1000 resultados para Art biologique
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The definition of a biomarker provided by the World Health Organization is any substance, structure, or process that can be measured in the body, or its products and influence, or predict the incidence or outcome of disease. Currently, the lack of prognosis and progression markers for chronic Chagas disease has posed limitations for testing new drugs to treat this neglected disease. Several molecules and techniques to detect biomarkers inTrypanosoma cruzi-infected patients have been proposed to assess whether specific treatment with benznidazole or nifurtimox is effective. Isolated proteins or protein groups from different T. cruzistages and parasite-derived glycoproteins and synthetic neoglycoconjugates have been demonstrated to be useful for this purpose, as have nucleic acid amplification techniques. The amplification of T. cruziDNA using the real-time polymerase chain reaction method is the leading test for assessing responses to treatment in a short period of time. Biochemical biomarkers have been tested early after specific treatment. Cytokines and surface markers represent promising molecules for the characterisation of host cellular responses, but need to be further assessed.
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INTRODUCTION Due to their low CNS penetrance, there are concerns about the capacity of non-conventional PI-based ART (monotherapy and dual therapies) to preserve neurocognitive performance (NP). METHODS We evaluated the NP change of aviremic participants of the SALT clinical trial (1) switching therapy to dual therapy (DT: ATV/r+3TC) or triple therapy (TT: ATV/r+2NRTI) who agreed to perform an NP assessment (NPZ-5) at baseline and W48. Neurocognitive impairment and NP were assessed using AAN-2007 criteria (2) and global deficit scores (GDS) (3). Neurocognitive change (GDS change: W48 - baseline) and the effect of DT on NP evolution crude and adjusted by significant confounders were determined using ANCOVA. RESULTS A total of 158 patients were included (Table 1). They had shorter times because HIV diagnosis, ART initiation and HIV-suppression and their virologic outcome at W48 by snapshot was higher (79.1% vs 72.7%; p=0.04) compared to the 128 patients not included in the sub-study. By AAN-2007 criteria, 51 patients in each ART group (68% vs 63%) were neurocognitively impaired at baseline (p=0.61). Forty-seven patients were not reassessed at W48: 30 lost of follow-up (16 DT-14 TT) and 17 had non-evaluable data (6 DT-11 TT). Patients retested were more likely to be men (78.9% vs 61.4%) and had neurological cofounders (9.6% vs 0%) than patients non-retested. At W48, 3 out of 16 (5.7%) patients on DT and 6 out of 21 (10.5%) on TT who were non-impaired at baseline became impaired (p=0.49) while 10 out of 37 (18.9%) on DT and 7 out of 36 (12.3%) on TT who were neurocognitively impaired at baseline became non-impaired (p=0.44). Mean GDS changes (95% CI) were: Overall -0.2 (-0.3 to -0.04): DT -0.26 (-0.4 to -0.07) and TT -0.08 (-0.2 to 0.07). NP was similar between DT and TT (0.15). This absence of differences was also observed in all cognitive tests. Effect of DT: -0.16 [-0.38 to 0.06]) (r(2)=0.16) on NP evolution was similar to TT (reference), even after adjusting (DT: -0.11 [-0.33 to 0.1], TT: reference) by significant confounders (geographical origin, previous ATV use and CD4 cell count) (r(2)=0.25). CONCLUSIONS NP stability was observed after 48 weeks of follow up in the majority of patients whether DT or TT was used to maintain HIV-suppression. Incidence rates of NP impairment or NP impairment recovery were also similar between DT and TT.
Je t'aide moi non plus: biologique, comportemental ou psychologique, l'altruisme dans tous ses états
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« Je t'aime moi non plus », le titre de la fameuse chanson de Gainsbourg reflète de manière exquise ce que la vie a de beau et d'amer à la fois. A défaut de traiter d'amour, cet ouvrage analyse les méandres de l'aide à sens unique. L'altruisme, ce comportement de don sans attente de retour de service, est abordé ici de manière scientifique et philosophique plutôt que poétique et littéraire. Un objectif est d'en traquer les mécanismes sous-jacents, ceux qui échappent à tout romantisme et se traduisent souvent en calculs de coûts et bénéfices. Il s'agit également d'approfondir les diverses manières de comprendre et de pratiquer l'altruisme. Souvent considéré comme une des plus grandes vertus humaines, l'objet de nombreux écrits philosophiques et psychologiques, l'altruisme peut-il se trouver chez les abeilles et les marmottes ? Posez la question à un biologiste de l'évolution et il vous répondra « Mais oui, évidemment ! ». A première vue, une telle réponse est consternante mais nous verrons qu'à y regarder de plus près, les philosophes et les biologistes ne parlent pas exactement de la même chose en utilisant le même terme. L'hétérogénéité des disciplines intéressées à l'altruisme et des contextes théoriques dans lesquels il est utilisé en ont fait une notion extrêmement complexe et difficile à saisir. Au sein des différentes sciences sociales et du vivant, l'altruisme est un élément pivot dans trois débats dont cet ouvrage prend le temps de retracer les contours. Tantôt, l'altruisme se profile en danger (apparent) pour la théorie de l'évolution darwinienne (chap. 1), tantôt, il sert de cheval de bataille dans la croisade contre l'idéal de l'homo economicus si souvent prôné en économie (chap. 2 et 3), tantôt il est une énigme à découvrir dans les méandres de nos motivations intimes (chap. 3). Dans le cadre de ces différents débats, la notion d'altruisme prend des significations sensiblement différentes. Pour en rendre compte, l'ensemble de l'ouvrage s'articule autour d'une triple distinction fondamentale : l'altruisme peut être compris au sens biologique, comportemental ou psychologique. Chacune de ces notions est utilisée dans un contexte spécifique au sein de sciences qui ont leurs propres traditions et leurs propres débats internes. La structure de l'ouvrage est organisée en fonction de cette triple distinction. Le premier chapitre est consacré à l'altruisme biologique, définit en termes de valeur de survie et de reproduction (fitness) : un comportement est altruiste s'il a pour effet d'augmenter la fitness d'autrui aux dépens de sa propre fitness. L'observation de comportements altruistes au sein du monde animal a posé un des plus grands défis à la théorie de l'évolution depuis la publication de l'Origine des espèces. Des générations de biologistes se sont attelés à la tâche d'expliquer comment un comportement qui augmente la fitness biologique d'autres organismes aux dépends de la fitness de l'agent a pu être sélectionnée au fil de l'évolution. Nous verrons que c'est grâce aux travaux de William Hamilton et d'autres que cette difficulté a pu être résolue. Le deuxième chapitre retrace les attaques d'une frange d'économistes (supportés dans leur effort critique par des théoriciens des jeux et anthropologues évolutionnistes), contre le modèle classique de l'homo economicus. Leur objectif est de montrer que des personnes ordinaires ne se comportement souvent pas en maximisateurs rationnels de leurs gains propres, comme le prédirait la théorie économique néo-classique. Dans le cadre de ce débat, c'est du comportement social spécifiquement humain et plus particulièrement de l'altruisme humain dont il est question. Le terme d'altruisme est alors utilisé dans un sens plus lâche que ne le font les biologistes ; ce que l'on appellera l'altruisme comportemental comprend les actions coûteuses pour l'agent et avantageuses pour autrui. La particularité humaine fournira également l'occasion de traiter la délicate question des rapports entre l'évolution génétique et la culture. Nous verrons que l'étude du comportement animal fournit les premiers éléments d'explication de l'altruisme humain, mais ce dernier ne peut être pleinement compris qu'au terme d'une analyse qui tient compte des capacités qui nous sont propres. Cette analyse nous permettra de saisir pourquoi les êtes humains sont à la fois plus sociaux et plus opportunistes (la contradiction n'est qu'apparente) que les autres espèces animales. Malgré leurs différences, les versions biologique et comportementale de l'altruisme sont très proches au sens où elles traitent des conséquences de comportements. Ces notions ne reflètent qu'imparfaitement la conception ordinaire que nous nous faisons de l'altruisme. L'altruisme tel qu'il est utilisé dans le langage courant correspond davantage à l'image que s'en font les philosophes et les psychologues. Pour déceler les actions altruistes, ces derniers se demandent généralement si elles ont été causées par un motif dirigé vers le bien d'autrui. En ce sens, on parle d'altruisme psychologique qui réfère aux causes plutôt qu'aux effets des actions d'aide. Le troisième chapitre est consacré aux débats qui font rage autour de la question de savoir si les êtres humains sont capables d'agir de manière altruiste psychologique, c'est-à-dire en fonction de motifs exclusivement dirigés vers le bien-être d'autrui. Nous verrons à quel point cette tâche est ardue à moins d'accepter de reformuler la question en termes de motivation primaire à l'action. Au terme de l'analyse, il apparaitra que les trois notions d'altruisme se croisent sans se recouper dans un enchevêtrement de liens plus ou moins complexes. Nous verrons par exemple que l'altruisme biologique (voire comportemental) pourrait bien être une condition nécessaire à l'évolution de l'altruisme psychologique ; des liens tangibles peut ainsi être tissés entre ces différentes notions. Les diverses approches du phénomène de l'altruisme retracées dans cet ouvrage fournissent également des clefs de compréhension des méandres du comportement social animal et plus particulièrement humain. De manière générale, sans apporter de solutions toutes faites, cet écrit peut servir de guide sémantique et initie le lecteur à une littérature interdisciplinaire émergeante, foisonnante, passionnante quoique encore souvent parsemée de confusions et de contradictions.
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Aquest paper es divideix en 3 parts fonamentals, la primera relata el que pretén mostrar aquest estudi, que és aplicar els sistemes actuals de reconeixement facial en una base de dades d'obres d'art. Explica quins mètodes s'utilitzaran i perquè es interessant realitzar aquest estudi. La segona passa a mostrar el detall de les dades obtingudes en l'experiment, amb imatges i gràfics que facilitaran la comprensió. I en l'última part tenim la discussió dels resultats obtinguts en l'anàlisi i les seves posteriors conclusions.
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This paper describes a systematic research about free software solutions and techniques for art imagery computer recognition problem.