753 resultados para Creative Writing
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Double Fortune is a novel relating events taking place in Miami, Central America, and The Bahama Bank in October and November, 1983. The main character, Michael Hayden, is a free-lance music producer who has become jaded and impotent. A chance encounter on the Bay with Marisol, a Salvadoran heiress, and Hector, her brother, propels him into a complex plot to expatriate money through U.S. government channels. Willy, a brooding Cuban bodyguard hired to protect and instruct the Salvadorans, emerges as both nemesis and key to the duplicities of the scheme. The final showdown involves the four of them on the water above the Cay Sal Bank, a part of the Bahamas equidistant to their disparate worlds.
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In this lecture entitled "Art is seen through the filter of class", Oscar Hijuelos uses autobiographical details to share his thoughts about art.
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Ce mémoire en recherche création est divisé en deux principales sections : un recueil de poésie et un essai. Le recueil, intitulé Le Cœur est une permanence, explore différentes interprétations du phénomène d’empathie dans la création littéraire. Afin que l’empathie devienne l’objet du discours, ce dernier est centré sur la relation à l’autre. L’empathie prend vie à travers deux entités, un « je » et un « tu ». Alors que le « je » entre en contact avec ses propres zones d’ombres, il s’ouvre tranquillement aux souffrances du « tu ». Au fil des poèmes, le « je » et le « tu » apaisent leur douleur en la partageant, faisant de l’empathie une voie d’accès à l’intimité. Ce déploiement de l’intime prend forme en trois temps : les sections replis de voix, point archimédien et ensembles vides. Le recueil accorde une importance particulière à la figure du corps comme véhicule de la souffrance. Il propose une réflexion sur l’amour, balançant entre naufrage et terre promise, et fait de l’enfance une pierre de touche pour interroger la douleur. La deuxième partie de ce mémoire est un essai intitulé Empathie et souffrance dans Tête première / Dos / Contre dos de Martine Audet. Divisé en trois chapitres, cet essai étudie l’empathie à l’œuvre dans le recueil de Audet, selon une approche bioculturelle. Il allie interprétation littéraire, sciences cognitives de deuxième génération et philosophie de l’esprit. Dans le premier chapitre, le concept de « simulation incarné », développé par Vittorio Gallese, permet d’interpréter la figure du corps et de suggérer qu’elle véhicule la douleur tout en étant la manifestation d’un effacement identitaire. Le deuxième chapitre se penche sur l’intersubjectivité en lien avec l’empathie. Il intègre certaines notions clés de la phénoménologie husserlienne afin d’analyser les manifestations du lien empathique unissant les deux présences parcourant le recueil de Audet. Le dernier chapitre explique comment les représentations de l’environnement dans lequel évoluent ces présences peuvent refléter leur souffrance. Pour ce faire, certains concepts liés à l’environnement, particulièrement importants pour l’écocritique actuelle, sont analysés dans Tête première / Dos / Contre dos, comme ceux de place et de nature. Ces derniers, étant construits par les perceptions propres à la cognition humaine, sont envisagés d’un point de vue bioculturel. En interprétant ces trois principaux aspects du texte (figure du corps, intersubjectivité et environnement), l’hypothèse selon laquelle la perception de la souffrance dans Tête première / Dos / Contre dos repose essentiellement sur l’empathie comme effet et objet du discours s’en voit validée.
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Les recueils de poésie Autoportraits de Marie Uguay et Nombreux seront nos ennemis de Geneviève Desrosiers appartiennent tous deux au genre de l’intimisme. Celui-ci est principalement caractérisé par une observation rapprochée du quotidien. Mon projet est constitué de deux volets : une recherche sur l’intimisme chez Uguay et Desrosiers, ainsi qu’un projet de création inspiré de leur poésie. Dans le volet recherche de mon mémoire, je me penche sur la logique du seuil et les rapports problématiques à l’altérité dans ces deux recueils. Dans Autoportraits et Nombreux seront nos ennemis, la position en retrait ou sur le seuil du « Je » permet d’observer ce qui l’entoure en conservant une perspective intime confortable où il ne se retrouve pas confronté à l’altérité. Les poèmes de la partie création de mon mémoire témoignent de l’inventivité dont le « Je » fait preuve afin d’échapper à son quotidien et sont empreints d’une perméabilité entre rêve et réalité. Le quotidien statique se présente comme un piège, un enfermement. La tension entre l’ici et l’ailleurs est exprimée dans les textes par une logique de l’attente; celle d’un nouveau départ et de la réalisation du rêve. Par cette pratique, je souhaite jouer avec les dangers de l’intimisme : ceux d’un narcissisme ou d’un sentimentalisme exacerbés.
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Problème: Ma thèse porte sur l’identité individuelle comme interrogation sur les enjeux personnels et sur ce qui constitue l’identification hybride à l’intérieur des notions concurrentielles en ce qui a trait à l’authenticité. Plus précisément, j’aborde le concept des identifications hybrides en tant que zones intermédiaires pour ce qui est de l’alternance de codes linguistiques et comme négociation des espaces continuels dans leur mouvement entre les cultures et les langues. Une telle négociation engendre des tensions et/ou apporte le lien créatif. Les tensions sont inhérentes à n’importe quelle construction d’identité où les lignes qui définissent des personnes ne sont pas spécifiques à une culture ou à une langue, où des notions de l’identité pure sont contestées et des codes communs de l’appartenance sont compromis. Le lien créatif se produit dans les exemples où l’alternance de code linguistique ou la négociation des espaces produit le mouvement ouvert et fluide entre les codes de concurrence des références et les différences à travers les discriminations raciales, la sexualité, la culture et la langue. Les travaux que j’ai sélectionnés représentent une section transversale de quelques auteurs migrants provenant de la minorité en Amérique du Nord qui alternent les codes linguistiques de cette manière. Les travaux détaillent le temps et l’espace dans leur traitement de l’identité et dans la façon dont ils cernent l’hybridité dans les textes suivants : The Woman Warrior de Maxine Hong Kingston (1975-76), Hunger of Memory de Richard Rodriguez (1982), Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer de Dany Laferrière (1985), Borderlands/La Frontera de Gloria Anzalduá (1987), Lost in Translation de Eva Hoffman (1989), Avril ou l’anti-passion de Antonio D’Alfonso (1990) et Chorus of Mushrooms de Hiromi Goto (1994). Enjeux/Questions La notion de l’identification hybride est provocante comme sujet. Elle met en question l’identité pure. C’est un sujet qui a suscité beaucoup de discussions tant en ce qui a trait à la littérature, à la politique, à la société, à la linguistique, aux communications, qu’au sein même des cercles philosophiques. Ce sujet est compliqué parce qu’il secoue la base des espaces fixes et structurés de l’identité dans sa signification culturelle et linguistique. Par exemple, la notion de patrie n’a pas les représentations exclusives du pays d’origine ou du pays d’accueil. De même, les notions de race, d’appartenance ethnique, et d’espaces sexuels sont parfois négativement acceptées si elles proviennent des codes socialement admis et normalisés de l’extérieur. De tels codes de la signification sont souvent définis par l’étiquette d’identification hétérosexuelle et blanche. Dans l’environnement généralisé d’aujourd’hui, plus que jamais, une personne doit négocier qui elle est, au sens de son appartenance à soi, en tant qu’individu et ce, face aux modèles locaux, régionaux, nationaux, voire même globaux de la subjectivité. Nous pouvons interpréter ce mouvement comme une série de couches superposées de la signification. Quand nous rencontrons une personne pour la première fois, nous ne voyons que la couche supérieure. D’ailleurs, son soi intérieur est caché par de nombreuses couches superposées (voir Joseph D. Straubhaar). Toutefois, sous cette couche supérieure, on retrouve beaucoup d’autres couches et tout comme pour un oignon, on doit les enlever une par une pour que l’individualité complète d’une personne soit révélée et comprise. Le noyau d’une personne représente un point de départ crucial pour opposer qui elle était à la façon dont elle se transforme sans cesse. Sa base, ou son noyau, dépend du moment, et comprend, mais ne s’y limite pas, ses origines, son environnement et ses expériences d’enfance, son éducation, sa notion de famille, et ses amitiés. De plus, les notions d’amour-propre et d’amour pour les autres, d’altruisme, sont aussi des points importants. Il y a une relation réciproque entre le soi et l’autre qui établit notre degré d’estime de soi. En raison de la mondialisation, notre façon de comprendre la culture, en fait, comment on consomme et définit la culture, devient rapidement un phénomène de déplacement. À l’intérieur de cette arène de culture généralisée, la façon dont les personnes sont à l’origine chinoises, mexicaines, italiennes, ou autres, et poursuivent leur évolution culturelle, se définit plus aussi facilement qu’avant. Approche Ainsi, ma thèse explore la subjectivité hybride comme position des tensions et/ou des relations créatrices entre les cultures et les langues. Quoique je ne souhaite aucunement simplifier ni le processus, ni les questions de l’auto-identification, il m’apparaît que la subjectivité hybride est aujourd’hui une réalité croissante dans l’arène généralisée de la culture. Ce processus d’échange est particulièrement complexe chez les populations migrantes en conflit avec leur désir de s’intégrer dans les nouveaux espaces adoptés, c’est-à-dire leur pays d’accueil. Ce réel désir d’appartenance peut entrer en conflit avec celui de garder les espaces originels de la culture définie par son pays d’origine. Ainsi, les références antérieures de l’identification d’une personne, les fondements de son individualité, son noyau, peuvent toujours ne pas correspondre à, ou bien fonctionner harmonieusement avec, les références extérieures et les couches d’identification changeantes, celles qu’elle s’approprie du pays d’accueil. Puisque nos politiques, nos religions et nos établissements d’enseignement proviennent des représentations nationales de la culture et de la communauté, le processus d’identification et la création de son individualité extérieure sont formées par le contact avec ces établissements. La façon dont une personne va chercher l’identification entre les espaces personnels et les espaces publics détermine ainsi le degré de conflit et/ou de lien créatif éprouvé entre les modes et les codes des espaces culturels et linguistiques. Par conséquent, l’identification des populations migrantes suggère que la « community and culture will represent both a hybridization of home and host cultures » (Straubhaar 27). Il y a beaucoup d’écrits au sujet de l’hybridité et des questions de l’identité et de la patrie, toutefois cette thèse aborde la valeur créative de l’alternance de codes culturels et linguistiques. Ce que la littérature indiquera Par conséquent, la plate-forme à partir de laquelle j’explore mon sujet de l’hybridité flotte entre l’interprétation postcoloniale de Homi Bhabha concernant le troisième espace hybride; le modèle d’hétéroglossie de Mikhail Bakhtine qui englobent plusieurs de mes exemples; la représentation de Roland Barthes sur l’identité comme espace transgressif qui est un modèle de référence et la contribution de Chantal Zabus sur le palimpseste et l’alternance de codes africains. J’utilise aussi le modèle de Sherry Simon portant sur l’espace urbain hybride de Montréal qui établit un lien important avec la valeur des échanges culturels et linguistiques, et les analyses de Janet Paterson. En effet, la façon dont elle traite la figure de l’Autre dans les modèles littéraires au Québec fournisse un aperçu régional et national de l’identification hybride. Enfin, l’exploration du bilinguisme de Doris Sommer comme espace esthétique et même humoristique d’identification situe l’hybridité dans une espace de rencontre créative. Conséquence Mon approche dans cette thèse ne prétend pas résoudre les problèmes qui peuvent résulter des plates-formes de la subjectivité hybride. Pour cette raison, j’évite d’aborder toute approche politique ou nationaliste de l’identité qui réfute l’identification hybride. De la même façon, je n’amène pas de discussion approfondie sur les questions postcoloniales. Le but de cette thèse est de démontrer à quel point la subjectivité hybride peut être une zone de relation créatrice lorsque l’alternance de codes permet des échanges de communication plus intimes entre les cultures et les langues. C’est un espace qui devient créateur parce qu’il favorise une attitude plus ouverte vis-à-vis les différents champs qui passent par la culture, aussi bien la langue, que la sexualité, la politique ou la religion. Les zones hybrides de l’identification nous permettent de contester les traditions dépassées, les coutumes, les modes de communication et la non-acceptation, toutes choses dépassées qui emprisonnent le désir et empêchent d’explorer et d’adopter des codes en dehors des normes et des modèles de la culture contenus dans le discours blanc, dominant, de l’appartenance culturelle et linguistique mondialisée. Ainsi, il appert que ces zones des relations multi-ethniques exigent plus d’attention des cercles scolaires puisque la population des centres urbains à travers l’Amérique du Nord devient de plus en plus nourrie par d’autres types de populations. Donc, il existe un besoin réel d’établir une communication sincère qui permettrait à la population de bien comprendre les populations adoptées. C’est une invitation à stimuler une relation plus intime de l’un avec l’autre. Toutefois, il est évident qu’une communication efficace à travers les frontières des codes linguistiques, culturels, sexuels, religieux et politiques exige une négociation continuelle. Mais une telle négociation peut stimuler la compréhension plus juste des différences (culturelle ou linguistique) si des institutions académiques offrent des programmes d’études intégrant davantage les littératures migrantes. Ma thèse vise à illustrer (par son choix littéraire) l’identification hybride comme une réalité importante dans les cultures généralisées qui croissent toujours aujourd’hui. Les espaces géographiques nous gardent éloignés les uns des autres, mais notre consommation de produits exotiques, qu’ils soient culturels ou non, et même notre consommation de l’autre, s’est rétrécie sensiblement depuis les deux dernières décennies et les indicateurs suggèrent que ce processus n’est pas une tendance, mais plutôt une nouvelle manière d’éprouver la vie et de connaître les autres. Ainsi les marqueurs qui forment nos frontières externes, aussi bien que ces marqueurs qui nous définissent de l’intérieur, exigent un examen minutieux de ces enjeux inter(trans)culturels, surtout si nous souhaitons nous en tenir avec succès à des langues et des codes culturels présents, tout en favorisant la diversité culturelle et linguistique. MOTS-CLÉS : identification hybride, mouvement ouvert, alternance de code linguistique, négociation des espaces, tensions, connectivité créative
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This article analyzes two series of photographs and essays on writers’ rooms published in England and Canada in 2007 and 2008. The Guardian’s Writers Rooms series, with photographs by Eamon McCabe, ran in 2007. In the summer of 2008, The Vancouver International Writers and Readers Festival began to post its own version of The Guardian column on its website by displaying, each week leading up to the Festival in September, a different writer’s “writing space” and an accompanying paragraph. I argue that these images of writers’ rooms, which suggest a cultural fascination with authors’ private compositional practices and materials, reveal a great deal about theoretical constructions of authorship implicit in contemporary literary culture. Far from possessing the museum quality of dead authors’ spaces, rooms that are still being used, incorporating new forms of writing technology, and having drafts of manuscripts scattered around them, can offer insight into such well-worn and ineffable areas of speculation as inspiration, singular authorial genius, and literary productivity.
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This article investigates student behaviour on collaborative assignments, looking at the relationship between task type and interaction, and considers the implications for task design. Students reported on interactions in a year-long workplace-focussed group communication project, comparing these with interactions on other academy based group assignments. Differences were seen in the amount of brainstorming, the criteria for dividing up work, the intensity of editing, and how conflict was managed. Contributing factors to these differences included the presence or absence of a creative element, the instrumental nature of the task, and the need for a collective approach inherent in the task design.
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Abstract This article addresses the theme of place in the poetry of W. B. Yeats and Patrick Kavanagh, focusing on the concept of place as a physical and psychological entity. The article explores place as a creative force in the work of these two poets, in relation to the act of writing. Seamus Heaney, in his essay “The Sense of Place,” talks about the “history of our sensibilities” that looks to the stable element of the land for continuity: “We are dwellers, we are namers, we are lovers, we make homes and search for our histories” (Heaney 1980: 148-9). Thus, in a physical sense, place is understood as a site in which identity is located and defined, but in a metaphysical sense, place is also an imaginative space that maps the landscapes of the mind. This article compares the different ways in which Yeats and Kavanagh relate to their place of writing, physically and artistically, where place is understood as a physical lived space, and as a liberating site for an exploration of poetic voice, where the poet creates his own country of the mind.
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This article addresses the theme of place in the poetry of W. B. Yeats and Patrick Kavanagh, focusing on the concept of place as a physical and psychological entity. The article explores place as a creative force in the work of these two poets, in relation to the act of writing. Seamus Heaney, in his essay “The Sense of Place,” talks about the “history of our sensibilities” that looks to the stable element of the land for continuity: “We are dwellers, we are namers, we are lovers, we make homes and search for our histories” (Heaney 1980: 148-9). Thus, in a physical sense, place is understood as a site in which identity is located and defined, but in a metaphysical sense, place is also an imaginative space that maps the landscapes of the mind. This article compares the different ways in which Yeats and Kavanagh relate to their place of writing, physically and artistically, where place is understood as a physical lived space, and as a liberating site for an exploration of poetic voice, where the poet creates his own country of the mind.
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Front of the possibility of acting with the teachers who teach in schools of Early Childhood Education for children aged six years, about the re-siginification of the understanding of writing language and of the importance of the child in this age group establish a positive relationship with this mode of language, was developed in 2011, a project linked to the Teaching of UNESP titled “Depathologization learning of the writing and inclusive education: reflections and actions of the teacher of Early Childhood Education”. This project aims to identification of the actions, in the classroom, of the patologization and subsequent implementation of actions depathologization writing by teachers’ actions, considering the increasingly early systematization of formal education of this kind of language in kindergarten. To this end, procedures that characterize the collaborative methodology are adopted. Throughout the methodological course, the engagement of the teachers, of the coordination and of the direction was valued, which seemed to favor both the formation, as the maintenance of the group, were very important aspects to ensure the interaction between its members and the common interest in the reflection about the topic in question. This paper focuses attention on whether thematic axes highlight during the initial survey of the expectations of teachers subsequently addressed in theoretical and reflective meetings leading up to identification of actions the patologization and/or of the proposition of the actions despatologizadoras of the learning of the writing, and in what refers to the way they are addressed.
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This paper examines the adaptations of the writing system in Internet language in mainland China from a sociolinguistic perspective. A comparison is also made of the adaptations in mainland China with those that Su (2003) found in Taiwan. In Computer-Mediated Communication (CMC), writing systems are often adapted to compensate for their inherent inadequacies (such as difficulty in input). Su (2003) investigates the creative uses of the writing system on the electronic bulletin boards (BBS) of two college student organizations in Taipei, Taiwan, and identifies four popular and creative uses of the Chinese writing system: stylized English, stylized Taiwanese-accented Mandarin, stylized Taiwanese, and the recycling of a transliteration alphabet used in elementary education. According to Coupland (2001; cited in Su 2003), stylization is “the knowing deployment of culturally familiar styles and identities that are marked as deviating from those predictably associated with the current speaking context”. Within this framework and drawing on the data in previous publications on Internet language and online sources, this study identifies five types of adaptations in mainland China’s Internet language: stylized Mandarin (e.g., 漂漂 piāopiāo for 漂亮 ‘beautiful’), stylized dialect-accented Mandarin (e.g., 灰常 huīcháng for 非常 ‘very much’), stylized English (e.g., 伊妹儿 yīmèier for ‘email’), stylized initials (e.g., bt 变态 biàntài for ‘abnormal’; pk, short form for ‘player kill’), and stylized numbers (e.g., 9494 jiùshi jiùshi 就是就是 ‘that is it’). The Internet community is composed of highly mobile individuals and thus forms a weak-tie social network. According to Milroy and Milroy (1992), a social network with weak ties is often where language innovation takes place. Adaptations of the Chinese writing system in Internet language provide interesting evidence for the innovations within a weak-tie social network. Our comparison of adaptations in mainland China and Taiwan shows that, in maximizing the effectiveness and functionality of their communication, participants of Internet communication are confronted with different language resources and situations, including differences in Romanization systems, English proficiency level, and attitudes towards English usage. As argued by Milroy and Milroy (1992), a weak-tie social network model can bridge the social class and social network. In the Internet community, the degree of diversity of the stylized linguistic varieties indexes the virtual and/or social status of its participants: the more diversified one’s Internet language is, the higher is his/her virtual and/or social status.