784 resultados para Child affect and engagement
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Ce mémoire débute avec deux chapitres portant sur les problèmes des conduites et la régulation du stress, notamment sur l’axe hypothalamique-pituitaire-surrénal (HPS). Ensuite, la littérature est résumée et nous voyons que les études qui cherchent à établir un lien entre les problèmes des conduites et l’axe HPS ont trouvé des résultats différents et parfois contradictoires. Le chapitre suivant illustre les problèmes méthodologiques qui pourraient expliquer ces résultats différents. Vient ensuite l’étude présentée dans ce mémoire qui cherche à établir un lien entre la réponse cortisolaire à l’éveil (RCE), considérée comme un bon indice du fonctionnent de l’axe HPS, et les problèmes de conduites chez l’enfant. De plus, les émotions négatives ont été associées avec les problèmes des conduites ainsi qu’aux dysfonctions de l’axe HPS, notamment le RCE. L’étude présentée dans ce mémoire cherche aussi à établir si les émotions négatives pourrait être une variable médiatrice dans la relation potentielle entre la RCE et les problèmes des conduites. L’étude révèle que pour les garçons mais pas pour les filles, une RCE réduite est associée avec les émotions négatives, ce qui est successivement associé avec les problèmes des conduites. Le dernier chapitre du mémoire examine les implications théoriques de cette médiatisation et propose également des pistes psychobiologiques pour expliquer les différences sexuelles observées.
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Malgré de nombreuses études qui soutiennent l'idée que les enfants ayant vécu la rupture de leurs parents rencontrent un plus haut niveau de difficultés affectives et comportementales que les enfants de familles intactes, certaines questions restent à éclaircir. Notamment, les données empiriques existantes ne conduisent pas à des conclusions précises quant au moment exact de l’apparition de ces difficultés. De plus, ce n'est pas clair si ces difficultés sont associées à la séparation en soi, ou à bien d'autres facteurs liés à la séparation. Cette thèse est constituée de deux articles empiriques. Le premier examine l’adaptation de l’enfant avant et après la séparation en fonction du sexe et de l'âge au moment de la séparation. Le second article présente une étude qui a pour objectif de départager l’importance des facteurs parentaux et contextuels et celle de la séparation parentale pour expliquer l’adaptation de l’enfant. Les participants proviennent de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ, 1998-2006). À chaque enquête de l'ÉLDEQ, une entrevue structurée réalisée auprès de la mère a permis d'évaluer les niveaux d’hyperactivité/impulsivité, d’anxiété et d’agressivité physique de l’enfant. Pendant cette entrevue, les mères ont également répondu à des questions sur la qualité de leurs pratiques parentales et sur le revenu du ménage. Finalement, un questionnaire auto-administré à la mère a permis d'évaluer ses propres symptômes de dépression et d'anxiété. La première étude inclus 143 enfants de familles séparées et 1705 enfants de familles intactes. Deux sous-groupes ont été créés selon que l’enfant ait vécu la séparation entre 2 et 4 ans, ou entre 4 et 6 ans. L’adaptation de l'enfant a été évaluée à un temps de mesure avant la séparation et à deux temps de mesure après la séparation. Les résultats de cette première étude démontrent qu’avant la séparation, les enfants de familles intactes et séparées ne se distinguent pas significativement quant à leurs niveaux d’hyperactivité/impulsivité et d’anxiété. Par contre, ces difficultés deviennent significativement plus élevées chez les enfants de familles séparées après la rupture des parents. D’autres parts, le niveau d’agressivité physique est plus élevé chez les enfants de la séparation indépendamment du temps de mesure. Finalement, les différences entre les deux groupes d’enfants ne dépendent pas du sexe ou de l’âge au moment de la séparation. La deuxième étude inclus 358 enfants de 8 ans qui ont vécu la séparation de leurs parents, et 1065 enfants du même âge provenant de familles intactes. Après avoir contrôlé pour le sexe de l’enfant, les résultats ont démontré que lorsqu’on tient compte de la contribution des symptômes maternels de dépression et d'anxiété, de la qualité des pratiques parentales et du revenu du ménage dans l’adaptation de l’enfant, la séparation parentale ne demeurent plus liée aux niveaux d’anxiété et d'agressivité physique de l’enfant. Par contre, la relation entre la séparation parentale et l’hyperactivité/impulsivité de l’enfant demeure significative. Les résultats présentés dans les articles sont discutés ainsi que leurs implications.
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Le capital humain d’un pays est un facteur important de sa croissance et de son développement à long terme. Selon l’Unicef, ce capital humain est constitué en donnant à chaque enfant un bon départ dans la vie : non seule- ment la possibilité de survivre, mais aussi les conditions nécessaires pour se développer et réaliser tout son potentiel. Malheureusement, cet état de fait est loin d’être une réalité en Afrique Subsaharienne. En effet, selon toujours l’Unicef et sur la base d’enquêtes ménages dans 21 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre, c’est près de 32 millions d’enfants qui ont l’âge officiel d’être scolarisés, mais qui ne le sont pas. A ces chiffres, il faut ajouter 17 millions d’enfants scolarisés qui risquent fortement l’exclusion. De son Côté, l’OMS pointe du doigt la mauvaise santé des enfants dans cette région. Ainsi, les décès d’enfants sont de plus en plus concentrés en Afrique subsaharienne où les enfants ont plus de 15 fois plus de risques de mourir avant l’âge de cinq ans que les enfants des régions développées. Les difficultés économiques apparaissent comme la première explication des obstacles à l’amélioration du bien être des enfants aussi bien du côté de l’offre que de la demande. Cette thèse relie trois essais sur d’une part le lien entre conflit armés, l’éducation et la mortalité des enfants et d’autre part sur le lien entre fertilité et éducation des enfants en milieu urbain. Le premier chapitre identifie l’impact de la crise politico-militaire de la Côte d’Ivoire sur le bien être des enfants, en particulier sur l’éducation et la mor- talité infanto-juvénile en exploitant la variation temporelle et géographique de la crise. Il ressort de cette analyse que les individus qui vivaient dans les régions de conflit et qui ont atteint durant la crise, l’âge officiel d’entrer à l’école ont 10% moins de chance d’être inscrits à l’école. Les élèves qui habitaient dans des régions de conflit pendant la crise ont subit une diminu- tion du nombre d’années scolaire d’au moins une année. Les élèves les plus v vi âgés et qui sont susceptibles d’être au secondaire ont connu une décroissance du nombre d’année scolaire d’au moins deux années. Il ressort également que la crise ivoirienne a accru la mortalité infanto-juvénile d’au moins 3%. Mes résultats suggèrent également que la détérioration des conditions de vie et la limitation de l’utilisation des services de santé au cours du conflit con- tribuent à expliquer ces effets négatifs. Des tests de robustesse incluant un test de placebo suggèrent que les résultats ne sont pas dus à des différences préexistantes entre les régions affectées par le conflit et celles non affectées. Le deuxième chapitre étudie les disparités intra-urbaines en matière d’arbitrage entre le nombre d’enfant et la scolarisation des enfants en se focalisant sur le cas de Ouagadougou (Capitale du Burkina Faso). Dans cette ville, au moins 33% des deux millions d’habitants vivent dans des zones informelles (appelées localement des zones non-loties). Cette sous-population manque d’infrastructures socioéconomiques de base et a un niveau d’éducation très bas. Dans ce chapitre, prenant en compte la possible endogénéité du nombre d’enfants et en utilisant une approche "two-step control function" avec des modèles Probit, nous investiguons les différences de comportement des mé- nages en matière de scolarisation entre zones formelles et zones informelles. Nous nous focalisons en particulier sur l’arbitrage entre la "quantité" et la "qualité" des enfants. Compte tenu de l’hétérogénéité des deux types de zones, nous utilisons les probabilités prédites pour les comparer. Nos princi- pales conclusions sont les suivantes. Tout d’abord, nous trouvons un impact négatif de la taille de la famille sur le niveau de scolarisation dans les deux types de zone. Cependant, nous constatons que l’impact est plus aigu dans les zones informelles. Deuxièmement, si nous supposons que le caractère en- dogène du nombre d’enfants est essentiellement due à la causalité inverse, les résultats suggèrent que dans les zones formelles les parents tiennent compte de la scolarisation des enfants dans la décision de leur nombre d’enfants, mais ce ne est pas le cas dans les zones informelles. Enfin, nous constatons que, pour des familles avec les mêmes caractéristiques observables, la probabilité d’atteindre le niveau post-primaire est plus élevée dans les zones formelles que dans les zones informelles. En terme d’implications politique, selon ces résultats, les efforts pour améliorer la scolarisation des enfants ne doivent pas être dirigées uniquement vers les zones rurales. En plus de réduire les frais de scolarité dans certaines zones urbaines, en particulier les zones informelles, un accent particulier devrait être mis sur la sensibilisation sur les avantages de l’éducation pour le bien-être des enfants et leur famille. Enfin, du point vii de vue méthodologique, nos résultats montrent l’importance de tenir compte de l’hétérogénéité non observée entre les sous-populations dans l’explication des phénomènes socio-économiques. Compte tenu du lien négatif entre la taille de la famille et la scolarisation des enfants d’une part et les différences intra-urbaines de comportement des ménages en matière de scolarisation, le trosième chapitre étudie le rôle des types de méthodes contraceptives dans l’espacement des naissances en mi- lieu urbain. Ainsi, en distinguant les méthodes modernes et traditionnelles et en utilisant l’histoire génétique des femmes, ce chapitre fait ressortir des différences de comportement en matière de contraception entre les femmes des zones formelles et informelles à Ouagadougou (capitale du Burkina Faso). Les résultats montrent que les deux types de méthodes contraceptives aug- mentent l’écart des naissances et diminuent la probabilité qu’une naissance se produise moins de 24 mois après la précédente. Prendre en compte les caractéristiques non observées mais invariants avec le temps ne modifie pas significativement l’amplitude du coefficient de l’utilisation de la contracep- tion moderne dans les deux types de zone. Toutefois, dans la zone informelle, la prise en compte les effets fixes des femmes augmentent significativement l’effet des méthodes traditionnelles. Les normes sociales, la perception de la planification familiale et le rôle du partenaire de la femme pourraient expli- quer ces différences de comportement entre les zones formelles et informelles. Par conséquent, pour améliorer l’utilisation de la contraception et de leur efficacité, il est essentiel de hiérarchiser les actions en fonction du type de sous-population, même dans les zones urbaines.
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Colombia suffers from one of the longest civil conflicts in the world, which is believed to have had several consequences on the country’s economic and development performance. This study uses measures of central government deterrence effort as instruments of conflict to estimate the impact of conflict on children’s time allocation to two different types of work: housework and work performed outside the household for poor families living in small municipalities in Colombia. I find that conflict significantly increases the amount of time children allocate to work. Both housework, for girls, and work outside the household, for boys, increase with Guerrilla attacks. However, the later effect is the opposite for Paramilitary attacks.
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El presente trabajo pretende mostrar algunos avances en el término “engagement”, y como puede ser implementado en las organizaciones, teniendo en cuenta los diferentes factores que intervienen, para que los trabajadores se sientan “engaged” dentro de la organización. Además busca relacionar las diferentes habilidades y tipos de liderazgo que los altos mandos utilizan con sus empleados y como éste afecta la productividad de los trabajadores en las organizaciones. Para esto, se realizó una investigación de las clases de liderazgo y los comportamientos de los altos mandos, que pueden afectar positiva y negativamente el vínculo y sentido de pertenencia que tienen los trabajadores con la empresa en la que trabajan. Considerando importante las habilidades del liderazgo transformacional, para lograr desarrollar algún grado de engagement en los trabajadores, lo cual genera a su vez, un alza en la productividad de sus resultados dentro de la organización.
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In the last few years, many researchers have studied the presence of common dimensions of temperament in subjects with symptoms of anxiety. The aim of this study is to examine the association between temperamental dimensions (high negative affect and activity level) and anxiety problems in clinical preschool children. A total of 38 children, ages 3 to 6 years, from the Infant and Adolescent Mental Health Center of Girona and the Center of Diagnosis and Early Attention of Sabadell and Olot were evaluated by parents and psychologists. Their parents completed several screening scales and, subsequently, clinical child psychopathology professionals carried out diagnostic interviews with children from the sample who presented signs of anxiety. Findings showed that children with high levels of negative affect and low activity level have pronounced symptoms of anxiety. However, children with anxiety disorders do not present different temperament styles from their peers without these pathologies
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This study investigated the relative associations between parent and child anxiety and parents' cognitions about their children. One hundred and four parents of children aged 3-5 years completed questionnaires regarding their own anxiety level, their child's anxiety level and their cognitions about the child, specifically parents' expectations about child distress and avoidance, and parents' perceived control over child mood and behaviour. Both parent anxiety and parent report of child anxiety were significantly associated with parents' cognitions. Specifically, parent report of child anxiety correlated significantly with parent locus of control generally and, more specifically, with parental expectations and perceived control of child anxious mood and behaviour. Parent anxiety correlated significantly with locus of control and parents' expectations of child anxious mood and behaviour. Furthermore, when both child and parent anxiety were taken into account, only parental anxiety remained significantly associated with parental locus of control and perceived control of child anxious behaviour. For parents' perceived control of child anxious mood, only child anxiety remained significantly associated. The results suggest that parents' perceived control over their children's behaviour may primarily reflect parental anxiety, rather than child anxiety. Parental anxiety may, therefore, present an important target for interventions that aim to change parent's cognitions and behaviour.
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Anxiety of childhood is a common and serious condition. The past decade has seen an increase in treatment-focussed research, with recent trials tending to give greater attention to parents in the treatment process. This review examines the efficacy of family-based cognitive behaviour therapy and attempts to delineate some of the factors that might have an impact on its efficacy. The choice and timing of outcome measure, age and gender of the child, level of parental anxiety, severity and type of child anxiety and treatment format and content are scrutinised. The main conclusions are necessarily tentative, but it seems likely that Family Cognitive Behaviour Therapy (FCBT) is superior to no treatment, and, for some outcome measures, also superior to Child Cognitive Behaviour Therapy (CCBT). Where FCBT is successful, the results are consistently maintained at follow-up. It appears that where a parent is anxious, and this is not addressed, outcomes are less good. However, for children of anxious parents, FCBT is probably more effective than CCBT. What is most clear is that large, well-designed studies, examining these factors alone and in combination, are now needed.
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Background: Postnatal depression (PND) is associated with poor cognitive functioning in infancy and the early school years; long-term effects on academic outcome are not known. Method: Children of postnatally depressed (N = 50) and non-depressed mothers (N = 39), studied from infancy, were followed up at 16 years. We examined the effects on General Certificate of Secondary Education (GCSE) exam performance of maternal depression (postnatal and subsequent) and IQ, child sex and earlier cognitive development, and mother–child interactions, using structural equation modelling (SEM). Results: Boys, but not girls, of PND mothers had poorer GCSE results than control children. This was principally accounted for by effects on early child cognitive functioning, which showed strong continuity from infancy. PND had continuing negative effects on maternal interactions through childhood, and these also contributed to poorer GCSE performance. Neither chronic, nor recent, exposure to maternal depression had significant effects. Conclusions: The adverse effects of PND on male infants’ cognitive functioning may persist through development. Continuing difficulties in mother–child interactions are also important, suggesting that both early intervention and continuing monitoring of mothers with PND may be warranted.
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Although the co-occurrence of negative affect and pain is well recognized, the mechanism underlying their association is unclear. To examine whether a common self-regulatory ability impacts the experience of both emotion and pain, we integrated neuroimaging, behavioral, and physiological measures obtained from three assessments separated by substantial temporal intervals. Out results demonstrated that individual differences in emotion regulation ability, as indexed by an objective measure of emotional state, corrugator electromyography, predicted self-reported success while regulating pain. In both emotion and pain paradigms, the amygdala reflected regulatory success. Notably, we found that greater emotion regulation success was associated with greater change of amygdalar activity following pain regulation. Furthermore, individual differences in degree of amygdalar change following emotion regulation were a strong predictor of pain regulation success, as well as of the degree of amygdalar engagement following pain regulation. These findings suggest that common individual differences in emotion and pain regulatory success are reflected in a neural structure known to contribute to appraisal processes.
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Background: There has been increasing research interest in parenting by anxious adults; however, little is known about anxiety-subtype effects, or effects of the context in which parenting is assessed. Methods: Two groups of anxious mothers, social phobia (N = 50), generalised anxiety disorder (N = 38), and nonanxious controls (N = 62) were assessed with their 4.9-year-old children in three tasks: two presented threat specifically relevant to each maternal disorder, namely, a social threat task where the child had to give a speech, and a nonsocial threat task where the child had to explore potentially scary objects; the third was a nonthreat task (playing with play dough). Seven parenting dimensions were scored. Effects on parenting of maternal anxiety subgroup and task, and their interactions, were examined, as were effects of earlier child behavioural inhibition and currently manifest anxiety. Results: There were no parenting differences between maternal groups in the nonthreat play-dough task; parenting difficulties in the two anxious groups were principally evident in the disorder-specific challenge. Parenting differences between nonanxious and anxious mothers occurred independently of child characteristics. There was little evidence for particular forms of parenting difficulty being unique to maternal disorder. Conclusions: Anxious mothers’ parenting difficulties emerge when occurring under challenge, especially when this is disorder-specific. These effects should be considered in research and clinical practice.
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Background. Within a therapeutic gene by environment (GxE) framework, we recently demonstrated that variation in the Serotonin Transporter Promoter Polymorphism; 5HTTLPR and marker rs6330 in Nerve Growth Factor gene; NGF is associated with poorer outcomes following cognitive behaviour therapy (CBT) for child anxiety disorders. The aim of this study was to explore one potential means of extending the translational reach of G×E data in a way that may be clinically informative. We describe a ‘risk-index’ approach combining genetic, demographic and clinical data and test its ability to predict diagnostic outcome following CBT in anxious children. Method. DNA and clinical data were collected from 384 children with a primary anxiety disorder undergoing CBT. We tested our risk model in five cross-validation training sets. Results. In predicting treatment outcome, six variables had a minimum mean beta value of 0.5: 5HTTLPR, NGF rs6330, gender, primary anxiety severity, comorbid mood disorder and comorbid externalising disorder. A risk index (range 0-8) constructed from these variables had moderate predictive ability (AUC = .62-.69) in this study. Children scoring high on this index (5-8) were approximately three times as likely to retain their primary anxiety disorder at follow-up as compared to those children scoring 2 or less. Conclusion. Significant genetic, demographic and clinical predictors of outcome following CBT for anxiety-disordered children were identified. Combining these predictors within a risk-index could be used to identify which children are less likely to be diagnosis free following CBT alone or thus require longer or enhanced treatment. The ‘risk-index’ approach represents one means of harnessing the translational potential of G×E data.
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Cognitive theories emphasise the role of dysfunctional beliefs about sleep in the development and maintenance of sleep-related problems (SRPs). The present research examines how parents' dysfunctional beliefs about children's sleep and child dysfunctional beliefs about sleep are related to each other and to children's subjective and objective sleep. Participants were 45 children aged 11 -12 years and their parents. Self-report measures of dysfunctional beliefs about sleep and child sleep were completed by children, mothers and fathers. Objective measures of child sleep were taken using actigraphy. The results showed that child dysfunctional beliefs about sleep were correlated with father (r=.43, p<.05) and mother (r=.43, p<.05) reported child SRPs, and with Sleep Onset Latency (r=.34, p<.05). Maternal dysfunctional beliefs about child sleep were related to child SRPs as reported by mothers (r=.44, p<.05), and to child dysfunctional beliefs about sleep (r=.37, p<.05). Some initial evidence was found for a mediation pathway in which child dyfunctional beliefs mediate the relationship between parent dysfunctional beliefs and child sleep. The results support the cognitive model of SRPs and contribute to the literature by providing the first evidence of familial aggregation of dysfunctional beliefs about sleep.
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Aggression in children is associated with an enhanced tendency to attribute hostile intentions to others. However, limited information is available regarding the factors that contribute to the development of such hostile attribution tendencies. We examined factors that contribute to individual differences in child hostile attributions and aggression, focusing on potential pathways from maternal hostile attributions via negative parenting behavior. We conducted a longitudinal study of 98 mothers and children (47 male, 51 female), recruited from groups experiencing high and low levels of psychosocial adversity. Maternal hostile attributions, observed parenting, and child behaviour were assessed at 18 months and 5 years child age, and child hostile attributions were also examined at 5 years. Independent assessments of maternal and child processes were utilized where possible. Analyses provided support for a direct influence of maternal hostile attributions on the development of child hostile attributions and aggressive behaviour. Maternal hostile attributions were also associated with negative parenting behaviour, which in turn influenced child adjustment. Even taking account of possible parenting influences and preexisting child difficulties, hostile attributions in the mother showed a direct link with child aggression at 5 years. Maternal hostile attributions were themselves related to psychosocial adversity. We conclude that maternal hostile attributions are prevalent in high-risk samples and are related to less optimal parenting behaviour, child hostile attributions, and child aggression. Targeting hostile maternal cognitions may be a useful adjunct to parenting programs