978 resultados para Grossesse gémellaire - Placenta - Insertion vélamenteuse - Chorialité


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AIM: The study aimed to compare the rate of success and cost of anal fistula plug (AFP) insertion and endorectal advancement flap (ERAF) for anal fistula. METHOD: Patients receiving an AFP or ERAF for a complex single fistula tract, defined as involving more than a third of the longitudinal length of of the anal sphincter, were registered in a prospective database. A regression analysis was performed of factors predicting recurrence and contributing to cost. RESULTS: Seventy-one patients (AFP 31, ERAF 40) were analysed. Twelve (39%) recurrences occurred in the AFP and 17 (43%) in the ERAF group (P = 1.00). The median length of stay was 1.23 and 2.0 days (P < 0.001), respectively, and the mean cost of treatment was euro5439 ± euro2629 and euro7957 ± euro5905 (P = 0.021), respectively. On multivariable analysis, postoperative complications, underlying inflammatory bowel disease and fistula recurring after previous treatment were independent predictors of de novo recurrence. It also showed that length of hospital stay ≤ 1 day to be the most significant independent contributor to lower cost (P = 0.023). CONCLUSION: Anal fistula plug and ERAF were equally effective in treating fistula-in-ano, but AFP has a mean cost saving of euro2518 per procedure compared with ERAF. The higher cost for ERAF is due to a longer median length of stay.

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Introduction : la Physiopathologie maternelle de la prééclampsie s'associe typiquement à un état inflammatoire systémique modéré. La protéine "high mobility group box 1" (HMGB-1) est une protéine nucléaire ubiquitaire. En cas de stress cellulaire, elle est relâchée dans le milieu extrace llua li re et peut ainsi exercer son activité pro-inflammatoire. En cas de prééclampsie, le liquide amniotique et le cytoplasme des cellules trophoblastiques contiennent des quantités anormalement élevées de HMGB-1, mais il n'est toujours pas universellement admis que ces concentrations se retrouvent dans le sang maternel. Méthodes : nous avons recruté 32 femmes au troisième trimestre de grossesse, 16 avec et 16 sans prééclampsie. Nous avons également observé 16 femmes non enceintes et en bonne santé, appariées selon l'âge avec les femmes enceintes. Nous avons mesuré la concentration sérique de HMGB-1 chez les femmes enceintes avant, puis 24-48 heures après leur accouchement, en utilisant un kit ELISA commercial. Le même dosage a été réalisé chez les femmes non enceintes, mais à une seule reprise, au moment de leur inclusion dans l'étude. Résultats : le jour de leur inclusion dans l'étude, la concentration médiane [intervalle interquartile] de HMGB-1 chez les femmes enceintes prééclamptiques était de 2.1 ng/ml [1.1 - 3.2], de 1.1 [1.0-1.2] chez les grossesses saines (p < 0.05 vs groupe prééclamptiques) et de 0.6 [0.5 - 0.8] chez les patientes non enceintes (p < 0.01 vs deux autres groupes). Pour les deux groupes de femmes enceintes, les concentrations mesurées en post-partum ne variaient pas significativement de celles mesurées avant l'accouchement. Conclusion : avec ou sans prééclampsie, le troisième triemstre de la grossesse est associé à une élévation des taux circulants de HMGB-1. Cette augmentation est exagérée en cas de prééclampsie. L'origine de ces concentrations élevées reste à déterminer, mais elle semble impliquer d'autres organes que le placenta lui-même.