984 resultados para Deuxième Guerre mondiale, Shoah (1939-1945)


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Référence bibliographique : Rol, 57123

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Référence bibliographique : Rol, 57126

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Référence bibliographique : Rol, 57127

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Référence bibliographique : Rol, 57128

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Référence bibliographique : Rol, 57129

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Référence bibliographique : Rol, 57132

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Les Pays-Bas et la Suisse sont souvent décrits comme ayant des relations entre travail et capital similaires, marquées par des négociations et le compromis. La conviction est courante dans les deux pays qu'il y a une tendance constante au consensus et au compromis dans l'histoire nationale. Cette thèse livre une comparaison historique du développement des relations de classe dans la 1ers moitié du 20eme siècle. Une attention particulière est donnée aux confrontations sévères et partiellement violentes entre les classes qui ont eu lieu pendant et juste après la Première Guerre Mondiale. Dans la crise des années trente, les deux pays ont longtemps maintenu l'attachement à une politique de déflation, ce qui a mené à une nouvelle accentuation des tensions sociales. Dans ce contexte, loin d'être prêts à faire des concessions au mouvement ouvrier, d'importantes composantes du patronat néerlandais et suisse sympathisaient avec un corporatisme autoritaire comme il était prôné par les mouvements et régimes fascistes. Des alliances entre le mouvement ouvrier socialiste et des fractions importantes des classes moyennes étaient capables d'arrêter cette dérive autoritaire, sans avoir assez de force pour imposer leurs propres alternatives. C'est seulement après l'affaiblissement de la droite dure entre la deuxième moitié des années trente et l'immédiat après-guerre que des premiers fondements pour un compromis de classe stable ont été établis. Généralement, l'approche comparée de la thèse permet de mieux saisir les histoires nationales dans leur contexte européen et global et permet donc de dépasser une vue de l'histoire nationale comme «cas spécial».¦Die Beziehungen zwischen Arbeit und Kapital in Niederlande und die Schweiz werden oft als âhnlich und stark von Verhandlungen und von Kompromissen geprâgt beschrieben. In beiden Lândern ist die Auffassung weitverbreitet, dass es in der nationalen Geschichte eine konstante Tendenz zum Konsens und zum Kompromiss gebe. Diese Dissertation bietet einen historischen Vergleich der Entwicklung der Klassenbeziehungen in der ersten Hâlfte des 20. Jahrhunderts. Thematisiert werden insbesondere die ernsthaften und teilweise gewalttàtigen Zusammenstôsse zwischen den Klassen, die sich wàhrend und unmittelbar nach dem Ersten Weltkrieg ereigneten. In der Krise der Dreissigerjahre hielten beide Staaten lange an der Deflationspolitik fest, was erneut zu einer Verschârfung der sozialen Spannungen fïïhrte. Vor diesem Hintergrund lehnten weite Teile der schweizerischen und niederlândischen Grossunternehmer Konzessionen gegenuber der Arbeiterbewegung ab. Vielmehr sympathisierten sie mit einem autoritàren Korporatismus, wie er von den faschistischen Bewegungen und Regimes vertreten wurde. Allianzen zwischen der sozialistischen Arbeiterbewegung und Teilen der Mittelschichten gelang es zwar, diese autoritàren Tendenzen aufzuhalten, nicht aber ihre eigenen Alteraativkonzepte durchzusetzen. Erst nach der Schwâchung der radikalen Rechten in der Zeit zwischen der zweiten Hàlfte der 1930er Jahre und der unmittelbaren Nachkriegszeit nach dem Zweiten Weltkrieg fand sich eine¦Grundlage fur einen stabilen Klassenkompromiss. Generell ermôglicht es der vergleichende Ansatz der Dissertation, die nationale Geschichte in ihrem europâischen und globalen Kontext zu sehen und so eine Sicht auf die Geschichte eines einzelnen Landes als ,,Sonderfall" zu uberwinden.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

« Reconnaissons-le comme un fait, soulignait François Hollande lors du lancement des commémorations du centenaire en novembre 2013, lorsque la mobilisation générale fut proclamée, il n'y eut plus qu'un seul pays, une seule Nation, une seule armée ». A l'heure où les commémorations officielles du premier conflit mondial battent leur plein, il est plus que jamais impossible de s'abstraire du rapport dialectique qui s'instaure entre « usages publics et politiques de l'histoire » et construction de l'histoire savante. Aujourd'hui, le monde ouvrier, les vaincus, semblent ainsi être invoqués pour souligner substantiellement leur « adhésion » substantielle à « leur » nation en guerre. Les mondes et les mouvements ouvriers, dans toute leur complexité sociale et politique s'estompent de la recherche historique comme ont disparu ou presque les questions liées aux rapports de force sociopolitiques. Cette contribution se propose de revenir sur l'un des noeuds historiographiques concernant les socialismes en guerre, soit celui de leur « entrée » dans le conflit. Il s'agit de comprendre comment « la guerre fait irruption » dans les débats du socialisme international, en envisageant les divers positionnements par rapport au "choix" de l'intervention, notamment la question du "revirement" d'une social-démocratie hostile à la guerre qui entre néanmoins en guerre en usant parfois d'une rhétorique patriotique voire nationaliste. Pour ce faire, deux cas d'études ont été choisis partant de deux réalités sociopolitiques différentes qui, chacune à leur manière, offrent une palette des manières qu'a eues la socialdémocratie de se positionner face à la guerre. D'un côté, l'« exception » italienne, de l'autre le « revirement » patriotique français. En point de mire : comprendre si et dans quelle mesure la guerre constitue un tournant, une rupture dans l'histoire des sociétés considérées, et quelles en sont les limites.