881 resultados para VITAMIN-C
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The effect of organic and conventional agricultural systems on the physicochemical parameters, bioactive compounds content, and sensorial attributes of tomatoes (‘‘Redondo’’ cultivar) was studied. The influence on phytochemicals distribution among peel, pulp and seeds was also accessed. Organic tomatoes were richer in lycopene (+20%), vitamin C (+30%), total phenolics (+24%) and flavonoids (+21%) and had higher (+6%) in vitro antioxidant activity. In the conventional fruits, lycopene was mainly concentrated in the pulp, whereas in the organic ones, the peel and seeds contained high levels of bioactive compounds. Only the phenolic compounds had a similar distribution among the different fractions of both types of tomatoes. Furthermore, a sensorial analysis indicated that organic farming improved the gustative properties of this tomato cultivar.
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The effect of boiling (10 minutes) on eleven green vegetables frequently consumed in the Mediterranean diet was evaluated. For that, some physicochemical parameters and the contents of vitamin C, phenolics and carotenoids, as well as the antioxidant activity, were determined in raw and boiled samples. The raw vegetables analysed in this study were good sources of vitamin C, carotenoids and phenolic compounds, with contents ranging from 10.6 to 255.1 mg/100 g, 0.03 to 3.29 mg/100 g and 202.9 to 1010.7 mg/100 g, respectively. Boiling promoted losses in different extensions considering both the different bioactive compounds and the distinct vegetables analysed. Contrary to phenolics (more resistant), vitamin C was the most affected compound. Boiling also originated significant losses in the antioxidant activity of the vegetables. Considering all the parameters analysed, the vegetables most affected by boiling were broccoli and lettuce. The least affected ones were collard and tronchuda cabbage.
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En Suisse, les recommandations de fruits et légumes sont de 600 g par jour. En réalité, la consommation moyenne se situe à 60% des recommandations, c'est-à-dire à 380 g par jour. L'utilisation de produits tels que des shots de fruits et légumes pourrait réduire l'écart en facilitant la consommation de ces aliments. Cependant, ils ne peuvent pas remplacer à cent pour cent les aliments frais car leurs teneurs en fibres et vitamines C sont plus faibles, et ils interfèrent avec la physiologie de la prise alimentaire (satiété). Ces produits peuvent donc faire partie d'une alimentation variée en prenant la place d'une portion de fruits et légumes. Un autre aspect non négligeable en est le coût puisque si l'on consommait ces produits sur une semaine à la place d'aliments frais la différence serait d'environ CHF 30.- de plus. In Switzerland, fruits and vegetables recommendations are of 600 gr per day. In reality, the average intake is about 60% of these recommendations, it means 380 gr per day. The use of products like fruits and vegetables shots could reduce the gap by making drinking easier. However, they cannot replace one hundred percent fresh food for their content in fibers and vitamin C are lower and they interfere with the physiology of the food intake (satiety). These products can have their importance in a various supply by taking the place of one fruit or vegetable portion. Another non negligible aspect is the price as if we consume these products over one week instead of fresh food, the difference would be of about CHF 30.- more
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Although family eating practices (FEPs) playa role in the formation of eating practices in children, there is a lack of evidence regarding the role of FEPs on obesity (DB) risk. The purpose of this thesis was to assess the role of child, mother 'and father eating practices (CEPs; MEPS; FaEPs) on nutrient intakes, dietary patterns and body composition. Data were collected on approximately 2,400 peri-adolescents (s250 with complete covariate data). Dietary patterns were assessed using scores that reflected how closely participants followed DASH and Health Canada (HC) recommendations. In girls, poor CEPs, MEPs and FaEPs were associated with increased BMI and risk of overweight and poor dietary patterns according to DASH, and DASH and HC, respectively. In boys, poor CEPs and FaEPs were associated with increased monounsaturated and trans fat, and Vitamin C intakes, respectively. These findings suggest FEPs are associated with DB risk, particularly in girls.
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Diet has an important role in the maintenance of oral health, but the relationship between diet and clinical outcomes following sanative therapy (ST) has not been investigated. Due to their antioxidant and anti-inflammatory properties, we hypothesized that periodontal patients with higher intakes of vitamin C, vitamin D, eicosapentaenoic acid (EPA) or docosahexaenoic acid (DHA) would have greater reductions in probing depth (PD) after ST. Patients completed the Block food frequency questionnaire, a supplement use questionnaire and had their serum 25-hydroxyvitamin D measured. There were no significant associations between intakes of vitamin C, vitamin D, EPA, DHA and PD. There were, however, negative associations between intakes of linoleic acid, α- linolenic acid or total vegetable intake and PD, as well as a positive association between the total omega-6/omega-3 ratio and PD (p < 0.05). Therefore, dietary intakes of essential fatty acids and vegetables may be important modulators of periodontal outcomes following ST.
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Introduction : Chez les nouveau-nés prématurés, l’hyper-alimentation intraveineuse (HAIV) contribue à leur survie, mais elle est aussi une source importante de molécules oxydantes. L’absence d’une protection adéquate contre la lumière ambiante génère in vitro, via la photo-excitation de la riboflavine, du H2O2, des peroxydes organiques et un dérivé peroxydé de la vitamine C, l’ascorbylperoxyde (AscOOH). Plusieurs données du laboratoire associent l’infusion d’HAIV à des désordres lipidiques dans notre modèle animal. L’hypothèse est donc que l’AscOOH a un pouvoir oxydant et est responsable de certains des effets biologiques observés. Mes objectifs sont les suivants : 1) développer une méthode de dosage de l’AscOOH; 2) démontrer, à l’aide du modèle animal bien établi au laboratoire, des relations entre la concentration tissulaire de cette molécule et des paramètres métaboliques et l’état redox au foie et dans la circulation; et 3) confirmer l’effet physiologique de l’AscOOH dans un modèle cellulaire. Méthode : Différents étalons internes potentiels ont été testés pour le dosage de l’AscOOH par spectrométrie de masse après séparation sur HPLC (LC-MS). Les phases mobiles et conditions chromatographiques ont été optimisées. Pour l’objectif 2, des cobayes de 3 jours de vie (n=11) ont reçu par voie intraveineuse une dose d’AscOOH (entre 0 et 3,3mM). Les animaux ont été sacrifiés au 4e jour de traitement pour le prélèvement de tissus. Les concentrations tissulaires d’AscOOH ont été déterminées au LC-MS. La triglycéridémie et la cholestérolémie ont été mesurées à l’aide d’un kit commercial par spectrophotométrie. Le glutathion oxydé et réduit ont été mesurés par électrophorèse capillaire. Les relations linéaires obtenues sont exprimées par le ratio des carrés (r2), et traitées par ANOVA. Résultats : La validation du dosage de l’AscOOH par LC-MS a été réalisée. Chez les animaux, la concentration urinaire d’AscOOH par créatinine corrèle positivement avec la dose reçue, négativement avec la lipidémie, et négativement avec le redox sanguin et érythrocytaire, indiquant un milieu moins oxydé. Conclusion : La concentration urinaire d’AscOOH peut donc être un reflet de l’oxydation de l’HAIV en clinique. Nos données chez l’animal suggèrent une interaction de l’AscOOH avec le métabolisme hépatique produisant une chute de la concentration plasmatique de cholestérol et de triglycérides. Le modèle cellulaire n’a pas permis d’élucider le mécanisme moléculaire de l’action de l’AscOOH sur le métabolisme.
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Objectif : Examiner l’association entre la consommation alimentaire de caroténoïdes (β-carotène, α-carotène, β-cryptoxanthine, lutéine/zéaxanthine, lycopène) et de vitamine C et le risque de cancer du poumon, selon le sexe, l’intensité de tabagisme et le sous-type histologique de la tumeur. Méthodes : Les données proviennent d’une étude cas-témoins menée à Montréal, Canada. Des entrevues ont été effectuées auprès de 1 105 cas incidents de cancer du poumon et 1 449 témoins issus de la population générale. Leur fréquence de consommation moyenne de 49 fruits et légumes deux ans auparavant a été convertie en apports en antioxydants. Les rapports de cotes (RC) et les intervalles de confiance (IC) à 95% caractérisant l’association entre les antioxydants et le risque de cancer du poumon ont été estimés à l’aide de modèles de régression logistique et polytomée, en tenant compte de facteurs de confusion potentiels. Résultats : Une consommation élevée en antioxydants était généralement associée à une diminution du risque de cancer du poumon de l’ordre de 30%. Un effet protecteur a été observé chez les hommes et les femmes, pour les non fumeurs, les fumeurs quelque soit l’intensité de tabagisme, ainsi que pour les carcinomes à petites cellules, épidermoïde et l’adénocarcinome. Conclusions : Plusieurs antioxydants alimentaires protégeraient du cancer du poumon. Les efforts de prévention bénéficieraient de cibler la promotion de la consommation de fruits et de légumes riches en caroténoïdes et en vitamine C.
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La prééclampsie est responsable du quart des mortalités maternelles et est la deuxième cause de décès maternels associés à la grossesse au Canada et dans le monde. L’identification d’une stratégie efficace pour la prévention de la prééclampsie est une priorité et un défi primordial dans les milieux de recherche en obstétrique. Le rôle des éléments nutritifs dans le développement de la prééclampsie a récemment reçu davantage d’attention. Plusieurs études cliniques et épidémiologiques ont été menées pour déterminer les facteurs de risque alimentaires potentiels et examiner les effets d’une supplémentation nutritive dans le développement de troubles hypertensifs de la grossesse. Pour déterminer les effets de suppléments antioxydants pris pendant la grossesse sur le risque d’hypertension gestationnelle (HG) et de prééclampsie, un essai multicentrique contrôlé à double insu a été mené au Canada et au Mexique (An International Trial of Antioxidants in the Prevention of Preeclampsia – INTAPP). Les femmes, stratifiées par risque, étaient assignées au traitement expérimental quotidien (1 gramme de vitamine C et 400 UI de vitamine E) ou au placebo. En raison des effets secondaires potentiels, le recrutement pour l’essai a été arrêté avant que l’échantillon complet ait été constitué. Au total, 2640 femmes éligibles ont accepté d’être recrutées, dont 2363 (89.5%) furent incluses dans les analyses finales. Nous n’avons retrouvé aucune évidence qu’une supplémentation prénatale de vitamines C et E réduisait le risque d’HG et de ses effets secondaires (RR 0,99; IC 95% 0,78-1,26), HG (RR 1,04; IC 95% 0,89-1,22) et prééclampsie (RR 1,04; IC 95% 0,75-1,44). Toutefois, une analyse secondaire a révélé que les vitamines C et E augmentaient le risque de « perte fœtale ou de décès périnatal » (une mesure non spécifiée au préalable) ainsi qu’une rupture prématurée des membranes avant terme. Nous avons mené une étude de cohorte prospective chez les femmes enceintes recrutées dans l’INTAPP afin d’évaluer les relations entre le régime alimentaire maternel en début et fin de grossesse et le risque de prééclampsie et d’HG. Un questionnaire de fréquence alimentaire validé était administré deux fois pendant la grossesse (12-18 semaines, 32-34 semaines). Les analyses furent faites séparément pour les 1537 Canadiennes et les 799 Mexicaines en raison de l’hétérogénéité des régimes alimentaires des deux pays. Parmi les canadiennes, après ajustement pour l’indice de masse corporelle (IMC) précédant la grossesse, le groupe de traitement, le niveau de risque (élevé versus faible) et les autres facteurs de base, nous avons constaté une association significative entre un faible apport alimentaire (quartile inférieur) de potassium (OR 1,79; IC 95% 1,03-3,11) et de zinc (OR 1,90; IC 95% 1,07-3,39) et un risque augmenté de prééclampsie. Toujours chez les Canadiennes, le quartile inférieur de consommation d’acides gras polyinsaturés était associé à un risque augmenté d’HG (OR 1,49; IC 95% 1,09-2,02). Aucun des nutriments analysés n’affectait les risques d’HG ou de prééclampsie chez les Mexicaines. Nous avons entrepris une étude cas-témoins à l’intérieur de la cohorte de l’INTAPP pour établir le lien entre la concentration sérique de vitamines antioxydantes et le risque de prééclampsie. Un total de 115 cas de prééclampsie et 229 témoins ont été inclus. Les concentrations de vitamine E ont été mesurées de façon longitudinale à 12-18 semaines (avant la prise de suppléments), à 24-26 semaines et à 32-34 semaines de grossesse en utilisant la chromatographie liquide de haute performance. Lorsqu’examinée en tant que variable continue et après ajustement multivarié, une concentration de base élevée de gamma-tocophérol était associée à un risque augmenté de prééclampsie (quartile supérieur vs quartile inférieur à 24-26 semaines : OR 2,99, IC 95% 1,13-7,89; à 32-34 semaines : OR 4,37, IC 95% 1,35-14,15). Nous n’avons pas trouvé de lien entre les concentrations de alpha-tocophérol et le risque de prééclampsie. En résumé, nous n’avons pas trouvé d’effets de la supplémentation en vitamines C et E sur le risque de prééclampsie dans l’INTAPP. Nous avons toutefois trouvé, dans la cohorte canadienne, qu’une faible prise de potassium et de zinc, tel qu’estimée par les questionnaires de fréquence alimentaire, était associée à un risque augmenté de prééclampsie. Aussi, une plus grande concentration sérique de gamma-tocophérol pendant la grossesse était associée à un risque augmenté de prééclampsie.
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Contexte: L'utilisation de suppléments alimentaires est répandue chez les populations américaines et canadiennes en général, mais on en sait peu sur la consommation de suppléments alimentaires dans la population autochtone canadienne. Objectif: L'objectif général de cette étude est de prendre en compte l'utilisation de suppléments alimentaires dans l'évaluation nutritionnelle des apports alimentaires des adultes des Premières nations vivant dans les réserves en Colombie-Britannique et Manitoba. Conception: Les données ont été recueillies par l’étude ‘First Nations Food, Nutrition, and Environment Study’ de 1103 (Colombie-Britannique) et 706 (Manitoba) adultes des Premières Nations âgés de 19 à 70 ans. L'étude a utilisé un rappel alimentaire des dernières 24 heures (avec un deuxième rappel pour un sous-échantillon) pour évaluer la diète alimentaire. L'utilisation de suppléments alimentaires et des antiacides ont été recueillis par un questionnaire de fréquence. En utilisant le logiciel SIDE pour tenir compte des variations intra-individuelles dans la prise alimentaire et la technique du bootstrap pour obtenir des estimations représentatives des différentes régions, l'utilisation de suppléments de la vitamine A, D, C et de calcium ont été intégrées aux estimations de la consommation alimentaire. Résultats: Environ 30% des adultes des Premières Nations de la Colombie-Britannique et seulement 13,2% des adultes des Premières Nations du Manitoba âgés entre 19-70 ans vivant dans les réserves ont déclaré utiliser au moins un supplément alimentaire durant les 30 jours précédents. Lors de l'examen des nutriments d'intérêt, un plus faible pourcentage de la population en a fait usage, de 14,8 à 18,5% en Colombie-Britannique et de 4,9 à 8% de la population du Manitoba. La prévalence de l'usage de tout supplément alimentaire était plus élevée chez les femmes que chez les hommes dans tous les groupes d'âge et augmente avec l'âge dans les deux sexes. La plus forte prévalence d'un apport insuffisant provenant de la nourriture a été observée pour la vitamine D et le calcium en Colombie-Britannique et Manitoba, variant de 75 à 100%, et de la vitamine A dans le Manitoba (73-96%). Après avoir examiné l'utilisation de suppléments alimentaires, plus des trois quarts des participants n’ont toujours pas réussi à répondre au besoin moyen estimatif pour ces nutriments. La vitamine C est l'oligo-élément avec le plus faible pourcentage sous le besoin moyen estimatif (avec au sans suppléments) pour la Colombie-Britannique et le Manitoba. Conclusion: La majorité des adultes des Premières nations de la Colombie-Britannique et du Manitoba, même après prise en compte de l'utilisation de suppléments alimentaires, avaient des apports en vitamines A, D et des apports de calcium sous les niveaux recommandés. L'utilisation de compléments alimentaires n'a pas contribué de façon significative à l'apport total en nutriments sélectionnés sauf pour la vitamine C dans certains groupes d'âge.
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Dept.of Marine Biology, Microbiology and Biochemistry, School of Marine Sciences, Cochin University of Science and Technology
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Die vielfältigen Funktionen der sekundären Pflanzenstoffe sowohl im Organismus der Pflanze, als auch im Körper des Menschen bieten der Wissenschaft ein weites Betätigungsfeld. Die Carotinoide findet man in fast allen Plastiden der Pflanze und sie erfüllen dort Aufgaben in Form von Pigmenten, Antioxidantien, Hormonen und zählen außerdem zu den wichtigsten Bestandteilen des Photosyntheseapparates. Im menschlichen Organismus hingegen wirken sie als Provitamin A und in den Endverästelungen der Blutgefäße bei niedrigem Sauerstoffpartialdruck. Des Weiteren besitzen sie die Fähigkeiten freie Radikale unschädlich zu machen und wirken in vitro als Fänger von energiereichem Singulettsauerstoff. Die Polyphenole, die man zu der Stoffgruppe der Phenole zählt, befinden sich in den Randschichten von Obst, Gemüse, Getreide und anderen Samen. Ihnen obliegt die Aufgabe die darunter befindlichen Gewebe vor antioxidativem Verderb zu schützen. Im Körper des Menschen dagegen besitzen sie eine gerinnungshemmende Wirkung, schützen die Zellen vor Oxidation und üben Fähigkeiten aus, die Krebs vorbeugen können. Im Zuge dieser Literaturarbeit werden endogene und exogene Faktoren beschrieben, die auf Pflanzen allgemein und auf die Fokusprodukte Möhre (Daucus carota L.) und Weizen (Triticum aestivum L.) speziell einwirken. Die pflanzenphysiologische Herkunft und Bedeutung der sekundären Pflanzenstoffgruppen Carotinoide und Polyphenole wird dargestellt. Schließlich wird die vorhandene Literatur ausgewertet, die sich mit der Beeinflussung des Gehaltes der genannten sekundären Pflanzenstoffe in den gewählten Fokusprodukten durch exogene und endogene Faktoren beschäftigt. Die Beeinflussung des Polyphenolgehaltes in Möhre und des Carotinoid- und Polyphenolgehaltes in Weizen ist nur wenig untersucht. Dagegen ist die Beeinflussung des Carotinoidgehaltes in Möhren durch exogene und endogene Faktoren gut beschrieben. Der Faktor „Sorte“ spielt aufgrund der vorhandenen genetischen Anlagen (carotinoidreich / carotinoidarm) eine wesentliche Rolle bei der späteren Ausbildung des Carotinoidgehaltes in der Möhre. Die Reife der Möhre, die u.a. das Ergebnis des Einwirkens exogener Faktoren, wie Temperatur, Wuchsraum, verfügbare Wassermenge im Boden sowie der Niederschläge ist, beeinflusst maßgeblich den späteren Gehalt an Carotinoiden. Des Weiteren üben noch anbautechnische Maßnahmen (z.B. Düngung, Herbizidbehandlungen, Produktionstechnik) einen Einfluss auf den Carotinoidgehalt der Möhre aus. Der Phenolgehalt in Möhren wurde bisher ausschließlich auf Sortenebene verglichen. In einer Studie von Zhang & Hamauzu (2004) fand man heraus, dass der Phenol-Gehalt in den verschiedenen Geweben der Möhre von der Schale in Richtung Phloem und Xylem anstieg, während sich die antioxidantischen und radical scavening Aktivitäten auf gleiche Weise, wie der Phenol-Gehalt erhöhten und wiederum mit dem totalen Phenol-Gehalt korrelierten. Die phenolischen Extrakte verfügten über stärkere radical scavening Fähigkeiten, als die zum Vergleich herangezogenen Reinsubstanzen Chlorogensäure, Vitamin C und β-Carotin. Insgesamt wurde aufgrund dieser Studie vermutet, dass sich der höchste Gehalt an Phenolen in der Schale der Möhre befindet. Das geringe Vorliegen von Studien bezüglich des Carotinoid- und Phenolgehaltes in Weizen kann man darauf zurückführen, dass die sekundären Pflanzenstoffe im Vergleich zum Proteingehalt keine wesentliche Rolle als Qualitätsmerkmal beim Fokusprodukt Weizen spielen. Der Gehalt an Phenolen und Carotinoiden wurde bisher ausschließlich auf Sortenebene untersucht. Die Untersuchungen ergaben, dass der Gehalt an sekundären Pflanzenstoffen (Phenole, Tocopherole, Carotinoide) stark durch die Sorte beeinflusst wird.
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Einer physiologisch angemessenen Ernährung in der Kindheit wird eine wichtige Rolle in der physischen, mentalen und emotionalen Entwicklung vom Kindes- bis zum späteren Erwachsenenalter zugeschrieben. Obwohl es bisher nur wenige Daten zum Gesundheits- und Ernährungsstatus im Kosovo gibt, zeigen diese Studien aus der Zeit vor und nach dem Kosovokrieg, dass Unterernährung und der Mangel einiger wichtiger Mikronährstoffe bei Kindern im Vorschulalter vorherrschen. Deshalb ist es erforderlich, die Daten von Kindern im Vorschulalter zu erfassen und zu untersuchen, was zum einen durch anthropometrische Parameter als auch durch die Analyse des Nährstoffgehaltes der Mahlzeiten in Kindergärten (Häufigkeit der Mahlzeiten, adäquate Mengen an z.B. Obst und Gemüse, etc.) in dieser Arbeit erfolgt. Diese wissenschaftliche Untersuchung stellt fest, dass das Wachstum der Vorschulkinder und die angebotene Lebensmittelvielfalt ebenso wie die Nähr- und Energiewerte der dargebotenen Mahlzeiten in Kindergärten im Kosovo nur teilweise den internationalen Ernährungsempfehlungen für diese Altersstufe genügen. Der Anteil an untergewichtigen Kindern wird mit 0,7% ermittelt, während 0,5% stark untergewichtig sind. 1,9% der Kinder leiden unter moderater und 0,8% der Kinder leiden unter schwerer akuter Unterernährung. Der Gewicht/Größe Indikator (12-24 Monate alter Kinder) zeigt, dass keine Kinder als adipös einzustufen sind, während 6,8% übergewichtig sind und 34,1% ein mögliches Risiko für Übergewicht zeigen. Die Verteilung der Geschlechter spielt bei Adipositas keine Rolle, da weder Jungen noch Mädchen adipös sind. Jedoch sind 7,4% der Jungen und 5,9% der Mädchen übergewichtig und 29,6% der Jungen und 41,2% der Mädchen zeigen ein mögliches Risiko für Übergewicht. Der BMI Indikator (24-83 Monate alte Kinder) zeigt, dass der Anteil der adipösen Kinder bei 2,3% liegt, während 8,94% übergewichtig sind und 27,3% ein Risiko für mögliches Übergewicht aufweisen. Was das Geschlecht anbelangt, sind 2,68% der Jungen und 1,44% der Mädchen adipös, 10,88% der Jungen und 5,86% der Mädchen sind übergewichtig und 29,12% der Jungen sowie 25,16% der Mädchen zeigen die Tendenz zu einem möglichen Übergewicht. Die durchschnittliche Energieaufnahme (ganztags – 8 Stunden) reicht von 455 kcal im Kindergarten 4 bis hin zu 992 kcal im Kindergarten 1, was 36% und 79% der empfohlenen Tageszufuhr ausmacht. Der durchschnittliche Verzehr von Proteinen/Aminosäuren der Kinder aus allen untersuchten Kindergärten erweist sich als höher als erforderlich für diese Altersstufe. Trotz der durchschnittlichen Aufnahme von 27% der absoluten Fettmenge beträgt der durchschnittliche Anteil der Energie von SFA, MUFA und PUFA nicht mehr als 35% der empfohlenen Menge. Der Gesamtballaststoffaufnahme (ganztags – 8 Stunden) liegt zwischen 2,3 Gramm und 8,1 Gramm, was 30% und 46% der empfohlenen Tageszufuhr ausmacht. Die Aufnahme von Kalzium, Eisen und besonders Jod liegt unter den Empfehlungen, während die Aufnahme von Chlorid und Natrium wesentlich höher ist als die empfohlene tägliche Menge. Die Aufnahme von Folsäure ist in öffentlichen Kindergärten (ganztags – 8 Stunden) relativ gering und deckt lediglich 23% der empfohlenen Tageszufuhr. Die tägliche Vitamin C Aufnahme der Kinder aus öffentlichen Kindergärten ist ziemlich gering und deckt 23% und 28% der empfohlenen Tageszufuhr. Die Ernährung im Kindergarten zeigt Defizite in der Aufnahme von Mikronährstoffen, besonders von Kalzium, Eisen, Jod, Folsäure, Vitamin A, Vitamin C in öffentlichen Kindergärten und Vitamin D. Die überschrittene Aufnahme von Chlorid und Natrium konnte in allen Kindern beobachtet werden, unabhängig von Geschlecht, Alter und dem Kindergarten. Im Kindergarten konsumieren Kinder mehr Lebensmittel mit einer höheren Energiedichte und werden nicht dazu ermutigt, abwechslungsreichere und gesündere Lebensmittel zu wählen. Verarbeitete und raffinierte Lebensmittel werden von Vorschulkindern bereits ab dem ersten Lebensjahr konsumiert. Der Anteil der Kinder, welche ihre Mahlzeiten auslassen beträgt 12,9%, während 30,2% manchmal ihre Mahlzeiten auslassen. Das Ernährungsmuster zeigt geringe Werte für Vollkornprodukte, Früchte und Gemüse, jedoch hohe Werte für Softdrinks, süße und salzige Lebensmittel. Die Aufnahme von Obst und Gemüse der Vorschulkinder ist viel geringer als die täglich empfohlene Portionsmenge. Die Eltern werden nicht angeleitet, Vorschulkindern bei der Schaffung gesunder Ernährungsgewohnheiten zu helfen, demzufolge ist das kindliche Essverhalten und die Ernährungspraxis von den Eltern und ihrem eigenen Ernährungsstil beeinflusst. Nach dieser Studie muss festgestellt werden, dass gesunde Ernährungsmuster bei Vorschulkindern im Kosovo nicht etabliert sind. Im Vergleich zu den bereits durchgeführten Untersuchungen zeigt diese Studie, dass sich im Kosovo eine Ernährungswende andeutet: das Untergewicht im Vorschulalter nimmt leicht ab, jedoch steigt die Prävalenz von Übergewicht und Adipositas. Der beobachtete Anstieg von Übergewicht und Adipositas ist wahrscheinlich eine Konsequenz des rapiden Wandels des Ernährungsverhaltens nach dem Kosovokrieg. Das Land hat bis jetzt noch keine nationalen und lokalen Strategien oder Programme entwickelt, welche die Routineuntersuchungen von Kindern regulieren, um eventuelle negative Trends zu verfolgen und umzukehren. Zur Zeit gibt es keine Ernährungsrichtlinien und nur sehr wenig Beratung für die Menügestaltung in Kindergärten im Kosovo. Als erster Schritt wird empfohlen, dass die Gesellschaft und die Institutionen im Kosovo die Probleme der Unterernährung, des Übergewichts und der Adipositas sowie deren negativen Auswirkungen auf den gesamten Gesundheitsstatus verschiedener Bevölkerungsgruppen, insbesondere der Kinder, anerkennen. Gesundes Wachstum und die Kontrolle der Unterernährung und des Übergewichts im Kindesalter sollte alle Stufen der Gesellschaft einbeziehen. Gesundheits- und Bildungsbehörden im Kosovo sollten nationale Programme zur empfohlenen täglichen Aufnahme und zu Ernährungsrichtlinien für Kinder im Vorschulalter entwickeln. Die Richtlinien sollten Empfehlungen bezüglich Energie, Makro- und Mikronährstoffe in der täglichen Ernährung Auskunft erteilen aber auch über Ernährungsstile und – verhalten sowie das Strukturieren von Mahlzeiten für Vorschulkinder und andere Bevölkerungsgruppen informieren. Die beobachteten Defizite im Bereich der Mikronährstoffaufnahme wie zum Beispiel von Kalzium, Eisen, Jod, Folsäure, Vitamin A, Vitamin C, Vitamin D ebenso wie die zu hohe Aufnahme und Chlorid und Natrium in öffentlichen Kindergärten sollten sofort angesprochen werden. Erzieher in Kindergärten sollten eine Weiterbildung im Bereich der Entwicklung des Ernährungsverhalten bei Vorschulkindern erhalten und die Definitionen von Unterernährung und Übergewicht und deren Prävention kennen. Partnerschaften zwischen Kindergärten und Eltern sind erforderlich, um den Kindern eine gesündere Lebensmittelwahl zu ermöglichen. Kinder im Vorschulalter und auch Kinder anderer Altersgruppen sollten ermutigt werden, ihren Verzehr an Früchten, Gemüse, Vollkornbrot und –getreide sowie ungesättigten Fettsäuren zu steigern und somit mehr pflanzliche Produkte wie Gemüse und Obst zu ihren Gerichten hinzuzufügen. Dies würde auch den Gehalt an Ballaststoffen erhöhen, der in der Kindheit sehr wichtig ist. Es wird empfohlen, verarbeitete Lebensmittel so häufig wie möglich zu vermeiden und unverarbeitete oder minimal verarbeitete Lebensmittel zu bevorzugen. Es ist erforderlich, ein Ernährungssystem zu entwickeln und außerdem die internationalen Wachstumsstandards (WHO oder andere) anzuwenden, welche das Beobachten des Ernährungsstatus‘ bei Kindern durch Routineuntersuchungen regeln, damit eventuelle Negativtrends verfolgt und umgekehrt werden können. Die Entwicklung universitärer Bildungsprogramme mit Bezug auf Ernährung und die Einführung eines Faches zur gesunden Ernährung und zu gesunden Lebensstilen in die Curricula der Bildungsinstitutionen im Kosovo werden empfohlen. Weitere Untersuchungen zum Gesundheitsstatus und zur Ernährungsqualität bei Vorschulkindern würden zusätzliche Einblicke in die der Auswirkung der frühen Lebensjahre auf Beziehung von Kindheitsernährung und Krankheiten gewähren. Die Untersuchung von Gesundheitsrisiken gekoppelt mit ungesunden Ernährungsgewohnheiten bei Vorschulkindern wird empfohlen. Weitere Studien sind nötig, um die Nahrungszufuhr im Kindergarten zu untersuchen, jedoch sollten Vorschulkinder, welche keinen Kindergarten besuchen, ebenfalls mit eingeschlossen werden. Außerdem sind Studien erforderlich, welche die Auswirkungen des steigenden Konsums gesüßter Getränke und anderer Lebensmittel auf Übergewicht und Adipositas untersuchen. Ferner werden Studien empfohlen, um den Gesundheitseffekt der Ernährungsmuster in der Kindheit zu identifizieren. Außerdem sind periodische Studien erforderlich, um die Veränderung der Prävalenz von Übergewicht und Adipositas bei Kindern zukünftig zu vergleichen. Risikofaktoren für Adipositas bei Kindern durch periodische Studien zu identifizieren ist ebenfalls erforderlich, um die Prävalenz der Adipositas bei Kindern in den künftigen Jahren zu vergleichen.
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Oxidized low-density lipoproteins (LDL) play a central role in atherogenesis and induce expression of the antioxidant stress protein heme oxygenase 1 (HO-1). In the present study we investigated induction of HO-1 and adaptive increases in reduced glutathione (GSH) in human aortic smooth muscle cells (SMC) in response to moderately oxidized LDL (moxLDL, 100 mu g protein/ml, 24 h), a species containing high levels of lipid hydroperoxides. Expression and activity of HO-1 and GSH levels were elevated to a greater extent by moxLDL than highly oxidized LDL but unaffected by native or acetylated LDL. Inhibitors of protein kinase C (PKC) or mitogen-activated protein kinases (MAPK) p38(MAPK) and MEK or c-jun-NH2-terminal kinase (JNK) significantly attenuated induction of HO-1. Phosphorylation of p38(MAPK), extracellular signal-regulated kinase (ERK1/2), or JNK and nuclear translocation of the transcription factor Nrf2 were enhanced following acute exposure of SMC to rnoxLDL (100 mu g proteiri/ml, 1-2 h). Pretreatment of SMC with the antioxidant vitamin C (100 mu M, 24 h) attenuated the induction of HO-1 by moxLDL. Native and oxidized LDL did not alter basal levels of intracellular ATP, mitochondrial dehydrogenase activity, or expression of the lectin-like oxidized LDL receptor (LOX-1) in SMC. These findings demonstrate for the first time that activation of PKC, p38(MAPK), JNK, ERK1/2, and Nrf2 by oxidized LDL in human SMC leads to HO-1 induction, constituting an adaptive response against oxidative injury that can be ameliorated by vitamin C. (C) 2005 Elsevier Inc. All rights reserved.
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Objectives: To assess the short- and long-term reproducibility of a short food group questionnaire, and to compare its performance for estimating nutrient intakes in comparison with a 7-day diet diary. Design: Participants for the reproducibility study completed the food group questionnaire at two time points, up to 2 years apart. Participants for the performance study completed both the food group questionnaire and a 7-day diet diary a few months apart. Reproducibility was assessed by kappa statistics and percentage change between the two questionnaires; performance was assessed by kappa statistics, rank correlations and percentages of participants classified into the same and opposite thirds of intake. Setting: A random sample of participants in the Million Women Study, a population-based prospective study in the UK. Subjects: In total, 12 221 women aged 50-64 years. Results: in the reproducibility study, 75% of the food group items showed at least moderate agreement for all four time-point comparisons. Items showing fair agreement or worse tended to be those where few respondents reported eating them more than once a week, those consumed in small amounts and those relating to types of fat consumed. Compared with the diet diary, the food group questionnaire showed consistently reasonable performance for the nutrients carbohydrate, saturated fat, cholesterol, total sugars, alcohol, fibre, calcium, riboflavin, folate and vitamin C. Conclusions: The short food group questionnaire used in this study has been shown to be reproducible over time and to perform reasonably well for the assessment of a number of dietary nutrients.
Resumo:
Oxygen-free radicals, more generally known as reactive oxygen species (ROS) along with reactive nitrogen species (RNS) are well recognised for playing a dual role as both deleterious and beneficial species. The "two-faced" character of ROS is substantiated by growing body of evidence that ROS within cells act as secondary messengers in intracellular signalling cascades, which induce and maintain the oncogenic phenotype of cancer cells, however, ROS can also induce cellular senescence and apoptosis and can therefore function as anti-tumourigenic species. The cumulative production of ROS/RNS through either endogenous or exogenous insults is termed oxidative stress and is common for many types of cancer cell that are linked with altered redox regulation of cellular signalling pathways. Oxidative stress induces a cellular redox imbalance which has been found to be present in various cancer cells compared with normal cells; the redox imbalance thus may be related to oncogenic stimulation. DNA mutation is a critical step in carcinogenesis and elevated levels of oxidative DNA lesions (8-OH-G) have been noted in various tumours, strongly implicating such damage in the etiology of cancer. It appears that the DNA damage is predominantly linked with the initiation process. This review examines the evidence for involvement of the oxidative stress in the carcinogenesis process. Attention is focused on structural, chemical and biochemical aspects of free radicals, the endogenous and exogenous sources of their generation, the metal (iron, copper, chromium, cobalt, vanadium, cadmium, arsenic, nickel)-mediated formation of free radicals (e.g. Fenton chemistry), the DNA damage (both mitochondrial and nuclear), the damage to lipids and proteins by free radicals, the phenomenon of oxidative stress, cancer and the redox environment of a cell, the mechanisms of carcinogenesis and the role of signalling cascades by ROS; in particular. ROS activation of AP-1 (activator protein) and NF-kappa B (nuclear factor kappa B) signal transduction pathways, which, in turn lead to the transcription of genes involved in cell growth regulatory pathways. The role of enzymatic (superoxide dismutase (Cu. Zn-SOD. Mn-SOD), catalase, glutathione peroxidase) and non-enzymatic antioxidants (Vitamin C, Vitamin E, carotenoids, thiol antioxidants (glutathione, thioredoxin and lipoic acid), flavonoids, selenium and others) in the process of careinogenesis as well as the antioxidant interactions with various regulatory factors, including Ref-1, NF-kappa B, AP-1 are also reviewed. 2006 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.