its technological performance. In the extrusion of polymeric matrix charged with carbon nanotube (CNTs) owned by Leitat, the CNTs used as filler were granulated by spray drying and freeze spray drying techniques, allowing to reduce their exposure potential. Engineered NMs tested by biologists were further investigated in relevant biological conditions, to improve the knowledge of structure/toxicity mechanisms and obtain new insights for the design of safest NMs.
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The purpose of this prospective observational field study was to present a model for measuring energy expenditure among nurses and to determine if there was a difference between the energy expenditure of nurses providing direct care to adult patients on general medical-surgical units in two major metropolitan hospitals and a recommended energy expenditure of 3.0 kcal/minute over 8 hours. One-third of the predicted cycle ergometer VO2max for the study population was used to calculate the recommended energy expenditure.^ Two methods were used to measure energy expenditure among participants during an 8 hour day shift. First, the Energy Expenditure Prediction Program (EEPP) developed by the University of Michigan Center for Ergonomics was used to calculate energy expenditure using activity recordings from observation (OEE; n = 39). The second method used ambulatory electrocardiography and the heart rate-oxygen consumption relationship (HREE; n = 20) to measure energy expenditure. It was concluded that energy expenditure among nurses can be estimated using the EEPP. Using classification systems from previous research, work load among the study population was categorized as "moderate" but was significantly less than (p = 0.021) 3.0 kcal/minute over 8 hours or 1/3 of the predicted VO2max.^ In addition, the relationships between OEE, body-part discomfort (BPCDS) and mental work load (MWI) were evaluated. The relationships between OEE/BPCDS and OEE/MWI were not significant (p = 0.062 and 0.091, respectively). Among the study population, body-part discomfort significantly increased for upper arms, mid-back, lower-back, legs and feet by mid-shift and by the end of the shift, the increase was also significant for neck and thighs.^ The study also provided documentation of a comprehensive list of nursing activities. Among the most important findings were the facts that the study population spent 23% of the workday in a bent posture, walked an average of 3.14 miles, and spent two-thirds of the shift doing activities other than direct patient care, such as paperwork and communicating with other departments. A discussion is provided regarding the ergonomic implications of these findings. ^
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This study of ambulance workers for the emergency medical services of the City of Houston studied the factors related to shiftwork tolerance and intolerance. The EMS personnel work a 24-hour shift with rotating days of the week. Workers are assigned to A, B, C, D shift, each of which rotate 24-hours on, 24-hours off, 24-hours on and 4 days off. One-hundred and seventy-six male EMTs, paramedics and chauffeurs from stations of varying levels of activity were surveyed. The sample group ranged in age from 20 to 45. The average tenure on the job was 8.2 years. Over 68% of the workers held a second job, the majority of which worked over 20 hours a week at the second position.^ The survey instrument was a 20-page questionnaire modeled after the Folkard Standardized Shiftwork Index. In addition to demographic data, the survey tool provided measurements of general job satisfaction, sleep quality, general health complaints, morningness/eveningness, cognitive and somatic anxiety, depression, and circadian types. The survey questionnaire included an EMS-specific scaler of stress.^ A conceptual model of Shiftwork Tolerance was presented to identify the key factors examined in the study. An extensive list of 265 variables was reduced to 36 key variables that related to: (1) shift schedule and demographic/lifestyle factors, (2) individual differences related to traits and characteristics, and (3) tolerance/intolerance effects. Using the general job satisfaction scaler as the key measurement of shift tolerance/intolerance, it was shown that a significant relationship existed between this dependent variable and stress, number of years working a 24-hour shift, sleep quality, languidness/vigorousness. The usual amount of sleep received during the shift, general health complaints and flexibility/rigidity (R$\sp2$ =.5073).^ The sample consisted of a majority of morningness-types or extreme-morningness types, few evening-types and no extreme-evening types, duplicating the findings of Motohashi's previous study of ambulance workers. The level of activity by station was not significant on any of the dependent variables examined. However, the shift worked had a relationship with sleep quality, despite the fact that all shifts work the same hours and participate in the same rotation schedule. ^
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In response to growing concern for occupational health and safety in the public hospital system in Costa Rica, a research program was initiated in 1995 to evaluate and improve the safety climate in the national healthcare system through regional training programs, and to develop the capacity of the occupational health commissions in these settings to improve the identification and mitigation of workplace risks. A cross-sectional survey of 1000 hospital-based healthcare workers was conducted in 1997 to collect baseline data that will be used to develop appropriate worker training programs in occupational health. The objectives of this survey were to: (1) describe the safety climate within the national hospital system, (2) identify factors associated with safety climate focusing on individual and organizational variables, and (3) to evaluate the relationship between safety climate and workplace injuries and safety practices of employees. Individual factors evaluated included the demographic variables of age, gender, education and profession. Organizational factors evaluated included training, psychosocial work environment, job-task demands, availability of protective equipment and administrative controls. Work-related injuries and safety practices of employees included the type and frequency of injuries experienced and reported, and compliance with established safety practices. Multivariate regression analyses demonstrated that training and administrative controls were the two most significant predictors of safety climate. None of the demographic variables were significant predictors of safety climate. Safety climate was inversely and significantly associated with workplace injuries and positively and significantly associated with safety practices. These results suggest that training and administrative controls should be included in future training efforts and that improving safety climate will decrease workplace injuries and increase safety practices. ^
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Sick Building Syndrome is a prevalent problem with patient complaints similar to typical allergy symptoms. Unlike most household allergens, the Asp f 1 allergen is conceivably ubiquitous in the work environment. This project examined levels of the Asp f 1 allergen in office and non-industrial occupational environments, and studied the bioaerosol and dust reservoirs of Aspergillus fumigatus responsible for those levels. ^ Culturable bioaerosols of total mesophilic fungi were sampled with Andersen N6 impactors. Aggressive airborne and bulk dust samples were concurrently collected and assayed for Asp f 1. Bulk dusts were selectively cultured for A. fumigatus. Samples were collected during both wet and dry climatological conditions to examine the possibility of Asp f 1 increases due to fungal growth blooms. ^ Only very low levels of Asp f 1 were detected in relatively few samples. Analysis of wet versus dry period samples showed no differences in Asp f 1 levels, although A. fumigatus counts from dusts did fluctuate significantly with exterior moisture events as did indoor prevalence of total colony forming units. These results indicate that even in the presence of elevated fungal concentrations, levels of Asp f 1 are extremely low. These levels do not correlate with climatological moisture events, despite distinct fungal blooms in the days immediately following those events. Non-industrial office buildings devoid of indoor air quality issues did not demonstrate significant levels or occurrence of Asp f 1 contamination in the geographical region of this study. ^