856 resultados para Sex discrimination against women Australia


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In this paper, we describe our experience of using the Putting Women First protocol in the design and implementation of a cross-sectional study on violence against women (VAW) among 1607 immigrant women from Morocco, Ecuador and Romania living in Spain in 2011. The Putting Women First protocol is an ethical guideline for VAW research, which includes recommendations to ensure the safety of the women involved in studies on this subject. The response rate in this study was 59.3%. The prevalence of VAW cases last year was 11.7%, of which 15.6% corresponded to Ecuadorian women, 10.9% to Moroccan women and 8.6% to Romanian women. We consider that the most important goal for future research is the use of VAW scales validated in different languages, which would help to overcome the language barriers encountered in this study.

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Background. There are a significant number of studies assessing the negative health consequences of violence against women. However, a limited number of studies analyse the health consequences of violence committed against young women by different types of aggressors. Objectives. The goal of this study is to assess the prevalence of interpersonal violence against young women in Spain and analyse its impact on the physical and mental health of the victims. Methods. A total of 1076 women aged 18–25 years attending Spanish primary care services were selected. We estimated the prevalence of interpersonal violence and compared the health data and demographic characteristics of abused and non-abused young women, multi-logistic regression models were fitted. The Wald test was used to assess whether there were differences in the negative health consequences of intimate partner (IPV) versus non-IPV. Results. As many as 27.6% young women reported a history of abuse, of whom 42.7% had been assaulted by their partner, 41.1% by someone other than their partner and 16.2% both by their partner and another person. The distribution of social and demographic characteristics was similar for IPV and non-IPV victims. Young abused women were three times more likely to suffer psychological distress and have somatic complaints, and they were four times more likely to use medication as compared to non-abused women. Conclusion. Our results suggest that all forms of violence compromise young women’s health seriously. Including patients’ history of abuse in their health record may help make more informed clinical decisions and provide a more integrated care.

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Background: Intimate partner violence (IPV) against women is a complex worldwide public health problem. There is scarce research on the independent effect on IPV exerted by structural factors such as labour and economic policies, economic inequalities and gender inequality. Objective: To analyse the association, in Spain, between contextual variables of regional unemployment and income inequality and individual women’s likelihood of IPV, independently of the women’s characteristics. Method: We conducted multilevel logistic regression to analyse cross-sectional data from the 2011 Spanish Macrosurvey of Gender-based Violence which included 7898 adult women. The first level of analyses was the individual women’ characteristics and the second level was the region of residence. Results: Of the survey participants, 12.2% reported lifetime IPV. The region of residence accounted for 3.5% of the total variability in IPV prevalence. We determined a direct association between regional male long-term unemployment and IPV likelihood (P = 0.007) and between the Gini Index for the regional income inequality and IPV likelihood (P < 0.001). Women residing in a region with higher gender-based income discrimination are at a lower likelihood of IPV than those residing in a region with low gender-based income discrimination (odds ratio = 0.64, 95% confidence intervals: 0.55–0.75). Conclusions: Growing regional unemployment rates and income inequalities increase women’s likelihood of IPV. In times of economic downturn, like the current one in Spain, this association may translate into an increase in women’s vulnerability to IPV.

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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.

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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.

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Item 288-A-5

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Mode of access: Internet.

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Includes bibliographies.

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May 1979.

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Prepared under contract "for the National Advisory Council on Women's Educational Programs."

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"February 1996."

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"Prepared under grants from the National Commission on Employment Policy and the U.S. Department of Labor, Employment and Training Administration."

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Patterns of first sexual activity among Australians born between the 1940s and 1980s were analysed using data from a national telephone survey of 1784 adults (876 males; 908 females). Sixty-one percent of those randomly selected from the Australian electoral roll and contactable by telephone responded. Many trends, including earlier first intercourse - from 20 to 18 years (females) and 18.8 to 17.8 years (males) - were established with the 40-49 year cohort, whose sexual debut was in the late 1960s-70s. Significant age-cohort effects saw women in the contemporary (18-29 year) cohort draw level with males for age at first intercourse and first sex before age 16 and before leaving school. First intercourse contraceptive use climbed from 30% to 80'%. Condom use quadrupled to 70%. Australian age-cohort effects are remarkably consistent with those in similar western cultures: gender convergence in sexual experience and increasing avoidance of sexually transmitted disease and pregnancy. If such trends continue, positive long-term outcomes for health and social wellbeing should result.

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Heterosexual transmission of the human immunodeficiency virus (HIV) in midlife and older women is increasing, yet little is known about the safer sex practices of these women. Identification of HIV risk and protective factors necessitates understanding of the influences of individual, interpersonal, and socio-environmental factors on the sexual behaviors of this understudied, at-risk population. The purpose of this study was to determine the influence of self esteem, sensation seeking, self silencing, sexual assertiveness, and HIV-stigma on the safer sex behaviors of women aged 50 and older. ^ This study was guided by the ecological perspective which emphasizes the multilevel factors affecting health behaviors within individual, interpersonal, and socio-environmental contexts. A community-based, ethnically diverse sample of 572 women aged 50 to 93 (M = 63.6 years, SD = 10.5) completed a 128-item anonymous questionnaire. This study used a cross-sectional, correlational research design. The data were analyzed using Pearson correlation coefficients and multiple regression analysis. ^ Results from the regression analysis with the predictors (i.e., ethnicity, education, self esteem, sensation seeking, self silencing, sexual assertiveness, and HIV stigma) indicated the model significantly predicted safer sex behaviors (p < .001). Self silencing (β = -.115, p < .05) was a significant predictor. The lower the self silencing scores, the higher the safer sex behavior scores. Further exploration of the data revealed that the greater the age of the woman, the more likely she is to engage in safer sex behaviors (β = .173, p < .001). While the data showed this model was statistically significant, its practical significance may be limited due to the low proportion of variance explained by age and self silencing. HIV/AIDS prevention interventions that are socially anchored, age-appropriate, and gender-specific are discussed and recommendations for socially meaningful strategies to reduce the number of new cases of HIV/AIDS in midlife and older women are presented. ^