997 resultados para Juifs. 1725, dossier Weil
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The writings of John Dewey (1859-1952) and Simone Weil (1909-1943) were analyzed with a view to answering 3 main questions: What is wisdom? How is wisdom connected to experience? How does one educate for a love of wisdom? Using a dialectical method whereby Dewey (a pragmatist) was critiqued by Weil (a Christian Platonist) and vice versa, commonalities and differences were identified and clarified. For both, wisdom involved the application of thought to specific, concrete problems in order to secure a better way of life. For Weil, wisdom was centered on a love of truth that involved a certain way of applying one's attention to a concrete or theoretical problem. Weil believed that nature was subject to a divine wisdom and that a truly democratic society had supernatural roots. Dewey believed that any attempt to move beyond nature would stunt the growth of wisdom. For him, wisdom could be nourished only by natural streams-even if some ofthem were given a divine designation. For both, wisdom emerged through the discipline of work understood as intelligent activity, a coherent relationship between thinking and acting. Although Weil and Dewey differed on how they distinguished these 2 activities, they both advocated a type of education which involved practical experience and confronted concrete problems. Whereas Dewey viewed each problem optimistically with the hope of solving it, Weil saw wisdom in, contemplating insoluble contradictions. For both, educating for a love of wisdom meant cultivating a student's desire to keep thinking in line with acting-wanting to test ideas in action and striving to make sense of actions observed.
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UANL
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Rapport de recherche
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Les pensées de l’action de Weil et de Camus se heurtent à une même antinomie : la volonté d’agir raisonnablement implique à la fois de renoncer à toute action, car une action ne peut être efficace que si elle est potentiellement violente, et d’agir, car s’abstenir de toute action signifie accepter la violence présente. L’agent doit dès lors justifier la violence qu’il met en œuvre. En conséquence, cet article confronte la manière dont ces deux auteurs s’efforcent de résoudre cette difficulté. Une telle confrontation nous permet, d’une part, de trouver chez Weil les fondements philosophiques qui manquent à la pensée camusienne. D’autre part, la lecture de Camus nous prémunit contre une interprétation erronée de la justification weilienne de moyens violents par une fin raisonnable.
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La protection de l’intimité et de la vie privée des personnes est une préoccupation majeure de notre société car elle favorise la santé et le bien-être des individus. La confidentialité est un des éléments du droit au respect de la vie privée. Élément indispensable à la relation de confiance, le respect de la confidentialité soulève quelques problèmes quant à son maintien dans la relation impliquant les enfants. L’objectif de la présente étude est tout d’abord, d’explorer les différentes dynamiques entourant le secret thérapeutique ou la confidentialité de même que son application, à la lumière des pratiques internationales. Ensuite, elle vise à comprendre les perceptions et le sens de la confidentialité du dossier médical des enfants chez les professionnels de la santé et de l’éducation. Enfin, ce travail vise à comprendre les motivations et la connaissance des impacts du bris de confidentialité par ces professionnels. Il s'agit d'une étude qualitative de nature exploratoire. Les données proviennent d'entrevues semi-dirigées réalisées auprès de dix-neuf personnes oeuvrant de près ou de loin auprès des enfants. Une grille d'entrevue a été utilisée pour la collecte des données. Les résultats permettent d'observer que : tout d’abord, sur le plan international, il y a une absence d’uniformité dans l’application du concept de confidentialité. Son degré de protection dépend du contexte juridique d'un système donné Ensuite, l’étude démontre une relation entre la sensibilité du répondant et son milieu professionnel usuel. En effet, les professionnels de la santé, membres de corporation professionnelle, ont une vision beaucoup plus déontologique de la confidentialité et ils sont très sensibles à la question de la confidentialité, car celle-ci constitue une valeur centrale. Par contre, les professionnels de l’éducation, en l’absence d’identité professionnelle commune, s’inspirent d’une approche institutionnelle qu’éthique et ils apparaissent nettement moins sensibles à la confidentialité. Bref, le respect de la confidentialité est lié à une question de responsabilité sociale des professionnels. Enfin, le bris de la confidentialité est motivé par divers facteurs légitimes (pour raisons légale ou judiciaire, contexte de collaboration) et illégitimes (la négligence, l’erreur, l’inconduite).
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Pour Simone Weil, le malheur est « quelque chose de spécifique, irréductible à toute autre chose, comme les sons, dont rien ne peut donner aucune idée à un sourd-muet ». Il s’apparente à un sacrement, à un rite sacré susceptible de rapprocher l’homme du divin. Et si la pensée weilienne se révèle non-conformiste pour aborder la figure du malheur, c’est parce qu’elle ne se limite pas à une tradition unique, mais trouve écho tant dans la religion chrétienne et le Nouveau Testament que dans la philosophie grecque de l’antiquité – principalement le stoïcisme et le platonisme – et dans certains textes orientaux tels que la Bhagavad-Gîtâ et le Tao Te King. Par un singulier amalgame de ces influences, Weil donne naissance à une méthode spirituelle dont une des étapes fondamentales est le malheur, thème très fécond pour dénouer et affronter le dialogue entre spiritualité et contemporanéité. Parce que cette méthode ne peut pleinement être appréhendée que sur la frontière de l’athéisme et de la croyance religieuse, approfondir ses implications permet d’interroger les traces du sacré dans les civilisations occidentales. Retracer les étapes de son développement permet également de sonder le rapport qu’entretiennent les hommes avec le malheur, ainsi que de porter un regard sensible sur une époque où l’actualité fait souvent état des malheureux alors que le malheur d’autrui semble être une réalité à fuir.
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Ce mémoire analyse les trajectoires de sortie de communautés juives ultraorthodoxes. Plus précisément, il cherche à mettre en lumière le processus par lequel certains juifs hassidiques parviennent à s’affranchir de leur communauté d’origine. Dans une recherche alliant entrevues, notes de terrain et observation,notre étude montre comment malgré la présence d’un fort contrôle social au sein de ces communautés ultra-religieuses certains de leurs membres le déjouent. Ce mémoire vise à repérer et à analyser les stratégies d’adaptation et les ruses mises en place par les hassidim pour échapper au contrôle et ainsi enclencher le processus de sortie. À la lumière de la théorie goffmanienne nous montrons comment dans un environnement contrôlant,les individus réussissent à s’aménager des marges de manoeuvre. C’est en se créant des espaces de liberté durant le processus de sortie qu’ils parviennent à avoir les coudées franches pour s’en affranchir définitivement.
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Dans le cadre des politiques migratoires québécoises du début des années 2000, quelques familles juives argentines ont décidé de s'établir à Montréal. Ces migrants adhérent à un judaïsme culturel, où l’ethnicité devient une dimension identificatoire plus importante que la religion. Les Juifs argentins sont porteurs des histoires de migration familiales des ancêtres, lesquelles sont encore présentes dans la mémoire collective. Dans le cadre de leur établissement au Québec, ils se trouvent confrontés au contexte juif montréalais qui présente d’autres façons de vivre les judéités. Comment ces migrants perçoivent la rencontre et la cohabitation parmi les judéités montréalaises? Continueront-ils à se reconnaitre dans la spécificité de leurs judéités argentines? Les histoires migratoires de famille jouent-elles un rôle précis dans leur actuel processus d’établissement? Au-delà de l’adhésion à un judaïsme culturel, ces migrants croient-ils à une forme de transcendance?