224 resultados para Oraison funèbre
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L'Observance est le premier mouvement de réforme avant la Contre-réforme promu par l'Eglise elle-même, dès la fin du XlVème siècle. Visant à restaurer une plus grande observance de la Règle au sein des Ordres religieux, par l'importance accordée à la vie commune, à la formation intellectuelle de ses membres et à l'oraison mentale, elle joue un rôle de premier plan dans la vie des cités au XVème siècle. Tantôt instrument du pouvoir civil tantôt de la papauté, elle est un acteur fondamental dans le panorama urbain, aspirant à contrôler la vie religieuse des laïcs, grâce à ses prédicateurs et son intense activité pastorale, fondée sur l'édition de traités dévotionnels et de manuels pour la prière. L'objet de cette thèse est l'étude des relations entre ce mouvement de réforme religieuse et la production artistique, afin de comprendre la contribution de l'Observance aux transformations importantes que l'image de culte tant publique que privée connaît entre le XVème et le XVIème siècle. Elle montre que l'Observance et les formes de dévotion qu'elle promeut participent non seulement des choix iconographiques mais également formels, et pose la question de l'existence et de la définition d'une esthétique observante. L'analyse se concentre sur la ville de Venise et les Dominicains à partir de 1391, date de l'introduction de l'Observance dans la cité, jusqu'en 1545, qui marque le début du Concile de Trente. La perspective diachronique adoptée a permis de révéler une véritable politique artistique de l'Observance dominicaine, qui fait un usage réfléchi et conscient des images. Celles-ci permettent, d'une part de décliner l'identité de l'Ordre de diverses manières en fonction de la situation religieuse et historique et des destinataires, d'autre part de contrôler et informer la dévotion du fidèle. La perspective diachronique éclaire également comment l'Observance dominicaine a fait face à des mouvements religieux importants, qui promeuvent des pratiques dévotionnelles christocentriques, fondées sur un rapport direct et individuel avec le divin. Il s'agit au XVème siècle de la Devotio moderna, puis au XVIème siècle de la Réforme protestante, mais aussi des divers mouvements de spiritualité évangélique dont Venise est un centre de diffusion. Pour un Ordre voué à la défense de la papauté et de l'Eglise, ces formes de dévotion individuelles constituaient des menaces auxquelles il fallait opposer des formes de dévotion individuelles contrôlées. A cette fin, l'utilisation des images s'est révélée un instrument puissant. Après une première partie historique qui offre une reconstruction de certaines églises dominicaines détruites et établit un corpus d'oeuvres, les rapports de l'Observance et des oeuvres d'art sont analysés selon trois angles d'approche. Le premier se concentre sur la question des femmes, et aborde le problème de l'utilisation des images dans la direction spirituelle des nonnes ainsi que dans la construction d'une identité féminine dominicaine. Le deuxième prend en considération l'utilisation des images dans la dévotion privée des frères eux-mêmes. Le troisième et dernier angle d'approche concerne l'utilisation des images pour définir l'identité de l'Ordre face aux représentants des autorités politiques et religieuses, mais aussi des fidèles.
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Comprend : [Vignette à la Page de Titre : Werther et Charlotte.] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Fig. p.1 : Werther écrivant.] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 1 : à la fin du volume : la mort deWerther.] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 2 : à la fin du volume : le désespoir de Werther et Charlotte.] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 3 : à la fin du volume : Werther en compagnie de Charlotte et des enfants.] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 4 : à la fin du volume : vieillée funèbre.] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 5 : à la fin du volume : Werther aide une jeune servante à porter une cruche d'eau. ] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 6 : à la fin du volume : Werther et Charlotte.] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 7 : à la fin du volume : Werther arrive chez Charlote, et la voit toute entourée d'enfants] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778] ; [Pl. 8 : à la fin du volume :Werther rencontre une jeune femme avec deux enfants. ] [Cote : Y2 1006/Microfilm R 132778]
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Comprend : [Fig. avant la page de titre : médaille ou monnaie de la ville de Lyon.] [Cote : Res p Yc 1564/Microfilm R 34765] ; [Fig. folio B : Ulysse et Ajax se disputent les armes d'Achille.] [Cote : Res p Yc 1564/Microfilm R 34765] ; [Fig. folio Bij : l'oraison d'Ajax.] [Cote : Res p Yc 1564/Microfilm R 34765] ; [Fig. : la harengue d'Ulysse.] [Cote : Res p Yc 1564/Microfilm R 34765]
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F. 1-12v. Calendrier d’Autun en français, inscrit à l’or et à l’encre, alternativement rouge et bleue : 1er juin, « s. Reverien » [év. d’Autun] ; 12 juin, en or : « s. Nazaire » [révélation] ; 28 juil., « ss. Nazaire et Celse » ; 4 août, « s. Cassien [év. d’Autun] » ; 1er sept., « s. Ladre » [Lazare] ; 5 sept., «ste Royne » [Reine d’Alise] ; 19 sept., « s. Soigne » [Seine] ; 24 sept., « Andoche » [év. d’Autun] ; 2 oct., « Legier » [év. d’Autun] ; 20 oct., « revelacion s. Ladre » ; 17 déc., « s. Lazaire » ; 20 déc., « s. Nasaire » [21 déc., dédicace de Saint-Nazaire d’Autun]. F. 13-18. Péricopes évangéliques : Io 1, 1-14, suivi du suffrage adressé à l’apôtre ; Mt 2, 1-12 ; Lc 1, 26-38 ; Mc 16, 14-20. Les évangiles de Mathieu et de Luc sont incomplets du début par suite de la perte du premier fol. F. 19-78v. Heures de la Vierge à l’usage de Rome. Les heures de tierce, sexte, none et vêpres sont incomplètes du début par suite de la perte du premier feuillet. F. 79-82v. “Obsecro te…”, prière au masculin (éd. Leroquais, Livres d’heures, II, 347). F. 83-86v. Office de la Croix « De sancta cruce ». F. 87-90v. Office du Saint Esprit « De sancto Spiritu ». F. 91-107v. Psaumes de la pénitence , suivis des Litanies, incomplet du premier feuillet. A noter, parmi les confesseurs, « sancte Ludovice », Louis d’Anjou, év. de Toulouse. F. 107v-154. Office des morts à l’usage de Rome. « In agenda mortuorum ad vesperas ». F. 154v-159. Addition du XVe siècle : « Oraison de saint Sebastien », suffrage ; [Oraison pour les trépassés] « Avete omnes fideles anime quorum corpora… coronemur... Domine Jhesu Christe salus et liberatio animarum... jubeas. Per... » (154v et 159). — Additions du début du XVIe siècle. « Veni creator Spiritus... spiritus. Amen » ; « De s. Johanne Baptista » ; « Salve regina misericordie vita... ostende » ; « Domine non sum digna… animeam meam », à noter la forme féminine (156-158). — Sur le verso du f. 158, a été cousu un petit feuillet de parchemin portant l’oraison « O passio magna, o profunda vulnera, o effusio sanguinis, o dulcis dulcedo, o mortis amaritudo, da michi vitam eternam. Amen. Pater. Ave Maria. Credo ».
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F. 1 Psautier (mutilé du début). F. 62v Litanies (début seul). F. 63 Oraison en l'honneur des saints Julien, Ferréol, Elpide, etc. F. 63v-77 Hymnaire : — Hymnes en l'honneur de s. Julien de Brioude, s. Augustin, etc. Cf. Chevalier, nos 15604, 9883, 4539, 10968, 3471. F. 77v-82v Capitules : — Dédicace (82v). F. 82v « Preces in Quadragesima. » F. 85 Office des morts. F. 87v Leçons et répons de l'office de la Vierge. F. 90 Commun des saints. F. 106-122 Temporal (incompl. de la fin) : — 1er dim. après l'oct. de l'Épiphanie (106) ; — Jeudi après Quasimodo (122).
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Comprend : Trois oraisons... traduites en françois, sçavoir l'oraison pour Célius, l'oraison pour Milon, la seconde Philippique
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Complainte (La) de Grece
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F. 1 Extraits des IV Évangiles et Passion selon s. Jean, suivie d'oraison. F. 8 Prières à la Vierge : « Obsecro te... », etc. F. 15 Matines et laudes de la Vierge. F. 41v Matines de la Croix (abrégées). F. 44 Matines du Saint-Esprit (abrégées). F. 46 Psaumes de la pénitence. F. 54v Litanies et « preces ». — L'office des morts et les suffrages manquent. F. 62 Calendrier (en français).
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Contient : 1° Douze « Oraisons de CICERO », traduction par « ESTIENNE LE BLANC » ; 2° « Description des offices, dignitez et magistratz par lesquelz les Rommains se sont gouvernez depuis Romulus,... jusques à Julles Cesar » ; 3° « Argument sur l'oraison que faict CICERO à la louenge de Pompée »
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Contient : 1° « La Louenge Nostre Seigneur, composée de sainct BERNARD » ; 2° Oraison
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Recueil de dessins à la plume, modèles d'écriture, d'architecture ; Oraison dominicale et alphabets en plusieurs langues ; dessins de l'église cathédrale et de Saint-Rémy de Reims, de Notre-Dame de Paris, et autres monuments parisiens ; dessins d'instruments géographiques et astronomiques, d'instruments de musique, etc. ; — (fol. 193) « Ensuivent plusieurs portraicts tracés en escriture. »
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Recueil de dessins à la plume, modèles d'écriture, d'architecture ; Oraison dominicale et alphabets en plusieurs langues ; dessins de l'église cathédrale et de Saint-Rémy de Reims, de Notre-Dame de Paris, et autres monuments parisiens ; dessins d'instruments géographiques et astronomiques, d'instruments de musique, etc. ; — (fol. 193) « Ensuivent plusieurs portraicts tracés en escriture. »