421 resultados para Falsa confissão


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Contient : 1 « Lictera quod gentes in obsequiis regis exeuntes pedagia vel costumas pro eorum victualibus non solvant ». Acte de PHILIPPE LE LONG. Paris, 10 janvier 1317. En latin ; 2 « Ordinacio super utilitate defectuum factorum in actione personali ». En latin ; 3 « Ordinacio super modo procedendi contra refformatores per regnum destinatos ». De 1325 à 1348. En français ; 4 « Ordinacio super falsa costuma vocata Hallebie ». Acte de CHARLES LE BEL. Mars 1325-1326. En français ; 5 Acte de PHILIPPE LE BEL, concernant un privilège accordé aux religieux du Mont Saint-Eloi par le roi saint Louis. En latin ; 6 « Ordinacio super regalia regis ». Acte inachevé de PHILIPPE VI, concernant le procès pendant « pour cause de la prebende de Chartres » entre « Me Estienne Rogier, d'une part, et Me Guillaume de S. Germain, presbtre, d'autre part ». Après 1334. En français ; 7-9 Actes de PHILIPPE VI de Valois ; 7 « Super convencionibus marcharum » concessarum « inter reges Francorum et Arragonum ». Contient un acte en latin du roi d'Aragon ALPHONSE IV, du mois de novembre 1332, et est daté du 22 août 1335. En français ; 8 « Idem ut supra ». Contient un acte en latin de PHILIPPE LE BEL, daté de Poissy, le 26 avril 1313. Paris, 17 octobre 1335. En latin ; 9 « Quid subditi regis Aragonum dicunt quod conventiones inter reges Francie et Arragonie infringebantur sub colore cujusdam statuti hic subscripti. Et sunt hic inserti tenores statuti et convencionum, querimonia et declaratio ». Paris, 28 octobre 1335. Cet acte en contient un de PHILIPPE VI, daté de Poissy, 6 novembre 1333, un de PHILIPPE LE BEL, daté de Poissy, 26 avril 1313, un de PHILIPPE VI, du 12 février 1333-1334. Tous ces actes sont en latin ; 10 Lettre du roi JEAN au roi d'Aragon Pierre IV. 10 août 1355. En latin ; 11-13 Actes en français de PHILIPPE VI de Valois ; 11 « Gracia facta gentibus de Calesio ». Amiens, 7 septembre 1347 ; 12 « La copie des lectres sur l'ordonnance des dons ». Chantecoc, 11 mai 1333 ; 13 « Lictera ad idem ». Brives, 27 décembre 1335 ; 14-19 Actes du roi JEAN ; 14 En faveur de Jacques Darten, chevalier, conseiller au parlement de Paris. Le roi l'exempte des péages et autres impôts qui auraient dû être perçus à l'entrée de Paris sur les objets de consommation à l'usage dudit Darten. 28 mars. Sans date d'année. En latin ; 15 Au sujet du testament laissé par Gilles de Senneville, physicien dudit roi. 2 janvier 1355-1356. En latin ; 16 « De renunciacione appellacionum ». 24 novembre 1354. En latin ; 17 « Mandatum regis ad causam canonicatus et prebende sancti Urbani Trecensis, quos rex contulerat Jacobo Cousin, et dux » Normanniae « contulerat Petro de Auxerio, quod prior sit pocior... Datum apud Chanteaus, die XXII decembris » 1361. En latin ; 18 « Mandatum clausum ad idem ». Dijon, 27 décembre 1360. En français ; 19 « Ordinacio facta Ambianis per regem Johannem super facto gentium armorum, refformatorum, Lombardorum, usurariorum et Judeorum ». Amiens, 5 décembre 1363. En français ; 20 « Revocatio domaniorum, facta per regem ». Acte de CHARLES V. Paris, 24 juillet 1364. En français ; 21 « Ordinaciones facte Remis per regem JOHANNEM de Judeis, de Lombardis, de refformatoribus et aliis officiariis regis. Reims, 21 octobre 1363. En français ; 22 « Bulla » papae CLEMENTIS VI, « quod non possit promulgari in regno Francie sentencia interdicti » ; 23 « Tractatus inter regem » Carolum V et Johannem IV de Monteforti, « ducem Britannie ». Acte de JEAN IV DE MONTFORT, duc DE BRETAGNE. « Donné en nostre ville de Guerande, le Xe jour du mois d'avril, l'an de grace mil CCC. et IIIIXX ». En français ; 24-25 Acte de CHARLES VI ; 24 Il accorde aux conseillers du parlement de Paris, de la chambre des enquêtes et des requêtes du palais et aux « greffiers d'icelles », et aussi à ses avocat et procureur en parlement, « que de l'imposicion et du quatreiesme du creu de leurs... heritaiges et vendu à detail et en gros sans marchandise et sans fraude, ilz soient franz, quictes et exempts doresenavant sans ce que on leurs en puisse aucune chose demander ». Paris, 14 mars 1397-1398. En français ; 25 Il déclare avoir mandé au chancelier Arnaud de Corbie de tenir « requestes generalles » et « en icelles » donner et faire « graces et remissions de tous cas » ; et il ordonne au parlement d'entériner lesd. graces et remissions ainsi prononcées. Paris, 13 mars 1401-1402. En français ; 26 Acte de PHILIPPE VI DE VALOIS, du 10 juillet 1336. S'adressant au bailli d'Amiens, il lui mande d'empêcher l'évêque d'Amiens de citer devant lui les bourgeois d'Amiens qui s'étaient rendus coupables d'adultères et de les condamner à des amendes. En latin ; 27-29 Actes de CHARLES VI ; 27 Ordonnance concernant les « cités, villes, chasteaulz et forteresses qui sont assises oultre la rivière de Loyre, et aussi... celles qui sont assises sur la mer et à six lieues prez en... Normandie, et semblablement... celles de... Picardie oultre la rivière de Soine (sic), et... toutes les autres qui sont en la frontière » du « royaume, en toutes les marches de l'empire », pour qu'il y soit diligemment fait « guet et garde de jour et de nuyt par les habitants des lieux ». Rouen, 22 octobre 1399. En français ; 28 « Lictera quod curia provideat reparacionibus ecclesiarum et edifficiorum ». Paris, 29 janvier 1414-1415. En latin ; 29 « Lictera signifficacionis, quod gentes parlamenti quicte sunt a decimis pape ». Paris, 15 juillet 1411. En latin ; 30 HENRI DE SAVOISY, doyen de Langres et receveur général de la décime imposée par le concile de l'église gallicane tenu naguères à Paris, s'adressant au receveur particulier de ladite décime dans le diocèse de Châlons, lui mande de surseoir la perception de la décime due par Me Jacque Bajulard, conseiller du roi en sa cour du parlement, jusqu'à nouvel ordre, les conseillers du parlement prétendant être exempts de ladite décime. Paris, 3 août 1412. En latin ; 31 Acte de CHARLES V : « Quod primogenitus regis in XIIII° anno censeatur major et pubes ad infrascripta ». Au Bois de Vincennes, au mois d'août 1374. En latin ; 32 « L'ordonnance faicte sur le grand scel du roy ». Acte de PHILIPPE LE LONG. Au mois de février 1320-1321. En français ; 33-34 Actes de CHARLES V, dauphin et roi ; 33 « Quod pro quibuscumque licteris regis non remictantur cause coram rege, nec differantur arresta ». Paris, 22 juillet 136. ». En latin ; 34 « Contra pedagiarios... Pronunciatum fuit die IXa maii millesimo CCCmo LXVI° ». En latin ; 35 « Decretalis » ; 36-37 Acte de CHARLES VI ; 36 Ordonnance concernant les débiteurs poursuivis pour leurs dettes. « Se aucun appelle de l'execucion de aucunes desd. lectres où il chiet garnison de main, en cas d'opposicion... le sergent ou autre executeur, qui sera commis à faire lad. execucion, ne surseira point de proceder en icelle, mais y procedera et pourra proceder et ne differera point aud. appel, jusques à ce que l'obligié aura garnye nostre main souffisamment, selon l'usaige et coustume du païs, de la somme pour laquelle sera requise ou commencée execucion contre luy ». Paris, 21 novembre 1384. En français ; 37 « Ordonnance sur le fait de la visitacion du domaine du roy et comme le roy succède aux bastards et autres gens aubains et espaves decedés sans hoirs naturelz ». Paris, 5 septembre 1386. En français ; 38 Acte de « JEHAN, filz du roy DE FRANCE, duc DE BERRY et d'Auvergne, et conte de Poictiers », confirmant les lettres par lesquelles son frère CHARLES V octroie « que il, ses hoirs, successeurs aians cause joïssent et usent paisiblement et perpetuellement à tousjours mès des domaines, justices, noblesses, seigneuries et aultres droiz des... duchés de Berry et d'Auvergne, de la conté de Poictiers, de Cholet, de Melle » audit duc appartenant, moyennant les réserves exprimées dans lesdites lettres de Charles V transcrites dans ledit acte. Ces lettres sont datées de Paris le 3 mars 1374-1375, l'acte du duc de Berry est du même mois. En français ; 39 « Ordinacio quod nullus in partibus occitanis et juris scripti ab interlocutoriis aut gravaminibus pro » differenda « solucione debitorum regiorum et jurium fiscalium, nisi tales sint interlocutorie vel gravamina, quod in diffinitiva reparari nequeant, nec eciam a debitorum ipsorum execucionibus nisi prius manu munita » audiatur « appellans ». Acte de CHARLES VI. Paris, 24 février 1391-1392. En latin ; 40-41 Actes de PHILLIPPE IV, dit LE BEL ; 40 Il accorde à Jean, duc de Bretagne, que ses sujets de Bretagne ne pourront être ajournés devant le parlement de Paris, « fours tant seulement en cas d'appel de deffault de droit ou de faulz et mauvaiz jugemens ou en autres cas appartenans » à la « souveraineté royal ». Février 1296-1297. Le duc de Bretagne est qualifié comte dans cet acte, qui est en français ; 41 « Aliud privilegium pro duce Britannie ». S'adressant aux baillis de Tours et de Coutances, il leur mande que les appellations des sujets bretons du duc de Bretagne ne seront reçues au parlement de Paris que dans le cas où ils seraient défendeurs. 1302-1303, le mardi avant l'Annonciation, c'est-à-dire le 19 mars. En latin ; 42 Acte de PHILIPPE V, dit LE LONG. Traduction en latin du texte français de l'acte de Philippe IV mentionné sous l'article 40. Paris, janvier 1316-1317 ; 43-47 Actes de CHARLES VI ; 43 « Ordinatio super sacramento confessionis dande et ministrande judicatis seu condempnatis ad mortem ». Paris, 11 février 1396-1397. En français ; 44 « Lictera quod nullus de patria juris scripti admictatur de cetero ad appellandum pro adherentibus aut adherere volentibus... nec ei per cancellariam nostram inhibitorie lictere concedantur, nisi prius constiterit appellacioni sic interposite adherentes vel adherere volentes infra decem dies adhesisse ». Paris, 1399. En latin ; 45 Le roi, s'adressant aux « generaulz conseilliers à Paris sur le fait des aides ordonnées pour la guerre », leur mande expressément qu'ils fassent « tenir quictes et paisibles de l'imposicion et du IIIIme du creu de leurs heritaiges vendu à détail et en gros sans marchandise et sans fraude », les conseillers, les gens de son parlement à Paris, de la chambre des enquêtes et des requêtes du palais et les greffiers de ces cours et aussi les avocat et procureur du roi au parlement. En français. Paris, 12 août 1400 ; 46 « Lectres notables sur le faict des finances » et de la « justice des aydes » ; touchant le domaine, les eaux et forêts, les monnaies, le parlement, la chambre des comptes, les maîtres des requêtes de l'hôtel, les secretaires des conseils, le grand conseil, reduisant le nombre des offices et introduisant l'élection pour les offices du parlement. Paris, 7 janvier 1400-1401. En français ; 47 Il ordonne « que tous ceulz qui ont esté pourveuz à prelatures ou autres dignités et ausquelz aucuns benefices ont esté conferés par les ordinaires » durant le temps de la soustraction du royaume à l'obéissance du pape, « supposé que lesd. prelatures, dignités ou benefices feussent paravant reservés à court de Romme, demeurent paisiblement en possession et saisine de leurs prelatures, dignités et benefices, et qu'ilz en joïssent sans empeschemens quezlconques et qu'ilz ne soient contrains à paier au pape ou à ses collecteurs ou commis... aucune finance », et ainsi soit-il de ceux qui ont été pourvus avant ladite soustraction ou depuis la restitution de l'obéissance au pape. Paris, 19 décembre 1403. En français ; 48-51 Actes de PHILIPPE VI ; 48 « Lictera » de tutore sive curatore dando ad litem pendentem inter heredes comitis de « Dampno Martino, ex parte una, et heredes Johannis « de Tria, ex altera, racione castri de Monciaco ». 1330. En latin ; 49 « De erroribus proponendis contra arresta curie parlamenti ». 1331 ou 1342. En latin ; 50 Formule concernant la compétence des sergents royaux. S. D. En latin ; 51 « Lictera de non dando officia antequam de facto vacent ». En français. Poncourt, 9 juillet 1341 ; 52 Acte de PHILIPPE V LE LONG. Les gens de son hôtel sont exempts du péage et des autres impôts pour les vivres qu'ils font venir pour leur usage. Paris, 10 janvier 1317-1318. En latin ; 53-55 Actes de PHILIPPE VI DE VALOIS ; 53 « Ordinatio super regalia regis ». Vincennes, octobre 1334. En français ; 54 « Ordinaciones regis facte super redditibus solvendis ob causam mutacionis pecunie seu monete ». Paris, 27 janvier 1347-1348. En français ; 55 « Ordonnance que les sergens ramenans la complaincte sur le lieu fairont resaisir reaulment et de faict, avant que recevoir l'opposant à opposition ». 1347, « post festum beati Martini yemalis ». En latin ; 56 Acte de CHARLES V : « Ordinaciones requestarum ». Paris, novembre 1364 ; 57 « Extractum ordinacionum super juridicione connestabularii, marescallorum, magistrorum hospicii, magistrorum requestarum, admiraldi, magistri balistariorum et magistrorum aquarum et forestarum ». Extrait d'une ordonnance du roi JEAN, du 28 décembre 1355, par HUGUES AUBRIOT, garde de la prévôté de Paris, à la requête de « messire Freslin, marquis de Saluches et seigneur de Montjay », extrait fait le mardi 12 février 1380-1381. En français ; 58 Acte de CHARLES VI : « Nove ordinaciones facte super refformacione ecclesiastici regiminis ». Paris, en l'hôtel St-Paul, le 6 octobre 1385. En latin ; 59 Acte de LOUIS X LE HUTIN, par lequel étant à Vincennes, au mois de décembre 1314, il vidime un acte de PHILIPPE LE BEL du 9 mai 1302, « touchant la jurisdiction ecclesiastique ». En latin ; 60 Deux articles d'une ordonnance de PHILIPPE LE BEL, du 26 février 1305, le premier sur de nouveaux péages, le second sur une nouvelle levée de décimes imposée par les prélats et autres personnes ecclésiastiques, contre laquelle il ordonne au sénéchal de Toulouse de défendre les consuls et les villes. En latin ; 61 Lettres de LOUIS LE HUTIN, adressées aux baillis d'Amiens, de Vermandois, de Senlis, et provoquées par les supplications de l'évêque de Beauvais, Jean de Marigny, pour leur rappeler son ordonnance donnée à Vincennes au mois de décembre 1315, « pro libertate ecclesiastica », les six ordonnances de Philippe le Bel, dont il donne les premiers mots, et une autre ordonnance de lui-même ; 62-65 Actes de CHARLES VI ; 62 Lettre au bailli d'Amiens, sur la plainte de Jean de Boissi, évêque d'Amiens, au sujet d'un cri fait « au siège de Grantvillier », que l'évêque regardait comme portant atteinte à sa juridiction. Paris, 7 mars 1404-1405. En français ; 63 Ordonnance qui prescrit au prévôt de Paris et aux baillis et sénéchaux, ce qu'ils doivent faire pour mettre en bon état les biens dépendants des bénéfices », pour mettre en sûreté les effets de succession des évêques et des autres bénéficiers. Paris, en l'hôtel St-Paul, 6 octobre 1385. En latin ; 64 Ordonnance touchant l'aliénation du domaine. Paris, 28 février 1401-2. En français ; 65 Fin d'un acte du 7 mars 1404-1405. En français ; 66 « Extraict des registres de parlement » touchant « la cause d'entre le conte de Brayne, d'une part, et l'evesque de Terouane, d'autre... Fait en parlement, le mardi 24e jour de may » 1463. En français

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Comprobar las implicaciones, que en el procesamiento de las oraciones negativas puede tener la relación semántica entre el sujeto y el predicado. Se realizan nueve experimentos, los ocho primeros con estudiantes de la Facultad de Filosofía y Ciencias de la Educación y con muestras de: 86, 60, 50, 20, 27, 14 y 12 sujetos respectivamente. El noveno experimento se realiza con 38 alumnos de octavo de EGB. Previamente a estos experimentos se aplica una escala de relación semántica a 70 alumnos de la mencionada Facultad. En los diferentes experimentos se controlan todos o algunos de los siguientes factores: tipo de oración; tipo de sujeto de la misma; veracidad de la oración y distancia semántica entre sujeto y predicado. En unos experimentos la variable dependiente es el tiempo de verificación de la proposición y en otros es el tiempo de lectura de la misma. En algunos de los experimentos se introduce como factor la presencia o ausencia de contexto de la oración. Se utilizan tres metodologías: tiempo de verificación, tiempo de lectura, lectura por palabras, ventana fija. Escala de relación semántica. Series de proposiciones afirmativas y negativas de la forma el 's' es/no es un 'p' donde p = predicado es el nombre de una categoría y s = sujeto es un elemento perteneciente o no a dicha categoría. Los estímulos se presentan en una pantalla de ordenador y el sujeto tiene que indicar con una señal si la frase es verdadera o falsa. Diseño factorial mixto que oscila según el experimento, entre cinco, tres, o dos factores con diferentes números de niveles dentro de cada factor. Los factores tipo de oración, tipo de sujeto, veracidad de la oración y distancia semántica actúan normalmente como factores intragrupo, mientras que el contexto suele actuar como factor intergrupos. Los 5 factores tuvieron una influencia significativa en el tiempo de verificación el tiempo de lectura de las frases negativas no difiere estadísticamente al de las frases afirmativas, contrariamente a lo que sucede con el tiempo de verificación, por lo cual parece ser que las metodologías de verificación y tiempo de lectura no miden los mismos procesos. La presencia del factor contexto ejerce un efecto facilitador sobre la comprensión de las negativas. Cuanto mayor es la distancia semántica entre el sujeto y el predicado, menor es el tiempo de reacción a las negativas. Las oraciones negativas son más difíciles de verificar que las correspondientes afirmativas pero no más difíciles de comprender (tiempo de lectura). La tarea de verificación en las negativas exige complicadas operaciones de transformación en afirmativas para conocer su valor de verdad, pues la verificación exige una respuesta, que no es estrictamente necesaria en la comprensión, de las oraciones que es lo que en realidad mide el tiempo de lectura.

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Indagar los rasgos descriptivos de la interlengua asumida por los alumnos de nuestras escuelas en la segunda etapa de EGB y por consiguiente el umbral del interlenguaje con que dichos alumnos llegan al Bachillerato. 100 alumnos de EGB comprendidos entre los 11 y los 14 años. Se encuadra teóricamente exponiendo el enfoque didáctico de la comunicación lingüística, las bases psicolingüísticas, el problema del interlenguaje (código intermedio del que se sirve el sujeto para pasar de la lengua materna a la lengua meta), los hábitos en la expresión oral, los modelos psicodidácticos, etc. Áreas de investigación que se distinguen: campos fonéticos básicos: el vocalismo y consonantismo inglés comparado con el español; desviaciones articulatorias de consonantes, semiconsonantes, consonantes silábicas, vocales; acentuación: errores más comunes, desviaciones observadas; ritmo; fluidez verbal; rasgos descriptivos de la interfónica inglesa de los alumnos al finalizar la EGB. Pruebas de: asimilaciones vocálicas consistente en una serie de 110 palabras; diferenciación de pares mínimos 10 series de 10 pares de palabras cada una; acústica de (la Schwa); percepciones interferidas. Los aspectos más difíciles de superar son: oposiciones vocálicas; la Schwa por falsa localización de la tónica; grupos consonánticos y consonantes silábicas; localización y ritmo acentuales audición y articulación de las formas débiles; patrones entonativos; fluidez elocutiva. El entrenamiento debe ser tanto más intenso y sistemático cuanto mayor sea el alejamiento entre las lenguas competitivas. Se propugna la estructuración de la clase en torno a unidades integradas de comunicación. Cada lengua configura en el hablante unos hábitos articulatorios, rítmicos, silábicos, entonativos, acentuales, etc. que van a actuar como factores interferentes en el aprendizaje de la segunda lengua. La propia dinámica de las lenguas inglesa y española genera una serie de interferencias y desviaciones que van a concretarse en la emergencia de una interlengua (interfónica) dotada de rasgos distintivos que el alumno tratará de aplicar a sus experiencias comunicativas en inglés. Esta investigación identifica, clasifica, y describe estos rasgos y propone para superar dicho estadio la intervención de una actividad lingüística dirigida, basada en la consideración de los rasgos de la interlengua que tiende a crear las condiciones favorables para la implantación de otros nuevos.

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Resumen tomado de la publicaci??n. Resumen tambi??n en ingl??s

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Resumen tomado parcialmente de la revista. El volumen est?? dedicado a Joan Mar?? Cardona, con motivo de su fallecimiento, si bien el resto de art??culos se centra en su aportaci??n a otros ??mbitos culturales relacionados con Eivissa

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Introducción. Las imágenes obtenidas mediante rayos X, determinan una conducta clínica en ortopedia y son analizadas por parte del cirujano en el momento previo a realizar un acto quirúrgico. El planeamiento pre quirúrgico basado en radiografías de cadera, permite predecir el tamaño de los componentes protésicos a utilizar en un reemplazo de cadera. Con el advenimiento de las radiografías digitales, existe la falsa percepción de que estas tienen corregido el factor de magnificación. La corrección de dicho factor requiere un protocolo de calibración de imágenes, aún no implementado en la Fundación Santa Fe de Bogotá (FSFB). Como consecuencia, las radiografías de cadera actualmente resultan magnificadas. Materiales y métodos. Fueron seleccionados 73 pacientes con reemplazo articular total de la cadera intervenidos en la FSFB. Para cada paciente, se estableció la dimensión de la cabeza protésica en la radiografía de cadera obtenida mediante el sistema de radiología digital (PACS-IMPAX) y su tamaño fue comparado con el de la cabeza femoral implantada. Resultados. La concordancia entre los dos observadores al medir la dimensión radiológica de los componentes protésicos fue excelente y el coeficiente de magnificación promedio de 1.2 (20%). Este será introducido al PACS-IMPAX para ajustar el tamaño definitivo de la radiografía. Conclusión. El ajuste del PACS-IMPAX permite obtener radiografías en las cuales se refleja con mayor precisión el tamaño de los segmentos anatómicos y de los componentes protésicos.

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1. Estudiar las diferencias entre los relatos de un mismo suceso obtenidos: a. Cuando los testigos son entrevistados utilizando la entrevista estandar (EE), y b. Cuando lo son, empleando la entrevista cognitiva (EC). 2. Estudiar las diferencias entre declaraciones verdaderas y falsas en relación con los criterios del control de la realidad de los recuerdos en función de la técnica de entrevista (EC-EE) empleada. Estuvo compuesta por 73 estudiantes de psicología. De ellos, 52 eran mujeres y 21 varones. La edad media era de 19 años. Se utilizó un diseño factorial 2x2 con las siguientes variables: variable independiente: 1. Tipo de entrevista, con dos niveles: verdadera y falsa. Variables dependientes: exactitud; errores; confabulaciones; presencia de las categorías: información contextual, detalles sensoriales e información idiosincrática; variables estilométricas; longitud de las declaraciones y explicaciones. Variables control: sexo de los testigos y edad. 1. La entrevista cognitiva se muestra como un amplificador de diferencias entre los relatos verdaderos y falsos, tanto en lo que se refiere al número de detalles exactos que proporcionan, como a las confabulaciones que contienen. 2. Las declaraciones obtenidas con la EC fueron más extensas y con mayor número de explicaciones que las obtenidas con la EE. Sin embargo, las declaraciones verdaderas y falsas no se diferencian significativamente en ninguna de las dos variables estilométricas. 3. Las declaraciones verdaderas contenían más información contextual y más detalles sensoriales que las falsas, a la vez que la EC volvió a comportarse como un amplificador de las diferencias entre ambos tipos de relatos. No obstante, las declaraciones falsas no contenían un número de alusiones a procesos internos significativamente superior que las verdaderas. 1. La entrevista cognitiva es un procedimiento de obtención de información más recomendable que la entrevista estandar, ya que permite obtener información más exacta. 2. Es posible diferenciar las declaraciones verdaderas de las falsas en función de los criterios de control de realidad de los recuerdos, con la excepción de la información interna. 3. La entrevista cognitiva permite una mayor discriminación entre los relatos verdaderos y falsos de los testigos que la entrevista estandar, lo que en su día podría ser beneficioso para la detección de la mentira. 4. La EC, basada en el conocimiento que de la memoria posee la psicología experimental, se presenta como una alternativa a los sistemas tradicionales de entrevistas empleados hasta ahora por los distintos actores del proceso legal.

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Muchas de las imágenes que vemos se interpretan de forma errónea en el cerebro y, en consecuencia, recibimos una información falsa de la realidad. La traducción que el cerebro está haciendo de los estímulos visuales es entonces una ilusión. En muchos de estos casos el concepto de realidad está perfectamente asumido, como en la observación de la falsa perspectiva. En otros, resulta difícil encontrar a primera vista 'lo que está mal'.

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En este artículo* se repiensa el concepto de “ciudad” mediante una aproximación epistemológica a la relación universidad-ciudad en tanto problema filosófico contemporáneo con el propósito de identificar aquellos aspectos provenientes de las teorías urbanas que permitan responder crítica y creativamente a las siguientes preguntas: ¿cómo repensar con rigor teórico-metodológico la relación universidad-ciudad en tanto problema filosófico contemporáneo? y ¿cómo producir, justificar y usar conocimiento para repensar el sentido y el contenido de la relación entre los conceptos de campus universitario y de lo social?En respuesta a la primera pregunta se abordan, en primer lugar, los conceptos de ciudad moderna y de metrópoli contemporánea señalando elementos generales de la relación universidad-ciudad en los orígenes de la ciudad moderna y elementos específicos de esa misma relación en las transformaciones de la metrópoli contemporánea. En segundo lugar, se destacan las connotaciones del concepto de ciudad moderna, entendido como la operación de reunir agrupaciones de operaciones diferenciadas, y las connotaciones del concepto de metrópoli contemporánea, entendido como territorialidad de la aberración del sentido común de la modernidad en su actual fase escotósica de globalización informatizada. En tercer lugar, se presenta el concepto de campus universitario desagregado en los modelos de ciudad universitaria y de universidad ciudadana, destacando las lógicas de las territorialidades de la ciudad moderna y de la metrópoli contemporánea para mostrar la falsa dualidad existente entre tales modelos y entre tales lógicas.Como respuesta a la segunda pregunta se presenta el método de la tematización metafórica, mediante cuya aplicación se propone: i) repensar el concepto de “ciudad”, re-entendiéndolo como probabilidad emergente de un organismo vivo; ii) repensar el concepto de “lo social”, re-concibiéndolo como campo relacional entre manifestaciones conscientes del ser en proceso de totalización inacabado y iii) repensar el concepto de “región”, re-entendiéndolo como categoría de análisis espacio-temporal, territorial, jurisdiccional y funcional del campo relacional de lo social.Finalmente, se plantea un nuevo interrogante en torno a si, acaso, desde el sentido de trascendencia del intercambio orgánico de energía entre manifestaciones conscientes del ser, sea posible proponer un enfoque regional para la alternatividad al desarrollo desde teorías de complejidad como un paso siguiente a esta aproximación epistemológica de la relación universidad-ciudad en tanto problema filosófico contemporáneo.* Artículo basado en el ensayo titulado ¿“CIUDAD”?: REGIÓN. Una aproximación epistemológica a la relación universidad-ciudad como problema filosófico contemporáneo, elaborado en el curso sobre Historia de la Filosofía Contemporánea ofrecido por el profesor Francisco Sierra Gutiérrez en la Facultad de Filosofía de la Pontificia Universidad Javeriana durante el semestre II de 2004. Este artículo hace parte del Programa Docente Individualizado del autor con miras a la propuesta de un “Enfoque regional para la alternatividad al desarrollo ERPAD: una aproximación epistemológica desde las teorías de complejidad”, en el marco del Programa de Doctorado en Urbanismo ofrecido por la Universidad Central de Venezuela en convenio con la Universidad Nacional de Colombia.-----This article reviews the concept of “city” through an epistemological approach to the contemporary philosophical problem of the university-city relationship, with the purpose of identifying those elements of urban theories that can help to provide a critical and creative answer to the following questions: How can the contemporary philosophical problem of the university-city relationship be reviewed with scientific rigor, that is, by using theories and methods thoroughly? How to produce, justify and use knowledge to review the meaning and content of the relationship between the concepts of university campus and social sphere?In order to answer the first question, the concepts of ‘modern city’ and ‘contemporary metropolis’ are initially discussed; general elements of the relationship university-city can be found in the origins of modern cities, whereas more specific ones can be identified in the transformations of contemporary metropolis. Secondly, the author highlights the connotations of the concept of ‘modern city’ –the act of gathering groups which perform different operations—, as well as those of the concept of ‘contemporary metropolis’ –a territory where common sense becomes aberrant in the current stage of computerized globalization. Thirdly, the concept of ‘university campus’ is disintegrated into the models of a city for university students and a university for citizens; the logic behind territoriality in modern cities and contemporary metropolis is pointed out in order to show the false duality between such models and such logic.To answer the second question, the metaphoric thematization method is introduced with the purpose of: i) reviewing the concept of ‘city’, so that it is understood as a new possibility for living organisms; ii) reviewing the concept of ‘social sphere’, so as to conceive it as the arena where man’s conscious manifestations relate to each other in an unfinished process of totalization; and iii) reviewing the concept of ‘region’, so that it can be seen as a type of spatial, time, territorial, jurisdictional and functional analysis of the arena where social matters relate.Finally, a new question is raised as to whether, in fact, from the transcendence of the organic exchange of energy between man’s conscious manifestations, it is possible to put forward a regional approach from the complexity of theories as an alternative for development, as the next step to be taken after this epistemological approach to the contemporary philosophical problem of the university-city relationship.

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Resumen del autor en catalán

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Analizar cómo las experiencias sociales dentro del sistema de iguales se relacionan con la comprensión de los estados mentales infantiles, adoptando un punto de vista teórico socio-cultural. En concreto: explorar la influencia de ciertas variables control (personales y familiares) en la comprensión de la mente por parte del sujeto. Examinar la posición del grupo sociométrico de rechazados respecto a las variables de control. Analizar la naturaleza de la comprensión de la mente en un grupo sociométrico que presenta una interacción inadecuada con los iguales: los rechazados. Comprobar qué factores pueden estar afectando a la comprensión de la mente del grupo de los sujetos rechazados. De 310 alumnos de 15 clases de P4, P5 y primero de primaria de la provincia de Castellón se escogieron 105, de los cuales, 35 eran rechazados, 34 populares y 36 medios. Al año siguiente se volvieron a pasar las tareas a la misma muestra, ahora de P5, 1õ y 2õ de primaria. De 307 sujetos (hubo mortalidad de tres sujetos respecto al año anterior por que cambiaron de colegio) se escogieron 95, de los cuales, 27 eran rechazados, 26 populares y 42 medios. Primero se pasa el cuestionario sociométrico a los 310 alumnos, para asignarlos a las distintas categorías sociométricas (rechazado, popular y medio, variables dependientes), y se comprueba que cumplen los requisitos cognitivos básicos. Después se equiparan los grupos en inteligencia general y verbal, y luego se administran las tareas experimentales (cuyos resultados son las variables independientes), individualmente y en horario escolar, bajo consentimiento previo de los padres. Al cabo de un año se vuelve a administrar el cuestionario sociométrico a la misma muestra (307 sujetos) para volver a agruparlos en categorías y administrar las tareas experimentales. Las tareas de comprensión de la mente que se administraron son: la tarea de la creencia falsa de primer orden y la de segundo orden; tarea de engaño; historias extrañas y la tarea emocional. También se administra el Pupil Evaluation Inventory, en versión abreviada. Se utilizan: el test de Tukey para los análisis post-hoc, el índice de concordancia kappa para conocer la estabilidad de los grupos sociométricos, el análisis de frecuencia de aparición de sesgos interpretativos en la tareas de historias extrañas y la prueba T para hacer una comparación entre las tareas. Los sujetos rechazados no parecen tener una peor actuación que el resto de grupos sociométricos al entender los estados mentales de los demás (tarea de la falsa creencia), pero sí empeora a la hora de manipular estos estados mentales de los demás para conseguir sus deseos (tarea de engaño). Parecen comprender peor cuál es la intención del hablante, sobre todo si resulta contradictoria con otro tipo de mensajes, como la expresión facial o el contexto. El nivel de comprensión de las emociones y sus causas no arroja ninguna diferencia entre los sujetos rechazados y los populares o medios. Por lo que se refiere a las variables de control se encuentra gran influencia de las variables edad cronológica, autoconcepto y cociente intelectual. La variable género presenta conexiones con algunas tareas, siempre a favor del género femenino. No se encontró un efecto facilitador del número de hermanos en la comprensión de la mente, pero se encontraron efectos indirectos que acentuaban el carácter negativo de convivir únicamente con 2-3 personas en la casa. Por otro lado, los sujetos rechazados presentaron una probabilidad mayor de pertenecer a familias numerosas y de encontrarse en los últimos lugares de nacimiento, pero sólo apareció en los sujetos mayores de 6 años. El tipo de interacción que presentan los sujetos rechazados parece condicionar su comprensión de determinadas habilidades mentalistas, como por ejemplo el engaño o los aspectos intencionales de la comunicación.

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Estudiar la producción y uso de notaciones y su relación con el conocimiento de los estados mentales en niños de edad preescolar. Los objetivos generales son: 1. Analizar la relación entre la capacidad de producir notaciones funcionalmente comunicativas y la capacidad de diferenciar el estado mental propio y ajeno; y 2. Comparar la capacidad de producir notaciones comunicativas con la capacidad de emitir mensajes orales comunicativos, tanto en su formato de veracidad como de engaño. 240 niños mexicanos de 3 a 6 años para el primer estudio, y para el segundo, 270 niños mexicanos de 3 a 5 años. Se realizaron dos estudios experimentales complementarios. El primer estudio ahondó en la relación entre la función comunicativa de las notaciones y la capacidad de atribución de estados mentales, mediante la tarea de la falsa creencia y la de notaciones, y dentro de esta última, sus dos condiciones: de veracidad y de engaño. Las variables independientes fueron la edad y el tipo de información transmitida (veraz y de engaño); las variables dependientes fueron: la falsa creencia, que se ha operacionalizado mediante las categorías de éxito/fracaso, la capacidad notacional, que se obtiene analizando la producción de las notaciones y su interpretación, y la selección notacional (adecuada o inadecuada), que se analiza a partir del reconocimiento de que la presencia o ausencia de marcas simples sirven para comunicar una información. El segundo estudio se centró en la investigación del efecto de los modos de comunicación en los mensajes producidos, con la finalidad de comparar la producción y el uso de notaciones y los mensajes orales, mediante las tareas de producción notacional y la de emisión oral de mensajes, en las que además, los niños atendieron a sus dos condiciones (de veracidad y de engaño). Las variables independientes fueron las mismas que en el estudio 1, y las independientes fueron: la capacidad notacional, la capacidad oral, variable categórica dicotómica que se analizó a parir de la emisión verbal de mensajes por parte de los participantes para comunicar una información, la interpretación notacional y la interpretación oral, que se analizaron a parir del éxito o fracaso que tiene el niño que reproduce la torre basándose en la notación de su compañero. Los resultados del primer estudio sugieren que existe una relación entre la capacidad de diferenciar dos estados mentales (el propio y el ajeno), medida por el éxito en la prueba de la falsa creencia, y la capacidad de producir notaciones funcionalmente comunicativas a partir de los 4;6 años. Sin embargo, aunque la capacidad de diferenciar estados mentales constituye una condición necesaria para que se puedan producir notaciones funcionales, no parece ser una condición suficiente. Parece que otras habilidades relacionadas con el conocimiento de los sistemas notacionales y con las habilidades pragmáticas de su uso juegan un papel importante. Los resultados del segundo estudio sugieren una mejora en ambos sistemas simbólicos relacionada con la edad, pero un ligero desfase evolutivo entre ambos modos de comunicación. Los niños más pequeños fueron mejores en sus mensajes orales a diferencia de los mayores que supieron adaptar la información de mejor manera en sus notaciones que en sus mensajes orales. 1. A partir de los 4 años se observa una correlación entre la atribución de estados mentales diferentes (el propio y el ajeno) y la capacidad de producir notaciones funcionalmente comunicativas. 2. Los niños en edad preescolar emplean el dibujo de manera predominante sobre la escritura para comunicar una información. 3. El análisis del engaño desde la modalidad notacional confirma la hipótesis de que existe un cambio evolutivo hacia la producción de este tipo de notaciones a partir de los 4 años. 4. A partir de los 4 años se observa una correlación positiva entre el éxito de la prueba de la falsa creencia y la capacidad de producir notaciones engañosas. 5. La capacidad de producir notaciones que transmiten una información engañosa es comparable a la capacidad de producir notaciones que transmiten información veraz en niños con edades comprendidas entre 4 y 5 años. Por otro lado, menos del 50 por ciento de los niños menores de 4 años lograron producir eficazmente alguno de los dos tipos de notaciones. 6. La capacidad de evaluación de la ambigüedad informativa de marcas simples, tales como una X, aparece a los 5 años. 7. La capacidad de producir notaciones comunicativas aparece a los 4 años de edad, en cambio, la capacidad de interpretar el efecto de una marca para comunicar una información no se observa sino hasta los 5 años. 8. Existe una correlación positiva entre la capacidad de interpretar notaciones y la edad en niños de edad preescolar. Sin embargo, la capacidad de producción de notaciones comunicativas adecuadas es mejor que la capacidad de interpretación. Este desfase también se observa entre la capacidad de emisión de mensajes adecuados y la capacidad de interpretarlos adecuadamente. 9. Tanto a nivel notacional como oral, los niños preescolares mejoraron con la edad su capacidad de comunicar una información en ambos sistemas semióticos.10. Hay diferencias entre las modalidades semióticas (oral y notacional) según la finalidad de la intencionalidad del mensaje (veraz o de engaño). Con respecto a la transmisión e información veraz, para los niños de 3 años es más fácil comunicar este tipo de mensaje de forma oral que de forma notacional. A los 4 años también se observa esta tendencia, aunque la diferencia de porcentaje entre ambas modalidades es menos acusada. Sin embargo, a los 5 años los resultados son muy diferentes, ya que las notaciones de los niños son mejores que sus mensajes orales. Con respecto a la información de engaño, los resultados son similares, pero con la diferencia de que desde los 4 años los niños producen mejores notaciones que mensajes orales para engañar. 11. Con respecto al desfase entre modalidades semióticas, se puede decir, por un lado, que el grado de experiencia con el sistema semiótico influye en dicho desfase. Los niños más pequeños muestran mayor habilidad al comunicar su información de forma oral en comparación con la notacional debido a que apenas están aprendiendo a escribir y en cambio, ya han empezado a hablar desde hace tiempo. Un factor que seguramente pudo influir en la diferencia de porcentajes entre el uso de los sistemas semióticos fue el tipo de tarea propuesta, cuya representación escrita era más sencilla que la oral. Por otro lado, el medio representacional también pudo influir en la interpretación de la información, pues se sabe que es más fácil para los niños detectar problemas en los mensajes cuando éstos les son presentados de forma escrita. 12. El uso de ambos sistemas semióticos coincide con la edad en que los niños parecen ser conscientes de que el grado de adecuación de sus mensajes es importante para que otra persona los interprete adecuadamente. Este conocimiento se manifiesta casi en el mismo porcentaje para ambas modalidades a los 4 años.