881 resultados para Besoins et ressources hospitalières


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Notre compréhension de la migration du retour est encore très limitée. Ce sujet n’a que peu retenu l’attention des spécialistes de la migration et il existe peu d’études qui donnent une vision différenciée sur les divers types de « retourné-e-s », leurs motivations à retourner dans leurs pays, les défis qu’ils/elles affrontent et les ressources dont ils/elles disposent pour parvenir à se réinsérer dans les pays d’origine. Il existe en particulier un manque important d’études qui examinent en détail la situation spécifique du retour des migrant-e-s sans-papiers et l’impact de l’aide de programmes gouvernementaux pour leur réinsertion socio-économique. Cette lacune est particulièrement marquée dans le cas de la Suisse. Confronté à la situation d’absence d’évaluations des programmes d’appui au retour des sans-papiers, et dans le but d’y apporter des améliorations possibles à son propre programme, le Service de la Population du canton de Vaud a chargé Yvonne Riaño de mener une recherche sur la situation de retour des sans-papiers retournés en Équateur entre 2008-2010 avec l’appui du programme. La recherche présentée ici se base sur un travail de terrain réalisé en Équateur en 2010. Nous avons rencontré 25 familles (70% du total des familles rentrées avec l’aide du Canton de Vaud) habitant dans diverses régions du pays et avons recueilli leurs expériences de retour. La méthodologie choisie pour la récolte des données est qualitative et combine entretiens narratifs et semi-directifs. La recherche examine les raisons d'émigration et du retour des personnes interviewées ainsi que la situation actuelle de leurs projets de réinsertion, leurs ressources disponibles et le défis auxquels elles font face pour la réalisation de leurs projets. Six principes clés sont proposés pour repenser l’aide au retour de façon à pouvoir garantir un retour viable.

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Modèle d'élaboration du plan d'aménagement et de gestion tenant compte des dynamiques spatio-temporelles et de la dynamique de la participation locale

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La gestion durable des ressources naturelles est actuellement perçue comme une condition essentielle pour le développement durable, et surtout pour les pays en développement comme Madagascar. Face à la dégradation continue des ressources naturelles et surtout forestières, diverses stratégies sont adoptées par l’état malgache, dont l’extension des aires protégées qui veut allier la protection intégrale de certaines parties des ressources, et la satisfaction des besoins des populations riveraines. Le Code des Aires Protégées constitue un outil destiné à la gestion de ces aires de conservation. Toutefois, l’élaboration du plan d’aménagement ne prend pas souvent en compte des paramètres tels que l’augmentation de la population et les besoins qui s’en suivent, ou bien la participation de ces populations au processus d’élaboration et de mise en oeuvre du plan. Le défi est d’arriver à intégrer ces deux logiques de protection et de satisfaction des besoins de la population locale en réalisant des plans d’aménagement et de gestion concertés. Le cas du fokontany Ambohibary Sokafana dans le Corridor Anjozorobe Angavo est étudié pour identifier les paramètres à considérer si on veut atteindre cet objectif : paramètres écologiques et socio-économiques influençant la gestion des ressources forestières, critères permettant de définir la participation des acteurs dans cette gestion. Une revue des ouvrages spécifiques traitant du sujet ainsi que des observations et rencontres avec les divers acteurs sur terrain ont été menées afin de pouvoir identifier ces divers paramètres. Les analyses ont permis d’avancer deux scénarii qui traduisent l’intégration de la protection des forêts et la satisfaction des besoins en bois et en produits vivriers des populations riveraines, en tenant compte des motivations de ces dernières à participer au processus d’appropriation du plan d’aménagement et de gestion.

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La zone de Mandraka, située sur la première falaise orientale, constitue une région typiquement forestière dont la topographie ne favorise pas l’extension agricole. Cependant, compte tenu des besoins de sécurisation alimentaire, le besoin graduel en terres fait que la population se trouve dans l’obligeance d’accroître les zones d’agriculture et ainsi de recourir aux ressources forestières. Cette étude dessine alors comme objectif de définir les lignes d’actions principales combinant la gestion des ressources agricoles et la valorisation durable des ressources forestières. Aussi, des enquêtes socioéconomiques (formelles et informelles) ont été entreprises afin de parvenir aux résultats escomptés. Malgré les efforts en matière de valorisation agricole, l’autosuffisance alimentaire reste encore un problème fondamental à surmonter. De ce fait, le revenu agricole ne constitue que 22,54% du revenu des ménages. Il est également constaté que l’exploitation forestière évaluée prometteuse (61,07% du revenu) semble majorer les intérêts des grands collecteurs au détriment de la masse paysanne. Par conséquent, les difficultés quant aux besoins financiers persistent et les actions tendent vers la production (exploitation) à outrance, de plus que la demande en ville ne cesse d’augmenter. Face à cette situation, l’amélioration progressive des formes d’exploitation agricole constitue une alternative complémentaire vivement incitée. De même, la rénovation de l’organisation de la filière « Produits forestiers ligneux », principalement le charbonnage demeure impérative. Il constitue la principale activité génératrice de revenu à court terme de la population. Cependant, à long terme, il contribue activement à la dégradation des ressources naturelles en l’occurrence les formations secondaires, vestige de la forêt naturelle. Il s’agit ainsi, de promouvoir les cultures vivrières et les cultures de rente visant le marché d’une part, et d’apporter des améliorations au niveau des techniques d’exploitation des ressources forestières en vue d’un rendement optimum d’autre part.