862 resultados para gynaecological cancer screening


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Oncological patients are submitted to invasive exams in order to obtain an accurate diagnosis; these procedures may cause maladaptative reactions (fear, anxiety and pain). Particularly in breast cancer, the most common diagnose technique is the incisional biopsy. Most of the patients are unaware about the procedure and for that reason they may focus their thoughts on possible events such as pain, bleeding, the anesthesia, or the later surgical wound care. Anxiety and pain may provoke physiological, behavioral and emotional complications, and because of this reason, the Behavioral Medicine trained psychologist takes an active role before and after the biopsy. The aim of this study was to evaluate the effect of a cognitive-behavioral program to reduce anxiety in women submitted to incisional biopsy for the first time. There were 10 participants from the Hospital Juárez de México, Oncology service; all of them were treated as external patients. The intervention program focused in psycho-education and passive relaxation training using videos, tape-recorded instructions and pamphlets. Anxiety measures were performed using the IDARE-State inventory, and a visual-analogue scale of anxiety (EEF-A), and the measurement of blood pressure and heart rate). Data were analyzed both intrasubject and intersubject using the Wilcoxon test (p≤0.05). The results show a reduction in anxiety (as in punctuation as in ranges) besides, a reduction in the EEF-A.

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Objectifs : Dans plusieurs pays la couverture vaccinale contre les virus du papillome humain (VPH) est associée aux déterminants sociaux des comportements sexuels et la participation au dépistage du cancer du col utérin. Ces vaccins protègent uniquement contre certains types de VPH, donc leur impact futur sur les VPH nonvaccinaux demeure incertain. L’hétérogénéité comportementale entre individus et biologique entre types de VPH affectera l’efficacité populationnelle de la vaccination contre les VPH. Les objectifs spécifiques de cette thèse étaient 1) de modéliser comment une couverture vaccinale inégale entre filles préadolescentes qui différeront selon leur activité sexuelle et leur participation au dépistage du cancer du col affectera l’efficacité populationnelle de la vaccination, 2) faire une synthèse et comparer les estimés d’efficacité croisée des vaccins contre les VPH dans des populations ADN-négatives aux VPH et 3) d’identifier, avec la modélisation, les devis d’étude épidémiologique qui réduisent les biais dans l’estimation des interactions biologiques entre types de VPH. Méthode : Nous avons utilisé des modèles de transmission dynamique et une revue systématique de la littérature pour répondre aux objectifs. 1) Nous avons modélisé une couverture vaccinale inégale entre filles qui différeront selon leur activité sexuelle et leur participation au dépistage, et examiné les changements postvaccination dans l’inégalité dans la prévalence des VPH et l’incidence des carcinomes malpighien (SCC) du col de l’utérus entre femmes ayant différents comportements. 2) Nous avons effectué une revue systématique et méta-analyse des efficacités croisées des vaccins contre les VPH estimées dans des populations ADNnégatives aux VPH. 3) Nous avons développé des modèles de transmission dynamique et d’interaction de deux types de VPH pour simuler les études épidémiologiques d’interactions entre les VPH. Résultats : Pour l’objectif 1), notre modèle de transmission prédit que l’efficacité populationnelle du vaccin dépendra de la distribution du vaccin dans la population. Après la vaccination, les inégalités absolues dans l’incidence de l’infection et des SCC entre groupes de femmes qui diffèrent selon leur activité sexuelle et leur participation au dépistage devraient diminuer. Inversement, les inégalités relatives pourraient augmenter si les femmes plus sexuellement actives et celles qui ne se font jamais dépister ont une couverture vaccinale moins élevée que les autres. Le taux d’incidence des SCC demeurera élevé chez les femmes qui ne sont jamais dépistées après la vaccination. L’efficacité croisée vaccinale et les interactions biologiques entre VPH ne sont pas encore assez bien caractérisées pour pouvoir prédire l’impact du vaccin sur les types de VPH nonvaccinaux. Pour l’objectif 2), notre méta-analyse des essais cliniques des vaccins suggère que le vaccin bivalent a une efficacité croisée significativement plus élevée que le quadrivalent contre les infections persistantes et lésions précancéreuses avec les VPH-31, 33 et 45. Les essais cliniques plus longs estiment une efficacité croisée plus faible. La modélisation des études épidémiologiques d’interactions pour l’objectif 3) montre que l’estimation des interactions biologiques entre types de VPH dans les études épidémiologiques est systématiquement biaisée par la corrélation entre le temps à risque d’infection avec un type de VPH et le temps à risque d’infection avec d’autres types de VPH. L’ajustement pour des marqueurs d’activité sexuelle ne réussit pas à contrôler ce biais. Une mesure valide des interactions biologiques entre types de VPH peut être obtenue uniquement avec des études épidémiologiques prospectives qui restreignent les analyses à des individus susceptibles ayant des partenaires sexuels infectés. Conclusion : L’hétérogénéité comportementale entre individus et l’hétérogénéité biologique entre VPH affecteront l’efficacité populationnelle du vaccin contre les VPH. Dans les contextes où les déterminants sociaux des comportements sexuels et la participation au dépistage sont aussi associés à la couverture vaccinale chez les préadolescentes, l’inégalité relative dans l’incidence des SCC risque d’augmenter. Ces comportements demeureront des facteurs de risque importants du cancer du col à l’avenir. L’effet à long terme du vaccin sur les types de VPH non-vaccinaux demeure incertain. Quoique nos résultats suggèrent que les vaccins offrent une efficacité croisée contre certains types de VPH, celle-ci pourrait diminuer après quelques années. Des interactions compétitives entre VPH pourraient exister malgré les associations observées entre les incidences des infections VPH, donc une augmentation post-vaccination de la prévalence des VPH non-vaccinaux demeure possible. Des devis d’analyse plus complexes sont nécessaires pour mesurer de façon valide les interactions biologiques entre les VPH dans les études épidémiologiques.

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Introducción: El cáncer colorrectal (CCR) se encuentra entre los 5 tipos de cáncer con mayor incidencia a nivel mundial. Alrededor del 20% de los casos son diagnosticados en estadios metastásico, donde el tratamiento inicialmente era quimioterapia con una supervivencia global a 5 años de 12 a 14 meses. Es así que se investiga el papel de la angiogénesis tumoral, orientado al desarrollo de terapias, implementando su uso en estadios avanzados. Metodología: Se realizó una búsqueda sistemática en las bases de datos Embase, PubMed, SciELO y LILIACS con términos estandarizados a través de la herramienta MeSH y DECS bajo los lineamientos establecidos en las guías de revisiones sistemáticas y meta-análisis (Manual Cochrane). Se tomaron estudios clínicos aleatorizados controlados con pacientes con CCR metastásico, que hayan recibido quimioterapia sola o combinada con terapias antiangiogénicas, publicados en inglés y español entre el 2003 y 2013. Resultados: 6 artículos cumplieron con criterios de inclusión. Estos reportaron 15.8 meses en promedio de supervivencia global en el tratamiento de quimioterapia asociada a terapias biológicas frente a 14.4 meses con solo quimioterapia. Los eventos adversos de tipo vascular aumentaron más en el grupo de antiangiogénicos, reportando muertes debidas a perforaciones intestinales. Conclusiones: Los regímenes de quimioterapia asociadas a terapias antiangiogénicas brindan una mayor supervivencia global y libre de progresión, al igual que mayor número de tasas de respuesta. Son terapias con eventos adversos importantes pero que deberá seleccionarse bien al paciente para disminuir su riesgo de eventos. Palabras claves: Cáncer colorrectal metastásico, terapia anti-angiogénica, quimioterapia en segunda línea, receptor del factor de crecimiento de endotelio vascular, supervivencia global.

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Introducción: El cáncer colorrectal es una patología con alto impacto en la salud pública, debido a su prevalencia, incidencia, severidad, costo e impacto en la salud mental y física del individuo y la familia. Ensayos clínicos realizados en pacientes con antecedente de infarto al miocardio que consumían ácido acetil salicílico (asa), calcio con y sin vitamina D, mostraron asociación entre el consumo de estos medicamentos y disminución en la incidencia en cáncer colorrectal y pólipos adenomatosos. Objetivo: Evaluar la literatura sobre el uso de asa, calcio con y sin vitamina D con relación a su impacto en la prevención del cáncer colorrectal y pólipos adenomatosos. Métodos: Se realizó revisión sistemática buscando ensayos clínicos realizados en pacientes con factores de riesgo para cáncer colorrectal y pólipos adenomatosos que usaron asa, calcio con y sin vitamina D fueron incluidos. Resultados: se escogieron 105 para la revisión sistemática. Conclusiones: Es necesario desarrollar más estudios que lleven a evaluar el efecto protector de la aspirina, calcio y vitamina D. En los artículos revisados la aspirina a dosis de 81 a 325 mg día se correlaciona con reducción de riesgo de aparición de CRC aunque la dosis ideal, el tiempo de inicio y la duración de la ingesta continua no son claros. Hacen falta estudios que comparen poblaciones con ingesta de asa a diferentes dosis.

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Objetivo: Evaluar los efectos de una intervención educativa en la práctica del autoexamen de seno, los conocimientos y práctica de los estilos de vida saludables para la prevención del cáncer de seno en estudiantes mujeres de un colegio público de la localidad de Ciudad Bolívar en Bogotá, Colombia. Materiales y métodos: Estudio de intervención, antes y después, no controlado en un periodo de seis meses con la participación de mujeres jóvenes estudiantes entre 10 y 20 años de edad. Se contemplaron cinco momentos metodológicos ejecutados en los meses de febrero en el cual se realizó la aplicación del cuestionario auto-diligenciado; de marzo en el cual las estudiantes recibieron una sesión educativa de 90 minutos y una de 60 minutos, soportadas con material audiovisual y folletos informativos. Se realizó el seguimiento prospectivo para la toma de datos en uno, tres y seis meses post-intervención. Conclusiones: 155 estudiantes fueron encuestadas. La prevalencia de práctica del autoexamen de seno fue de 78,1% (n=121). Se evidenció un cambio significativo en el conocimiento de la técnica y la práctica del autoexamen de seno, así como aumentos significativos en los conocimientos de los principales factores de riesgo para el cáncer de mama (p<,0001). En cuanto a los estilos de vida, las estudiantes mejoraron de manera significativa la práctica regular de actividad física con más de 150 minutos semanales a los 6 meses post-intervención. Conclusión: Una intervención educativa puede mejorar los conocimientos acerca de los factores de riesgo para cáncer de mama, la práctica del autoexamen de seno y los estilos de vida en mujeres jóvenes estudiantes de una localidad de bajo nivel socio-económico en Bogotá, Colombia. Estudios experimentales de alta calidad son requeridos.

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El cáncer colorrectal es un serio problema de salud pública a nivel mundial. Evidencias epidemiológicas han sugerido que al menos el 50% de la enfermedad puede ser prevenida mediante un estilo de vida saludable. Las intervenciones educativas surgen como una herramienta clave de movilización social para la prevención y han sido sugeridas desde las autoridades nacionales para el control del cáncer en el país.

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Antecedentes: El cáncer gástrico se diagnostica tardíamente. Sólo en países como Corea y Japón existen políticas de tamizaje, que se justificarían en cualquier país con alta prevalencia de cáncer gástrico como Colombia o Chile. El análisis del pepsinógeno sérico se ha propuesto para el diagnóstico de lesiones premalignas y malignas gástricas, por lo cual se pretende revisar sistemáticamente en la literatura el valor diagnóstico del cociente pepsinógeno I/II como marcador de lesiones premalignas y malignas gástricas. Metodología: Se revisó la literatura hasta septiembre del 2016 con palabras claves lesiones malignas, premalignas gástricas y pepsinógeno en las bases de datos PubMed, OVID, EMBASE, EBSCO, LILACS, OPENGRAY y Dialnet, artículos de prueba diagnóstica que evaluaran el cociente pepsinógeno I/II en relación con los hallazgos histológicos. Resultados: Se incluyeron 21 artículos conun total de 20601 pacientes, que demuestranuna sensibilidad entre13.7% - 91.2%, una especificidad entre 38.5% - 100%, un Valor Predictivo Positivo entre 6.3% - 100% y un Valor Predictivo Negativo entre 33.3% - 98.8%del cociente pepsinógeno I/II en relación con el diagnósticode lesiones premalignas y malignas gástricas. Conclusiones: Los valores del cociente pepsinógeno I/II disminuidos se relacionan con la presencia delesiones premalignas y malignas gástricas.Dado que tiene mejor especificidad que sensibilidad, en cuanto prueba para tamizaje, sería útil para la selección de pacientes que se beneficiaríande la EVDA. Se requieren más estudios de prueba diagnóstica para validar un punto de corte específico que pueda ser utilizado como valor estándar.

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Background Up to one-third of people affected by cancer experience ongoing psychological distress and would benefit from screening followed by an appropriate level of psychological intervention. This rarely occurs in routine clinical practice due to barriers such as lack of time and experience. This study investigated the feasibility of community-based telephone helpline operators screening callers affected by cancer for their level of distress using a brief screening tool (Distress Thermometer), and triaging to the appropriate level of care using a tiered model. Methods Consecutive cancer patients and carers who contacted the helpline from September-December 2006 (n = 341) were invited to participate. Routine screening and triage was conducted by helpline operators at this time. Additional socio-demographic and psychosocial adjustment data were collected by telephone interview by research staff following the initial call. Results The Distress Thermometer had good overall accuracy in detecting general psychosocial morbidity (Hospital Anxiety and Depression Scale cut-off score ≥ 15) for cancer patients (AUC = 0.73) and carers (AUC = 0.70). We found 73% of participants met the Distress Thermometer cut-off for distress caseness according to the Hospital Anxiety and Depression Scale (a score ≥ 4), and optimal sensitivity (83%, 77%) and specificity (51%, 48%) were obtained with cut-offs of ≥ 4 and ≥ 6 in the patient and carer groups respectively. Distress was significantly associated with the Hospital Anxiety and Depression Scale scores (total, as well as anxiety and depression subscales) and level of care in cancer patients, as well as with the Hospital Anxiety and Depression Scale anxiety subscale for carers. There was a trend for more highly distressed callers to be triaged to more intensive care, with patients with distress scores ≥ 4 more likely to receive extended or specialist care. Conclusions Our data suggest that it was feasible for community-based cancer helpline operators to screen callers for distress using a brief screening tool, the Distress Thermometer, and to triage callers to an appropriate level of care using a tiered model. The Distress Thermometer is a rapid and non-invasive alternative to longer psychometric instruments, and may provide part of the solution in ensuring distressed patients and carers affected by cancer are identified and supported appropriately.

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Background The largest proportion of cancer patients are aged 65 years and over. Increasing age is also associated with nutritional risk and multi-morbidities—factors which complicate the cancer treatment decision-making process in older patients. Objectives To determine whether malnutrition risk and Body Mass Index (BMI) are associated with key oncogeriatric variables as potential predictors of chemotherapy outcomes in geriatric oncology patients with solid tumours. Methods In this longitudinal study, geriatric oncology patients (aged ≥65 years) received a Comprehensive Geriatric Assessment (CGA) for baseline data collection prior to the commencement of chemotherapy treatment. Malnutrition risk was assessed using the Malnutrition Screening Tool (MST) and BMI was calculated using anthropometric data. Nutritional risk was compared with other variables collected as part of standard CGA. Associations were determined by chi-square tests and correlations. Results Over half of the 175 geriatric oncology patients were at risk of malnutrition (53.1%) according to MST. BMI ranged from 15.5–50.9kg/m2, with 35.4% of the cohort overweight when compared to geriatric cutoffs. Malnutrition risk was more prevalent in those who were underweight (70%) although many overweight participants presented as at risk (34%). Malnutrition risk was associated with a diagnosis of colorectal or lung cancer (p=0.001), dependence in activities of daily living (p=0.015) and impaired cognition (p=0.049). Malnutrition risk was positively associated with vulnerability to intensive cancer therapy (rho=0.16, p=0.038). Larger BMI was associated with a greater number of multi-morbidities (rho =.27, p=0.001. Conclusions Malnutrition risk is prevalent among geriatric patients undergoing chemotherapy, is more common in colorectal and lung cancer diagnoses, is associated with impaired functionality and cognition and negatively influences ability to complete planned intensive chemotherapy.

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Introduction Delirium research in palliative care, particularly in the dying phase, is possible but is frequently met with ethical and methodological challenges. This paper describes the challenges faced in a previous delirium screening study. Methods Within 72 hours of admission to an acute inpatient specialist palliative care unit one hundred consecutive patients over 18 years of age with advanced cancer were invited to be screened for delirium using validated screening tools. Results Of the 100 consecutive admissions 49 patients were unable to participate including seven who did not meet the inclusion criteria and nine (six families and three patients) who withheld consent. The remaining 33 patients were more unwell and closer to death than those who were recruited. Reasons for non- participation included being too unwell (ten), unresponsive (nine), died (two) or discharged (three) before recruitment and exceeding the 72hour time limit (nine). Conclusion Gate keeping and physical condition of patients were the main obstacles to recruitment and is consistent with barriers faced in previous studies involving palliative care and dying patients. While it is possible and necessary to conduct studies in palliative care, including the terminal phase, as reflective practitioners we must maintain the balance between the demands for evidence-based practice and our compassion and respect for our most vulnerable of patients.

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The expression of neutrophil gelatinase-associated lipocalin (NGAL) has been shown to be upregulated in ovarian cancer cells. In this study, we report that the expression of immunoreactive NGAL (irNGAL) in ovarian tumors changes with disease grade and that this change is reflected in the concentration of NGAL in peripheral blood. A total of 59 ovarian tissues including normal, benign, borderline malignant and grades 1, 2 and 3 malignant were analyzed using immunohistochemistry. irNGAL was not present in normal ovaries and the NGAL expression was weak to moderate in benign tissues. Both borderline and grade 1 tumors displayed the highest amount of NGAL expression with moderate to strong staining, whereas in grade 2 and 3 tumors, the extent of staining was significantly less (p < 0.01) and staining intensity was weak to moderate. Staining in all cases was confined to the epithelium. NGAL expression was analyzed by ELISA in 62 serum specimens from normal and different grades of cancer patients. Compared to control samples, the NGAL concentration was 2 and 2.6-fold higher in the serum of patients with benign tumors and cancer patients with grade 1 tumors (p < 0.05) and that result was consistent with the expression of NGAL performed by Western blot. NGAL expression was evaluated by Western blot in an immortalized normal ovarian cell line (IOSE29) as well as ovarian cancer cell lines. Moderate to strong expression of NGAL was observed in epithelial ovarian cancer cell lines SKOV3 and OVCA433 while no expression of NGAL was evident in normal IOSE29 and mesenchyme-like OVHS1, PEO.36 and HEY cell lines. NGAL expression was downregulated in ovarian cancer cell lines undergoing epithelio-mesenchymal transition (EMT) induced by epidermal growth factor (EGF). Down-regulation of NGAL expression correlated with the upregulation of vimentin expression, enhanced cell dispersion and downregulation of E-cadherin expression, some of the hallmarks of EMT. EGF-induced EMT phenotypes were inhibited in the presence of AG1478, an inhibitor of EGF receptor tyrosine kinase activity. These data indicate that NGAL may be a good marker to monitor changes of benign to premalignant and malignant ovarian tumors and that the molecule may be involved in the progression of epithelial ovarian malignancies.

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Objective: To describe patient participation and clinical performance in a colorectal cancer (CRC) screening program utilising faecal occult blood test (FOBT). Methods: A community-based intervention was conducted in a small, rural community in north Queensland, 2000/01. One of two FOBT kits – guaiac (Hemoccult-ll) or immunochemical (Inform) – was assigned by general practice and mailed to participants (3,358 patients aged 50–74 years listed with the local practices). Results: Overall participation in FOBT screening was 36.3%. Participation was higher with the immunochemical kit than the guaiac kit (OR=1.9, 95% Cl 1.6-2.2). Women were more likely to comply with testing than men (OR=1.4, 95% Cl 1.2-1.7), and people in their 60s were less likely to participate than those 70–74 years (OR=0.8, 95% Cl 0.6-0.9). The positivity rate was higher for the immunochemical (9.5%) than the guaiac (3.9%) test (χ2=9.2, p=0.002), with positive predictive values for cancer or adenoma of advanced pathology of 37.8% (95% Cl 28.1–48.6) for !nform and 40.0% (95% Cl 16.8–68.7) for Hemoccult-ll. Colonoscopy follow-up was 94.8% with a medical complication rate of 2–3%. Conclusions: An immunochemical FOBT enhanced participation. Higher positivity rates for this kit did not translate into higher false-positive rates, and both test types resulted in a high yield of neoplasia. Implications: In addition to type of FOBT, the ultimate success of a population-based screening program for CRC using FOBT will depend on appropriate education of health professionals and the public as well as significant investment in medical infrastructure for colonoscopy follow-up.