990 resultados para NK CELLS


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L’infection par le VIH-1 est caractérisée par une activation chronique du système immunitaire et par une réduction graduelle du nombre de lymphocytes TCD4+, qui contribuent à une détérioration lente du système immunitaire menant à la phase SIDA. Paradoxalement, ce sont majoritairement des lymphocytes T CD4+ non infectés qui sont détruits et la cause de ce phénomène reste encore inconnue. Certaines protéines virales, dont la protéine accessoire Vpr, sont soupçonnées de jouer un rôle dans ce processus. Synthétisée tardivement, Vpr est incorporée à l’intérieur des virions, en plus d’être relâchée sous forme soluble dans le milieu extracellulaire. La principale fonction biologique de Vpr est l’induction d’un arrêt de cycle en phase G2/M, via le recrutement du complexe d’ubiquitine E3 ligase CUL4A-DDB1VprBP et l’activation de la voie de dommage à l’ADN contrôlée par la kinase ATR. Une étude démontre que l’activation des voies de dommages à l’ADN conduit à l’expression de ligands du récepteur activateur NKG2D, exprimés par les cellules NK, déclenchant leurs fonctions cytolytiques. Chose intéressante, plusieurs études suggèrent que le VIH-1 régule positivement l’expression des ligands de NKG2D à la surface des lymphocytes T CD4+ infectés. Cependant, le facteur viral impliqué dans ce processus reste encore indéfini. Le but de cette thèse était d’évaluer le rôle de Vpr dans la modulation des fonctions cytolytiques des cellules NK et son implication potentielle dans la destruction des lymphocytes T CD4+. Nos travaux ont permis de démontrer que l’expression de Vpr, seule ou dans le contexte de l’infection, est suffisante afin d’augmenter spécifiquement l’expression du ligand de NKG2D, ULBP2, au niveau de lymphocytes T CD4+ primaires. Conséquemment, Vpr augmente ainsi la susceptibilité de ces cellules à une lyse par des cellules NK autologues. Nous démontrons que cette régulation positive d’ULBP2 repose sur la capacité de Vpr de recruter le complexe d’ubiquitine E3 ligase DDB1-CUL4AVprBP et l’activation de la voie de dommage à l’ADN ATR. Plus important encore, nous apportons des preuves que Vpr augmente également l’expression d’ULBP2 au niveau des cellules non infectées lors d’une infection de lymphocytes TCD4+ par le VIH-1. À cet effet, nous montrons que l’acheminement de Vpr au niveau de lymphocytes T CD4+ non infectés via des particules virales défectives est suffisant afin de réguler positivement ULBP2 et d’augmenter leur lyse par des cellules NK autologues. De plus, nous décrivons pour la première fois que Vpr, sous forme soluble, a la capacité d’induire des dommages à l’ADN et de réguler positivement ULBP2 suite à la transduction de différents types cellulaires, incluant des cellules T. Globalement, nos résultats démontrent que Vpr est un facteur viral clé impliqué dans la régulation positive des ligands de NKG2D induite par le VIH-1. Cette régulation positive d’ULBP2 pourrait alors contribuer à la destruction des lymphocytes T CD4+ infectés et non infectés via l’activation des fonctions cytolytiques des cellules NK. Une meilleure compréhension de la contribution de cette activité de Vpr dans la pathogenèse du VIH-1 a le potentiel de permettre le développement de nouvelles cibles ou stratégies thérapeutiques contre le VIH-1.

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Streptococcus du Groupe B (GBS) et Streptococcus suis sont deux pathogènes encapsulés qui induisent des pathologies similaires dont la méningite et la septicémie chez les animaux et/ou les humains. Les sérotypes III et V du GBS et les sérotypes 2 et 14 du S. suis (utilisés dans cette étude) sont parmi les plus prévalents et/ou les plus virulents. La capsule polysaccharidique (CPS) définit le sérotype et est considérée comme un facteur de virulence essentiel pour les deux espèces bactériennes. Malgré que plusieurs études aient été réalisées au niveau des interactions entre ces streptocoques et les cellules de l’immunité innée, aucune information n’est disponible sur la régulation de la réponse immunitaire contre ces pathogènes par les cellules dendritiques (DCs) et leur interactions avec d’autres cellules, notamment les cellules ‘natural killer’ (NK). Dans cette étude, différentes approches (in vitro, ex vivo et in vivo) chez la souris ont été développées pour caractériser les interactions entre les DCs, les cellules NK et GBS ou S. suis. L’utilisation de mutants non encapsulés a permis d’évaluer l’importance de la CPS dans ces interactions. Les résultats in vitro avec les DCs infectées par GBS ou S. suis ont démontré que ces deux pathogènes interagissent différemment avec ces cellules. GBS est grandement internalisé par les DCs, et ce, via de multiples mécanismes impliquant notamment les radeaux lipidiques et la clathrine. Le mécanisme d’endocytose utilisé aurait un effet sur la capacité du GBS à survivre intracellulairement. Quant au S. suis, ce dernier est très faiblement internalisé et, si le cas, rapidement éliminé à l’intérieur des DCs. GBS et S. suis activent les DCs via différents récepteurs et favorisent la production de cytokines et chimiokines ainsi que l’augmentation de l’expression de molécules de co-stimulation. Cette activation permet la production d’interferon-gamma (IFN-y) par les cellules NK. Cependant, GBS semble plus efficient à activer les DCs, et par conséquent, les cellules NK que S. suis. La production d’IFN-y, en réponse à la stimulation bactérienne, est principalement assurée par un contact direct entre les DCs et les cellules NK et ne dépend qu’en partie de facteurs solubles. De plus, nos résultats in vivo ont démontré que ces deux streptocoques induisent rapidement la libération d'IFN-y par les cellules NK lors de la phase aiguë de l'infection. Ceci suggère que les interactions entre les DCs et les cellules NK pourraient jouer un rôle dans le développement d’une réponse immune T auxiliaire de type 1 (T ‘helper’ 1 en anglais; Th1). Cependant, la capacité de S. suis à activer la réponse immunitaire in vivo est également plus faible que celle observée pour GBS. En effet, les CPSs de GBS et de S. suis jouent des rôles différents dans cette réponse. La CPS de S. suis empêche une activation optimale des DCs et des cellules NK alors que c’est l’opposé pour la CPS de GBS, indépendamment du sérotype évalué. En résumé, cette étude adresse pour la première fois la contribution des DCs et des cellules NK dans la réponse immunitaire innée lors d’une infection à GBS ou à S. suis et, par extension, dans le développement d’une réponse Th1. Nos résultats renforcent davantage le rôle central des DCs dans le contrôle efficace des infections causées par des bactéries encapsulées.

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La réaction du greffon contre l’hôte (GvHD) est une complication majeure de la transplantation de cellules souches hématopoïétiques (HSCT). Les traitements de prophylaxie contre le développement de la GvHD reposent essentiellement sur l’utilisation d’agents immunosuppresseurs, ce qui contribue à ralentir la reconstitution immunitaire post-greffe et à prolonger la durée de l’état immunosupprimé des patients. Le développement de prophylaxie pour la GvHD à base d’agents immunomodulateurs est ainsi privilégié. À l’aide d’un modèle murin xénogénique chez les souris NOD/scid-IL2rγ-/- (NSG), on a étudié le potentiel immunomodulateur des immunoglobulines intraveineuses (IVIG) dans la prévention de la GvHD, ainsi que leurs effets sur la qualité et la cinétique de la reconstitution immunitaire. On a déterminé qu’un traitement hebdomadaire d’IVIG peut effectivement réduire l’incidence de la GvHD, ainsi que la mortalité qui y est reliée, avec une efficacité similaire à celle obtenue avec la cyclosporine A, un immunosuppresseur couramment utilisé dans la prophylaxie de la GvHD. Par ailleurs, on a déterminé que le mécanisme d’action des IVIG dans la réduction de la GvHD est distinct de celui des immunosuppresseurs. De plus, on a démontré que les IVIG induisent l’expansion et l’activation des cellules NK présentes au sein du greffon, lesquelles sont nécessaires pour l’obtention de l’effet protecteur des IVIG contre le développement de la GvHD, et sont dépendantes de la présence de lymphocytes T activés. Grâce à un modèle murin humanisé, on a également démontré que le traitement hebdomadaire d’IVIG induit un délai transitoire de la reconstitution humorale, ce qui n’affecte toutefois pas la qualité globale de la reconstitution immunitaire. Ces résultats mettent cependant en doute la pertinence de l’utilisation des IVIG dans les protocoles cliniques de prophylaxie de la GvHD, puisque les immunosuppresseurs seront toujours utilisés, et qu’on a démontré que les IVIG ont besoin de lymphocytes T activés afin de prévenir efficacement le développement de la GvHD.

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Malgré plusieurs chimiothérapies suivies d’une transplantation et d’une immunothérapie, 40% des patients avec un neuroblastome (NB) à haut risque subissent une progression de la maladie ou une rechute. L’échec de ces traitements est attribué à la présence de cellules initiatrices de tumeur (TIC) qui expriment le marqueur CD133 et qui sont souvent résistantes aux agents chimiothérapeutiques. Les cellules Natural Killer (NK), qui possèdent un effet anti-tumoral, peuvent être utilisées dans le cadre du développement de nouvelles approches immuno-thérapeutiques. Nous posons l’hypothèse que les cellules NK activées éliminent efficacement les TIC et contribuent à la réduction des risques de rechute. De plus, il est possible d’augmenter l’effet anti-tumoral des cellules NK contre le NB. L’activité cytotoxique des cellules NK est augmentée par des cellules dendritiques plasmacytoïdes (pDC) activées. A la suite de la stimulation de leurs récepteurs Toll-like les pDC produisent de grandes quantités d'interféron-alpha (IFN-α). Nous avons étudié les propriétés lytiques des cellules NK contre des lignées cellulaires de NB à la suite de leur activation par l’IFN-α ou des pDC activées. Nos résultats révèlent une augmentation de l’activité cytolytique des cellules NK contre ces lignées en réponse à une stimulation par les pDC activées. De plus, les cellules de NB CD133+ ou celles résistantes à l’immunothérapie dirigée contre le GD2 sont sensibles à la lyse médiée par les cellules NK stimulées par les pDC. Nous avons examiné les mécanismes cellulaires impliqués dans la lyse des cellules de NB. Nous montrons que cette cytotoxicité est médiée en partie par TRAIL induisant l'apoptose et en partie par la libération des granules cytotoxiques. Ainsi, ces résultats permettent de proposer une nouvelle approche immuno-thérapeutique complémentaire au traitement par l’anticorps anti-GD2 pour les patients atteints de NB à haut risque.

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Chez la souris, la thérapie anti-HER2 est dépendante de la présence de cellules T CD8+IFN-γ+ et des réponses IFN de type I. Ces IFN sont induits par les TLRs suite à la reconnaissance de signaux de danger, appelés PAMPs et DAMPs. Les TLR-3 et TLR-9 sont tous deux de bons inducteurs d’IFN de type I et sont également capable d’agir en synergie afin d’augmenter les niveaux d’IFN-γ, de TNF-α et d’IL-12. Notre hypothèse fut que la stimulation de ces deux TLRs mènerait à l’amélioration de l’activité anti-tumorale du trastuzumab via le recrutement et l’activation des cellules immunitaires. Nos buts furent de confirmer le potentiel thérapeutique de la combinaison de l’anticorps anti-HER2, de l’agoniste de TLR-3, le poly(I:C), et de l’agoniste de TLR-9, le CpG ODN. Des études in vivo et in vitro nous ont permis de découvrir une synergie entre ces agents qui résulte en une cytotoxicité ciblée plus efficace. De plus, cette thérapie s’avéra efficace chez des modèles CD8-dépendants et CD8-indépendents. Les souris purent rejeter leur tumeur et demeurer sains plusieurs semaines après l’arrêt des injections. Ces souris étaient également protégées lors d’un challenge, soulignant ainsi la présence d’une immunité mémoire. Nous avons aussi découvert que l’administration combine de trastuzumab des deux agonistes de TLRs mène à des réponses systémiques. Des études de déplétion confirmèrent que les cellules T CD8+ sont cruciales pour la protection à long terme des animaux, mais que les pDC sont moins impliquées que ce que l’on pourrait croire. Leur absence n’a que modestement affecté les effets de notre thérapie. À l’opposé, les cellules NK sont d’importants médiateurs des effets thérapeutiques. Des expériences d’ADCC ont révélé que le CpG ODN et poly(I:C) ont tous deux la capacité d’améliorer les fonctions des cellules NK, mais que la stimulation simultanée des TLR-3 et TLR-9 permet de maximiser les effets bénéfiques du trastuzumab. De la même manière, l’addition de CpG ODN et de poly(I:C) aux anticorps anti-HER2 a permis d’augmenter les réponses pro-inflammatoires, plus spécifiquement l’IFN-γ, le TNF-α, l’IP-10 et l’IL-12.

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Introducción: La relación entre el sistema inmune y el estrés ha sido motivo de debate en los últimos años. Los cambios neurohormonales generan variaciones en la respuesta inmunológica, con cambios importantes en los niveles de citoquinas lo que causa a su vez, en algunos casos, depresión de la respuesta citotóxica debida a la disminución de la población de células asesinas naturales (NK) (1). El estrés académico constituye un buen modelo para estudiar los cambios asociados en la secreción de algunas hormonas del eje Hipotalámico- Pituitario-Adrenocortical -HPA- (2, 3). Materiales y métodos: En el presente estudio se evaluó el comportamiento de las hormonascortisol y prolactina, así como su incidencia en la respuesta adaptativa a Herpes Simple tipo I, en una población de estudio constituída por 26 estudiantes de la Facultad de Medicina, con edades comprendidas entre 14 y 27 años, con mayor frecuencia de género masculino (80.8%). Se realizó un estudio de intervención longitudinal en tres momentos, donde se midieron los niveles de cortisol, prolactina y anticuerpos contra Herpes Simple tipo I. Así mismo, se realizó una medición 15 días antes de la exposición al estresor, durante la aplicación del estresor (semana de exámenes trimestrales), y quince días después de la exposición al estresor Todas las muestras fueron tomadas entre las 8:00 a.m. y las 10:00 a.m. Resultados y discusión: Se encontraron diferencias significativas (p < 0.001) en los valores promedio de prolactina, pues hubo una tendencia secular al aumento en los tres momentos evaluados. Para el cortisol, los cambios estuvieron cerca de mostrar diferencias significativas (p = 0.098), con un aumento en el momento del estresor y una disminución después del estresor. También hubo diferencias significativas (p = 0.043) en los niveles de anticuerpos para Herpes Simple tipo I, con una tendencia secular al aumento en los tres momentos evaluados. La respuesta adaptativa a Herpes Simple tipo I aumentó notoriamente como resultado de los cambios en la concentración de prolactina, la que, a su vez, aumentó de manera significativa después de la exposición al estresor. Aunque los niveles de cortisol no aumentan significativamente durante la semana del estresor, podrían ser suficientes para mantener niveles basales de prolactina, sin que haya un aumento de la respuesta adaptativa. Se podría inferir que el cortisol regula la síntesis de prolactina, pues en los resultados se observa que, a medida que disminuye la concentración de cortisol, los niveles de prolactina aumentan significativamente.

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La utilización de la dexametasona está asociada con la supresión de la respuesta inmune en pacientes con cáncer en estadíos III y IV, debido posiblemente a una acción inhibidora sobre las células dendríticas presentadoras de antígenos. Bajo la acción de la dexametasona, las células dendríticas secretan niveles muy bajos de IL-10, lo que a su vez disminuye, tanto la respuesta mediada por los linfocitos Th2 como la inducida por las células NK. La IL-10 tiene pues un efecto dual, si se tiene en cuenta que, en la mayoría de los modelos experimentales, aumenta en pacientes tratados con glucocorticoides tipo dexametasona e inhibe la respuesta mediada por los linfocitos Th1, con una consecuente exacerbación del proceso. Metodología: Se utilizó la prueba de ELISA para determinar IL-10 en pacientes con diferentes tipos de tumor en estadíos III y IV, sometidos a quimioterapia y tratados con dexametasona-metoclopramida como antiemético y en un grupo control de personas sanas. Resultados: En este modelo experimental, todos los pacientes con cáncer en estadíos III y IV presentaron niveles séricos de IL-10 muy bajos, comparados con los del grupo control. Además, IL-10 no aumentó su concentración en los pacientes tratados con dexametasona. Conclusión: IL-10 no provoca anergia de las células dendríticas ni disminución de la respuesta citotóxica mediada por Th1. Por tanto, se sospecha que es la dexametasona y no la IL-10 la responsable de la supresión en la respuesta inmune en pacientes con cáncer en estadíos III y IV, lo que podrá ser demostrado en posteriores estudios que complementen los resultados obtenidos.

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Commensal bacteria, including some species of lactobacilli commonly present in human breast milk, appear to colonize the neonatal gut and contribute to protection against infant infections, suggesting that lactobacilli could potentially modulate immunity. In this study, we evaluated the potential of two Lactobacillus strains isolated from human milk to modulate the activation and cytokine profile of peripheral blood mononuclear cell (PBMC) subsets in vitro. Moreover, these effects were compared to the same probiotic species of non-milk origin. Lactobacillus salivarius CECT5713 and Lactobacillus fermentum CECT5716 at 105, 106 and 107 bacteria/mL were co-cultured with PBMC (106/mL) from 8 healthy donors for 24 h. Activation status (CD69 and CD25 expressions) of natural killer (NK) cells (CD56+), total T cells (CD3+), cytotoxic T cells (CD8+) and CD4+ T cells was determined by flow cytometry. Regulatory T cells (Treg) were also quantified by intracellular Foxp3 evaluation. Regarding innate immunity, NK cells were activated by addition of both Lactobacillus strains, and in particular, the CD8+ NK subset was preferentially induced to highly express CD69 (90%, p<0.05). With respect to acquired immunity, approximately 9% of CD8+ T cells became activated after co-cultivation with L. fermentum or L salivarius. Although CD4+ T cells demonstrated a weaker response, there was a preferential activation of Treg cells (CD4+CD25+Foxp3+) after exposure to both milk probiotic bacteria (p<0.05). Both strains significantly induced the production of a number of cytokines and chemokines, including TNFα, IL-1β, IL-8, MIP-1α, MIP-1β, and GM-CSF, but some strain-specific effects were apparent. This work demonstrates that L salivarius CECT5713 and L. fermentum CECT5716 enhanced both natural and acquired immune responses, as evidenced by the activation of NK and T cell subsets and the expansion of Treg cells, as well as the induction of a broad array of cytokines.

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There is considerable interest in the strain specificity of immune modulation by probiotics. The present study compared the immunomodulatory properties of six probiotic strains of different species and two genera in a human peripheral blood mononuclear cell (PBMC) model in vitro. Live cells of lactobacilli (Lactobacillus casei Shirota, L. rhamnosus GG, L. plantarum NCIMB 8826 and L. reuteri NCIMB 11951) and bifidobacteria (Bifidobacterium longum SP 07/3 and B. bifidum MF 20/5) were individually incubated with PBMC from seven healthy subjects for 24 h. Probiotic strains increased the proportion of CD69+ on lymphocytes, T cells, T cell subsets and natural killer (NK) cells, and increased the proportion of CD25+, mainly on lymphocytes and NK cells. The effects on activation marker expression did not appear to be strain specific. NK cell activity was significantly increased by all six strains, without any significant difference between strains. Probiotic strains increased production of IL-1β, IL-6, IL-10, TNF-α, granulocyte-macrophage colony-stimulating factor and macrophage inflammatory protein 1α to different extents, but had no effect on the production of IL-2, IL-4, IL-5 or TNF-β. The cytokines that showed strain-specific modulation included IL-10, interferon-γ, TNF-α, IL-12p70, IL-6 and monocyte chemotactic protein-1. The Lactobacillus strains tended to promote T helper 1 cytokines, whereas bifidobacterial strains tended to produce a more anti-inflammatory profile. The results suggest that there was limited evidence of strain-specific effects of probiotics with respect to T cell and NK cell activation or NK cell activity, whereas production of some cytokines was differentially influenced by probiotic strains.

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Prostaglandins (PG) are bioactive lipids derived from the metabolism of membrane polyunsaturated fatty acids (PUFA), and play important roles in a number of biological processes including cell division, immune responses and wound healing. Cyclooxygenase (COX) is the key enzyme in PG synthesis from arachidonic acid. The hypothesis of the present study was that expression of COX-2 in porcine intestine was dependent on the microbial load and the age of piglets. Piglets were obtained from sows raised either on outdoor free-range farms or on indoor commercial farms, and littermates were divided into three treatments: One group of piglets suckled the sow, a second group was put into an isolator and fed a milk formula, and a third group was put into the isolator fed milk formula and injected with broad spectrum antibiotics. Samples were collected from the 75% level of the small intestine at day 5, 28 and 56 of age. Tissue section from four piglets from each of these six treatment groups was analysed by immunofluorescence for COX-2 and type-IV collagen (basement membrane, defining lamina propria (LP)). Image analysis was used to determine the number of positive pixels expressing LP and epithelial COX-2. COX-2 expressing cells were observed in LP and epithelium in all porcine intestinal samples. When analysing images obtained on day 28, injection of antibiotics seemed to reduce the COX-2 expression in intestinal samples of piglets when compared to other treatments (P=0.053). No significant effect of farm, treatments or age of piglets was observed on COX-2 expressing data when analysing all data of images obtained at day 28 and 56. By double-labelling experiments, COX-2 was found not to be expressed on cell co-expressing CD45, CD16, CD163 or CD2, thus indicating that mucosal leukocytes, including dendritic cells, macrophages and NK cells did not express COX-2. Future research should investigate the role of COX-2 expression in the digestive tract in relation to pig health.

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Background Siglec-7, a sialic acid binding inhibitory receptor expressed by NK cells is masked in vivo by a so far unknown ligand. It shows a strong binding prevalence for α-2,8-linked disialic acids in vitro. Results Here we describe the expression of PSA-NCAM (α-2,8-linked polysialic acid modified NCAM) on functional adult peripheral blood natural killer cells and examine its possible role in masking Siglec-7. Unmasking of Siglec-7 using Clostridium perfringens neuraminidase massively reduces NK cell cytotoxicity. By contrast a specific removal of PSA using Endo-NF does not lead to a reduction of NK cell cytotoxicity. Conclusion The results presented here therefore indicate that PSA-NCAM is not involved in masking Siglec-7.

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Background & Aims: To investigate the effect of vitamin A supplementation on parameters of the immune system of vitamin A-deficient children. Methods: The study was carried out in four phases: 1) determination of serum retinol in 631 children from 36 to 83 months of age; 2) assessment of immunological markers [immunoglobulins and complement fractions, immunophenotyping of T and B lymphocytes, and natural killer (NK) cells], blood count, and serum ferritin of 52 vitamin A-deficient children (serum retinol <0.70 mu mol/L); 3) supplementation of the 52 deficient children with 200,000 IU of vitamin A; 4) determination of serum retinol and the immunological parameters 2 months after vitamin A supplementation. Results: Before vitamin A supplementation, 24.0% of the children were anemic and 4.3 %had reduced ferritin concentrations. There was no significant difference between mean values of retinol according to the presence/absence of anemia. The mean values of the humoral and cellular immunological parameters did not show a statistically significant difference before and after supplementation with vitamin A. Children with concomitant hypovitaminosis A and anemia presented a significant increase in absolute CD4 and CD8 T-cell counts after vitamin A supplementation (p < 0.05). Conclusion: Vitamin A had an effect on the recruitment of T and B lymphocytes to the circulation of children with hypovitaminosis A and anemia.

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Pteridium aquilinum (bracken fern) is one of the most common plants. Epidemiological studies have revealed a higher risk of certain types of cancers (i.e., esophageal, gastric) in people who consume bracken fern directly ( as crosiers or rhizomes) or indirectly through the consumption of milk from livestock that fed on the plant. In animals, evidence exists regarding the associations between chronic bracken fern intoxication, papilloma virus infection, and the development of carcinomas. While it is possible that some carcinogens in bracken fern could be responsible for these cancers in both humans and animals, it is equally plausible that the observed increases in cancers could be related to induction of an overall immunosuppression by the plant/its various constituents. Under the latter scenario, normal tumor surveillance responses against nascent (non-bracken-induced) cancers or responses against viral infections ( specifically those linked to induction of cancers) might be adversely impacted by continuous dietary exposure to this plant. Therefore, the overall objective of this study was to evaluate the immunomodulatory effects of bracken fern following daily ingestion of its extract by a murine host over a period of 14 ( or up to 30) days. In C57BL/6 mice administered ( by gavage) the extract, histological analyses revealed a significant reduction in splenic white pulp area. Among a variety of immune response parameters/functions assessed in these hosts and isolated cells, both delayed-type hypersensitivity (DTH) analysis and evaluation of IFN gamma. production by NK cells during T(H)1 priming were also reduced. Lastly, the innate response in these hosts-assessed by analysis of NK cell cytotoxic functionality-was also diminished. The results here clearly showed the immunosuppressive effects of P. aquilinum and that many of the functions that were modulated could contribute to the increased risk of cancer formation in exposed hosts.

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Chronic lymphoproliferative disorders (DLPC) are lymphoid system diseases characterized by the abnormal proliferation of mature lymphocytes that affect B cells, T lymphocytes and NK cells. The aim of the study was to demonstrate the relevance of immunophenotyping by flow cytometry in patients with prolonged lymphocytosis and / or cytomorphological changes compatible with lymphoproliferative diseases. In this study 460 patients (244 men and 216 women) with DLPC were evaluated. Were analyzed by flow cytometry with a panel of monoclonal antibodies consisting of CD3, CD4, CD5, CD8, CD10, CD19, CD22, CD23, CD25, CD38, CD45, CD16/CD56, and HLADR heavy and light chains of immunoglobulins. It also examines information regarding age, gender of patients and laboratory data as leucocytes, cytomorphological analysis, platelet count and hemoglobin determination. The results showed 398 cases of chronic lymphoproliferative disorders and 62 of DLPC B cell lymphoproliferative diseases T. B showed the following distribution : 253 cases of chronic lymphocytic leukemia (CLL), 42 cases of multiple myeloma ( MM ), 37 cases of lymphoma non - Hodgkin lymphoma in leukemic phase (NHL) , 17 cases of pro- B lymphocytic leukemia ( B -PLL), 15 cases of mantle cell lymphoma (MCL ), 12 cases of plasma cell leukemia ( PCL), 9 cases of lymphoma Burkitt (Linf B), 8 cases of leukemia villous cells ( LCV), 3 cases of splenic lymphoma with villous cells (LECV), a case of follicular lymphoma (LF) and a Waldenströn macroglobulinemia ( MW). The diseases source NK / T were 23 cases of peripheral T cell lymphoma (LCTP), 14 cases of T prolymphocytic leukemia (T -PLL), 10 cases of leukemia T of large granular lymphocytes (LGL -T) 9 cases of leukemia cells of adult T (LCTA), 5 cases of Sezary syndrome (SS) and a case of large granular NK leukemia (LGL -NK) lymphocytes. In conclusion, the combined use of the monoclonal antibody panel careful cytomorphological analysis was shown to be essential in immune diagnosis and classification of chronic lymphoproliferative disorders. This study was approved by the IRB - HUOL under number 356 / 09

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The most common malignant neoplasm of the oral cavity and oropharynx are squamous cell carcinoma. Injuries to the same stage and subjected to the same treatment protocol have sometimes different evolutionary courses. The scope of this study was to investigate, through a retrospective cohort, associations between the number of CD8 + T cells and natural killer, identified immunohistochemically in the inflammatory infiltrate in a series of cases of oral squamous cell carcinoma and orofaringeano, and the level of tumor response to radiotherapy and chemotherapy, overall survival and relapse-free survival of patients. We identified 54 patients with unresectable disease were treated exclusively with radiotherapy and chemotherapy. The median follow-up was 22 months. The sample was characterized by the predominance of male subjects, median age 60 years, all were smokers. The most frequent site was the tongue and 81.5% were in stage IV. Patients with disease in the oral cavity had a worse response to treatment (p = 0.006), worse relapse-free survival (p = 0.007), worse overall survival (p = 0.007). The advanced T stage was shown a negative prognostic factor (p= 0.006) for the clinical treatment response made. Immunohistochemistry was performed to select CD8 + cells (anti-CD8) and NK cells (anti-CD57). Lymphocytes positive and negative markings were counted using the program ImageJ ®. Two groups were created for each marking evaluated: Group I patients with more than 50% cells positive, Group II: less than 50% of labeled cells. For CD8 + cells detected in 38 (70.3%) of Group I were CD8 + and 16 (29.7%) Group II CD8 +. For NK cells, 26 (48.15%) Group I NK and 28 (51.85%) Group II NK. Regarding the clinical response to treatment, we observed that 39% of patients achieved a complete response and 25.9% remained without recurrence at the end of follow-up. These results were better in Group I CD8 + (p = 0.2). Identified that 72.2% of patients progressed to death, this finding had no association with the immunohistochemical data. There was no statistically significant differences between the number of CD8 + and NK cells and the ability of tumor response to radiotherapy and chemotherapy, or with overall survival and relapse-free survival of patients. However, especially in relation to a learned response, we found that this group of patients with advanced disease have a low count of CD8 + T cells active. Believing in the role that the immune response plays in the local fight against neoplastic cells, however, our results do not support the use of quantitative analysis of CD8 + T cells and NK cells as a prognostic factors for oral squamous cell carcinoma and oropharynx