922 resultados para Expected revenue


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With the collapse of fisheries in many parts of the world causing widespread economic harm, attention is focused on a possible cause and remedy of fishery collapse. Economic theory for managing a renewable resource, such as a fishery, leads to an ecologically unstable equilibrium as difficult to maintain as balancing a marble on top of a dome. A fishery should be managed for ecological stability instead--in the analogy, as easy to maintain as keeping a marble near the base of a bowl. The goal of ecological stability is achieved if the target stock is above that producing maximum sustainable yield and harvested at less than the maximum sustainable yield. The cost of managing for ecological stability, termed "natural insurance," is low if the fishery is sufficiently productive. This cost is shown to pay for itself over the long term in a variable and uncertain environment. An ecologically stable target stock may be attained either with annually variable quotas following current practice or, preferably, through a market mechanism whereby fish are taxed at dockside if caught when the stock was below target and are untaxed otherwise. In this regulatory environment, the goal of maximizing short-term revenue coincides with the goal of ecological stability, thereby also maximizing long-term revenue. This new approach to fishery management is illustrated with the recently collapsed Newfoundland fishing industry. The Newfoundland cod fishery is expected to rebuild to an ecologically stable level in about 9 years and thereafter support an annual harvest of about 75% of the 1981-1990 average.

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We have generated transgenic mice bearing the diphtheria toxin A chain (DTA) gene under the control of granzyme A (GrA) promoter sequences (GrA-DTA). GrA is expressed in activated cytotoxic cells but not in their immediate progenitors. These GrA-DTA mice are deficient in cytotoxic functions, indicating that most cytotoxic cells express GrA in vivo. Surprisingly, one founder strain containing a multicopy GrA-DTA insert show a marked and selective deficiency in CD8+ cells in peripheral lymphoid organs. This depletion was not observed in thymus, where the distribution of CD4+ and CD8+ cells is normal. Moreover, the emigration of T cells from thymus is normal, indicating that the depletion occurs in the periphery. GrA-DTA mice should be useful as models to dissect the role of cytotoxic cells in immune responses and as recipients of normal and neoplastic hematopoietic cells. The selective depletion of CD8+ cells in one founder strain could have implications for postthymic T-cell development.

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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.