977 resultados para Langue française


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Cette recherche descriptive vise à établir un portrait des principales difficultés rencontrées par les élèves du secondaire relativement à l’orthographe des homophones et cela à travers différents angles d’analyse. Nous avons d’abord fait ressortir l’importance des difficultés orthographiques chez les élèves du secondaire québécois et mis en relief la proportion de ces erreurs attribuée à l’orthographe des homophones. À partir des données recueillies par le groupe de recherche Projet grammaire-écriture qui s’est donné comme objectif, dans un premier temps, de recueillir de nombreuses données à travers deux instruments de collecte (une dictée et une production écrite), nous avons tout d’abord relevé les erreurs d’homophonie commises le plus fréquemment par les élèves pour ensuite analyser chacune des formes homophones problématiques en fonction de critères variés tels que leur fréquence lexicale dans la langue française, leur appartenance à une catégorie grammaticale particulière ou encore la structure syntaxique qui les sous-tend. Les erreurs les plus importantes ont fait l’objet d’une observation plus poussée : nous avons établi le pourcentage de graphies correctes versus erronées dans tous les textes des élèves. Finalement, nous avons aussi comparé nos résultats à ceux obtenus par McNicoll et Roy (1984) auprès d’une population de niveau primaire. Les résultats révélés par notre analyse montrent que ce sont principalement les finales verbales en /E/ qui posent problème aux élèves du secondaire, suivies par les formes homophones s’est/c’est/ces/ses et se/ce.

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Cette étude naît à la suite d'un contact direct avec l'une des manifestations contemporaines des variétés de français qui caractérisent Paris et dont l'histoire est liée à l'urbanisation de la ville, l'Argot des jeunes parisiens. Ce langage naît en effet de l'opposition des jeunes des catégories populaires vivant dans des quartiers dits « sensibles » aux pratiques des jeunes issus des classes moyennes et supérieures. Mais l'émergence de pratiques langagières argotiques n'est pas un phénomène récent. En effet la langue française a toujours été déstructurée pour masquer ou crypter des informations surtout chez les classes sociales les plus basses, au milieu desquelles vivaient les criminels. Le point de départ est donc la définition du langage argotique qui, en gardant la phonologie et la syntaxe de la langue française commune, introduit un lexique nouveau pour nommer les activités qui sont propres à des communautés spécifiques et que l'on analysera au cours de cette recherche. On parlera donc des premières sociétés criminelles caractérisées par l'usage de ce type de langage et de la découverte du première document argotique officiel à l'intérieur duquel on a retrouvé une description détaillée des expressions utilisées par un groupe de malfaiteurs. On se focalisera ensuite sur les attitudes linguistiques qui viennent d'une vision du monde typique des classes sociales les plus basses et qui comportent différents procédés de formation de mots propres au langage parallèle à la langue d'usage commun. On abordera enfin la condition des jeunes banlieusards de nos jours, qui, à cause du manque d'intérêt de la société qui les entoure, cherchent à s' évader de la condition de marginalité dans laquelle ils vivent à travers la création d'un langage qui puisse seconder leur sentiment d'appartenance au même groupe social et qu'ils utilisent comme instrument d'évasion d'une réalité aliénante.

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Contexte: Les approches de synthèse exploratoire (ou scoping studies) font actuellement l’objet de confusion dans leur appellation, définition et but. Elles continuent aussi de manquer de description méthodologique suffisante ou de détails sur le processus de l’analyse de données. Objectif : Cette synthèse exploratoire fait le point des connaissances sur les approches de synthèse exploratoire utilisées en santé. Plus spécifiquement, ses objectifs sont : 1) d’examiner le volume et l’étendue des synthèses exploratoires ainsi que les domaines d’étude dans lesquels elles ont été conduites; 2) de faire l’inventaire de leurs définitions, buts, forces et faiblesses; et 3) et de faire l’inventaire des approches méthodologiques existantes. Méthodes : Une recherche systématique des synthèses exploratoires a été entreprise jusqu’en avril 2014 dans les bases de données Medline, PubMed, ERIC, PsycINFO, CINAHL, EMBASE, EBM Reviews/Cochrane. Des critères d’inclusion et d’exclusion ont été appliqués afin de ne retenir que des études de langue française et anglaise présentant des définitions, méthodes et écarts de connaissances sur les synthèses exploratoires, ainsi que celles les comparant à d’autres types de revues de littérature. Deux reviseurs ont examiné de façon indépendante les références pertinentes. Une grille d’extraction des données a été conçue afin de recueillir pour chacune des études, les données contextuelles, les étapes méthodologiques ainsi que les définitions, buts et limites des synthèses exploratoires. Les données ont été répertoriées et classées afin de dresser un portrait global des approches de synthèses exploratoires dans un format narratif et tabulaire. Résultats : Sur deux cent cinquante-deux références identifiées, quatre-vingt-douze références pertinentes ont été retenues. Les synthèses exploratoires ont été publiées par 6 pays dans 10 domaines d’études et 73 journaux. Elles ont pour finalité d’être à la fois un support aux connaissances, une aide à la décision et un préalable à une revue systématique de littérature. Cinq auteurs ont été cités en référence et huit autres ont publié sur leur méthodologie. Elles ont 3 étapes importantes de réalisation dont la revue de littérature, la consultation des parties prenantes et la synthèse globale avec ou sans validation des résultats. Les synthèses exploratoires utilisent une méthode systématique, pas toujours exhaustive et sans évaluation formelle des études incluses Des notions claires portant sur leur définition, buts, forces et faiblesses ont été identifiées. Conclusion : Nous suggérons que de nouvelles études soient entreprises afin d’asseoir complètement cette méthode et dégager des lignes directrices pour les chercheurs qui s’y intéresseront.

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Cette recherche descriptive vise à établir un portrait des principales difficultés rencontrées par les élèves du secondaire relativement à l’orthographe des homophones et cela à travers différents angles d’analyse. Nous avons d’abord fait ressortir l’importance des difficultés orthographiques chez les élèves du secondaire québécois et mis en relief la proportion de ces erreurs attribuée à l’orthographe des homophones. À partir des données recueillies par le groupe de recherche Projet grammaire-écriture qui s’est donné comme objectif, dans un premier temps, de recueillir de nombreuses données à travers deux instruments de collecte (une dictée et une production écrite), nous avons tout d’abord relevé les erreurs d’homophonie commises le plus fréquemment par les élèves pour ensuite analyser chacune des formes homophones problématiques en fonction de critères variés tels que leur fréquence lexicale dans la langue française, leur appartenance à une catégorie grammaticale particulière ou encore la structure syntaxique qui les sous-tend. Les erreurs les plus importantes ont fait l’objet d’une observation plus poussée : nous avons établi le pourcentage de graphies correctes versus erronées dans tous les textes des élèves. Finalement, nous avons aussi comparé nos résultats à ceux obtenus par McNicoll et Roy (1984) auprès d’une population de niveau primaire. Les résultats révélés par notre analyse montrent que ce sont principalement les finales verbales en /E/ qui posent problème aux élèves du secondaire, suivies par les formes homophones s’est/c’est/ces/ses et se/ce.

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The dictionaries reviewed are Dictionnaire de l'Académie françoise, Littré's Dictionnaire de la langue française, Hatzfeld and Darmesteter's Dictionnaire général de la langue française du commencement du XVIIe siècle jusqu'à nos jours, and Godefroy's Dictionnaire de l'ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle.

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"Le compilateur n'a pas inscrit dans le supplément les cartes géographiques parues depuis 1908."--Pref.

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Official journal of the Association des Médécins de Langue Française de l'Amérique du Nord, janv. 1938-juin 1946; of the Association des Médécins de Langue française du Canada, juil. 1946-

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Imprint varies: A. Michel, 1933-

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Vol. 1, no. 2, v. 2: "Ed. per l'Italia." Issued also in an international ed.

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Vols. for 19 include the reports of the meetings of the Association des physiologistes (formerly called Association des physiologistes de langue francaise), issued as supplements to some vols.

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This article focuses on the empirical domain of the solidarity uses of certain insults in different varieties of French (standard, Quebec, Burgundy) from diachronic and synchronic points of view. Solidarity uses refers to the usage of axiological terms as terms of endearment to mark social proximity between subjects. This value is signalled by morphosyntactic, prosodic and mimeo-gestural features indicating the speaker's disposition towards the addressee. These psychological and social parameters conspire to attenuate the axiological term's argumentative program, which however can never be entirely evacuated. This argumentative program is nevertheless subordinated to pragmatics, which remains necessary in order to evaluate the extent to which the conventional lexical meaning is maintained in these uses. The attenuation of conventional meaning under solidarity uses shows the relevance of relational and attitudinal notions for the negotiation of meaning. It further establishes that at least in some cases, the analysis of linguistic interpretation require a multidisciplinary approach, most specifically where the relation between Semantics and Pragmatics is concerned.

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Dans cette présentation, on s'interrogera sur le rôle de la langue française dans la consititution, le développement et la cohésion de l'état belge

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Nous souhaitons nous pencher ici sur un emploi particulier de la périphrase en aller + infinitif qui n’a fait l’objet – à notre connaissance – que d’un article (Lansari 2010). Cet emploi « modalisant » que Lansari limite à la formule 'on va dire' mériterait d’être approfondi pour plusieurs raisons. D’une part, l’emploi n’est décrit que sur base de « vingt exemples tirés d’internet, de blogs ou de forums » (Lansari 2010: 120) alors que, de l’aveu de Lansari elle-même, l’emploi relève de l’oral. Il serait donc utile d’enrichir – quantitativement et qualitativement - le corpus et d’y intégrer des occurrences d’oral authentique. D’autre part, Lansari restreint l’emploi modalisant à la séquence 'on va dire' ; on pourrait s’interroger sur la capacité de séquences comme 'je vais dire' à remplir les mêmes fonctions discursives. Dans cet article, nous commencerons par un – forcément bref – état de la question. Après avoir présenté le corpus, nous testerons les hypothèses précédemment défendues à la lueur du corpus rassemblé: (a) Le corpus CFPP2000 issu du projet Discours sur la ville. Corpus de Français Parlé Parisien des années 2000 (disponible en ligne à http://cfpp2000.univ-paris3.fr/Corpus.html). CFPP2000 donne la parole à 41 informateurs en 28 interviews (2198 min) et a généré 96 occurrences de on va dire modalisant. (b) Le corpus CLAPI comprenant 45 heures d’interactions interrogeables en ligne à http://clapi.univ-lyon2.fr/analyse_requete_aide.php?menu=outils. On y a relevé 12 exemples de on va dire modalisant. (c) Un corpus personnel d’interviews (163min) réalisées pendant l’année académique 2009-10 auprès de cinq étudiants Erasmus français grâce au soutien d’une bourse de la Délégation Générale à la Langue Française et aux Langues de France (DGLFLF). Les entretiens avec une assistante de recherche, basés sur les thèmes suivants, étaient supposés générer l’emploi d’une variété de temps verbaux : - Récits de rêve (imparfait) - Récits biographiques (personnage historique vs autobiographie) (PC vs PS) - Narration de film vs d’épisode historique (PC/ PRES vs PS) - Présentation de projets d’avenir vs conjectures (Futur périphrastique ou simple) Le corpus contient dix-sept occurrences de on va dire générés par deux des cinq informateurs : 15 par A. et 2 par J. Notre réflexion se basera donc sur 125 occurrences orales de 'on va dire'.

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Depuis plus d’un siècle, les linguistes débattent de la disparition du passé simple. Le PS est un paradigme moribond pour les uns, une forme d’emploi toujours restreint ou encore en voie de spécialisation pour d’autres. La discussion sur le devenir du PS ne prend cependant son sens que sous un éclairage diachronique. Le présent article examine donc les emplois du PS au travers de l’histoire de la langue française. Si le PS a perdu une fonction depuis l’ancien français et est sorti de l’oral spontané, il n’en jouit pas moins d’une place privilégiée dans certains contextes (narration) et cotextes (3èmes personnes). Le tiroir semble même avoir récemment investi de nouvelles formes d’expression, comme le storytelling en mercatique. L'étude conclut en suggérant des pistes de recherche pour évaluer la position réelle du PS en français contemporain.