955 resultados para mild head injury


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The Rapid Screen of Concussion (RSC) is a brief psychometric test battery, designed to provide a functional criterion to aid clinical diagnosis of mild traumatic brain injury (mTBI). The present research aimed to examine the utility of this instrument for assessing recovery after mTBI. Three studies were conducted. In Study 1, Discriminant Function Analysis was performed to determine how well the RSC differentiated uninjured controls (N¼16), from mTBI patients (N¼22) and moderate to severe TBI patients (N¼14), several months post-injury. As predicted, moderate to severe TBI patients achieved lower scores than the mTBI and control groups. The RSC also successfully differentiated between each of the diagnostic groups, yielding an overall correct classification rate of 75%. Study 2 examined the predictive utility of the RSC in the mTBI sample (N¼22). Acute injury performance on the RSC was correlated with post-injury scores at an average of 5.5 months post-injury. Statistically significant partial correlation coefficients (r¼0.53r¼0.80) were found for each of the subtests, showing that low acute RSC scores were predictive of poor recovery scores on the RSC after mTBI. In the third study, Reliable Change Indices were calculated on the RSC subtests to examine individual patterns of recovery from mTBI. While 17 of the 23 participants made a significant improvement on their acute injury DSST scores (74%), only 13 of 25 made a significant improvement on the Rapid Sentence Judgement Test (52%), highlighting differential recovery of function, and challenging the notion of full recovery from mTBI within 3 months. These overall results offer support for the construct and predictive validity of the RSC and demonstrate that inexpensive tests of brain function may be useful for managing mTBI acutely for prognosis.

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Les enfants d’âge préscolaire (≤ 5 ans) sont plus à risque de subir un traumatisme crânio-cérébral (TCC) que les enfants plus agés, et 90% de ces TCC sont de sévérité légère (TCCL). De nombreuses études publiées dans les deux dernières décennies démontrent que le TCCL pédiatrique peut engendrer des difficultés cognitives, comportementales et psychiatriques en phase aigüe qui, chez certains enfants, peuvent perdurer à long terme. Il existe une littérature florissante concernant l'impact du TCCL sur le fonctionnement social et sur la cognition sociale (les processus cognitifs qui sous-tendent la socialisation) chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Or, seulement deux études ont examiné l'impact d'un TCCL à l'âge préscolaire sur le développement social et aucune étude ne s'est penchée sur les répercussions socio-cognitives d'un TCCL précoce (à l’âge préscolaire). L'objectif de la présente thèse était donc d'étudier les conséquences du TCCL en bas âge sur la cognition sociale. Pour ce faire, nous avons examiné un aspect de la cognition sociale qui est en plein essor à cet âge, soit la théorie de l'esprit (TE), qui réfère à la capacité de se mettre à la place d'autrui et de comprendre sa perspective. Le premier article avait pour but d'étudier deux sous-composantes de la TE, soit la compréhension des fausses croyances et le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les enfants d'âge préscolaire (18 à 60 mois) qui subissent un TCCL ont une TE significativement moins bonne 6 mois post-TCCL comparativement à un groupe contrôle d'enfants n'ayant subi aucune blessure. Le deuxième article visait à éclaircir l'origine de la diminution de la TE suite à un TCCL précoce. Cet objectif découle du débat qui existe actuellement dans la littérature. En effet, plusieurs scientifiques sont d'avis que l'on peut conclure à un effet découlant de la blessure au cerveau seulement lorsque les enfants ayant subi un TCCL sont comparés à des enfants ayant subi une blessure n'impliquant pas la tête (p.ex., une blessure orthopédique). Cet argument est fondé sur des études qui démontrent qu'en général, les enfants qui sont plus susceptibles de subir une blessure, peu importe la nature de celle-ci, ont des caractéristiques cognitives pré-existantes (p.ex. impulsivité, difficultés attentionnelles). Il s'avère donc possible que les difficultés que nous croyons attribuables à la blessure cérébrale étaient présentes avant même que l'enfant ne subisse un TCCL. Dans cette deuxième étude, nous avons donc comparé les performances aux tâches de TE d'enfants ayant subi un TCCL à ceux d'enfants appartenant à deux groupes contrôles, soit des enfants n'ayant subi aucune blessure et à des pairs ayant subi une blessure orthopédique. De façon générale, les enfants ayant subi un TCCL ont obtenu des performances significativement plus faibles à la tâche évaluant le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, 6 mois post-blessure, comparativement aux deux groupes contrôles. Cette étude visait également à examiner l'évolution de la TE suite à un TCCL, soit de 6 mois à 18 mois post-blessure. Les résultats démontrent que les moindres performances sont maintenues 18 mois post-TCCL. Enfin, le troisième but de cette étude était d’investiguer s’il existe un lien en la performance aux tâches de TE et les habiletés sociales, telles qu’évaluées à l’aide d’un questionnaire rempli par le parent. De façon intéressante, la TE est associée aux habiletés sociales seulement chez les enfants ayant subi un TCCL. Dans l'ensemble, ces deux études mettent en évidence des répercussions spécifiques du TCCL précoce sur la TE qui persistent à long terme, et une TE amoindrie seraient associée à de moins bonnes habiletés sociales. Cette thèse démontre qu'un TCCL en bas âge peut faire obstacle au développement sociocognitif, par le biais de répercussions sur la TE. Ces résultats appuient la théorie selon laquelle le jeune cerveau immature présente une vulnérabilité accrue aux blessures cérébrales. Enfin, ces études mettent en lumière la nécessité d'étudier ce groupe d'âge, plutôt que d'extrapoler à partir de résultats obtenus avec des enfants plus âgés, puisque les enjeux développementaux s'avèrent différents, et que ceux-ci ont potentiellement une influence majeure sur les répercussions d'une blessure cérébrale sur le fonctionnement sociocognitif.

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Les enfants d’âge préscolaire (≤ 5 ans) sont plus à risque de subir un traumatisme crânio-cérébral (TCC) que les enfants plus agés, et 90% de ces TCC sont de sévérité légère (TCCL). De nombreuses études publiées dans les deux dernières décennies démontrent que le TCCL pédiatrique peut engendrer des difficultés cognitives, comportementales et psychiatriques en phase aigüe qui, chez certains enfants, peuvent perdurer à long terme. Il existe une littérature florissante concernant l'impact du TCCL sur le fonctionnement social et sur la cognition sociale (les processus cognitifs qui sous-tendent la socialisation) chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Or, seulement deux études ont examiné l'impact d'un TCCL à l'âge préscolaire sur le développement social et aucune étude ne s'est penchée sur les répercussions socio-cognitives d'un TCCL précoce (à l’âge préscolaire). L'objectif de la présente thèse était donc d'étudier les conséquences du TCCL en bas âge sur la cognition sociale. Pour ce faire, nous avons examiné un aspect de la cognition sociale qui est en plein essor à cet âge, soit la théorie de l'esprit (TE), qui réfère à la capacité de se mettre à la place d'autrui et de comprendre sa perspective. Le premier article avait pour but d'étudier deux sous-composantes de la TE, soit la compréhension des fausses croyances et le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les enfants d'âge préscolaire (18 à 60 mois) qui subissent un TCCL ont une TE significativement moins bonne 6 mois post-TCCL comparativement à un groupe contrôle d'enfants n'ayant subi aucune blessure. Le deuxième article visait à éclaircir l'origine de la diminution de la TE suite à un TCCL précoce. Cet objectif découle du débat qui existe actuellement dans la littérature. En effet, plusieurs scientifiques sont d'avis que l'on peut conclure à un effet découlant de la blessure au cerveau seulement lorsque les enfants ayant subi un TCCL sont comparés à des enfants ayant subi une blessure n'impliquant pas la tête (p.ex., une blessure orthopédique). Cet argument est fondé sur des études qui démontrent qu'en général, les enfants qui sont plus susceptibles de subir une blessure, peu importe la nature de celle-ci, ont des caractéristiques cognitives pré-existantes (p.ex. impulsivité, difficultés attentionnelles). Il s'avère donc possible que les difficultés que nous croyons attribuables à la blessure cérébrale étaient présentes avant même que l'enfant ne subisse un TCCL. Dans cette deuxième étude, nous avons donc comparé les performances aux tâches de TE d'enfants ayant subi un TCCL à ceux d'enfants appartenant à deux groupes contrôles, soit des enfants n'ayant subi aucune blessure et à des pairs ayant subi une blessure orthopédique. De façon générale, les enfants ayant subi un TCCL ont obtenu des performances significativement plus faibles à la tâche évaluant le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, 6 mois post-blessure, comparativement aux deux groupes contrôles. Cette étude visait également à examiner l'évolution de la TE suite à un TCCL, soit de 6 mois à 18 mois post-blessure. Les résultats démontrent que les moindres performances sont maintenues 18 mois post-TCCL. Enfin, le troisième but de cette étude était d’investiguer s’il existe un lien en la performance aux tâches de TE et les habiletés sociales, telles qu’évaluées à l’aide d’un questionnaire rempli par le parent. De façon intéressante, la TE est associée aux habiletés sociales seulement chez les enfants ayant subi un TCCL. Dans l'ensemble, ces deux études mettent en évidence des répercussions spécifiques du TCCL précoce sur la TE qui persistent à long terme, et une TE amoindrie seraient associée à de moins bonnes habiletés sociales. Cette thèse démontre qu'un TCCL en bas âge peut faire obstacle au développement sociocognitif, par le biais de répercussions sur la TE. Ces résultats appuient la théorie selon laquelle le jeune cerveau immature présente une vulnérabilité accrue aux blessures cérébrales. Enfin, ces études mettent en lumière la nécessité d'étudier ce groupe d'âge, plutôt que d'extrapoler à partir de résultats obtenus avec des enfants plus âgés, puisque les enjeux développementaux s'avèrent différents, et que ceux-ci ont potentiellement une influence majeure sur les répercussions d'une blessure cérébrale sur le fonctionnement sociocognitif.

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Does a brain store thoughts and memories the way a computer saves its files? How can a single hit or a fall erase all those memories? Brain Mapping and traumatic brain injuries (TBIs) have become widely researched fields today. Many researchers have been studying TBIs caused to adult American football players however youth athletes have been rarely considered for these studies, contradicting to the fact that American football enrolls highest number of collegiate and high-school children than adults. This research is an attempt to contribute to the field of youth TBIs. Earlier studies have related head kinematics (linear and angular accelerations) to TBIs. However, fewer studies have dealt with brain kinetics (impact pressures and stresses) occurring during head-on collisions. The National Operating Committee on Standards for Athletic Equipment (NOCSAE) drop tests were conducted for linear impact accelerations and the Head Impact Contact Pressures (HICP) calculated from them were applied to a validated FE model. The results showed lateral region of the head as the most vulnerable region to damage from any drop height or impact distance followed by posterior region. The TBI tolerance levels in terms of Von-Mises and Maximum Principal Stresses deduced for lateral impact were 30 MPa and 18 MPa respectively. These levels were corresponding to 2.625 feet drop height. The drop heights beyond this value will result in TBI causing stress concentrations in human head without any detectable structural damage to the brain tissue. This data can be utilized for designing helmets that provide cushioning to brain along with providing a resistance to shear.

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The benefits of prone position ventilation are well demonstrated in the severe forms of acute respiratory distress syndrome, but not in the milder forms. We investigated the effects of prone position on arterial blood gases, lung inflammation, and histology in an experimental mild acute lung injury (ALI) model. ALI was induced in Wistar rats by intraperitoneal Escherichia coli lipopolysaccharide (LPS, 5 mg/kg). After 24 h, the animals with PaO2/FIO2 between 200 and 300 mmHg were randomized into 2 groups: prone position (n = 6) and supine position (n = 6). Both groups were compared with a control group (n = 5) that was ventilated in the supine position. All of the groups were ventilated for 1 h with volume-controlled ventilation mode (tidal volume = 6 ml/kg, respiratory rate = 80 breaths/min, positive end-expiratory pressure = 5 cmH2O, inspired oxygen fraction = 1). Significantly higher lung injury scores were observed in the LPS-supine group compared to the LPS-prone and control groups (0.32 ± 0.03; 0.17 ± 0.03 and 0.13 ± 0.04, respectively) (p < 0.001), mainly due to a higher neutrophil infiltration level in the interstitial space and more proteinaceous debris that filled the airspaces. Similar differences were observed when the gravity-dependent lung regions and non-dependent lung regions were analyzed separately (p < 0.05). The BAL neutrophil content was also higher in the LPS-supine group compared to the LPS-prone and control groups (p < 0.05). There were no significant differences in the wet/dry ratio and gas exchange levels. In this experimental extrapulmonary mild ALI model, prone position ventilation for 1 h, when compared with supine position ventilation, was associated with lower lung inflammation and injury.

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Summary of findings: QISU estimates that approximately 1,000 skateboard-associated injuries are seen at emergency departments each year in Queensland. 10-14 year old males are the most likely group to present to a QISU ED with a skateboard related injury. The peak time for skateboard injuries to occur is on the weekend and in the late afternoon. Only 19% of skateboard injuries occur at skate park facilities, with the remainder oc-curring in non-skate parks, on roads and footpaths. Risk factors associated with more severe injuries are, age less than 10 years and involvement in a motor vehicle crash The most common types of injuries are fractures and sprains of the upper limbs. Isolated head injuries represent approximately 5% of skateboarding injuries, but 60% of serious injuries requiring resuscitation. These injuries may be minimized or pre-vented with helmet use.