522 resultados para Nobel Biocare


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Aquest treball indaga en la noció d'estranyesa en l'obra d'Albert Camus (1913-1960), escriptor, filòsof, periodista, dramaturg i Premi Nobel de Literatura. En un recorregut per la novel·la L’estranger, i per altres volums de l'escriptor algerià, es tracen les línies fonamentals del pensament d'aquest autor, considerat un artífex de l'existencialisme, etiqueta que ell mateix rebutjaria. En aquesta investigació es realitza una inspecció a la seva trajectòria per a dilucidar si l'absurd camusià és un pas al nihilisme o si, al contrari, l'estranyesa serà una via per superar-lo.

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BACKGROUND: We investigated clinical predictors of appropriate prophylaxis prior to the onset of venous thromboembolism (VTE). METHODS: In 14 Swiss hospitals, 567 consecutive patients (306 medical, 261 surgical) with acute VTE and hospitalization < 30 days prior to the VTE event were enrolled. RESULTS: Prophylaxis was used in 329 (58%) patients within 30 days prior to the VTE event. Among the medical patients, 146 (48%) received prophylaxis, and among the surgical patients, 183 (70%) received prophylaxis (P < 0.001). The indication for prophylaxis was present in 262 (86%) medical patients and in 217 (83%) surgical patients. Among the patients with an indication for prophylaxis, 135 (52%) of the medical patients and 165 (76%) of the surgical patients received prophylaxis (P < 0.001). Admission to the intensive care unit [odds ratio (OR) 3.28, 95% confidence interval (CI) 1.94-5.57], recent surgery (OR 2.28, 95% CI 1.51-3.44), bed rest > 3 days (OR 2.12, 95% CI 1.45-3.09), obesity (OR 2.01, 95% CI 1.03-3.90), prior deep vein thrombosis (OR 1.71, 95% CI 1.31-2.24) and prior pulmonary embolism (OR 1.54, 95% CI 1.05-2.26) were independent predictors of prophylaxis. In contrast, cancer (OR 1.06, 95% CI 0.89-1.25), age (OR 0.99, 95% CI 0.98-1.01), acute heart failure (OR 1.13, 95% CI 0.79-1.63) and acute respiratory failure (OR 1.19, 95% CI 0.89-1.59) were not predictive of prophylaxis. CONCLUSIONS: Although an indication for prophylaxis was present in most patients who suffered acute VTE, almost half did not receive any form of prophylaxis. Future efforts should focus on the improvement of prophylaxis for hospitalized patients, particularly in patients with cancer, acute heart or respiratory failure, and in the elderly.

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BACKGROUND: Venous thromboembolism (VTE) prophylaxis remains underutilized, particularly in cancer patients. We explored clinical predictors of prophylaxis in hospitalized cancer patients before the onset of acute VTE. METHODS: In the SWiss Venous ThromboEmbolism Registry, 257 cancer patients (61 +/- 15 years) with acute VTE and prior hospitalization for acute medical illness or surgery within 30 days (91% were at high risk with Geneva VTE risk score > or =3) were enrolled. RESULTS: Overall, 153 (60%) patients received prophylaxis (49% pharmacological and 21% mechanical) before the onset of acute VTE. Outpatient status at the time of VTE diagnosis [odds ratio (OR) 0.31, 95% confidence interval (CI) 0.18-0.53], ongoing chemotherapy (OR 0.51, 95% CI 0.31-0.85), and recent chemotherapy (OR 0.53, 95% CI 0.32-0.88) were univariately associated with the absence of VTE prophylaxis. In multivariate analysis, intensive care unit admission within 30 days (OR 7.02, 95% CI 2.38-20.64), prior deep vein thrombosis (OR 3.48, 95% CI 2.14-5.64), surgery within 30 days (OR 2.43, 95% CI 1.19-4.99), bed rest >3 days (OR 2.02, 95% CI 1.08-3.78), and outpatient status (OR 0.38, 95% CI 0.19-0.76) remained the only independent predictors of thromboprophylaxis. CONCLUSIONS: Although most hospitalized cancer patients were at high risk, 40% did not receive any prophylaxis before the onset of acute VTE. There is a need to improve thromboprophylaxis in cancer patients, particularly in the presence of recent or ongoing chemotherapy.

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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.

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Given $n$ independent replicates of a jointly distributed pair $(X,Y)\in {\cal R}^d \times {\cal R}$, we wish to select from a fixed sequence of model classes ${\cal F}_1, {\cal F}_2, \ldots$ a deterministic prediction rule $f: {\cal R}^d \to {\cal R}$ whose risk is small. We investigate the possibility of empirically assessingthe {\em complexity} of each model class, that is, the actual difficulty of the estimation problem within each class. The estimated complexities are in turn used to define an adaptive model selection procedure, which is based on complexity penalized empirical risk.The available data are divided into two parts. The first is used to form an empirical cover of each model class, and the second is used to select a candidate rule from each cover based on empirical risk. The covering radii are determined empirically to optimize a tight upper bound on the estimation error. An estimate is chosen from the list of candidates in order to minimize the sum of class complexity and empirical risk. A distinguishing feature of the approach is that the complexity of each model class is assessed empirically, based on the size of its empirical cover.Finite sample performance bounds are established for the estimates, and these bounds are applied to several non-parametric estimation problems. The estimates are shown to achieve a favorable tradeoff between approximation and estimation error, and to perform as well as if the distribution-dependent complexities of the model classes were known beforehand. In addition, it is shown that the estimate can be consistent,and even possess near optimal rates of convergence, when each model class has an infinite VC or pseudo dimension.For regression estimation with squared loss we modify our estimate to achieve a faster rate of convergence.

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RESUME La méthode de la spectroscopie Raman est une technique d'analyse chimique basée sur l'exploitation du phénomène de diffusion de la lumière (light scattering). Ce phénomène fut observé pour la première fois en 1928 par Raman et Krishnan. Ces observations permirent à Raman d'obtenir le Prix Nobel en physique en 1930. L'application de la spectroscopie Raman a été entreprise pour l'analyse du colorant de fibres textiles en acrylique, en coton et en laine de couleurs bleue, rouge et noire. Nous avons ainsi pu confirmer que la technique est adaptée pour l'analyse in situ de traces de taille microscopique. De plus, elle peut être qualifiée de rapide, non destructive et ne nécessite aucune préparation particulière des échantillons. Cependant, le phénomène de la fluorescence s'est révélé être l'inconvénient le plus important. Lors de l'analyse des fibres, différentes conditions analytiques ont été testées et il est apparu qu'elles dépendaient surtout du laser choisi. Son potentiel pour la détection et l'identification des colorants imprégnés dans les fibres a été confirmé dans cette étude. Une banque de données spectrale comprenant soixante colorants de référence a été réalisée dans le but d'identifier le colorant principal imprégné dans les fibres collectées. De plus, l'analyse de différents blocs de couleur, caractérisés par des échantillons d'origine inconnue demandés à diverses personnes, a permis de diviser ces derniers en plusieurs groupes et d'évaluer la rareté des configurations des spectres Raman obtenus. La capacité de la technique Raman à différencier ces échantillons a été évaluée et comparée à celle des méthodes conventionnelles pour l'analyse des fibres textiles, à savoir la micro spectrophotométrie UV-Vis (MSP) et la chromatographie sur couche mince (CCM). La technique Raman s'est révélée être moins discriminatoire que la MSP pour tous les blocs de couleurs considérés. C'est pourquoi dans le cadre d'une séquence analytique nous recommandons l'utilisation du Raman après celle de la méthode d'analyse de la couleur, à partir d'un nombre de sources lasers le plus élevé possible. Finalement, la possibilité de disposer d'instruments équipés avec plusieurs longueurs d'onde d'excitation, outre leur pouvoir de réduire la fluorescence, permet l'exploitation d'un plus grand nombre d'échantillons. ABSTRACT Raman spectroscopy allows for the measurement of the inelastic scattering of light due to the vibrational modes of a molecule when irradiated by an intense monochromatic source such as a laser. Such a phenomenon was observed for the first time by Raman and Krishnan in 1928. For this observation, Raman was awarded with the Nobel Prize in Physics in 1930. The application of Raman spectroscopy has been undertaken for the dye analysis of textile fibers. Blue, black and red acrylics, cottons and wools were examined. The Raman technique presents advantages such as non-destructive nature, fast analysis time, and the possibility of performing microscopic in situ analyses. However, the problem of fluorescence was often encountered. Several aspects were investigated according to the best analytical conditions for every type/color fiber combination. The potential of the technique for the detection and identification of dyes was confirmed. A spectral database of 60 reference dyes was built to detect the main dyes used for the coloration of fiber samples. Particular attention was placed on the discriminating power of the technique. Based on the results from the Raman analysis for the different blocs of color submitted to analyses, it was possible to obtain different classes of fibers according to the general shape of spectra. The ability of Raman spectroscopy to differentiate samples was compared to the one of the conventional techniques used for the analysis of textile fibers, like UV-Vis Microspectrophotometry (UV-Vis MSP) and thin layer chromatography (TLC). The Raman technique resulted to be less discriminative than MSP for every bloc of color considered in this study. Thus, it is recommended to use Raman spectroscopy after MSP and light microscopy to be considered for an analytical sequence. It was shown that using several laser wavelengths allowed for the reduction of fluorescence and for the exploitation of a higher number of samples.

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Kirjoitus perustuu Tieteen päivien avajaisissa 8.1.2003 pidettyyn esitelmään. Kirjoittaja on molekyylibiologian professori Karolinska Institutetissa ja toimii johtajana Tukholman syöpätutkimukseen keskittyvässä Ludwig-instituutissa. Hän on myös toiminut lääketieteellisessä Nobel-toimikunnassa vuodesta 1990 ja sen puheenjohtajana 1998-2000.

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ABSTRACT: The 26th annual meeting of the Society for Immunotherapy of Cancer took place in Bethesda on November 4 to 6, 2011 and was organized by Charles G. Drake (Johns Hopkins University) Dolores J. Schendel (Helmholtz Zentrum Muenchen - German Research Center for Environmental Health Institute of Molecular Immunology), Jeffrey Schlom (National Cancer Institute, National Institutes of Health), and Jedd D. Wolchok (Memorial Sloan-Kettering Cancer Center). It was an event marked by a number of extraordinary circumstances: it attracted a record attendance of 805 participants from 24 different countries. The gathering came in the wake of great as well as very sad news for the tumor immunology community. Good news included the approval of anti-CTLA-4 as a therapy for metastatic melanoma in April and the announcement in early October of the Nobel Prize in Physiology and Medicine awarded to pioneering studies in the field of immunology. Indeed, one part of the prize went to Dr. Bruce Beutler, Scripps Research Institute, La Jolla, USA and Dr. Jules Hoffman, Institute for Molecular Cell Biology, Strasbourg, France, for their discoveries in innate immunity and the other part to Dr. Ralph Steinman, The Rockfeller University, New York, for his discovery of dendritic cells. Sad news was the losses of two giants in the field. Jürg Tschopp of the University of Lausanne in March and Ralph Steinman, who passed away just three days before his Nobel Prize announcement. The loss of these two charismatic scientific leaders was particularly sad for the Annual Meeting as both J. Tschopp and R. Steinman were confirmed speakers at this meeting: the former to deliver the keynote lecture and the latter as recipient of the Richard V. Smalley prize.

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Curial e Güelfa es una novela catalana extraña, es una mezcla de libro de caballerías y de novela sentimental, y no hay mención de ella en texto alguno hasta que en 1876 Manuel Milá y Fontanals dio noticia de su existencia en un artículo en francés: «Notes sur trois manuscrits», en Revue de Langues Romanes...

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Antes de hablar de Diego Hurtado de Mendoza y de su continuación del Lazarillo, me gustaría recordar otras usurpaciones de personajes literarios...

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Altisidora es una joven atrevida, graciosa y desenvuielta; y por si ahora no caen en quién es, diré que es la ingeniosa doncella de la duquesa, personajes las dos de la Segunda Parte del ingenioso caballero de Don Quijote de la Mancha...

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No acababa de aparecer mi artículo en Clarín en donde atribuyo a Diego Hurtado de Mendoza 'La segunda parte de Lazarillo de Tormes', cuando se lanzó al mundo la gran noticia de que el 'Lazarillo de Tormes' no es anónimo...

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Se suele buscar siempre tras el texto la experiencia del escritor, pero olvidamos que el creador vive intensamente las lecturas que le asombran, que le atraen, y que, por tanto, a menudo aparecen estas tras sus palabras.

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Los griegos crearon su religión con tanta riqueza imaginativa que los mitos que la forman se han convertido en uno de los pilares fundamentales de nuestra cultura; se han recreado en todas las artes y seguirá haciéndose...