972 resultados para SOCIAL MOBILITY


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This article explores the idea of 'cultural mobility' both as a way of thinking about the polarizing logic of class relations and practices in contemporary society and as a means by which the debate over the cultural omnivore might be advanced. The concept of cultural mobility refers to the differential capacity to engage with or consume cultural goods and services across the entire spectrum of cultural life, an ability which is itself premised upon an unequal, class-related distribution in cultural competence. Cultural mobility, then, is the ability to move at will between cultural realms, a freedom to choose where one is positioned in the cultural landscape. I argue that the concept provides fertile ground for exploring possible interconnections between a number of divergent strands in current social theory which have largely developed independently of each other. At the same time much of this theoretical effort remains divorced from concrete research agendas. Using data collected as part of a major study of Australian cultural consumption, the article provides a case study of cultural mobility and its class moorings which serves to clarify some of the existing confusions concerning the cultural omnivore.

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Social exclusion can be defined as a process leading to a state of multiple functioning deprivations. Cross-sectional headcount ratios of social exclusion may overstate the extent of the problem if most individuals do not remain in the same state in successive years. To address this issue, we need to focus on mobility. Therefore, the aim of this paper is to analyse changes in the individual levels of social exclusion focusing on the extent to which individuals change place in social exclusion distribution.

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In this study we examine the role of institutions in shaping inter-generational mobility behavior. Research has traditionally emphasized the role of educational systems but cummulative evidence suggests that variations in their design offer only a very limited explanation for observed mobility differences. We examine the impact of welfare states and, in particular, how early childhood and family policies may influence the impact of economic and cultural characteristics of origin families on child outcomes.

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This paper presents a tractable dynamic general equilibrium model thatcan explain cross-country empirical regularities in geographical mobility,unemployment and labor market institutions. Rational agents vote overunemployment insurance (UI), taking the dynamic distortionary effects ofinsurance on the performance of the labor market into consideration.Agents with higher cost of moving, i.e., more attached to their currentlocation, prefer more generous UI. The key assumption is that an agent'sattachment to a location increases the longer she has resided there. UIreduces the incentive for labor mobility and increases, therefore, thefraction of attached agents and the political support for UI. The mainresult is that this self-reinforcing mechanism can give rise to multiplesteady-states-one 'European' steady-state featuring high unemployment,low geographical mobility and high unemployment insurance, and one'American' steady-state featuring low unemployment, high mobility andlow unemployment insurance.

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The following article is divided into five sections, each one with a specific objective. The first section briefly presents the student mobility experiences obtained basically through the fieldwork practice course in social education studies at the University of Girona. The second section delves more deeply to explore the value of the exchange and the student mobility experience over one semester of intensive fieldwork practice. The third section presents data about the students who have participated in this experience inall ten of the graduating classes. The fourth part offers an assessment of the experience and reports which aspects are considered essential to a good student mobility experience. Finally, various actions to be taken to improve these educational experiences within the social education studies at the University of Girona are specified

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Les études sur les milieux de vie et la santé ont traditionnellement porté sur le seul quartier de résidence. Des critiques ont été émises à cet égard, soulignant le fait que la mobilité quotidienne des individus n’était pas prise en compte et que l’accent mis sur le quartier de résidence se faisait au détriment d’autres milieux de vie où les individus passent du temps, c’est-à-dire leur espace d’activité. Bien que la mobilité quotidienne fasse l’objet d’un intérêt croissant en santé publique, peu d’études se sont intéressé aux inégalités sociales de santé. Ceci, même en dépit du fait que différents groupes sociaux n’ont pas nécessairement la même capacité à accéder à des milieux favorables pour la santé. Le lien entre les inégalités en matière de mobilité et les inégalités sociales de santé mérite d’être exploré. Dans cette thèse, je développe d'abord une proposition conceptuelle qui ancre la mobilité quotidienne dans le concept de potentiel de mobilité. Le potentiel de mobilité englobe les opportunités et les lieux que les individus peuvent choisir d’accéder en convertissant leur potentiel en mobilité réalisée. Le potentiel de mobilité est façonné par des caractéristiques individuelles (ex. le revenu) et géographiques (ex. la proximité des transports en commun), ainsi que par des règles régissant l’accès à certaines ressources et à certains lieux (ex. le droit). Ces caractéristiques et règles sont inégalement distribuées entre les groupes sociaux. Des inégalités sociales en matière de mobilité réalisée peuvent donc en découler, autant en termes de l'ampleur de la mobilité spatiale que des expositions contextuelles rencontrées dans l'espace d'activité. Je discute de différents processus par lesquels les inégalités en matière de mobilité réalisée peuvent mener à des inégalités sociales de santé. Par exemple, les groupes défavorisés sont plus susceptibles de vivre et de mener des activités dans des milieux défavorisés, comparativement à leurs homologues plus riches, ce qui pourrait contribuer aux différences de santé entre ces groupes. Cette proposition conceptuelle est mise à l’épreuve dans deux études empiriques. Les données de la première vague de collecte de l’étude Interdisciplinaire sur les inégalités sociales de santé (ISIS) menée à Montréal, Canada (2011-2012) ont été analysées. Dans cette étude, 2 093 jeunes adultes (18-25 ans) ont rempli un questionnaire et fourni des informations socio-démographiques, sur leur consommation de tabac et sur leurs lieux d’activités. Leur statut socio-économique a été opérationnalisé à l’aide de leur plus haut niveau d'éducation atteint. Les lieux de résidence et d'activité ont servi à créer des zones tampons de 500 mètres à partir du réseau routier. Des mesures de défavorisation et de disponibilité des détaillants de produits du tabac ont été agrégées au sein des ces zones tampons. Dans une première étude empirique je compare l'exposition à la défavorisation dans le quartier résidentiel et celle dans l'espace d’activité non-résidentiel entre les plus et les moins éduqués. J’identifie également des variables individuelles et du quartier de résidence associées au niveau de défavorisation mesuré dans l’espace d’activité. Les résultats démontrent qu’il y a un gradient social dans l’exposition à la défavorisation résidentielle et dans l’espace d’activité : elle augmente à mesure que le niveau d’éducation diminue. Chez les moins éduqués les écarts dans l’exposition à la défavorisation sont plus marquées dans l’espace d’activité que dans le quartier de résidence, alors que chez les moyennement éduqués, elle diminuent. Un niveau inférieur d'éducation, l'âge croissant, le fait d’être ni aux études, ni à l’emploi, ainsi que la défavorisation résidentielle sont positivement corrélés à la défavorisation dans l’espace d’activité. Dans la seconde étude empirique j'étudie l'association entre le tabagisme et deux expositions contextuelles (la défavorisation et la disponibilité de détaillants de tabac) mesurées dans le quartier de résidence et dans l’espace d’activité non-résidentiel. J'évalue si les inégalités sociales dans ces expositions contribuent à expliquer les inégalités sociales dans le tabagisme. J’observe que les jeunes dont les activités quotidiennes ont lieu dans des milieux défavorisés sont plus susceptibles de fumer. La présence de détaillants de tabac dans le quartier de résidence et dans l’espace d’activité est aussi associée à la probabilité de fumer, alors que le fait de vivre dans un quartier caractérisé par une forte défavorisation protège du tabagisme. En revanche, aucune des variables contextuelles n’affectent de manière significative l’association entre le niveau d’éducation et le tabagisme. Les résultats de cette thèse soulignent l’importance de considérer non seulement le quartier de résidence, mais aussi les lieux où les gens mènent leurs activités quotidiennes, pour comprendre le lien entre le contexte et les inégalités sociales de santé. En discussion, j’élabore sur l’idée de reconnaître la mobilité quotidienne comme facteur de différenciation sociale chez les jeunes adultes. En outre, je conclus que l’identification de facteurs favorisant ou contraignant la mobilité quotidienne des individus est nécessaire afin: 1 ) d’acquérir une meilleure compréhension de la façon dont les inégalités sociales en matière de mobilité (potentielle et réalisée) surviennent et influencent la santé et 2) d’identifier des cibles d’intervention en santé publique visant à créer des environnements sains et équitables.

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Emergent phenomena such as urban sprawl, travel intensification and loss of cohesion in contemporary metropolises, impose stronger constraints on its inhabitants. Among them, travel and location capabilities become a fundamental factor of social integration and a multiplier of income inequalities. The simultaneous analysis of housing-travel efforts and accessibility to urban opportunities in Greater Santiago shows that these dimensions are closely related and exert an important influence on spatial mobility and inequalities among its inhabitants. Furthermore, a theoretical model of displacements, considering income and location, confirms the importance of proximity and non-motorized transport in order to optimize daily mobility strategies of households. Overall, the empirical and theoretical results presented show the need to implement coordinated planning strategies between the housing and transport sectors, addressing not only travel acceleration, but mainly the consistency between accommodation and opportu  ties location. The creation of such planning tools could be a more sustainable alternative than current growth trends in Greater Santiago.

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