882 resultados para diabetes Type 1
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BACKGROUND: Simultaneous pancreas/kidney transplantation (SPK) should be the procedure of choice for (pre)uremic patients with type 1 diabetes. All standard immunosuppressive protocols for SPK include a calcineurin-inhibitor. Both calcineurin inhibitors, cyclosporine (CyA) and probably tacrolimus (FK506) too, are associated with the occurrence of cholelithiasis due to their metabolic side effects. PATIENTS AND METHODS: We evaluated the prevalence of cholelithiasis in 83 kidney/pancreas transplanted type I-diabetic patients (46 males, 37 females, mean age 42.8 +/- 7.5 years) by conventional B-mode ultrasound 5 years after transplantation. 56 patients received CyA (group 1) and 27 received tacrolimus (group 2) as first-line-immunosuppressive drug. Additional immunosuppression consisted of steroids, azathioprine or mycophenolate mofetil. Additionally, laboratory analyses of cholestasis parameters (gamma-GT and alcalic phosphatasis) were performed. RESULTS: In total, 23 patients (28%) revealed gallstones and 52 patients (62%) revealed a completely normal gallbladder. In eight patients (10%) a cholecystectomy was performed before or during transplantation because of already known gallstones. No concrements in the biliary ducts (choledocholithiasis) could be detected. In group 2 the number of patients with gallstones was slightly lower (22%) compared with group 1 patients (30%), but without statistical significance. - Cholestasis parameters were not increased and HbA1c values were normal in both groups of patients. CONCLUSION: The prevalence of biliary disease in kidney/pancreas transplanted type I-diabetic patients with 28% is increased in comparison to the general population (10-15%). Lithogenicity under tacrolimus seems to be lower as under cyclosporine based immunosuppressive drug treatment. We recommend regular sonographical examinations to detect an acute or chronic cholecystis as early as possible, which may develop occultly in these patients.
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Background: Individuals with type 1 diabetes (T1D) have to count the carbohydrates (CHOs) of their meal to estimate the prandial insulin dose needed to compensate for the meal’s effect on blood glucose levels. CHO counting is very challenging but also crucial, since an error of 20 grams can substantially impair postprandial control. Method: The GoCARB system is a smartphone application designed to support T1D patients with CHO counting of nonpacked foods. In a typical scenario, the user places a reference card next to the dish and acquires 2 images with his/her smartphone. From these images, the plate is detected and the different food items on the plate are automatically segmented and recognized, while their 3D shape is reconstructed. Finally, the food volumes are calculated and the CHO content is estimated by combining the previous results and using the USDA nutritional database. Results: To evaluate the proposed system, a set of 24 multi-food dishes was used. For each dish, 3 pairs of images were taken and for each pair, the system was applied 4 times. The mean absolute percentage error in CHO estimation was 10 ± 12%, which led to a mean absolute error of 6 ± 8 CHO grams for normal-sized dishes. Conclusion: The laboratory experiments demonstrated the feasibility of the GoCARB prototype system since the error was below the initial goal of 20 grams. However, further improvements and evaluation are needed prior launching a system able to meet the inter- and intracultural eating habits.
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Tese de mestrado, Epidemiologia, Universidade de Lisboa, Faculdade de Medicina, 2015
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Les patients diabétiques de type 1 (DT1) ont avantage à avoir un bon contrôle glycémique pour réduire les effets négatifs à court et long terme d’un mauvais contrôle glycémique sur leur santé. Pour contrôler leur glycémie, ils doivent prendre de l’insuline, mais il est aussi recommandé qu’ils aient de bonnes habitudes de vie comme une nutrition appropriée et une pratique adéquate d’activité physique. Par contre, les patients DT1 ne suivent généralement pas les recommandations en activité physique et une partie du problème vient de leurs barrières personnelles à un style de vie actif, telle la peur des hypoglycémies. L’utilisation de la pompe comme traitement à l’insuline aide à mieux contrôler la glycémie, plus précisément l’hémoglobine glyquée, que les injections d’insuline, et le dispositif est de plus en plus prescrit chez les enfants et adolescents. Par contre, son impact sur la pratique des activités sédentaire et physique n’est pas encore bien connu. L’objectif de la présente étude est donc de révéler le profil d’activité physique complet, incluant les barrières à l’exercice et les habitudes de vie des parents, des enfants et adolescents DT1, selon leur type de traitement à l’insuline (pompe ou injections). L’étude a été conduite à la clinique d’endocrinologie du Centre hospitalier universitaire de Sainte-Justine (Montréal, Canada). Un questionnaire auto-administré a été complété par 188 patients DT1 âgés de 6 à 17 ans et un de leurs parents. Soixante pourcent des patients étaient des utilisateurs de la pompe à insuline. Il n’y avait pas de différence significative pour aucune des composantes du profil d’activité physique, des habitudes sédentaires et des barrières à l’exercice entre les patients DT1 utilisant les injections et ceux utilisant la pompe. La peur de faire des hypoglycémies était la barrière à l’activité physique principale pour les deux groupes de traitement. Les adolescents dont les parents pratiquaient une plus grande variété d’activités physiques faisaient plus d’activité physique d’intensité moyenne à élevée et passaient moins de temps devant les écrans. En conclusion, le type de traitement n’était pas associé à un style de vie plus sain chez les patients pédiatriques DT1, mais un profil d’activité physique parental varié était le facteur principal d’intérêt pour des habitudes de vie plus saines chez les adolescents DT1.
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Les patients diabétiques de type 1 (DT1) ont avantage à avoir un bon contrôle glycémique pour réduire les effets négatifs à court et long terme d’un mauvais contrôle glycémique sur leur santé. Pour contrôler leur glycémie, ils doivent prendre de l’insuline, mais il est aussi recommandé qu’ils aient de bonnes habitudes de vie comme une nutrition appropriée et une pratique adéquate d’activité physique. Par contre, les patients DT1 ne suivent généralement pas les recommandations en activité physique et une partie du problème vient de leurs barrières personnelles à un style de vie actif, telle la peur des hypoglycémies. L’utilisation de la pompe comme traitement à l’insuline aide à mieux contrôler la glycémie, plus précisément l’hémoglobine glyquée, que les injections d’insuline, et le dispositif est de plus en plus prescrit chez les enfants et adolescents. Par contre, son impact sur la pratique des activités sédentaire et physique n’est pas encore bien connu. L’objectif de la présente étude est donc de révéler le profil d’activité physique complet, incluant les barrières à l’exercice et les habitudes de vie des parents, des enfants et adolescents DT1, selon leur type de traitement à l’insuline (pompe ou injections). L’étude a été conduite à la clinique d’endocrinologie du Centre hospitalier universitaire de Sainte-Justine (Montréal, Canada). Un questionnaire auto-administré a été complété par 188 patients DT1 âgés de 6 à 17 ans et un de leurs parents. Soixante pourcent des patients étaient des utilisateurs de la pompe à insuline. Il n’y avait pas de différence significative pour aucune des composantes du profil d’activité physique, des habitudes sédentaires et des barrières à l’exercice entre les patients DT1 utilisant les injections et ceux utilisant la pompe. La peur de faire des hypoglycémies était la barrière à l’activité physique principale pour les deux groupes de traitement. Les adolescents dont les parents pratiquaient une plus grande variété d’activités physiques faisaient plus d’activité physique d’intensité moyenne à élevée et passaient moins de temps devant les écrans. En conclusion, le type de traitement n’était pas associé à un style de vie plus sain chez les patients pédiatriques DT1, mais un profil d’activité physique parental varié était le facteur principal d’intérêt pour des habitudes de vie plus saines chez les adolescents DT1.
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Background: Diabetic children and their families experience high level stress because of daily insulin injection. Objectives: This study was conducted to investigate the impact of an interactive computer game on behavioral distress due to insulin injection among diabetic children. Patients and Methods: In this clinical trial, thirty children (3-12 years) with type 1 diabetes who needed daily insulin injection were recruited and allocated randomly into two groups. Children in intervention groups received an interactive computer game and asked to play at home for a week. No special intervention was done for control group. The behavioral distress of groups was assessed before, during and after the intervention by Observational Scale of Behavioral Distress–Revised (OSBD-R). Results: Repeated measure ANOVA test showed no significantly difference of OSBD-R over time for control group (P = 0.08), but this changes is signification in the study group (P = 0.001). Comparison mean score of distress were significantly different between two groups (P = 0.03). Conclusions: According to the findings, playing interactive computer game can decrease behavioral distress induced by insulin injection in type 1 diabetic children. It seems this game can be beneficial to be used alongside other interventions.
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Les patients atteints de diabète de type 1 (DbT1) semblent sur-traiter leurs hypoglycémies par rapport aux recommandations des Lignes directrices Canadiennes en diabète. Objectifs : 1) Décrire les habitudes des patients DbT1 pour le traitement des hypoglycémies et estimer les impacts sur le profil de risque cardio-métabolique et 2) explorer les excursions glycémiques suite à un traitement d’hypoglycémie qui respecte les recommandations. Méthodologie (analyses secondaires) : Objectif 1 : 121 patients DbT1 ont complété un journal alimentaire et de glycémies de 48 h. Des variables cardio-métaboliques ont été mesurées et un questionnaire sur la peur des hypoglycémies a été complété. Objectif 2 : 57 patients DbT1 ont complété les bras contrôles de notre programme sur le pancréas artificiel (traitement des hypoglycémies standardisé). Les valeurs de glycémie étaient disponibles aux 5 minutes. Résultats : Projet 1 : Les patients ont fait en moyenne 1,45 hypoglycémies/jour et 73% sur-traitaient avec une consommation moyenne de glucides de 32 ± 24 g. Ce sur-traitement est associé avec un plus jeune âge et une peur des hypoglycémies plus importante, mais pas avec un profil de risque cardio-métabolique plus défavorable. Projet 2 : Dans 20% des cas, traiter une hypoglycémie avec 15 g de glucides était efficace pour ramener la glycémie ≥ 4,0 mmol/L en 15 minutes, le temps moyen étant de 24 ± 12 minutes. La proportion d’insuline basale, le temps depuis le dernier repas et la pratique d’activité physique sont les éléments qui semblent avoir le plus d’impact sur l’efficacité du traitement. Conclusion : L’éducation entourant le traitement des hypoglycémies a besoin d’être renforcée et d’autres études sont nécessaires afin de valider les recommandations.
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Les patients atteints de diabète de type 1 (DbT1) semblent sur-traiter leurs hypoglycémies par rapport aux recommandations des Lignes directrices Canadiennes en diabète. Objectifs : 1) Décrire les habitudes des patients DbT1 pour le traitement des hypoglycémies et estimer les impacts sur le profil de risque cardio-métabolique et 2) explorer les excursions glycémiques suite à un traitement d’hypoglycémie qui respecte les recommandations. Méthodologie (analyses secondaires) : Objectif 1 : 121 patients DbT1 ont complété un journal alimentaire et de glycémies de 48 h. Des variables cardio-métaboliques ont été mesurées et un questionnaire sur la peur des hypoglycémies a été complété. Objectif 2 : 57 patients DbT1 ont complété les bras contrôles de notre programme sur le pancréas artificiel (traitement des hypoglycémies standardisé). Les valeurs de glycémie étaient disponibles aux 5 minutes. Résultats : Projet 1 : Les patients ont fait en moyenne 1,45 hypoglycémies/jour et 73% sur-traitaient avec une consommation moyenne de glucides de 32 ± 24 g. Ce sur-traitement est associé avec un plus jeune âge et une peur des hypoglycémies plus importante, mais pas avec un profil de risque cardio-métabolique plus défavorable. Projet 2 : Dans 20% des cas, traiter une hypoglycémie avec 15 g de glucides était efficace pour ramener la glycémie ≥ 4,0 mmol/L en 15 minutes, le temps moyen étant de 24 ± 12 minutes. La proportion d’insuline basale, le temps depuis le dernier repas et la pratique d’activité physique sont les éléments qui semblent avoir le plus d’impact sur l’efficacité du traitement. Conclusion : L’éducation entourant le traitement des hypoglycémies a besoin d’être renforcée et d’autres études sont nécessaires afin de valider les recommandations.
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Multiple endocrine neoplasia type 1 (MEN1) is an autosomal dominant hereditary cancer syndrome characterized mostly by parathyroid, enteropancreatic, and anterior pituitary tumors. We present a case of an 8-year-old boy referred because of hypoglycemic attacks. His diagnosis was pancreatic insulinoma. Paternal grandmother died due to repeated gastroduodenal ulcerations and a paternal aunt presented similar manifestations. At a first evaluation, the father presented only gastric ulceration but subsequently developed hyperparathyroidism and lung carcinoid tumor. During almost 15 years of follow-up, three brothers and the index case presented hyperparathyroidism and hyperprolactinemia. Molecular study showed a G to A substitution in intron 4, at nine nucleotides upstream of the splicing acceptor site, causing a splicing mutation. All affected members of the family have the same mutation. Paternal grandmother and aunt were not studied and the mother does not carry any mutation. MEN1 is a rare condition that requires permanent medical assistance. Early clinical and genetic identification of affected individuals is essential for their own surveillance and also for genetic counseling.
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Background: CD4(+)CD25(high) regulatory T (T(Reg)) cells modulate antigen-specific T cell responses, and can suppress anti-viral immunity. In HTLV-1 infection, a selective decrease in the function of T(Reg) cell mediated HTLV-1-tax inhibition of FOXP3 expression has been described. The purpose of this study was to assess the frequency and phenotype of T(Reg) cells in HTLV-1 asymptomatic carriers and in HTLV-1-associated neurological disease (HAM/TSP) patients, and to correlate with measures of T cell activation. Results: We were able to confirm that HTLV-1 drives activation, spontaneous IFN gamma production, and proliferation of CD4+ T cells. We also observed a significantly lower proportion of CTLA-4(+) T(Reg) cells (CD4(+)CD25(high) T cells) in subjects with HAM/TSP patients compared to healthy controls. Ki-67 expression was negatively correlated to the frequency of CTLA-4(+) T(Reg) cells in HAM/TSP only, although Ki-67 expression was inversely correlated with the percentage of CD127(low) T(Reg) cells in healthy control subjects. Finally, the proportion of CD127(low) T(Reg) cells correlated inversely with HTLV-1 proviral load. Conclusion: Taken together, the results suggest that T(Reg) cells may be subverted in HAM/TSP patients, which could explain the marked cellular activation, spontaneous cytokine production, and proliferation of CD4(+) T cells, in particular those expressing the CD25(high)CD127(low) phenotype. T(Reg) cells represent a potential target for therapeutic intervention for patients with HTLV-1-related neurological diseases.
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The presence of mutations associated with integrase inhibitor (INI) resistance among INI-naive patients may play an important clinical role in the use of those drugs Samples from 76 HIV-1-infected subjects naive to INIs were submitted to direct sequencing. No differences were found between naive (25%) subjects and subjects on HAART (75%). No primary mutation associated with raltegravir or elvitegravir resistance was found. However, 78% of sequences showed at least one accessory mutation associated with resistance. The analysis of the 76 IN sequences showed a high polymorphic level on this region among Brazilian HIV-1-infected subjects, including a high prevalence of aa substitutions related to INI resistance. The impact of these findings remains unclear and further studies are necessary to address these questions.