457 resultados para refuge cabinato rifugio


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On y remarque : « Les différentes réformations qui se sont faites de temps en temps de l'Université de Paris, depuis sa fondation jusqu'à présent » [jusqu'en 1598] (fol. 1), — et autres mémoires et pièces concernant la réformation de l'Université de Paris, notamment : Acte orig. de Louis XIV, 1661 (fol. 15), — « Réformation de l'Université de Paris », 1667, in-8° de 175 pages, impr., exemplaire interfolié et corrigé (fol. 16), — « Commission à monsieur le Premier Président, monsieur le Président de Longueil, messieurs de Refuge, Saintot, Saveuse, etc., pour procéder à la réformation de l'Université de Paris », 1667, in-4°, impr. (fol. 122), etc. ; — « Liste des collèges de l'Université » (fol. 224) ; — « Abrégé de l'histoire de l'Université de Paris, touchant son origine, ses parties et ses deux gouvernemens sous un chef et recteur commun », avertissement et première partie, in-4° de 59 pages, s. l. n. d., impr. (fol. 226) ; — « Esclaircissement des différends meus en la Faculté de théologie de l'Université de Paris, touchant le nombre des bacheliers que les quatre Ordres des Mendians peuvent mettre en chaque licence, et celuy des docteurs qu'ils ont pouvoir de députer aux Assemblées de la mesme Faculté... », 1648, in-4° de 56 et 92 pages, impr. (fol. 259) ; — « Partie des pièces et actes qui concernent l'estat présent et ancien de l'Université de Paris, monsieur le recteur... », etc., 1653, in-4°, impr. (fol. 335) ; — « Vetera acta et instrumenta sacrae Facultatis theologiae Parisiensis adversus rectorem et Facultatem artium... », 1667, in-4°, impr. (fol. 569) ; — « Decretum praeclarae Facultatis artium Universitatis Parisiensis », sur les devoirs des maîtres et des écoliers, etc., 14 mars 1618, placard double in-folio, impr. (fol. 610) ; — « Factum contenant en abrégé les raisons principales de l'opposition que font les sieurs proviseurs, grands maistres, principaux et supposts des collèges de Harcour, cardinal Le Moyne, Lysieux, Me Gervais, Cholets, Autun, etc., au privilège de sept années obtenu par les professeurs en théologie des collèges de Sorbonne et de Navarre » (fol. 611) ; — « Statuta sacrae Facultatis theologiae Parisiensis », 1675, in-4° de 24 pages, impr. (fol. 619).

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Contient : 1 « Instruction à monseigneur de Boissize, s'en allant en Allemagne... Faict à Paris, le XXIXe decembre 1609 » ; 2 « Instruction baillée au sieur baron Du Tour, s'en allant en Angleterre ambassadeur extraordinaire... Faict à Paris, le XIXe jour de decembre 1605 » ; 3 « Instruction baillée au sieur de La Boderie, s'en allant en Angleterre, au mois de decembre 1609 » ; 4 « Instruction baillée à monseigneur de Bouillon, s'en allant en Angleterre, au mois d'avril 1612 » ; 5 « Instruction baillée à monsieur le mareschal de Lavardin, au mois de decembre 1610 » ; 6 « Instruction baillée à monsieur de Vaucelas, s'en allant ambassadeur en Espagne, au mois d'aoust 1609 » ; 7 « Instruction baillée à monsieur le duc de Mayenne, s'en allant en Espagne, au mois de juin 1612 » ; 8 « Instruction baillée à monseigneur de Puisieux, s'en allant en Espagne, au mois de juillet 1612 » ; 9 « Instruction baillée à monseigneur de Berny, au mois d'octobre 1604 » ; 10 « Instruction pour le sieur de Preaux, s'en allant resider en Flandre, au mois de mars 1611 » ; 11 et 12 Deux instructions « à monseigneur de Barrault, s'en allant en Savoye, au mois de febvrier 1611 » ; 13 « Instruction baillée à monsieur de Bullion, s'en allant en Piedmont, au mois de mars 1609 » ; 14 et 15 Deux instructions à « monsieur de Bullion, s'en allant en Piedmont, en avril 1610 » ; 16 « Instruction baillée à monseigneur le cardinal de La Rochefoucault,... s'acheminant à Rome... au mois d'octobre 1609 » ; 17 « Instruction à monsieur de Caumartin, s'en allant resider ambassadeur en Suisse, en decembre 1604 » ; 18 « Instruction baillée à monseigneur Ancel, allant en Allemagne, au mois d'avril 1612 » ; 19 « Instruction à monsieur de Leon, s'en allant ambassadeur à Venize, le XXVII octobre 1611 » ; 20 « Instruction baillée à monseigneur le baron de Sancy,... ambassadeur en la Porte, le XXVIII avril 1611 » ; 21 « Instruction à monseigneur de La Clielle, allant à Mantoue, au mois de mars 1611 » ; 22 « Instruction baillée au secretaire Gueffier, s'en allant à Mantoue, au mois de juin 1613 » ; 23 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Coeuvre, s'en allant à Mantoue, au mois de decembre 1613 » ; 24 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Tresnel, s'en allant ambassadeur à Rome, au mois d'avril 1614 » ; 25 « Instruction baillée à monseigneur de Refuge, s'en allant aux Païs Bas, au mois d'aoust 1614 » ; 26 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Rambouillet, s'en allant en Savoye, au mois de septembre 1614 » ; 27 « Instruction baillée à M. Paschal, s'en allant ambassadeur pour Sa Majesté aux trois ligues grises, le XXIXe jour de novembre 1604 » ; 28 « Instruction baillée à monseigneur de Nevers, s'en allant à Rome, le XXe septembre 1608 » ; 29 « Instruction baillée à monseigneur Desmarest, s'en allant ambassadeur en Angleterre, au mois de juillet 1615 » ; 30 « Instruction seconde baillée à monseigneur de Nevers, s'en allant à Rome, en septembre 1608 » ; 31 « Instruction à monseigneur l'archevesque de Lyon, s'en allant à Rome, au mois de juin 1617 » ; 32 « Instruction baillée à monseigneur de Sceaulx, s'en allant en Espagne, au mois de septembre 1617 » ; 33 « Instruction baillée à monseigneur de Modene, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Piedmont, au mois de janvier 1618 » ; 34 « Instruction baillée à monseigneur Miron, s'en allant ambassadeur en Suisse, au mois de may 1617 » ; 35 « Instruction baillée à monseigneur Denan, secretaire Angusse, s'en allant en Levant, au moys de may 1618 » ; 36 « Instruction baillée à monseigneur de Boissize, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Hollande, au mois de juillet 1618 » ; 37 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Coeuvre, s'en allant ambassadeur ordinaire à Rome, au mois de novembre 1618 » ; 38 « Instruction baillée à M. de Bullion, s'en allant en Piedmont, au mois d'octobre 1609 » ; 39 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Tresnel, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Angleterre, au mois d'avril 1609 » ; 40 « Instruction baillée à monseigneur le comte de Tilliers, s'en allant ambassadeur ordinaire en Angleterre, au mois d'aoust 1619 » ; 41 « Instruction baillée à monseigneur de Fargis, s'en allant ambassadeur ordinaire en Espagne, au mois de febvrier 1620 » ; 42 « Instruction à messieurs le duc d'Angoulesme, de Bethune et de Preaux, s'en allant ambassadeurs extraordinaires en Allemagne, au mois de may 1620 » ; 43 « Instruction baillée à monseigneur de Villiers, s'en allant ambassadeur ordinaire à Venize, au mois de may 1620 » ; 44 « Instruction baillée à monseigneur le mareschal de Cadenet, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Angleterre, au mois de decembre 1620 » ; 45 « Instruction baillée à monseigneur de Bassompierre, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Espagne, au mois de febvrier 1621 » ; 46 « Instruction baillée à monseigneur de Montolon, s'en allant ambassadeur extraordinaire aux Grisons, au mois de mars 1621 » ; 47 « Instruction à monseigneur le commandeur de Sillery, s'en allant ambassadeur à Rome, en l'an 1622 » ; 48 « Instruction au Sr d'Halincourt, chevalier des ordres du roy et capitaine de cent hommes d'armes de ses ordonnances, allant devers nostre St pere le pape, par le commandement de Sa Majesté »

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Contient : 1 « Aguenin » ; 2 « Allegrin » ; 3 « Alligret » ; 4 « Amelot » ; 5 « Chauvelin » ; 6 « Anjorant » ; 7 « Anthonis » ; 8 « Arbaleste » ; 9 « Aurillot » ; 10 « Baillet » ; 11 « Baillon » ; 12 « La Ballue » ; 13 « Beaune » ; 14 « Bellievre » ; 15 « Berziau, originaire de Normandie » ; 16 « Le Berruyer d'Orleans » ; 17 « Besançon » ; 18 « Bochart » ; 19 « Boucher » ; 20 « Bouguier » ; 21 « Boulanger » ; 22 « Le Boulanger » ; 23 « Bourdin » ; 24 « Bragelonne » ; 25 « Briçonnet » ; 26 « Brinon » ; 27 « Brisard » ; 28 « Brulart » ; 29 « Budée » ; 30 « Bullion » ; 31 « Bureau » ; 32 « Burdelot » ; 33 « Camus » ; 34 « Cauchon » ; 35 « Champront » ; 36 « Charlet » ; 37 « Chartier » ; 38 « Le Clerc de Fleurigny » ; 39 « Le Clerc Du Tremblay » ; 40 « Clutin » ; 41 « Le Cocq » ; 42 « Le Coigneux » ; 43 « Corbie » ; 44 « Cordelier » ; 45 « Courtin » ; 46 « La Croix » ; 47 « De Guenegaud » ; 48 « Damours » ; 49 « Dauvet » ; 50 « De Dormans » ; 51 « Du Drac » ; 52 « Faye Despeisses » ; 53 « Faulcon » ; 54 « Le Fevre » ; 55 « Fournier » ; 56 « Fraguier » ; 57 « Fumée » ; 58 « Gaillard » ; 59 « Ganay » ; 60 « Du Gué Bagnolz » ; 61 « Guillard » ; 62 « Gilbert » ; 63 « Harlay » ; 64 « Hacqueville » ; 65 « Hector de Marle » ; 66 « Hennequin » ; 67 « Hotman » ; 68 « Hurault » ; 69 « Jubert » ; 70 « De Landes » ; 71 « Laubespine » ; 72 « De Loynes » ; 73 « Longuejoue » ; 74 « Lorfevre » ; 75 « Lotin » ; 76 « Luillier » ; 77 « Luillier d'Interville » ; 78 « Lomenie » ; 79 « De Lorme » ; 80 « Machault » ; 81 « Le Maistre » ; 82 « Mangot » ; 83 « Marillac » ; 84 « Marle » ; 85 « Maupeou » ; 86 « De Murat d'Auvergne » ; 87 « Mesgrigny » ; 88 « Midorge » ; 89 « Miron » ; 90 « Molé » ; 91 « Montmiral » ; 92 « De Moucy » ; 93 « De Moucy » ; 94 « Nanterre » ; 95 « Neuville » ; 96 « Nicolaï » ; 97 « Olivier » ; 98 « Orgemont » ; 99 « Paillard » ; 100 « De Paris » ; 101 « Perrot » ; 102 « Phelypeaux » ; 103 « Picot » ; 104 « Le Picart » ; 105 « Pinon » ; 106 « Pommereu » ; 107 « Potier » ; 108 « Du Prat » ; 109 « Prevost S. Cire » ; 110 « Le Prevost » ; 111 « Dupuy » ; 112 « Raguier » ; 113 « Refuge » ; 114 « Riviere » ; 115 « Robertet » ; 116 « Ruzé » ; 117 « Sanguin de Mafflers et de Meudon » ; 118 « Sanguin de Livry » ; 119 « Genealogie de la maison de Seguier, originaire de S. Poursain en Bourbonnois » ; 120 « Sevin » ; 121 « De Seve » ; 122 « Simon » ; 123 « Spifame » ; 124 « Thiboust » ; 125 « Du Tillet » ; 126 « De Thou » ; 127 « Tudert » ; 128 « De Thurin » ; 129 « Tronçon » ; 130 « Vaudetar » ; 131 « Versoris » ; 132 « Vitry » ; 133 « Viole » ; 134 « Picot » ; 135 « Pinon » ; 136 « Pommereu » ; 137 « De La Porte de La Meilleraye » ; 138 « Potier » ; 139 « Phelippeaux » ; 140 « Prevost S. Cire » ; 141 « Raguier » ; 142 « Refuge » ; 143 « Riviere » ; 144 « Rusé d'Effiat » ; 145 « Sanguin de Livry » ; 146 « Sanguin de Mafflers et de Meudon » ; 147 « Seguier » ; 148 « De Seve » ; 149 « Simon » ; 150 « Spifame » ; 151 « Le Sueur » ; 152 « Talon » ; 153 « Le Tellier » ; 154 « Thudert » ; 155 « De Thurin » ; 156 « Du Tillet » ; 157 « Le Tonnelier de Breteuil » ; 158 « Tronçon » ; 159 « De Thou » ; 160 « Thiboust » ; 161 « Vaudetar » ; 162 « Versoris » ; 163 « Vitey » ; 164 « Viole » ; 165 « Vivien » ; 166 « Vivier » ; 167 « Voisin » ; 168 « Le Voyer d'Argenson »

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Contient : 1 « Memorial redigé en briefve description de l'estoc et plusieurs branches de la genealogie des Picarts originaires et regnicoles de France » ; 2 « Sommaire extraict des surnoms des familles et maisons alliées des Picarts » ; 3 « De la noblesse » ; 4 « Comme la genealogie se peut dresser » ; 5 « Forme de genealogie par cartiers » ; 6 « Des diverses sortes de chevalerie » ; 7 « Memorable extraict de l'antiquité, de l'origine, source et tige de la noble maison et famille des Picarts, issus de la directe race du sire Hilgauld Le Picart, chevalier, comte de Montreuil sur la mer, seigneur de Han » ; 8 « Figure des armes de Jean Le Picart, chevalier, conseiller du roy, son premier secretaire, maistre ordinaire en sa chambre des comptes de Paris et general des finances » ; 9 « Ensuit ce qui a esté extraict des quatorze enfants issus du mariage dud. Jean Le Picart et de Catherine Du Poncher » ; 10 « Ensuit ce qui a esté recolligé des quinze enfants issus du mariage de Jean Le Picart, controlleur general de Bourgogne, et de Jacquette de Champanges » ; 11 « Memoires de la vie de François Le Picart, docteur en theologie de la Faculté de Paris, curé de S. Germain l'Auxerrois » ; 12 « Ensuit la description des sept enfants issus de Jean Le Picart, secretaire du roy, et de Eleonor de La Couppelle » ; 13 « Ensuit la description des enfants issus de Charles Le Conte, Sr de La Martiniere, maistre des comptes à Paris, et de Jeanne Le Picart » ; 14 « Ensuit la description des cinq enfants de Martin Le Picart, maistre des comptes à Paris, et de Catherine d'Ysome » ; 15 « Memoires de la maison d'Ysome » ; 16 « Memoires de la maison de Paris » ; 17 « Memoires du siege et prise de Rhodes par Soliman, en 1523 » ; 18 « Extraict d'un livre en parchemin contenant seize feuillets, escrit et cotté au dos : Hic explicatur ortus et nativitas liberorum nostrorum, certifié et signé de la propre main de messire Jean Jouvenel Des Ursins, chevalier, auquel livre la preface et chacun article de la naissance, jusques au nombre de seize enfants, issus durant son mariage, et de dame Michelle de Victry, sa femme, qui fut fille de Guillaume de Victry, conseillier du roy en sa court de parlement de Paris et maistre des réquestes de son hostel, et de damoiselle Jeanne Le Picart, sa femme ; à la fin duquél livre sont deux certifications de Jean Fabry, prestre curé de S. Landry de Paris, du 15 janvier 1439. Genealogie de la maison Des Ursins » ; 19 « Genealogie de la maison de Victry » ; 20 « Lettre d'un auditeur de rote à Antoine d'Ysome, secretaire du roy, touchant la maison d'Ysome, en 1490 ; 21 « Ensuit la description des huict enfants de Jean de Sallart, Sr de Bouron, maistre des comptes à Paris, capitaine de Chaumont en Bassigny, et de Jeanne Le Picart, sa femme » ; 22 « Ensuit la description des quatre enfants de Christophle Le Picart, seigneur de Sevigny, et de Catherine Sanguin » ; 23 « Genealogie de la maison de Brulart » ; 24 « Memoires de la maison de Cauchon, de Manneville et du Drac » ; 25 « Memoires de la maison de Mandosse » ; 26 « Ensuit la description de quatre enfants issus, en premiere nopce, de Clerembauld Le Picart et d'Estienette de Paillart » ; 27 « Ensuit la description de neuf enfants d'Eustache Le Picart, seigneur de Montguicher, secretaire du roy et greffier du conseil, et de Marie Du Pré » ; 28 « Ensuit la description de quatre enfants de Jacques Le Picart, Sr Des Essars, advocat à la cour, et de Charlotte Turquan » ; 29 « Ensuit la description de dix enfants d'Estiene Le Picart, seigneur en partie de La Grange Nivelon, commissaire de l'artillerie, et de Louyse de Longuejoe » ; 30 « Enfants de Jacques Le Picart et de Jeanne Bauldry » ; 31 « Memoires de Mrs Chevalier » ; 32 « Memoires des maisons de Bezançon, de Marillac et de Maillart » ; 33 « Memoires des maisons de Thou, Hurault et Du Poncher » ; 34 « Memoires des maisons de Potier, Brinon, Chartier et Hacqueville » ; 35 « Genealogie de Picot » ; 36 « Enfants de Guillaume Le Picart, seigneur d'Estelan, bailly de Rouen, gouverneur de toutes les finànces de France, et de Jeanne de La Garde » ; 37 « Genealogie du Luc et Spifame » ; 38 « Ensuit la description des descendants de Jean Lallemant, seigneur de Marmagnes et de Voulzay, et de Jeane de Champanges » ; 39 « Memoires de Le Roy » ; 40 « Description des enfans de Germain de Marle, Sr de Thillay, et de Marie de Champanges » ; 41 « Memoires de Raguier » ; 42 « Genealogie de Fournier » ; 43 « Memoires de Petit » ; 44 « Memoires des cinq enfants de Clerembauld de Champanges et de Jeanne de Folmarie » ; 45 « Description des descendants de Martin Le Picart, Sr de Villeron, et de Jeanne de Marle » ; 46 « Enfants de Henry de Marle, chancelier de France, et de Jeanne Mahault » ; 47 « Descendants de Clerembauld de Champanges et de Jeanne de Folmarie » ; 48 « Ensuit la description des treize enfants de Germain de Marle, Sr de Thilloy, general des monoyes, et de Marie de Champanges » ; 49 « Memoires de la maison de Corbie » ; 50 « Memoires de Seure et de Livré » ; 51 « Memoires de la maison de Corbie » ; 52 « Memoires de la maison Du Val » ; 53 « Genealogie de la maison de Livré et de Luillier » ; 54 « Genealogie de Longueil » ; 55 « Genealogie de Brulart » ; 56 « Genealogies d'Anthonis et Chartier » ; 57 « Genealogie de Dolet » ; 58 « Genealogie du Puys » ; 59 « Genealogie de Coqueborne » ; 60 « Genealogie de Mesmes » ; 61 « Genealogie de la maison des Picarts de Paris » ; 62 « Genealogie de la maison de Allegrin » ; 63 « Genealogie des Luilliers » ; 64 « Genealogie de Refuge » ; 65 « Descente de la maison de Refuge, depuis qu'ils sont venus en France, avec ses alliances » ; 66 « Genealogie de Briçonet » ; 67 « Descente de la maison de Riviere et de leurs alliances » ; 68 « Genealogie de Sanguin » ; 69 « Alliances faites en la maison du Drac » ; 70 « Genealogie de Chartier » ; 71 « Genealogie de Dormans » ; 72 « Genealogie de Myron » ; 73 « Genealogie et alliances de la maison de Viole » ; 74 « Genealogie et alliances de la maison de Forget » ; 75 « Genealogie de la maison de Fournier » ; 76 « Genealogie de Potier » ; 77 « Fondation faite en l'eglise de S. Gervais de Paris, par Charles Le Prevost, intendant des finances. Du 3 janvier 1571 » ; 78 « Blasons des armoiries contenues en ce volume »

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Please consult the paper edition of this thesis to read. It is available on the 5th Floor of the Library at Call Number: Z 9999 P55 N37 2005

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Please consult the paper edition of this thesis to read. It is available on the 5th Floor of the Library at Call Number: Z 9999 R43 S54 2005

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This thesis takes liberation to be supreme knowledge of the unity underlying the world of multiplicity. This knowledge is always already attained, so all are eternally liberated, but it is unrecognized in ordinary experience. We will look at the Bhagavad-Gītā to consider why this is so. When Arjuna saw Kṛṣṇa’s imperishable Self, he saw all beings standing as one in Kṛṣṇa; thus, he was confronted by supreme knowledge. But he was overwhelmed with fear and confusion and took refuge in blindness. I argue that Arjuna was not prepared to face recognition because he was unpractised in non-attachment. Attached to his subjectivity, he trembled in the face of unity. The supreme goal is standing firm in recognition while living in the world.

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Ce mémoire propose d’aborder la relation entre le chez-soi et la construction des identités géographiques. Plus précisément, il s’agit de se pencher sur l’importance que revêt cette dimension intime et familière de l’habitat dans la part des identités qui mobilise les lieux, territoires et paysages comme référents. S’interroger à cet égard s’avère d’autant plus pertinent aujourd’hui, dans un contexte de fragmentation socio-spatiale à l’échelle urbaine et de prolifération d’enclaves résidentielles qui témoignent d’un enfermement et d’une introversion de l’habitat. Nous abordons la question à travers le cas du projet AlphaVille São Paulo (Brésil), un large développement résidentiel composé de plusieurs communautés fermées. Les entretiens semi-directifs réalisés auprès de onze habitants de ce projet permettent de confirmer l’importance du chez-soi dans leur construction identitaire. En effet, le chez-soi en communauté fermée représente l’aboutissement d’un parcours géographique et permet au regard des habitants rencontrés une expérience de l’espace résidentiel qui s’approche de celle qu’ils ont connue au cours de l’enfance et qu’ils ont perdue à mesure que la ville s’est transformée en un milieu de plus en plus hostile. Ainsi, il leur permet dans une certaine mesure de revivre un idéal perdu. Néanmoins, habiter en communauté fermée contraint les territorialités : au sein de la métropole, le chez-soi fait figure de refuge. Il n’en demeure pas moins que les réponses des résidents révèlent une conscience que leur choix d’habitat constitue en quelque sorte une fuite de la réalité. Ainsi, ils entretiennent à l’égard de leur milieu de vie une relation qui oscille entre illusion et désillusion.

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PROBLÉMATIQUE La violence collective, à travers les guerres civiles et autres conflits politiques violents, constitue un lourd fardeau pour la santé publique. Plus de la moitié des décès causés par l’ensemble des conflits dans le monde entier se trouvent en Afrique. L’une des conséquences est le déplacement massif des populations qui se réfugient vers l’extérieur du pays, mais aussi de plus en plus à l’intérieur des frontières nationales. Ceux qui ne traversent pas sont appelés déplacés internes. Leur état de santé est au moins aussi vulnérable que celui de réfugiés, mais est très peu documenté. De 1993 à 2005, le Burundi a plongé dans une crise politico-sociale sans précédent. En 2001, environ 10 % de la population vivaient dans des camps de déplacés. OBJECTIF Documenter l’état de santé des personnes déplacées par la guerre au Burundi et identifier ses déterminants. CADRE CONCEPTUEL Le cadre conceptuel est basé sur la modélisation de l’association entre les événements traumatiques, les facteurs de l’environnement post-traumatique et l’état de santé des déplacés internes burundais. MÉTHODE Une enquête transversale a été menée dans deux camps de déplacés au Burundi. Les données ont été obtenues de façon rétrospective sur l’exposition aux événements traumatiques et de manière transversale pour l’état de santé et les facteurs de l’environnement post-traumatique. Les participants ont été interrogés sur les événements traumatiques vécus personnellement ou par leurs proches selon une courte échelle élaborée à cet effet. De même, les facteurs de l’environnement post-traumatique ont été documentés. Pour la mesure de l’état de santé, un questionnaire comportant certains des 17 items du profil de santé de Duke a été utilisé. Deux traductions ont été réalisées et plusieurs items ont été adaptés. RÉSULTATS Les événements traumatiques vécus par les déplacés internes burundais sont négativement associés à l’état de santé physique, à l’état de santé sociale, à l’état de santé perçu et, positivement, avec l’incapacité. De même, plusieurs facteurs de l’environnement post-traumatique sont associés à l’état de santé. Par contre, certaines associations sont à interpréter selon leurs interactions avec les événements traumatiques. Celles-ci agissent parfois comme modificateurs d’effet, en amortissant ou en amplifiant le lien associatif initial entre certains événements traumatiques et l’état de santé des déplacés. CONCLUSION : Les résultats font ressortir un effet différentiel associé d’une part aux événements traumatiques vécus précédemment et d’autre part, en interaction avec ces derniers, à l’environnement post-traumatique. Notre thèse en arrive à la conclusion que les facteurs de l’environnement post-traumatique constituent des déterminants importants de l’état de santé des déplacés de guerre.

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Cette thèse propose une ethnographie des devenirs des fermiers blancs saisis sur le long terme de leur présence au Zimbabwe. L’analyse est centrée autour d’un moment de crise, les occupations de fermes en cours, qualifié dans ce travail d’éthique et de critique. Ces occupations s’attaquent symboliquement et réellement aux restes de la colonisation au Zimbabwe. Leur étude nous a conduits à nous interroger sur les manières suivant lesquelles la décolonisation est mise en oeuvre dans le Zimbabwe du Président Mugabe et sur les enjeux qui concernent la forme, notamment sur le plan légale, de la postcolonie. Ces occupations ont provoqué l’expulsion de plus de 90 % des fermiers blancs hors de leur lieu utopique, à savoir la ferme, et les ont poussés dans des espaces d’ambiguïté à l’intérieur desquels les occupants cherchent la confrontation. La question de la corruption (économique et morale) est au coeur de l’expérience des fermiers blancs qui ont été forcés de renoncer à leur intégrité. Certains d’entre eux ont tenté par divers moyens de la maintenir en se préservant de la corruption et en réclamant le respect de leurs « droits »; d’autres ont accepté de vivre dans la zone grise que constitue l’occupation de leur ferme. Cette thèse qui s’ancre dans l’anthropologie postcoloniale est organisée en trois parties. La question centrale de la première partie qui est d’orientation historique interroge la forme que les settlers ont donnée à ce pays et la manière mise de l’avant par les fermiers blancs pour faire de ces terres africaines « leur » lieu. Dans la deuxième partie, l’instauration après 2000 du Fast-track land reform programme et l'expérience quotidienne des occupations du point de vue des fermiers blancs sont analysées dans le détail. Dans la troisième partie, la vie des fermiers dépossédés de leur ferme est abordée à partir d’Harare, la capitale du Zimbabwe et de la Grande-Bretagne où ils ont trouvé refuge. Ceux qui vivent actuellement à Harare se sont réorganisés socialement et économiquement en redéfinissant les limites, notamment morales, de la communauté. Ceux qui, fuyant le Zimbabwe, sont « retournés » en Angleterre sont redevenus des Anglais.

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L’exposition à la violence conjugale est une forme répandue de mauvais traitement psychologique envers l’enfant dont les conséquences néfastes sont maintenant bien connues. Les enfants ne sont pas tous affectés de la même manière par la violence conjugale et peuvent présenter différents profils d’adaptation. Des recherches de plus en plus nombreuses suggèrent l’importance de variables médiatrices qui permettent d’établir le lien entre l’exposition à la violence conjugale et l’adaptation de l’enfant. Toutefois, peu d’études permettent encore de préciser les relations entre ces variables, ni de connaître la pertinence de ces variables pour un profil d’adaptation particulier. Cette thèse, comprenant deux études empiriques, visait deux objectifs principaux. La première étude avait pour objectif d’examiner les liens entre le point de vue de l’enfant sur la violence conjugale et sur ses relations familiales, deux facteurs reconnus comme des médiateurs entre la violence conjugale et l’adaptation de l’enfant. Il était prévu que le point de vue de l’enfant sur la violence, pouvant se refléter par le blâme que l’enfant s’attribue pour la violence, sa perception de menace et sa peur d’être abandonné par ses parents, prédit son point de vue sur ses relations familiales, étudié sous l’angle de la parentification et des conflits de loyauté de l’enfant. Cette étude a été menée auprès de 79 enfants âgés de 8 à 12 ans et vivant avec leur mère dans un refuge pour femmes violentées. Les résultats révèlent que le blâme et la peur d’abandon prédisent la parentification et que la peur d’abandon prédit aussi les conflits de loyauté. L’objectif de la deuxième étude était de dégager des profils d’adaptation parmi les enfants exposés à la violence conjugale et d’identifier les facteurs qui leur sont associés. Ces facteurs renvoient à l’expérience de violence de l’enfant, à son point de vue sur la violence, à la qualité de la relation mère-enfant et à la parentification. Cette étude a été menée auprès de 116 enfants âgés entre 8 et 12 ans vivant en maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale ou fréquentant d’autres organismes offrant des services aux familles confrontées à la violence conjugale. Les résultats révèlent la présence de quatre profils d’adaptation : troubles extériorisés seulement, troubles intériorisés seulement, troubles à la fois extériorisés et intériorisés et absence de problème apparent. Ces quatre profils se distinguent selon la présence d’abus physique envers l’enfant, la qualité de la relation mère-enfant, le point de vue de l’enfant sur la violence et le degré de parentification de l’enfant. Les résultats sont discutés en fonction de l’apport respectif des parents et de l’enfant dans le développement de la parentification et des conflits de loyauté chez l’enfant exposé à la violence conjugale. La discussion souligne également la variabilité des manifestations de la détresse des enfants exposés à la violence conjugale. Les facteurs associés aux différents profils d’adaptation laissent entrevoir les besoins des enfants appartenant à un profil particulier et permettent de suggérer des liens entre ces facteurs.

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RÉSUMÉ : Avec le dénouement de la Deuxième Guerre mondiale, le problème des réfugiés en Europe devient un enjeu international. Plusieurs millions de personnes, que l’on nomme les Displaced Persons (DP), sont sans refuge et doivent recevoir une aide immédiate pour survivre. Même si la majorité de ces gens retourneront dans leurs pays d’origine, il reste encore des centaines de milliers de réfugiés en 1948. La seule solution concrète pour régler cette problématique est l’émigration des réfugiés dans des pays prêts à les accepter. Les Américains jouent un rôle crucial en acceptant 415 000 DP entre 1948 et 1952 grâce au Displaced Persons Act de 1948 et ses amendements en 1950 et 1951. Après d’âpres discussions entre les restrictionnistes et ceux qui défendent la libéralisation des lois d’immigration, naîtra le Displaced Persons Act (DP Act) signé avec beaucoup de réticence, le 25 juin 1948, par le président Harry S. Truman. Cette loi qui prévoit la venue de 202 000 DP en deux ans, contient des mesures jugées discriminatoires à l'endroit de certaines ethnies. Afin d'améliorer le DP Act, le Congrès effectue des recherches sur la situation des réfugiés toujours dans les camps en 1949 tout en étudiant l’impact de la venue des DP aux États-Unis entre 1948 et 1950. Cette étude est soumise sous forme de rapport, le Displaced Persons and Their Resettlement in the United States, le 20 janvier 1950. Ce mémoire propose une analyse minutieuse du rapport et de son contexte politique afin de démontrer le rôle important de cette étude dans le processus décisionnel du Congrès américain visant à accueillir un plus grand nombre de DP tout en posant les bases pour une politique d’accueil en matière de refugiés.

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Depuis quelques années, mais surtout depuis le 11 septembre 2001, les contrôles migratoires sont devenus le locus principal d’affirmation du pouvoir souverain dans les pays occidentaux. La mouvance sécuritaire actuelle semble avoir donné les outils conceptuels nécessaires aux États pour leur permettre d’amalgamer des notions autrefois distinctes, comme la sécurité et l’immigration, et d’en inférer des liens qui paraissent désormais naturels et évidents aux yeux du public. Le Canada s’inscrit aussi dans cette mouvance où l’immigrant et l’étranger sont désormais pensés en relation avec l’illégalité, la criminalité et le sujet de non-droit. En pratique, cela se traduit par la mise en œuvre étatique d’un pouvoir souverain qui se manifeste clairement et ouvertement dans le cadre de contrôles migratoires de plus en plus serrés et contraignants. Ainsi, alimenté par la justification sécuritaire, par l’affect de la peur et par la nécessité de combattre le terrorisme international, le Canada applique ses lois et ses politiques de manière à exercer un contrôle accru sur sa population, plus particulièrement sur les migrants en général, mais encore davantage sur les demandeurs d’asile et les réfugiés soupçonnés de terrorisme. La mise en œuvre de pratiques restrictives à l’endroit des demandeurs d’asile et des réfugiés est facilitée par une conviction très tenace. À la lumière de son comportement, le gouvernement canadien semble convaincu que l’exclusion, l’expulsion, voire le refoulement, à l’extérieur du territoire national des personnes jugées être de potentiels terroristes, permettront de renforcer la sécurité nationale. Cette conviction est elle-même supportée par une autre, à savoir la croyance selon laquelle le pouvoir souverain d’exclure quelqu’un du territoire est absolu et, qu’en situation d’exception, il ne peut être limité d’aucune manière par le droit international. Suivant ceci, la lutte antiterroriste s’exécute presque exclusivement par le rejet des éléments potentiellement dangereux à l’extérieur du pays, au détriment d’autres mesures moins attentatoires des droits et libertés, plus légitimes et plus à même de remplir les objectifs liés à la lutte au terrorisme international. Dans notre étude, par une relecture d’une décision paradigmatique de la Cour suprême du Canada, l’affaire Suresh, nous chercherons à ébranler ces convictions. Notre thèse est à l’effet que la prétention du Canada à vouloir en arriver à un monde plus sécuritaire, en excluant d’une protection internationale contre la torture et en refoulant de potentiels terroristes à l'extérieur de son territoire, constitue une entreprise vouée à l’échec allant potentiellement à l’encontre des objectifs de lutte au terrorisme et qui se réalise présentement dans le déni de ses obligations internationales relatives aux droits de l’Homme et à la lutte contre l’impunité. Généralement, à la lumière d’une analyse de certaines obligations du Canada dans ces domaines, notre étude révélera trois éléments, ceux-ci se trouvant en filigrane de toute notre réflexion. Premièrement, le pouvoir souverain du Canada d’exclure des individus de son territoire n’est pas absolu. Deuxièmement, le droit d’une personne à obtenir protection non plus n’est pas absolu et des mécanismes d’équilibrage existant en droit international permettent de protéger les personnes tout en s’assurant que le Canada ne devienne pas un refuge pour les terroristes potentiels. Troisièmement, le Canada est astreint à d’autres obligations internationales. Celles-ci protègent les personnes exclues d’une protection et forcent le gouvernement à lutter contre l’impunité.

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En 1951, le droit international des réfugiés voyait le jour avec la Convention relative au statut des réfugiés. Cette convention ainsi que son Protocole stipulent la définition contemporaine de cette notion et les obligations de l'État d'accueil à l’égard des réfugiés mais y prévoit aussi une exception. En effet, les rédacteurs de la Convention de 1951, percevant que certains bourreaux tenteraient d'user de ce mécanisme pour échapper à des poursuites en trouvant refuge à l'étranger, y ont intégré une dérogation à la définition de réfugié qui a pris la forme d’une clause d'exclusion. Celle-ci permet à tout État ayant adhéré à cet instrument de refuser d'accueillir sur son territoire les individus à l'origine des plus grands crimes internationaux et nationaux. Le Canada, en ratifiant la Convention de 1951 et son Protocole en 1969, a incorporé dans sa législation nationale cette clause d'exclusion dans l'article 98 de la Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés. Le présent mémoire porte sur l'application de cette clause d'exclusion en droit canadien. Nous proposons une analyse de l'application de cette disposition en droit interne. L’objectif général est de montrer que les cours de justice favorisent une interprétation trop large de la clause d’exclusion, dénaturant ainsi son statut de règle d’exception. En effet, cette interprétation jurisprudentielle a pour conséquence d’attribuer un poids prépondérant à la sécurité nationale aux dépens du caractère humanitaire qui imprègne le droit d’asile depuis ses origines.