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En septembre 2008, une vidéo est diffusée sur internet montrant Sarah Palin, alors candidate à la vice-présidence des États-Unis, en train de recevoir « une protection contre la sorcellerie » lors d'une célébration religieuse. La séquence est aussitôt reprise par les médias du monde entier qui s'interrogent et enquêtent sur les rapports entre ces images et l'engagement politique de la républicaine. Cet article suit la circulation de la vidéo au travers de différentes scènes de visibilité, allant des médias généralistes au site internet de l'Église où elle a été tournée, en passant par un blog qui a attiré l'attention publique sur ces images. L'enquête met au jour comment ce film a été compris dans ces différents contextes, et montre les effets de ce travail d'interprétation en 2011, suite à l'avènement du Tea Party et à l'horizon de la prochaine échéance présidentielle. La vidéo qui, en 2008, apparaissait dans les médias généralistes comme une illustration de la « bigoterie » de Palin a contribué à figurer, en 2011, une menace « théocratique » pour la démocratie américaine.
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Que ce soit d'un point de vue, urbanistique, social, ou encore de la gouvernance, l'évolution des villes est un défi majeur de nos sociétés contemporaines. En offrant la possibilité d'analyser des configurations spatiales et sociales existantes ou en tentant de simuler celles à venir, les systèmes d'information géographique sont devenus incontournables dans la gestion et dans la planification urbaine. En cinq ans la population de la ville de Lausanne est passée de 134'700 à 140'570 habitants, alors que les effectifs de l'école publique ont crû de 12'200 à 13'500 élèves. Cet accroissement démographique associé à un vaste processus d'harmonisation de la scolarité obligatoire en Suisse ont amené le Service des écoles à mettre en place et à développer en collaboration avec l'université de Lausanne des solutions SIG à même de répondre à différentes problématiques spatiales. Établies en 1989, les limites des établissements scolaires (bassins de recrutement) ont dû être redéfinies afin de les réadapter aux réalités d'un paysage urbain et politique en pleine mutation. Dans un contexte de mobilité et de durabilité, un système d'attribution de subventions pour les transports publics basé sur la distance domicile-école et sur l'âge des écoliers, a été conçu. La réalisation de ces projets a nécessité la construction de bases de données géographiques ainsi que l'élaboration de nouvelles méthodes d'analyses exposées dans ce travail. Cette thèse s'est ainsi faite selon une dialectique permanente entre recherches théoriques et nécessités pratiques. La première partie de ce travail porte sur l'analyse du réseau piéton de la ville. La morphologie du réseau est investiguée au travers d'approches multi-échelles du concept de centralité. La première conception, nommée sinuo-centralité ("straightness centrality"), stipule qu'être central c'est être relié aux autres en ligne droite. La deuxième, sans doute plus intuitive, est intitulée centricité ("closeness centrality") et exprime le fait qu'être central c'est être proche des autres (fig. 1, II). Les méthodes développées ont pour but d'évaluer la connectivité et la marchabilité du réseau, tout en suggérant de possibles améliorations (création de raccourcis piétons). Le troisième et dernier volet théorique expose et développe un algorithme de transport optimal régularisé. En minimisant la distance domicile-école et en respectant la taille des écoles, l'algorithme permet de réaliser des scénarios d'enclassement. L'implémentation des multiplicateurs de Lagrange offre une visualisation du "coût spatial" des infrastructures scolaires et des lieux de résidence des écoliers. La deuxième partie de cette thèse retrace les aspects principaux de trois projets réalisés dans le cadre de la gestion scolaire. À savoir : la conception d'un système d'attribution de subventions pour les transports publics, la redéfinition de la carte scolaire, ou encore la simulation des flux d'élèves se rendant à l'école à pied. *** May it be from an urbanistic, a social or from a governance point of view, the evolution of cities is a major challenge in our contemporary societies. By giving the opportunity to analyse spatial and social configurations or attempting to simulate future ones, geographic information systems cannot be overlooked in urban planning and management. In five years, the population of the city of Lausanne has grown from 134'700 to 140'570 inhabitants while the numbers in public schools have increased from 12'200 to 13'500 students. Associated to a considerable harmonisation process of compulsory schooling in Switzerland, this demographic rise has driven schooling services, in collaboration with the University of Lausanne, to set up and develop GIS capable of tackling various spatial issues. Established in 1989, the school districts had to be altered so that they might fit the reality of a continuously changing urban and political landscape. In a context of mobility and durability, an attribution system for public transport subventions based on the distance between residence and school and on the age of the students was designed. The implementation of these projects required the built of geographical databases as well as the elaboration of new analysis methods exposed in this thesis. The first part of this work focuses on the analysis of the city's pedestrian network. Its morphology is investigated through multi-scale approaches of the concept of centrality. The first conception, named the straightness centrality, stipulates that being central is being connected to the others in a straight line. The second, undoubtedly more intuitive, is called closeness centrality and expresses the fact that being central is being close to the others. The goal of the methods developed is to evaluate the connectivity and walkability of the network along with suggesting possible improvements (creation of pedestrian shortcuts).The third and final theoretical section exposes and develops an algorithm of regularised optimal transport. By minimising home to school distances and by respecting school capacity, the algorithm enables the production of student allocation scheme. The implementation of the Lagrange multipliers offers a visualisation of the spatial cost associated to the schooling infrastructures and to the student home locations. The second part of this thesis recounts the principal aspects of three projects fulfilled in the context of school management. It focuses namely on the built of an attribution system for public transport subventions, a school redistricting process and on simulating student pedestrian flows.
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L'auteur de ce texte a abordé auparavant à plusieurs reprises le sujet d'une confrontation entre les pensées de Heidegger et de Lukacs. Il est parti de l'idée qu'ils existent des motifs communs entre les deux pensées, par exemple le thème de l'aliénation et celui de la réification, et il a publié deux articles dans ce sens. Le texte publié ici poursuit un objectif plus ambitieux, car il se propose de remonter aux fondements ontologiques des deux pensées et confronter Heidegger et Lukacs à partir de leur opposition sur pluseurs questions philosophiques cruciales : l'autonomie ontologique du monde extérieur, la définition du concept de "monde", la "subjectivité du sujet" et la humanitas de l'homo humanus, la critique lukacsienne du concept heideggérien d'"être-jeté..." (Geworfenheit),la problématique de la finitude et de l'infini,etc. La thèse centrale de l'article est l'occultation par Heidegger du travail comme "phénomène originaire" de l'existence humaine et sa substitution par une catégorie affective: le "Souci" (die Sorge), tandis que Lukacs a construit son ontologie de l'être social, en suivant Hegel et Marx, sur l'idée du travail comme pivot de l'existence humaine. La partie finale du texte désigne plusieurs motifs de la pensée heideggérienne (la critique de la pensée sécurisante, par ex.) qui préfigurent l'adhésion du philosophe à l'extrême droite de l'époque, ce qui confirme la thèse de Lukacs formulée dans son livre La Destruction de la Raison sur le caractère "pré-fasciste" de certaines orientations de la philosophie heideggérienne à l'époque qui asuccédé à son livre fameux Être et Temps.
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F. 1-12v. Calendrier en français, à l’encre rouge et noire, où l’on remarque des formes dialectales picardes et plusieurs saints du Nord : « sainte Audegonde » (30 janvier) ; « le Candelier » (2 févr.) ; « ste Gertrude » (17 mars) ; « saint Quentin » (2 mai) ; « saint Ernoulx » [ep. Suessonensis] (16 août) ; « saint Bertin » (5 septembre) ; « saint Lambert » (17 septembre) ; « saint Franchois » (4 oct.) ; « saint Gillain » [mart. in Hannonia] (16 oct., Ghislain); « le jour st Estievene » (26 déc., rouge). Une deuxième main très cursive ajouté d’autres saints, dont « s. Amand » (6 févr.) ; « s. Waleri » (1er avril) ; « s. Fuscien » [mart. Ambianensis] (27 juin et 10 déc.) ; « s. Firmin » [mart. Ambianensis] (25 septembre) ; « s. Bavon » (1er oct.). F. 13v-17v. « ... hore sancte Crucis». F. 18v-22v. « ... hore de sancto Spiritu ».F. 23v-85. « ... hore beate marie virginis secundum usum romanum ». F. 86v-94v. Office de la Vierge, selon les temps de l’année. « ... officum beate Marie virginis quod dicitur per totum adventum ad vesperas ».F.95-115. « ... septem psalmi penitentiales cum suis litaniis et precibus ». A noter « ... sancte Lamberte... sancte Rumolde [ep. Mechlinensis]... sancte Fursee [ab. Latiniacensis] ... sancte Amande... sancte Vedaste, sancte Bavo... sancte Philiberte... santa Ursula... sancta Brigida... sancta Aldegondis, sancta Gertrudis... ».F.116v-152v. « ... vigilie mortuorum » office des morts à l’usage de Sarum-Normandie-Metz ; cf. K. Ottosen, Responsories..., p. 242 (116v-151). — « Octo versus beati Bernardi ». « Illumina oculos meos ne umquam obdormiam... » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, XXX-XXXI (151-152v).F.153-158v. « Initium sancti evvangelii secundum Johannem... secundum Lucam... secundum Matheum... secundum Marcum ».F. 158v-166. Suffrages aux saints : « Memoria de santo Johanne Baptista... ; devota oratio... » ; — « ... de sancto Adriano » ; — « ... de sancto Sebastiano » ; — « ... de sancto Anthonio » ; — « ... de sancto Quintino » ; — « ... de sancto Nicholae » ; — « ... de sancto Andrea » ; — « ... de sancto Fiacro ».F.166v-174v. Prières à la Vierge. « ... devotissima oratio ad beatem virginem Mariam ». « O intemerata... O Johannes... » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 488-490) (166v-169v). — « Alia oratio ad beatam virginem Mariam ». « Obsecro te.... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, II, 346-347) (169v-174). Les deux prières sont rédigées à la forme masculine. — « Laus Marie virginis ». « Salve regina... » (Analecta Hymnica, L, 318-319, n° 245) (174-174v). F. 175-184v. Suffrages aux saintes : « ... de santa Barbara » ; — « ... de sancta Margareta » ; — « ... de sancta Katerina » ; — « ... de sancta Maria Magdelena » ; — « ... de sancta Appolonia » ; — « ... de sancta Venicie [Venice, forme dérivée de Véronique] » « Veni sponsa Christi... Versus. Diffusa est gratia... Oratio. Exaudi nos Deus ut sicut de beate Venicie festivitate gaudemus, ita pie devotionis erudiamur. Per.... » ; sur le culte de sainte Véronique/Venice, en particulier à Paris, voir Gr. A. RUNNALS, Le mystère de sainte Venice, Exeter, 1980 (Textes littéraires) (175-180v). — Prières diverses : « ... quinque gaudia de beata virgine Maria » « Gaude Virgo mater Christi... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, I, XXVI-XXVII) (180v-182). — « Oratio devota ad Jesum Christum ». « Ave domine Jhesu Christe verbum patris » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 412 [III]) (182-183). — « Oratio devota que dicitur ad elevationem Domini ». « Ave verum corpus Domini nostri... » (éd. Szövérffy, Die Annalen , II, 298-299) (183-184). — « Memore de saint Miquiel », en latin (184-184v).
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Même ornementation, mêmes armoiries que dans le ms. français 5094. Le texte de ce ms., qui offre en plusieurs endroits des lacunes que nous indiquerons dans un instant, donne au feuillet 5 v° une strophe de 8 vers qui n'existe pas dans les exemplaires précédents : « Ensemble furent si bien d'accord Qu'ilz engendrèrent un fils de grant noblesse, Nommé Jehan, dit conte de Monfort, Après la mort de la noble duchesse, Et quatre filles qui en grant leesse Furent toutes colloquées haultement, Car de France, la royalle haultesse, Fut descendue la noble Yollant » . Quant aux lacunes, en voici l'énumération : Fol. 31. Ce feuillet est mutilé de la marge droite, de sorte qu'il ne donne pas les deux écussons coloriés qui accompagnent dans les autres mss. la notice relative à Étampes et à Hue Le Maire, sieur de Chaillou. — Entre les feuillets 33 et 34 est une lacune qui correspond aux 4 vers relatifs à N.-D. des Champs, au départ du corps de la reine de l'église N.-D. des Champs, le 14 février 1514, jusqu'aux premières lignes du sermon prononcé à St-Denis par M. Parvy, confesseur de la reine, le 16 février 1514, là où l'orateur donne l'origine de l'hermine qui figure dans les armes de Bretagne, soit en tout une lacune de 18 pages. — Au revers du feuillet 42 devrait être une miniature représentant la « chapelle royalle ardant » en l'église des Carmes, à Nantes, où fut déposé le coeur d'Anne de Bretagne. Cette miniature n'a pas été exécutée, et la place est restée en blanc. Après cette miniature existent dans les autres mss. 20 vers qui ne figurent pas dans le présent ms. — Entre les feuillets 44 et 45 manquent 31 lignes, soit la valeur d'une page et 6 lignes, qui commencent par l'épitaphe de François II, duc de Bretagne : « Si dedans gist le corps du duc Françoys, deuxe de ce nom, lequel regna trente deux... », et finissent par la description du coeur d'or contenant le coeur d'Anne de Bretagne, dont la portraiture, qui existe dans les mss. précédents, manque dans celui-ci. — Les 38 lignes qui forment la fin de notre relation dans les mss. précédents, manquent dans celui-ci, qui s'arrête avec la phrase : « Ainsy finirent iceulx services, mais les pleurs, criz et lamentacions auront longue durée. Prions Dieu pour elle, celluy qui son ame a créé ».
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Contient : Atours et ordonnances de la ville de Metz ; Inventaire des archives de la ville de Metz
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Contient : 1 « Comment le pont d'Avignon fust commensé myraculeusement ». Lettre ; 2 « Pax inter archiepiscopum et capitulum Lugdunenses ex una, et cives ex altera... Actum anno Incarnationis Dominice milesimo ducentesimo octavo mense septembrii ». En latin ; 3 Note sur « ung lac bien profond et appoissonné », qui était autrefois « entre le chasteau » de « Pierrescise et les murailles de la ville » ; A la suite, lavis représentant les deux sceaux de la ville de Lyon : «... sigillum secretum universitatis communitatis Lugduni » ; 4 « Des anciennes pompes funeralles ». Premiers mots : « La vanité supersticieuse des payens ydolastres... ». Derniers mots : « ... il fit graver et entailler des navires » ; 5 Epitaphes et autres curiosités, en latin et en français ; a « Epitaphium Lucrecie : Collatinus Tarquinius dulcissimae conjugi et incomparabili Lucrecie, pudicie decori... » ; b « Rome. D. M. » Epitaphium Euphrosinae. Premier vers : « Quid sibi vult queris tellus congesta viator... » ; c « Aliud Rome. D. M. ». Premier vers : « Hic jacet exiguis Dionisia flebilis annis... » ; d « Rome, et est declaracio epitaphii ejusdem nobilis mulieris de greco in latinum ». Epitaphium Somoneae. Premiers vers : « Ego que cantu eram Syrenis suavior, ego que apud Bachum,... » ; e « Aliud Rome ». Epitaphium ejusdem (?) Somoneae. Premier vers : « Tu qui secura procedis mente parumper... » ; f « Epitaphium Lucrecie nuper repertum in episcopatu Viterbiensy. D. M. S. : Collatinus Tarquinus (sic) dulcissime conjugi et imparabili (sic)... » ; g « Mundus ». Épitaphe en vers ; h Épigramme en vers français. « Rondeau : Vielle mule du temps passé... » ; i Autre épigramme sur la prise de Brescia. « Rondeau : Regina celi letare. Alleluia, car Bresse est prise, Et Venise un chascun desprise. Elle entend très mal son carré... » ; j Autre épigramme contre la république de Venise. « Rondeau : Veniciens de maulvaiz cresme... » ; k « Rondeau : Royalle dame, triomphe des humains... » ; l « Ce que j'ey leu en ung roc au piet de la tour du far près la coloingne en qualité que l'on dit une des bonnes d'Ercules, que fit ediffier ledict Ercules pour sa memoire : Marti Aug... » ; m « Signum Karoli, gloriosi regis, in Ynsulle Barbare, anno ab Incarnacionis (sic) Dominy (sic) DCCCC LXXV » ; n « Le signet du roy Clovis, premier roy crestien » ; o « Le signet du roy Lothaire » ; p « Le signet du roy Pyppin » ; 6 « Des anticquytés de Nostre Dame de l'Isle, près Lion » ; 7 « De anticalia Lugduni ». Recueil d'extraits d'auteurs anciens concernant Lyon (Senèque, Suétone, Ptolemée, Juvénal, Eusèbe, Tacite), et d'inscriptions ou d'épitaphes qui se lisent à Lyon. En latin ; 8 Extrait en latin concernant la tarasque, monstre en forme de dragon, qui autrefois infestait la contrée située le long du Rhône, entre Arles et Avignon, dans les environs de Tarascon, et qui fut dompté par sainte Marthe. En tête on lit : « Je Pierre Sala ey pris se qui s'ensuit sus l'original d'un très ancien livre, qui est en l'eglise de Tarascon, et ce fut environ l'an 1505 ». A cet extrait est joint un portrait de la tarasque, dessiné à la plume ; 9 Extraits, en latin et en français, concernant le squelette du géant « Briart », trouvé le 5 novembre 1456 en la baronnie de Crussol, près S. Peray, « au ruisseau Mederie ». Un de ces extraits est une « epistre » en vers « faicte par monseigneur de MAILLE, en françois, suyvant le latin » qui la précède, « le roy Loys XI estant à séjour à Vallence ». Ces extraits sont précédés d'une peinture donnant une idée de l'endroit où fut trouvé le géant Briart, et dudit géant, peinture qui remplit le revers du feuillet 48, au droit duquel est dessiné le portrait de la tarasque ci-dessus énoncé ; 10 « L'epitre de Senecque à Lucille, du feu qui brulla Lion, qui pour lors estoit sus le mont de Fourvières, et se fut environ 50 ans avant la nativité Nostre Seigneur ». Traduction ; 11 Inscriptions latines à S. Michel auprès d'Aina y et « en l'Anticaille » ; 12 « Des ars qui sont partie à Lyon, partie dehors, près Sainct Hyrinier, Chappono, en plusieurs aultres lieux ». Premiers mots : « Lesdictz ars sont appellées (sic) par le peuple rudde et barbare ars des Sarazins... ». Derniers mots : « ... à l'archediacre de Saluces, etc. »
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Contient : 1 « L'advis directif pour faire le passaige d'oultre mer par le très chrestien roy de France en la Terre saincte de promission », par frère BURCHARD ou Brochard de Barby, dominicain, au mont Sion, traduit en français par JEAN MIELOT, chanoine de Saint-Pierre de Lille, pour Philippe le Bon, duc de Bourgogne ; Ce traité est précédé d'une introduction dont le commencement et la fin manquent ; En tête du traité on lit : « Cy commence le premier livre, qui contient VIII parties, dont la première est des quatre motifs pour faire le passage d'oultre mer. Du premier motif pour faire le passage d'oultre mer. Le premier motif donques est, mon souverain seigneur, que vous ne admenrissiez en rien envers les hommes l'onneur de voz predecesseurs... ». Derniers mots : «... duquel vous devez attendre le loyer non pas momentel et terriien, mais perpetuel et celestien. Amen ». A la suite est l'explicit transcrit en tête de cette notice ; 2 « Cy commence le livre de la description de la Terre saincte, fait à l'onneur et loenge de Dieu et compilé jadis, l'an mil IIIC XXXII, par frère BROCHART l'Alemant, de l'ordre des Prescheurs, et depuis l'an mil IIIIC LVI, par le commandement et ordonnance de trèshault, trèspuissant et mon très redoubté seigneur... Phelippe, ... duc de Bourgongne... a esté translaté en cler françois par JO. MIELOT, chanoine de Lille en Flandres, en comprenant la substance, selon son petit entendement, sans y adjouster riens du sien, en la fourme et stile qui apperent » cy dessous ; 3 « Cy commence le voyage de BERTRANDON DE LA BROQUIERE, que il fist en la terre d'oultremer, l'an mil IIIIC XXXII » ; 4 « Cy commence l'Advis de messire JEHAN TORZELO, chevalier, serviteur et chambellan, comme il dist, de l'empereur de Constantinople, lequel advis il fist à Flourence, le XVI jours de mars l'an de grace mil CCCCXXXIX, et puis fu envoyé à mon très redoubté seigneur, monseigneur le duc Phelippe, duc de Bourgongne et de Brabant, par messire André de Pelazogo, Florentin » ; 5 « S'ensieut l'advis et advertissement de ce qu'il samble à moy BERTRANDON DE LA BROQUIERE, seigneur de Viel Chasteau, conseillier et premier escuier trenchant » du « duc de Bourgongne ... touchant l'advis cy dessus escript... lequel advis » ledit duc « me bailla, aprez que je fus revenu de mon voyage par terre de Jherusalem jusques en France, pour le faire translater de langage florentin en françois, et puis ordonna qu'il fust attaché en la fin de mondit voyage, mis par escript cy dessus, par Me JEHAN MIELOT, chanoine de S. Pierre de Lille et le moindre des secretaires de mondit très redoubté seignieur »
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Ce titre est suivi de quatre vers latins que voici : « Ecce recente toga venio, liber undique mundus, Promere quos reges Francia celsa tulit ; Tempora, gesta, locos, sortem, preludia, famam, Ex multis lecta codice claudo brevi » . Au-dessous de ces vers on lit, semble-t-il, Gaguinettus », comme si l'auteur du présent abrégé, se comparant à Gaguin, voulait signifier par ce diminutif « Gaguinettus », qu'il est un petit Gaguin, un abrégé de Gaguin. Puis vient une devise : « Pour esperer mieulx prosperer ». Sur le feuillet 3 v°, en face du feuillet 4 r°, qui contient le titre ci-dessus énoncé, est tracée à l'encre l'image d'une dame ayant un dragon à ses pieds. Elle tient de la main droite un écusson, aux armes de France, et de la gauche un autre écusson où sont représentées 3 tortues, deux en chef et une en pointe. Les feuillets 5-7 sont occupés par une dédicace de l'auteur « Audebrand, advocat d'Aulge et de Honnefleu... à très prudent et ingenieux homme Michelot Feré, grand architecteur du Havre de Grace ». Cette dedicace est datée « de Honnefleu, ce derrain jour de l'an 1518 ». Après la dédicace qui précède, terminée par la devise : « Par esperer mieulx prosperer », s'ouvre le « prologue du present livre », où l'auteur énumère ses autorités : Bérose, Manéthon, Métasthènes, Josèphe, Diodore, Pline, Robert Frescher, Robert Gaguin, Jean Lemaire de Belges. (Fol. 8-10). Le traité intitulé : Les Antiquités de Gaule commence (fol. 11) par : « Ante aquarum cladem... Or dit Berose que devant le deluge... » et finit (fol. 138) par : «... la fondation du Havre de Grace, que le roi François Ier a faict pour la protection de son royaulme... au cap de Caulx ». L'auteur attribue l'honneur d'avoir conduit les travaux à « monseigneur de Chillon, vis-admiral de France et capitaine de Honnefleu », et l'exécution à Michelot Feré, « homme... plain d'ingenieuse solercie, grand maistre et architecteur de l'oeuvre ». Il termine par le souhait que la construction du Havre soit menée à bonne fin, «... priant à Dieu donner au bon roy et à ses amys par esperer bien prosperer ». Puis il ajoute, ledit traité étant divisé en six livres : « La fin du VIe livre des Antiquités de Gaulle et consequemment de tout nostre petit labeur sur la 4e lignée des roys de France, selon la tradition de Gaguin ». Reliure du XVIe siècle en cuir estampé. Sur le premier plat, autour de la Vierge et de S. Jean, au pied de la croix on lit : « Christus filius Dei, vivis miserere nobis ». Sous la croix deux anges soutiennent un écu contenant l'agneau nimbé et portant la croix, surmonté de trois fleurs de lis. Le second plat représente la Pentecôte. Légende : « Veni, sancte spiritus, reple tuorum corda ».
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Contient : 1° Chansons ; « LI CHASTELAINS DE COUCI » ; « BLONDIAUS DE NEELE » ; « LI ROIS DE NAVARE » ; « Mesire GAUTIERS D'ARGIES » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « TIEBAUT DE BLAZON » ; « Mestre RICHART DE FURNIVAL » ; « Mesire GAUTIER D'ARGIES » ; « JAQUES D'OSTUN » ; « Le filz mestre BAUDOIN L'ORGUENEUR » ; « LI VISDAME DE CHARTRES » ; « ROBERT DE BLOIS » ; « ROBERT DE RAINS » ; « RAOUL DE FERRIERES » ; « GONTIERS DE SOIGNIES » ; « VIELARS DE CORBIE » ; « BURNIAUS DE TORS » ; « BAUDE DE LA QUARRIERE » ; « AUBIN DE SEZANE » ; « Mesire ROBERT DE MARBEROLES » ; « JEHAN ERARS » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire RAOUL DE SOISONS » ; « Mesire HUGUE DE BRESIL » ; « LI DUX DE BREBEN » ; « COLARS LI BOTEILLIERS » ; « ROGERT DE CANBRAI » ; « GOBIN DE RAINS » ; « JEHAN ERARS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « GILLE DE MESON » ; « Mestre GILLES LI VINIERS » ; « Mestre SIMON D'AUTIE » ; « ODART DE LACENI » ; « CHANOINES DE ST-QUENTIN » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « Mesire PIERRE DE CREON » ; « LI CHASTELAINS D'ARRAZ » ; « LI TRESORIERS DE LILLE » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « CHARDONS » [de Reims] ; « LA CHIEVRE DE RAINS » ; « SAUVAGE D'ARRAZ » ; « JEHANOT PAON DE PARIS » ; « GILLEBERT DE BERNEVILE » ; « GAUTIER D'ESPINAIS » ; « COLIN MUSET » ; « JAQUES DE HEDINC » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire JAQUES DE CHISON » ; « RAOUL DE BEAUVES » ; « LI CUENS D'ANJOU » ; « HUITACES DE FONTAINES » ; Chansons dont les noms des auteurs manquent ; « Desconfortez et de joie partiz ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Quant voi le douz tens bel et cler » ; « Quant voi le douz tens revenir » ; « Chançon vueil fere de moi ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Trop est mes maris jalos ». (PERRIN D'ANGECOURT.) ; « Avant hier en un vert pré » ; « Trop par est cist mondes cruaus » ; « Qui à chanter veut entendre » ; « Au conmencier de ma nouvele. amor ». [GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER] ; « Quant florist la prée ». (GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER.) ; « Souvent souspire » ; « Par mainte foiz m'ont mesdisanz grevé » ; « Flor ne verdor ne m'a pleü » ; « J'ai fait maint vers de chançon ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; La même qu'au Fol. 116 ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 ; « Tel nuist qui ne puet aidier » ; « Apris ai qu'en chantant plor » ; « Cil qui chantent de flor ne de verdure ». [EUSTACHE DE REIMS.] ; « Bele dame me prie de chanter ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Qui d'amors a remenbrance ». [ROBERT DE MEMBEROLLES, ou GILLES DE VIESMAISONS] ; « Chanter voil un novel son » ; « Amors qui souprent » ; « Quant li dous tens renouvele » ; « En pascor un jor erroie » ; « Au partir d'esté et de flors » ; « Amors est trop fiers chastelains » ; « Chanter me covient pla[ins] d'ire » ; « De mon desir ne sai mon melz eslire ». [BLONDEL] ; « Au tens d'esté que voi vergier florir ». [ROBERT MAUVOISIN] ; « A l'entrant du douz termine ». [GACE BRULE, ou MORISSE DE CRAON.] ; « A la douçor du tens qui raverdoie » ; « Au reperier que je fis de Prouvence » ; « Bien voi que ne puis morir ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Contre tens que voi frimer ». [GACE BRULE, ou GAUTIER D'ARGIES] ; La même qu'au Fol. 65 ; « Ce fu l'autrier en.I. autre païs ». [QUESNES DE BETHUNE, ou RICHART DE FOURNIVAL] ; « Chanter et renvoisier suel ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Conmencement de douce seson bele ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Amors qui m'a tolu à moi ». [CHRESTIEN DE TROYES] ; « Dame ensi est qu'il me couvient ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Contre la froidor ». [JACQUES DE CISOING, ou PERRIN D'ANGECOURT] ; « James ne cuidai avoir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Il feroit trop bon morir ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « Amors me plaig plus que de tot » ; « Por moi renvoisier » ; « Ja de chanter en ma vie ». [GAGE BRULE] ; « Car me conseilliez, Jehan, se Dex vos voie » ; « Quant voi la prime florete » ; « Huimain par.I. ajornant » ; « Quant voi la fleur nouvele » ; « Las ! por qoi m'entremis d'amer » ; « Merveilles est que toz jors woil chanter ». « GUILLAUME » [LE VINIER ?] ; « Li chastelains de Couci ama tant » ; « Amors me tient en esperance » ; « Jolif, plain de bone amor » ; « Bien ait l'amor dont l'on cuide avoir joie ». [GACE BRULE.] ; « A ma dame ai pris congié ». [MONIOT D'ARRAS] ; « Quant li boscage retentist ». [JEHAN DE NEUVILLE.] ; « En mai la rosée que nest la flor » ; « James chançon ne ferai » ; « Heneur et bone aventure ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant iver trait à fin » ; « Un petit devant le jor » ; « E! serventois, arriere t'en revas ». [ALART DE CAUS] ; « Por verdure ne por prée ». [GACE BRULE.] ; « Rose ne lis ne ne donnent talent ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Mar vit reson qui couvoite trop haut ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Je chevauchoie l'autrier ». [MONIOT DE PARIS.] ; « L'autrier tot seul chevauchoie mon chemin ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant voi blanchoier la fleur » ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 et 139 ; « Trop ai longuement » ; « Tot soit mes cuers en grant desesperance ». [EUDES DE LA COURROIERIE.] ; « Je chant par droite reson » ; « Se j'ai du monde la flor » ; « L'autrier m'en aloie » ; « Lasse ! por quoi refusai » ; « Quant-la rosée el mois de mai » ; « Je ne mi woil de bone amor retraire » ; « Trop sui d'amors enganez » ; « Des or mes ne me puis tere » ; « Quant je voi esté venir » ; « De jolif cuer enamoré ». [LE COMTE DE ROUCI, ou MONIOT D'ARRAS.] ; « Le cuer se vait de l'oil pleignant » ; « Quant l'aube espine fleurist ». [JACQUES DE CISOING] ; « Quant mars conmence et fevrier faut » ; « De chanter m'est pris corage ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant je oi chanter l'aloete ». [MONIOT DE PARIS] ; « Li rosignol que j'oi chanter ». [PIERRE LE BORGNE de Lille] ; « L'autrier chevanchoie delez Paris ». [RICHART DE SEMILLI.] ; « En une praele » ; « Joliveté et bone amor m'ensaigne ». [JEHAN D'ESQUIRI] ; « Au renouvel, du tens que la florete » ; « Par le tens bel » ; « Force d'amor me fet dire » ; « Por mon cuer à joie atrere » ; « Chanterai par grant envie » ; « Au tens pascor ». [JEHAN ERART] ; « Contre le tens que je voi qui repere » ; « M'amors je fui norris » ; « Qui bien aime à tart oublie » ; « Mere au roi puissant » ; « Lonc tens ai usé » ; « Prion en chantant » ; « On doit la mere Dieu honorer » ; « Chanter vos woil de la virge Marie » ; « De la tres douce Marie voil chanter » ; « Mout sera cil bien norris » ; « Fox est qui en folie ». « Li QUENS DE BRETAIGNE » ; « Bernart à vous weil demander » ; « Chanter me fet ma dame que j'aim tant » ; « Nouviaument m'est pris envie » ; « Longuement ai esté pensis » ; « Haute chanson de haute estoire di » ; Chanson anonyme : ; « Je feré chançon novelle » ; 2° « Li Romans du vergier et de l'arbre d'amours » ; 3° « ADANS DE LE HALE »
Resumo:
Contient : 1° Chansons ; « LI CHASTELAINS DE COUCI » ; « BLONDIAUS DE NEELE » ; « LI ROIS DE NAVARE » ; « Mesire GAUTIERS D'ARGIES » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « MONIOT D'ARRAZ » ; « MONIOT DE PARIS » ; « TIEBAUT DE BLAZON » ; « Mestre RICHART DE FURNIVAL » ; « Mesire GAUTIER D'ARGIES » ; « JAQUES D'OSTUN » ; « Le filz mestre BAUDOIN L'ORGUENEUR » ; « LI VISDAME DE CHARTRES » ; « ROBERT DE BLOIS » ; « ROBERT DE RAINS » ; « RAOUL DE FERRIERES » ; « GONTIERS DE SOIGNIES » ; « VIELARS DE CORBIE » ; « BURNIAUS DE TORS » ; « BAUDE DE LA QUARRIERE » ; « AUBIN DE SEZANE » ; « Mesire ROBERT DE MARBEROLES » ; « JEHAN ERARS » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire RAOUL DE SOISONS » ; « Mesire HUGUE DE BRESIL » ; « LI DUX DE BREBEN » ; « COLARS LI BOTEILLIERS » ; « ROGERT DE CANBRAI » ; « GOBIN DE RAINS » ; « JEHAN ERARS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « Mestre RICHART DE SEMILLI » ; « MONIOT DE PARIS » ; « GILLE DE MESON » ; « Mestre GILLES LI VINIERS » ; « Mestre SIMON D'AUTIE » ; « ODART DE LACENI » ; « CHANOINES DE ST-QUENTIN » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « Mesire PIERRE DE CREON » ; « LI CHASTELAINS D'ARRAZ » ; « LI TRESORIERS DE LILLE » ; « BAUDOIN DES AUTIEUS » ; « CHARDONS » [de Reims] ; « LA CHIEVRE DE RAINS » ; « SAUVAGE D'ARRAZ » ; « JEHANOT PAON DE PARIS » ; « GILLEBERT DE BERNEVILE » ; « GAUTIER D'ESPINAIS » ; « COLIN MUSET » ; « JAQUES DE HEDINC » ; « PERRIN D'ANGECORT » ; « Mesire JAQUES DE CHISON » ; « RAOUL DE BEAUVES » ; « LI CUENS D'ANJOU » ; « HUITACES DE FONTAINES » ; Chansons dont les noms des auteurs manquent ; « Desconfortez et de joie partiz ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Quant voi le douz tens bel et cler » ; « Quant voi le douz tens revenir » ; « Chançon vueil fere de moi ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Trop est mes maris jalos ». (PERRIN D'ANGECOURT.) ; « Avant hier en un vert pré » ; « Trop par est cist mondes cruaus » ; « Qui à chanter veut entendre » ; « Au conmencier de ma nouvele. amor ». [GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER] ; « Quant florist la prée ». (GAUTIERS D'ESPINAUS, QUESNES DE BETHUNE, ou CHEVALIER.) ; « Souvent souspire » ; « Par mainte foiz m'ont mesdisanz grevé » ; « Flor ne verdor ne m'a pleü » ; « J'ai fait maint vers de chançon ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; La même qu'au Fol. 116 ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 ; « Tel nuist qui ne puet aidier » ; « Apris ai qu'en chantant plor » ; « Cil qui chantent de flor ne de verdure ». [EUSTACHE DE REIMS.] ; « Bele dame me prie de chanter ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Qui d'amors a remenbrance ». [ROBERT DE MEMBEROLLES, ou GILLES DE VIESMAISONS] ; « Chanter voil un novel son » ; « Amors qui souprent » ; « Quant li dous tens renouvele » ; « En pascor un jor erroie » ; « Au partir d'esté et de flors » ; « Amors est trop fiers chastelains » ; « Chanter me covient pla[ins] d'ire » ; « De mon desir ne sai mon melz eslire ». [BLONDEL] ; « Au tens d'esté que voi vergier florir ». [ROBERT MAUVOISIN] ; « A l'entrant du douz termine ». [GACE BRULE, ou MORISSE DE CRAON.] ; « A la douçor du tens qui raverdoie » ; « Au reperier que je fis de Prouvence » ; « Bien voi que ne puis morir ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Contre tens que voi frimer ». [GACE BRULE, ou GAUTIER D'ARGIES] ; La même qu'au Fol. 65 ; « Ce fu l'autrier en.I. autre païs ». [QUESNES DE BETHUNE, ou RICHART DE FOURNIVAL] ; « Chanter et renvoisier suel ». [THIBAUT DE BLAZON.] ; « Conmencement de douce seson bele ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Amors qui m'a tolu à moi ». [CHRESTIEN DE TROYES] ; « Dame ensi est qu'il me couvient ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Contre la froidor ». [JACQUES DE CISOING, ou PERRIN D'ANGECOURT] ; « James ne cuidai avoir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Il feroit trop bon morir ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « Amors me plaig plus que de tot » ; « Por moi renvoisier » ; « Ja de chanter en ma vie ». [GAGE BRULE] ; « Car me conseilliez, Jehan, se Dex vos voie » ; « Quant voi la prime florete » ; « Huimain par.I. ajornant » ; « Quant voi la fleur nouvele » ; « Las ! por qoi m'entremis d'amer » ; « Merveilles est que toz jors woil chanter ». « GUILLAUME » [LE VINIER ?] ; « Li chastelains de Couci ama tant » ; « Amors me tient en esperance » ; « Jolif, plain de bone amor » ; « Bien ait l'amor dont l'on cuide avoir joie ». [GACE BRULE.] ; « A ma dame ai pris congié ». [MONIOT D'ARRAS] ; « Quant li boscage retentist ». [JEHAN DE NEUVILLE.] ; « En mai la rosée que nest la flor » ; « James chançon ne ferai » ; « Heneur et bone aventure ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant iver trait à fin » ; « Un petit devant le jor » ; « E! serventois, arriere t'en revas ». [ALART DE CAUS] ; « Por verdure ne por prée ». [GACE BRULE.] ; « Rose ne lis ne ne donnent talent ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Mar vit reson qui couvoite trop haut ». [CARDON DES CROISILLES] ; « Je chevauchoie l'autrier ». [MONIOT DE PARIS.] ; « L'autrier tot seul chevauchoie mon chemin ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant voi blanchoier la fleur » ; « Por le tens qui verdoie ». [GOBIN DE REIMS] ; La même qu'au Fol. 94 et 139 ; « Trop ai longuement » ; « Tot soit mes cuers en grant desesperance ». [EUDES DE LA COURROIERIE.] ; « Je chant par droite reson » ; « Se j'ai du monde la flor » ; « L'autrier m'en aloie » ; « Lasse ! por quoi refusai » ; « Quant-la rosée el mois de mai » ; « Je ne mi woil de bone amor retraire » ; « Trop sui d'amors enganez » ; « Des or mes ne me puis tere » ; « Quant je voi esté venir » ; « De jolif cuer enamoré ». [LE COMTE DE ROUCI, ou MONIOT D'ARRAS.] ; « Le cuer se vait de l'oil pleignant » ; « Quant l'aube espine fleurist ». [JACQUES DE CISOING] ; « Quant mars conmence et fevrier faut » ; « De chanter m'est pris corage ». [RICHART DE SEMILLI] ; « Quant je oi chanter l'aloete ». [MONIOT DE PARIS] ; « Li rosignol que j'oi chanter ». [PIERRE LE BORGNE de Lille] ; « L'autrier chevanchoie delez Paris ». [RICHART DE SEMILLI.] ; « En une praele » ; « Joliveté et bone amor m'ensaigne ». [JEHAN D'ESQUIRI] ; « Au renouvel, du tens que la florete » ; « Par le tens bel » ; « Force d'amor me fet dire » ; « Por mon cuer à joie atrere » ; « Chanterai par grant envie » ; « Au tens pascor ». [JEHAN ERART] ; « Contre le tens que je voi qui repere » ; « M'amors je fui norris » ; « Qui bien aime à tart oublie » ; « Mere au roi puissant » ; « Lonc tens ai usé » ; « Prion en chantant » ; « On doit la mere Dieu honorer » ; « Chanter vos woil de la virge Marie » ; « De la tres douce Marie voil chanter » ; « Mout sera cil bien norris » ; « Fox est qui en folie ». « Li QUENS DE BRETAIGNE » ; « Bernart à vous weil demander » ; « Chanter me fet ma dame que j'aim tant » ; « Nouviaument m'est pris envie » ; « Longuement ai esté pensis » ; « Haute chanson de haute estoire di » ; Chanson anonyme : ; « Je feré chançon novelle » ; 2° « Li Romans du vergier et de l'arbre d'amours » ; 3° « ADANS DE LE HALE »
Resumo:
Fragment 2 :Col. 1 + vignette : chapitre 98 (formule pour aller chercher le bac dans le ciel). La vignette montre une divinité assise dans la barque solaire.Col. 2 + vignette : chapitre 100 (livre pour rendre parfait un bienheureux et permettre qu'il descende dans la barque de Rê avec Ceux qui sont dans sa suite). La vignette montre le défunt sur une barque solaire avec un phénix. Osiris est debout à droite de la barque.Col. 3 + vignette : chapitre 108 (formule pour connaître les bas des Occidentaux). La vignette montre le défunt en adoration devant deux divinités assises et un serpent.Fragment 1 :Col. 1 + vignette : chapitre 109 (?) (formule pour connaître les bas des Orientaux). La vignette montre une barque solaire avec une vache, une divinité à tête de faucon coiffée d'un disque solaire et du signe divin et une divinité à tête de saurien.Col. 2 : scène figurée du chapitre 110 représentant les champs de souchets dans l'au-delà.
Resumo:
Col. 1, x+1-11 et vignette : chapitre 54 avec titre en lacune ("Formule pour donner la brise au défunt dans la nécropole"). La vignette montre le défunt debout, le signe du vent à la main.Col. 1, x+12-19 et vignette : chapitre 59 avec titre rubriqué, "(Formule pour vivre de la brise) et avoir de l'eau dans la nécropole". Le défunt assis reçoit de l'eau de la déesse Nout qui émerge d'un sycomore.Col. 2, x+1-10 et vignette : chapitre 63A avec titre en lacune (Formule pour boire de l'eau et ne pas être desséché par le feu). La vignette montre le défunt avec un petit pot à eau dans chaque main, devant une lampe.col. 2, x+11-22 et vignette : chapitre 71 avec titre rubriqué : "Formule pour sortir au jour, repousser les voleurs, et empêcher qu'un homme ne retraverse depuis la nécropole". La vignette montre une statue de vache et une statue de faucon aux ailes écartées. Col. 3, x+1-8 et vignette : chapitre 74 avec titre en lacune ("Formule pour hâter le pas et sortir de terre"). Le défunt est debout avec son bâton devant un serpent à jambes.Col. 3, x+9-19 et vignette : chapitre 75 avec titre rubriqué "Formule pour se rendre à Héliopolis et y prendre place". Le défunt est debout avec son bâton devant un pilier-ioun, symbole héliopolitain.Col. 4, x+1-7 et vignette : chapitre 76 avec titre en lacune ("Formule pour prendre toutes les formes que l'on peut désirer prendre"). La vignette montre le défunt debout avec son bâton dans une main et un linge dans l'autre.Col. 4, x+8-20 et vignette : chapitre 77 avec titre rubrique : "Formule pour prendre la forme d'un Horus d'or". La vignette montre une statue d'Horus.Col. 5, x-1-8 et vignette : chapitre 81A avec titre en lacune ("Formule pour prendre la forme d'un lotus"). La vignette montre une tête émergeant d'une fleur de lotus.Col. 5, x+9-20 et vignette : chapitre 83 avec titre rubriqué : "Formule pour prendre l'aspect d'un phénix". La vignette montre un héron en place du phénix.Col. 6, x+1-10 et vignette : chapitre 100 avec titre en lacune ("Livre de glorifier le bienheureux et de faire qu'il descende dans la barque de Rê avec sa suite"). On voit dans la vignette un oiseau ba en adoration devant une figure assise ; tout deux se trouvent dans la barque solaire.Col. 6, x+10-18 et vignette : chapitre 101 avec titre rubriqué : "Formule pour protéger la barque de Rê". La vignette montre le défunt sur la barque solaire en train d'adorer Rê et Osiris.
Resumo:
Colonne 1 : trois vignettes sur trois registres. Sur la vignette supérieure, on voit le défunt en adoration devant Khépri, forme du dieu solaire, qui se trouve sur la barque solaire. La vignette du milieu montre le défunt en adoration devant Osiris assis sur son trône et assisté de Isis. La dernière vignette montre le défunt en adoration devant deux divinités assises, qui symbolisent l'Ennéade.Col. 2, x+1-11 et vignette : chapitre 111 (=108) avec titre en lacune ("Formule pour connaître les âmes de l'Occident"). La vignette montre le défunt en adoration devant deux divinité à tête de faucon.Col. 2, x+12-20 : chapitre 114 avec titre rubrique : "Formule pour connaître les âmes d'Hermopolis". La vignette montre le défunt devant Thot et une table d'offrandes.Col. 3, 1-10 et vignette : chapitre 117 avec titre rubriqué : "Formule (pour s'engager dans les chemins de Rosetchaou)". La vignette montre le défunt s'inclinant, le dos tourné vers une butte. Col. 3, 11-19 et vignette : chapitre 118 avec titre rubriqué : "Formule pour atteindre Rosetchaou". La vignette montre le défunt s'inclinant.Col. 4, 1-12 et vignette : chapitre 119 avec titre rubriqué : "Formule pour sortir de (Rosetchaou)". La vignette montre le défunt debout tourné vers la droite.Col. 4, 13-21 et vignette : chapitre 120 (=12) avec titre rubriqué : "Formule pour entrer et sortir de Rosetchaou". La vignette montre le défunt face à lui-même.Col. 5, 1-30 : début du chapitre 125, déclaration d'innocence.
Resumo:
Contient : « Oui, c'est un vice que j'ai [...] ». Brouillon correspondant à la fin de « Mauvais sang ». Au verso, « A Samarie [...] » ; « Fausse conversion ». Brouillon correspondant à « Nuit de l'enfer ». Au verso, « Bethsaïda [...] » ; « Enfin mon esprit [...] ». Brouillon correspondant à « Alchimie du verbe »