986 resultados para Conception en architecture
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
L'évolution de la conception personnelle de la discipline infirmière d'étudiants en soins infirmiers
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Peu d’écrits décrivent la conception personnelle de la discipline infirmière des étudiants ou son évolution. Pourtant, celle-ci guide la pratique des étudiants (Fawcett, 2002; Pepin, Kérouac, & Ducharme, 2010) et a des impacts sur leur persévérance dans leur formation (Spouse, 2000). Le but de cette recherche était d’explorer l’évolution de la conception personnelle de la discipline infirmière d’étudiants pendant leur formation collégiale. Ce mémoire présente une étude qualitative exploratoire fondée sur un cadre de référence liant le constructivisme radical (Glasersfeld, 1994) et le centre d’intérêt de la discipline (Pepin et al., 2010). Des entrevues individuelles ont été menées auprès de onze étudiants de première, troisième et cinquième sessions (n=11). Les données ont été analysées par questionnement analytique (Paillé & Mucchielli, 2010). Selon les participants, un soin « humain » est préalable aux « soins » de l’infirmier. Ils décrivent que l’infirmier guide une personne unique, détenant des capacités afin qu’elle accomplisse ses activités et prenne soin d’elle-même pour maintenir sa santé mentale et physique ; l’environnement hospitalier ne rejoint pas les conditions idéales identifiées par les participants. La compréhension des concepts centraux devient plus complexe durant leur formation. Les participants attribuent surtout ces changements à leurs expériences de stages. Finalement, la présente étude fournit des pistes aux enseignants afin qu’ils puissent soutenir l’apprentissage des conceptions de la discipline et orienter la construction d’une conception personnelle de la discipline infirmière utile à la pratique des étudiants.
L’identité en projets : ville, architecture et patrimoine. Analyse de concours à Québec et à Toronto
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Dans un contexte de globalisation et de profusion des discours identitaires, la thèse examine le concept d’identité, ses définitions et ses usages dans les débats et les pratiques de la ville, de l’architecture et du patrimoine. Les interventions sur un bâtiment historique révèlent autant le rapport identitaire de la société avec son histoire que celui avec le monde contemporain. La recherche traite de concours d’architecture dans deux villes canadiennes qui aspirent à se positionner à l’échelle internationale, l’une focalisant sur l’aspect contemporain global et l’autre sur l’aspect historique et local. L’objectif de la recherche est d’une part de contribuer au dévoilement du processus de construction identitaire des villes contemporaines à travers les projets d’architecture. D’autre part, il s’agit d’analyser le processus d’identification et l’identité architecturale dans son rapport à l’histoire et à la contemporanéité dans la pratique au sein de bâtiments historiques. La ville devient un objet de communication, qui use de marketing urbain, pour augmenter sa visibilité. L’architecture devient un moyen de communication utilisé pour transmettre une identité visuelle. La méthodologie combine l’analyse des discours, ainsi que l’analyse de l’architecture et de sa représentation. Le choix du concours du Centre d'accueil et d'interprétation de la Place-Royale à Québec (1996) et de l’agrandissement du Musée royal d’Ontario (2001) à Toronto permet d’appréhender les différentes facettes du concept d’identité et de révéler les enjeux locaux et internationaux. Le fait qu’il s’agisse de concours donne accès à un corpus de discours qui comprend les programmes, les politiques de la ville, les présentations des architectes et la réception. L’histoire de chaque concours ainsi que l’analyse sémantique des discours de la commande éclairent le rapport entre les processus et les intentions et permettent de mettre en lumière les enjeux locaux. L’analyse des discours textuels et visuels des architectes dévoile le processus d’identification des projets, les différents types de référents impliqués ainsi que les stratégies de communication employées. L’analyse des projets rend compte des caractéristiques de l’identité de l’architecture contemporaine et son rapport avec le patrimoine. La recherche dévoile l’importance des discours et de la communication dans la construction identitaire des villes en amont des concours ainsi que le débat sociétal que la question pose. Durant le processus d’identification architecturale, le biais induit par la commande amène une emphase et une surenchère des discours historiques par les architectes dans le cas de Québec. Les projets proposés misent sur une mise en scène de la ville historique et du patrimoine et focalisent sur l’expérience visuelle des visiteurs. Dans le cas de Toronto, l’intérêt pour l’aspect global et spectaculaire dans la construction identitaire de la ville en amont du concours, génère un engouement pour une représentation attractive des projets et pour une architecture iconique.
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La vectorisation des médicaments est une approche très prometteuse tant sur le plan médical qu’économique pour la livraison des substances actives ayant une faible biodisponibilité. Dans ce contexte, les polymères en étoile et les dendrimères, macromolécules symétriques et branchées, semblent être les solutions de vectorisation les plus attrayantes. En effet, ces structures peuvent combiner efficacement une stabilité élevée dans les milieux biologiques à une capacité d’encapsulation des principes actifs. Grâce à leur architecture bien définie, ils permettent d’atteindre un très haut niveau de reproductibilité de résultats, tout en évitant le problème de polydispersité. Bien que des nombreuses structures dendritiques aient été proposées ces dernières années, il est cependant à noter que la conception de nouveaux nanovecteurs dendritiques efficaces est toujours d’actualité. Ceci s’explique par des nombreuses raisons telles que celles liées à la biocompatibilité, l’efficacité d’encapsulation des agents thérapeutiques, ainsi que par des raisons économiques. Dans ce projet, de nouvelles macromolécules branchées biocompatibles ont été conçues, synthétisées et évaluées. Pour augmenter leur efficacité en tant qu’agents d’encapsulations des principes actifs hydrophobes, les structures de ces macromolécules incluent un coeur central hydrophobe à base de porphyrine, décanediol ou trioléine modifié et, également, une couche externe hydrophile à base d’acide succinique et de polyéthylène glycol. Le choix des éléments structuraux de futures dendrimères a été basé sur les données de biocompatibilité, les résultats de nos travaux de synthèse préliminaires, ainsi que les résultats de simulation in silico réalisée par une méthode de mécanique moléculaire. Ces travaux ont permis de choisir des composés les plus prometteurs pour former efficacement et d’une manière bien contrôlable des macromolécules polyesters. Ils ont aussi permis d’évaluer au préalable la capacité de futurs dendrimères de capter une molécule médicamenteuse (itraconazole). Durant cette étape, plusieurs nouveaux composés intermédiaires ont été obtenus. L’optimisation des conditions menant à des rendements réactionnels élevés a été réalisée. En se basant sur les travaux préliminaires, l’assemblage de nouveaux dendrimères de première et de deuxième génération a été effectué, en utilisant les approches de synthèse divergente et convergente. La structure de nouveaux composés a été prouvée par les techniques RMN du proton et du carbone 13C, spectroscopie FTIR, UV-Vis, analyse élémentaire, spectrométrie de masse et GPC. La biocompatibilité de produits a été évaluée par les tests de cytotoxicité avec le MTT sur les macrophages murins RAW-262.7. La capacité d’encapsuler les principes actifs hydrophobes a été étudiée par les tests avec l’itraconazole, un antifongique puissant mais peu biodisponible. La taille de nanoparticules formées dans les solutions aqueuses a été mesurée par la technique DLS. Ces mesures ont montré que toutes les structures dendritiques ont tendance à former des micelles, ce qui exclue leurs applications en tant que nanocapsules unimoléculaires. L’activité antifongique des formulations d’itraconazole encapsulé avec les dendrimères a été étudiée sur une espèce d’un champignon pathogène Candida albicans. Ces tests ont permis de conclure que pour assurer l’efficacité du traitement, un meilleur contrôle sur le relargage du principe actif était nécessaire.
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Introduction : L’approche par compétences est maintenant bien ancrée dans l’enseignement au niveau de la formation médicale postdoctorale. Dans ce contexte, un système de sélection également axé sur les compétences pourrait être avantageux. L’objectif principal de ce projet était de concevoir un TJS ciblant le rôle CanMEDS de collaborateur pour la sélection au niveau postdoctoral en médecine interne (MI) et en médecine familiale (MF). Méthodologie : Des entrevues d’incidents critiques ont été réalisées auprès de résidents juniors en MI ou en MF afin de générer les items du TJS. Trois leaders de l’approche par compétences ont révisé le contenu du test. Les items ont été analysés pour identifier la compétence principale du rôle CanMEDS de collaborateur, le contexte ainsi que les membres de l’équipe interprofessionnelle représentés dans les vignettes. La clé de correction a été déterminée par un panel composé de 11 experts. Cinq méthodes de notation ont été comparées. Résultats : Sept entrevues ont été réalisées. Après révision, 33 items ont été conservés dans le TJS. Les compétences clés du rôle CanMEDS de collaborateur, les contextes et les divers membres de l’équipe interprofessionnelle étaient bien distribués au travers des items. La moyenne des scores des experts variait entre 43,4 et 75,6 % en fonction des différentes méthodes de notation. Le coefficient de corrélation de Pearson entre les cinq méthodes de notation variait entre 0,80 et 0,98. Conclusion : Ce projet démontre la possibilité de concevoir un TJS utilisant le cadre CanMEDS comme trame de fond pour l’élaboration de son contenu. Ce test, couplé à une approche globale de sélection basée sur les compétences, pourrait éventuellement améliorer le pouvoir prédictif du processus de sélection au niveau de la formation médicale postdoctorale.
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La présente thèse porte sur les calculs utilisant la théorie de la fonctionnelle de la densité (DFT) pour simuler des systèmes dans lesquels les effets à longue portée sont importants. Une emphase particulière est mise sur les calculs des énergies d’excitations, tout particulièrement dans le cadre des applications photovoltaïques. Cette thèse aborde ces calculs sous deux angles. Tout d’abord, des outils DFT déjà bien établis seront utilisés pour simuler des systèmes d’intérêt expérimental. Par la suite, la théorie sous-jacente à la DFT sera explorée, ses limites seront identifiées et de nouveaux développements théoriques remédiant à ceux-ci seront proposés. Ainsi, dans la première partie de cette thèse, des calculs numériques utilisant la DFT et la théorie de la fonctionnelle de la densité dépendante du temps (TDDFT) telles qu’implémentées dans le logiciel Gaussian [1] sont faits avec des fonctionnelles courantes sur des molécules et des polymères d’intérêt expérimental. En particulier, le projet présenté dans le chapitre 2 explore l’utilisation de chaînes latérales pour optimiser les propriétés électroniques de polymères déjà couramment utilisés en photovoltaïque organique. Les résultats obtenus montrent qu’un choix judicieux de chaînes latérales permet de contrôler les propriétés électroniques de ces polymères et d’augmenter l’efficacité des cellules photovoltaïques les utilisant. Par la suite, le projet présenté dans le chapitre 3 utilise la TDDFT pour explorer les propriétés optiques de deux polymères, le poly-3-hexyl-thiophène (P3HT) et le poly-3-hexyl- sélénophène (P3HS), ainsi que leur mélange, dans le but d’appuyer les observations expérimentales indiquant la formation d’exciplexe dans ces derniers. Les calculs numériques effectués dans la première partie de cette thèse permettent de tirer plusieurs conclusions intéressantes, mais mettent également en évidence certaines limites de la DFT et de la TDDFT pour le traitement des états excités, dues au traitement approximatif de l’interaction coulombienne à longue portée. Ainsi, la deuxième partie de cette thèse revient aux fondements théoriques de la DFT. Plus précisément, dans le chapitre 4, une série de fonctionnelles modélisant plus précisément l’interaction coulombienne à longue portée grâce à une approche non-locale est élaborée. Ces fonctionnelles sont basées sur la WDA (weighted density approximation), qui est modifiée afin d’imposer plusieurs conditions exactes qui devraient être satisfaites par le trou d’échange. Ces fonctionnelles sont ensuite implémentées dans le logiciel Gaussian [1] et leurs performances sont évaluées grâce à des tests effectués sur une série de molécules et d’atomes. Les résultats obtenus indiquent que plusieurs de ces fonctionnelles donnent de meilleurs résultats que la WDA. De plus, ils permettrent de discuter de l’importance relative de satisfaire chacune des conditions exactes.
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Resulta imposible disociar la evolución de la arquitectura de Enric Miralles de lo que fue el desarrollo de un sistema de representación propio. Partiendo de una posición heredada de su formación en la Escuela de Arquitectura de Barcelona y de su práctica en el estudio Viaplana-Piñón, donde adquiere el gusto por la precisión en el dibujo técnico, la delineación sobre papel vegetal o el grafismo constituido exclusivamente a base de líneas del mismo grosor, Miralles pronto evoluciona hacia un método caracterizado por un personal uso del sistema diédrico, vinculado a una concepción fragmentaria de la planta de arquitectura y del espacio mismo. Miralles proyectará por fragmentos de planta, asignándoles una geometría característica para diferenciarlos entre sí y desarrollar su espacialidad y sección con cierta autonomía, a través de planos y maquetas independientes. Gran parte de la arquitectura que elabora con Carme Pinós, en solitario o con Benedetta Tagliabue, estará compuesta por colecciones de piezas heterogéneas herederas de los fragmentos de la planta original, que encajan entre sí no en base a esquemas clásicos de integración subordinada o jerárquica, sino a través de posiciones relativas de yuxtaposición o superposición, caracterizadas por una ausencia de compacidad en la solución de conjunto. Este sistema de representación se apoya por tanto en la geometría como mecanismo de diferenciación por piezas, se basa en la fragmentación del diédrico desde la fragmentación de la planta, y en la falta de compacidad como soporte de pensamiento separativo. Un sistema que se define como “planta Miralles”, término que incluye todas las técnicas de representación empleadas por el arquitecto, desde planos a maquetas, pero que enfatiza la importancia estratégica de la planta como origen y guía del proyecto de arquitectura. La tesis se estructura en los tres primeros capítulos como un corolario de las categorías enunciadas, explicando, en orden cronológico a través de los proyectos, la evolución de la geometría, la utilización del diédrico, y el impacto de la falta de compacidad en la obra construida. Mientras que estos capítulos son globales, se refieren a la trayectoria de este método en su totalidad, el cuarto y último es un estudio de detalle de su aplicación en un proyecto particular, el Ayuntamiento de Utrecht, a través de los dibujos originales de Miralles. Tanto en la explicación global como en el estudio de detalle de este sistema de representación, la tesis pone de manifiesto su instrumentalidad en el pensamiento de esta arquitectura, argumentando que ésta no podría haber sido desarrollada sin la existencia del mismo. La relación entre representación y pensamiento es por tanto un tema capital para explicar esta obra. No obstante, hasta la fecha, las referencias al mismo en la bibliografía disponible no han pasado de ser una colección de opiniones dispersas, incapaces de construir por sí mismas un cuerpo estructurado y coherente de conocimiento. Se ha insistido sobremanera en el análisis y contextualización de los proyectos individuales, y poco en el estudio de la técnica proyectual utilizada para pensarlos y llevarlos a cabo. En definitiva, se han priorizado los resultados frente a los procesos creativos, existiendo por tanto un inexplicable vacío teórico respecto a un tema de gran importancia. Este vacío es el marco donde se inserta la necesidad de esta tesis doctoral. La investigación que aquí se presenta explica el origen y evolución del sistema de representación de Enric Miralles, desde su etapa como estudiante en la Escuela de Arquitectura de Barcelona hasta los últimos proyectos que elabora con Benedetta Tagliabue, así como el estudio de sus consecuencias en la obra construida. Termina concluyendo que su desarrollo es paralelo al de la arquitectura de Miralles, poniendo de manifiesto su vinculación y mutua interdependencia. ABSTRACT It is impossible to dissociate the evolution of the architecture of Enric Miralles from the development of his own system of representation. Starting from a position inherited from his training at the Barcelona School of Architecture and his practice at the office of Viaplana-Piñón, where he acquires a liking for precision in drafting and a graphic style based exclusively on lines of the same thickness, Miralles soon moves into a method defined by a customized use of the dihedral system, connected to a fragmented conception of the floorplan and space itself. Breaking up the floorplan into multiple fragments, Miralles will design an architecture where each of them has a unique shape and geometry, developing their sections and spatial qualities with a certain degree of autonomy within the whole, through separate plans and models. Many of the projects he designs with Carme Pinós, individually or with Benedetta Tagliabue, will consist of collections of heterogeneous pieces, heirs of the original floorplan fragments, which do not fit together according to classical principles of subordinate or hierarchical integration, but based on relative positions of juxtaposition or superposition that lead to a lack of compactness in the overall scheme. This system of representation is thus based on the use of geometry as a way of differentiating architectural pieces, on the fragmentation of the dihedral system from the fragmentation of the floorplan, and on a lack of compactness as a device of separative thinking. This system is defined as “Miralles plan”, a term that includes all techniques of representation used by the architect, from plans to models, and that emphasizes the particular importance of the floorplan as the guiding force of the design process. The first three chapters of the thesis have been structured as a corollary of these categories, explaining, in chronological order through Miralles’ projects, the evolution of geometry, the customization of the dihedral system, and the impact of the lack of compactness on the built work. While these three chapters are global, for they refer to the overall evolution of this system, the fourth and last one is a case study of its application to a particular project, the Utrecht Town Hall, through Miralles’ original drawings. Both in the global and particular explanations of this system of representation, the thesis highlights its instrumentality in the process of thinking this architecture, arguing that it could not have been designed without its parallel development. The relationship between thinking and representation is therefore a key issue to explain this architecture. However, to date, existing references to it in the available literature have not evolved from a collection of scattered opinions, unable to build for themselves a structured and coherent body of knowledge. Great emphasis has been put on the critical contextualization of this architecture through the analysis of the projects themselves, but little on the study of the design technique used to think and carry them out. Results have been prioritized over creative processes, existing therefore an inexplicable theoretical void on an issue of great importance. This void is the conceptual framework where the need for this thesis is inserted. This research explains the origin and evolution of Enric Miralles’ system of representation, from his time as student at the Barcelona School of Architecture to the last projects he designed with Benedetta Tagliabue, as well as the study of its impact on the built work. It concludes that the development of this system runs parallel to that of the architecture it is used for, making it explicit its indissolubility and mutual interdependence.
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La energía es ya un tema arquitectónico, pero su incorporación al proyecto ha sido hasta ahora fundamentalmente técnica, dando pie a una especie de funcionalismo ecológico cuyo destino es acaso repetir los errores de los viejos funcionalismos en su confianza de encontrar modos ‘objetivos’ de transmutar la energía en forma construida, pero sin que en tal proceso parezca haber hueco para mediaciones de tipo estético. Sin embargo, son precisamente tales mediaciones las que necesitan analizarse para que la adopción de los temas energéticos resulte fructífera en la arquitectura, y asimismo para dar cuenta de otras perspectivas complementarias —filosóficas, científicas, artísticas— que hoy forman el complejo campo semántico de la energía. Partiendo de la fecha de 1750 —que da comienzo simbólicamente al proceso de contaminaciones ‘modernas’ entre la arquitectura y otras disciplinas—, esta tesis analiza los diferentes modos con los que proyectos y edificios han expresado literal y analógicamente ciertos temas o ideales energéticos, demostrando la existencia de una ‘estética de la energía’ en la arquitectura y también de una tradición proyectual e intelectual sostenida en ella. Con este fin, se han seleccionados siete metáforas que vinculan tanto técnica como ideológicamente a la arquitectura con la energía: la metáfora de la máquina, asociada al ideal de movimiento y la autorregulación; las metáforas del arabesco, del cristal y del organismo, afines entre sí en su modo de dar cuenta del principio de la morfogénesis o energía creadora de la naturaleza; la metáfora de la actividad interna de los materiales; la metáfora del gradiente, que expresa la condición térmica y climática de la arquitectura, y, finalmente, la de la atmósfera que, recogiendo los sentidos anteriores, los actualiza en el contexto de la estética contemporánea. La selección de estas siete metáforas se ha llevado a cabo después de un barrido exhaustivo de la bibliografía precedente, y ha estructurado un relato cuyo método combina la perspectiva general —que permite cartografiar las continuidades históricas— con la cercana —que atiende a las problemas específicos de cada tema o metáfora—, complementándolas con una aproximación de sesgo iconográfico cuyo propósito es incidir en los vínculos que se dan entre lo ideológico y lo morfológico. El análisis ha puesto de manifiesto cómo detrás de cada una de estas metáforas se oculta un principio ideológico común —la justificación de la arquitectura desde planteamientos externos procedentes de la ciencia, la filosofía y el arte—, y cómo en cada uno de los casos estudiados las asimilaciones más fructíferas de la energía se han producido según mecanismos de mímesis analógica que inciden más en los procesos que en las formas que estos generan, y que en último término son de índole estética, lo cual constituye un indicio de los métodos de la arquitectura por venir. ABSTRACT Although it is already an architectural theme, the matter of incorporating energy into projects has up to now been mainly technical, giving rise to a kind of ecological functionalism which may be bound to old funcionalist mistakes in hopes of finding “objective” ways of transmuting energy into built forms without aesthetic considerations. However, it is precisely such considerations that need to be analyzed if the adoption of energy issues in architecture is to bear fruit and also to account for other complementary perspectives – philosophical, scientific, artistic – which today form the complex fabric of the energy semantic field. Beginning in 1750 – symbolic start of ‘modern’ contaminations between architecture and other disciplines –, this thesis analyzes the different ways in which projects and buildings have literally and analogically expressed certain subjects or ideals on energy, and demonstrates the existence of an “aesthetics of energy” in architecture, as well as of an intellectual and design tradition based on such aesthetics. For this purpose, seven metaphors are selected to link energy to architecture both technically and ideologically: the machine’s metaphor, associated with the ideal of mouvement and self-regulation; the arabesque, glass and the organism’s metaphors, which account for the morphogenesis principle, i.e. creative energy of nature; the metaphor linked to matter and the ideal of internal activity; the gradient’s metaphor, which expressed the thermal and climatic condition of architecture, and, finally, that of the atmosphere which, collecting the above meanings, updates them in the context of contemporary aesthetics. The selection of these seven metaphors was carried out after a thorough scan of the preceding literature, and has structured a reasoning that combines the overview method – which accounts for historical continuities – with the nearby one – which meets the specifics problems of each theme or metaphor –, both supplemented with an iconographic bias, the purpose of which is to visually express the links existing between the ideological and the morphological. So presented, the analysis shows how, behind each of these metaphors, lies a common ideological principle – the justification of architecture from scientific, philosophical and artistic “external” angles –, and how in each of the studied cases the most successful assimilation of energy were those produced by aesthetic mechanisms of analogical mimesis not focused in forms but in processes that generate them: an indication of the methods of architecture to come.
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La introducción de la automatización de servicios en los edificios de vivienda comenzó a implementarse a finales del siglo XX. Desde entonces, los edificios que incluyen instalaciones completas de automatización suelen conocerse como edificios domotizados o edificios inteligentes e implican la introducción en la arquitectura de tecnologías que hasta la fecha eran ajenas a ésta. El diseño de estos nuevos edificios de viviendas implica cada vez más el trabajo de equipos multidisciplinares y exige por parte del arquitecto la adquisición de nuevos conocimientos y herramientas proyectuales que aseguren la viabilidad constructiva de dichos servicios de automatización doméstica. La presente tesis tiene como objetivo determinar la influencia de la automatización de servicios domésticos en la fase de proyecto constructivo de los edificios para finalmente ofrecer al arquitecto herramientas, criterios y una metodología que le ayude a proyectar estos edificios satisfactoriamente. Esta influencia se evalúa y determina en función de los condicionantes constructivos, que se definen como aquellas consideraciones que el proyectista puede tener en cuenta en la fase de diseño o de concepción de un edificio. La metodología utilizada en esta investigación incluye el análisis conceptual y de contenidos de documentos normativos, técnicos, y de investigación así como un estudio de mercado de las aplicaciones más habituales en domótica. Finalmente la investigación se centra en la envolvente interior del edificio para determinar la influencia de los servicios de domotización no convencionales en el proyecto arquitectónico. Al margen de las aportaciones teóricas de esta investigación, las cuales se han propuesto para afianzar el marco teórico de la disciplina, los resultados obtenidos constatan que dicha influencia en la fase de proyecto existe y que es posible detectar qué condicionantes constructivos se derivan de la normativa de aplicación en este tipo de proyectos, de las nuevas tecnologías implicadas en las instalaciones de automatización y de los esfuerzos de estandarización de las asociaciones de empresas en el campo de la domótica. ABSTRACT The automation of services in residential buildings (also called home automation) began to be implemented in the late twentieth century. Since then, those buildings with full automation services are often known as intelligent buildings or smart buildings, and they imply the introduction into the architecture of technologies that where foreign to the field until then. The design of these new residential buildings increasingly involves the need of multidisciplinary teams and requires the architect to acquire new knowledge and project tools in order to ensure the constructability of such home automation services. This thesis pretends to determine the impact and influence of the introduction of home automation services in the design stage of residential buildings in order to, finally, provide the architect with the tools, criteria and methodology to help him design such projects successfully. This impact is evaluated and determined by the constructive constraints or factors implied, which are defined as those considerations that the designer may take into account in the conception and design stage of the project. The methodology used in this research includes conceptual and content analysis applied to normative and technical documents, regulatory standards and research papers, as well as a market survey of the most common applications and services in home automation. Finally, the investigation focuses on the inner partitions of the building to determine the influence of unconventional domotics services in the architectural design. Besides the theoretical contributions of this research, which have been proposed to strengthen the theoretical framework of the discipline, the achieved results find that such influence in the design stage exists and that it is possible to detect which constructive constraints are derived from the application of building regulations, from the new technologies involved in home automation facilities or from the standardization efforts of the joint ventures in the field of home automation.
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Esta investigación tiene por fin poner en valor la obra del arquitecto chileno Luciano Kulczewski, profesional que cumplió un rol clave y distintivo en la primera mitad del siglo XX, considerado como un período crucial para el desarrollo de la arquitectura nacional, ya que es el momento en que se produce el advenimiento de la modernidad en el país. Si bien su figura goza de un gran reconocimiento, solamente una parte de su obra es (re)conocida por la historiografía nacional. Su labor en el libre ejercicio de la profesión, como asimismo los distintos cargos administrativos y políticos que desempeñó en su vida, hacían suponer un corpus más amplio, como finalmente se pudo constatar en este estudio. El amplio catastro documentado permitió fehacientemente identificar el rol y el significado que esta obra cumpliera en la transición que hizo posible dejar atrás los valores impuesto por el Academicismo, para incorporar los procesos de modernización en los distintos ámbitos de la arquitectura. Por tanto, el quehacer de Kulczewski se reveló como ejemplar y paradigmático. Una de las ilustraciones más elocuentes a este respecto fue la precursora realización de edificios en altura para uso residencial. Esta tipología lo obligó a trabajar con nuevos materiales y técnicas constructivas, junto a la necesidad de introducir las modernas tecnologías que estos portentos arquitectónicos requerían para su funcionamiento, como era el uso de ascensores y los sistemas de calefacción centralizada. El estudio del contexto urbano de sus obras permitió dar cuenta también de los procesos que estaban convirtiendo a las principales ciudades del país en urbes ‘modernas’. En este ámbito, destaca la nueva concepción urbanística que llegaba vinculada a los barrios-jardín, que contrariamente a lo establecido por el urbanismo tradicional, implicó inéditas maneras de articular la ciudad y el empleo de nuevas tipologías residenciales. Estas concepciones de ciudad encontraron eco principalmente en las urbanizaciones que se estaban realizando en las nuevas comunas de la capital, contexto elegido por el arquitecto para llevar a cabo algunos innovadores conjuntos habitacionales, hoy considerados modélicos, y que estaban destinados a un nuevo estrato social empoderado y demandante: la clase media. Su particular preocupación por las cuestiones sociales, las que entraron en crisis con el devenir del siglo XX, lo llevaron a desarrollar una activa vida política, que culminó con un importante puesto administrativo en el primer Gobierno Radical que tuvo lugar en el país. Desde esa posición, pudo gestionar y dar solución apropiada a la urgente necesidad de viviendas obreras que requería el país, creando los primeros edificios colectivos destinados a este grupo social. Esto a la vez supuso un acercamiento más sustancial a las nuevas propuestas vinculadas al Movimiento Moderno. En conclusión, su quehacer hizo eco de los estilos vanguardistas y modernos que arribaron provenientes de Europa, pero reconociendo las realidades propias del país, de tal forma que la apropiación, y no la reproducción, fue su sello. En este proceso de adecuación al medio local, los modelos foráneos se desprenderán de muchas de sus principios rectores originales, lo que sumado a la impronta de un imaginario propio y original, convierten a sus creaciones en un caso singular en el contexto del la arquitectura chilena. ABSTRACT This research aims to add value to the work of Chilean architect Luciano Kulczewski, a professional who accomplished a key and distinctive role in the first half of the twentieth century, which is considered as a crucial period for the development of the Chilean architecture, since it corresponds to the arrive of Modernity in this country. While his figure is widely recognized, only a portion of his oeuvre is known (or acknowledged) by national historiography. Because of his work as a freelance professional and another administrative and political position he held in his life, it is possible to assume a larger corpus, as it was finally confirmed by this study. The copious documented cadastre allowed convincingly to identify the role and significance that this work fulfilled in the transition that made possible leaving behind the values imposed by Academicism, and thus to incorporate the modernization processes in the different fields of architecture. Therefore, the work of Kulczewski revealed itself as exemplary and paradigmatic. One of the most eloquent illustrations to this regard was the pioneering construction of high-rise buildings with a residential purpose. This typology drove him to work with new materials and constructive techniques, alongside with the need of introducing new modern technologies required by these architectonical advances for its operations, like the use of elevators and central heating systems. The study of the urban context of his work allowed also accounting the processes the major cities of the country went through in order to become 'modern' cities. In this context, it stands out the new urban conception linked to the idea of garden city, which was contrary to the practices of the traditional urbanism, and that implied new ways of articulating the city and that the use of new residential typologies. These urban notions were mainly echoed in the urbanizations that were made in the new districts of the city, scenario chosen by the architect for the concretion of innovative housing projects, nowadays thought as paradigmatic, and that were oriented for a new empowered and demanding social group: the middle class. His particular concern for social issues, which ones came into crisis with the arrival of the twentieth century, led him to take an active political role, culminating with an important administrative position in the first Radical Government that took place in the country. From that position, he could manage and provide adequate solutions to the urgent worker’s housing needs that required the country, creating the first collective buildings for this social group. This supposed a more substantial approach to new proposals of the Modern Movement. To conclude, his oeuvre was influenced by the avant-garde and modern styles that arrived from Europe, but with the proper adjustments to the local requirements, so that it is possible to say that appropriation more than reproduction was his hallmark. In this process, these features were transformed in order to get more flexibility for their adaptation to the Chilean needs that added to a personal and peculiar imaginary, which transformed his works into a unique case in the national architecture history.
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Memory is an indispensable tool for all architects. An architect without memory is worthless or less than worthless.
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Esta investigación se centra en el estudio de la dimensión audiovisual de la arquitectura, como aproximación intersensorial a la aprehensión e ideación del espacio. Poniendo en evidencia la complejidad de la relación hombre-medio, se plantea la necesidad de desarrollar nuevas metodologías y herramientas que tengan en cuenta dicha complejidad y que favorezcan el desarrollo del proyecto. Nos mueve en esta investigación la convicción de que los cambios rápidos y profundos que caracterizan nuestros tiempos en todos los ámbitos, social, económico, político… entrañan inevita-blemente nuevos modos de conocimiento y experimentación del espacio, y por tanto nuevos ejes de investigación. La creciente valoración, en todos los campos del conocimiento, de los aspectos subjetivos y sensoriales, el desarrollo de las tecnologías que ha cambiado completamente nuestras relaciones interpersonales y con el entorno, las nuevas capacidades de análisis, grabación y conservación y manipulación de datos y por ultimo, aunque no menos importante, la puesta a disposición democrá¬tica y global de todo el saber a través de Internet, imponen otra aproximación al hacer, concebir y vivir la arquitectura. Esta investigación se centra en un análisis crítico del estado de la cuestión, construyendo nue¬vas redes de relación entre disciplinas, que permitan plantear la dimensión audiovisual como un nuevo eje de investigación dentro de la arquitectura, poniendo en evidencia la necesidad de desa¬rrollar análisis de forma trasversal e interdisciplinar. Hemos prestado particular atención a la evolución de lo sonoro y su aproximación cualitativa a la arquitectura, mostrando como el sonido, con su capacidad de introducir el tiempo y los aspectos dinámicos (el movimiento, la presencia del cuerpo…), no es simplemente otro canal sensorial en la aprehensión del espacio, ya que su interacción con lo visual genera un espacio-tiempo indisociable, propio, característico de cada momento y lugar. A partir de este planteamiento se ha hecho una revisión metodológica dirigida a utilizar el reco¬rrido como herramienta de análisis, que permita estudiar la relación entre el espacio, la acción y la percepción audio-visual, cruzando para ello los datos correspondientes a la morfología del espacio, con los datos de la experiencia perceptiva individual y con los de los usos colectivos del espacio, utilizándose finalmente el video como un herramienta, no sólo de representación de lo real, sino también como instrumento de análisis, que permite tomar datos (grabaciones audio, video, obser¬vaciones…), aislarlos, estudiarlos, clasificarlos, ordenarlos, y finalmente, restituirlos mediante el montaje. Se ha realizado una primera experimentación “in situ” que ha servido para explorar la aplicación del método, planteando nuevas preguntas y abriendo líneas de análisis para ulteriores investigacio¬nes. ABSTRACT This research is focused on the study of the audiovisual dimension of architecture, as an in¬tersensorial approach to space apprehension and design. It is posed the necessity to develop new methodologies and tools that keep this complexity, as a contribution to the development of a project, by means of putting into evidence the sophistication of the relationship between man and media The research moves us to the conviction that the quick and relevant changes that confer a distinc-tion to these contemporary times all over the social, economic and political environments, involve, unavoidably, new ways of knowledge and experimentation on space, and therefore, new trends of research. The growing valuation of subjective and sensorial aspects all over the fields of the knowledge and the development of the technologies that have changed completely our interpersonal and environmental relationships, the new tools for analysis, recording, conservation and manipulation of data and, last but not least, the setting to democratic and global availability of the whole knowledge through Inter¬net, impose another approach to the making, conception and experience of architecture. This research deals with a critical analysis of the state–of- the-art of the matter, modelling new webs of relationship among disciplines that allow to outline the audiovisual dimension as a new focus of research on architecture, putting evidence into practice as it is necessary to develop any analysis in a transversal and interdisciplinary way. It is paid a special attention to the evolution of sound objects and their qualitative approach to ar¬chitecture, showing how sound, with its capacity to transmit time and dynamic aspects of things (movement, the presence of the body), it is not simply another sensorial channel in the apprehension of space, since its interaction with the visual thing generates an undetachable association of space and time, an specific one of every moment and place. Starting from this position a methodological revision has been made leading to use a walk as a tool for analysis that allows to study the relationship among the space, the action and the audio-visual perception, by means of crossing data corresponding to the morphology of space, with the data of a perceptive experience from the perspective of an individual observer and with those of the collective uses of the space, as video has been finally used as a tool, not only as a representation of the real thing, but also as a tool for analysis that allows to take isolated data (audio recordings, video, obser¬vations), to be studied, classified, and put into their appropriate place, and finally, to restore them by means of a multimedia set up. A first experimentation in situ has been carried out, being useful to explore a method of appli¬cation, outlining new questions and beginning with new ways of analysis for further research.
Resumo:
Resulta posible extraer una constante en los proyectos de Rem Koolhaas / OMA, un sistema de bandas, al que a menudo recurre, como estructura de organización programática. Su germen en "The Berlin Wall as Architecture", su conexión con Delirious New York, y la persistencia hasta los grandes propuestas desarrolladas en los últimos años como el LACMA (2001), la Biblioteca de Seattle(1999-04) o el CCTV(2002-8). El presente trabajo se desarrolla bajo una doble hipótesis: La primera es que este esquema de organización se pone en valor originalmente en la aproximación a “The Berlin Wall as Architecture" que Koolhaas realiza en el 1971 como estudiante en la A.A. Y la segunda, que este sistema de bandas programáticas, va transformándose, desde su concepción como esquema organizativo en la Spear House (1974), a diagrama operativo en proyectos como la Villette (1982), Melun- Sénart (1987), ZKM (1989), hasta un sistema de bandas con connotaciones más figurativas que estratégicas en la Biblioteca de Seattle, y al que Peter Eisenman se referirá como diagrama icónico. Para realizar este estudio, se opera con una selección de obras representativas, a partir de esta constante (sistema de bandas) para analizar en qué medida aparece y se transforma. EN It is possible to extract extract a constant in Rem Koolhaas / OMA´s projects, a system of bands, which often resorts such as programmatic organization structure. The germ in "The Berlin Wall as Architecture"(1971), his connection with Delirious New York(1972-78), and persistence to large proposals developed in recent years as the LACMA (2001), the Seattle Library (1999- 1904) or the CCTV (2002-8). This work was conducted under a double hypothesis: The first is that this organizational scheme is put in value approach originally in "The Berlin Wall as Architecture" Koolhaas made in 1971 as a student at the AA.Tthe second, which this band program system, is transformed, from its conception as organizational scheme in Spear House (1974), a chart operating in projects such as Villette (1982), Melun sénart (1987), ZKM (1989), to a system bands with figurative connotations strategic Seattle Library, and Peter Eisenman referred as iconic diagram. For this study, it operates with a selection of representative works from this constant (band system) to analyze to what extent appears and transforms.
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El "Anclaje y Ajuste", una herramienta de Marketing para analizar el poder de las referencias en el Arte, el Diseño y la Arquitectura = "Anchoring and Adjustment", a Marketing tool to analyse references in Art, Design and Architecture
Resumo:
El taller de proyectos constituye el núcleo de la enseñanza arquitectónica. Estudiar sus procesos educativos en la actualidad implica la contextualización teórica del acto educativo y la revisión histórica de la evolución de su estructura social. Esta estructura, es heredera de la larga tradición del taller donde los maestros de obra, artesanos, arquitectos y artistas, se ocupaban desde siempre de la enseñanza de la construcción, de la artesanía, del diseño arquitectónico y del arte. Los aprendices se sometían a la autoridad de sus maestros y pasaban horas practicando, produciendo y aprendiendo junto a ellos. Con la aparición de las primeras Academias de arte y posteriormente de arquitectura, se evidenció un progresivo interés de los Estados hacía los productos artísticos y arquitectónicos. La consideración de las artes y de la arquitectura como proyecto estatal, supuso la construcción lenta, pero consolidable, de un proyecto educativo paralelo, coexistiendo simultáneamente con los talleres de los maestros, pero sin posibilidad de integración, hasta mucho más tarde. La “teoría”, que es de lo que se ocupaba la academia, con la “práctica” que es lo que se desarrollaba en el taller, no encontraban fácilmente la manera de encajarse y complementarse mutuamente en un proyecto educativo común. Las concepciones educativas de ambos, afrontaban la enseñanza y el aprendizaje desde puntos de vista también diferentes; mientras la Academia representaba el conocimiento validado y explicitado, en el taller se trabajaba con un conocimiento tácito e implícito. En la práctica artística del taller era donde se producía el aprendizaje mientras que en la Academia es donde se validaba. Esta estructura llegó en muchas ocasiones a situaciones extremas, no siendo casual que las más grandes crisis registradas en la historia de la enseñanza de las artes, coincidieran con un aumento de la distancia entre estas dos “instituciones”, talleres y academias. Por otra parte, parece que cualquier proyecto o concepto innovador, se ha fundado sobre la redistribución de estos equilibrios perdidos. En dicho contexto, en el campo de la educación y especialmente en el siglo XX, surge un debate que se estructura en base a los fines de la educación, contemplando dos posturas bien diferenciadas. Una de ellas sostiene como fin primordial de la educación, el desarrollo de la conciencia y la reciprocidad social del individuo. La otra, fija como fin el desarrollo de su singularidad. La búsqueda del equilibrio entre ambas, parte del interés por fomentar el crecimiento de lo que cada ser humano posee de individual, armonizándolo con la unidad orgánica del grupo social al que pertenece (Read 2010, 33). Sobre esta tensión se han basado muchos de los discursos pedagógicos y especialmente los aquí usados. La estructura social en los talleres de proyectos arquitectónicos, presenta hoy día una máxima integración entre las dos instituciones, el taller y la Academia, tanto a nivel del espacio, donde tiene lugar la enseñanza, como a nivel conceptual y pedagógico. Los talleres de proyectos poseen un formato de enseñanza y aprendizaje que constituye un paradigma (Schön, 2008) no solo dentro, sino también fuera del campo arquitectónico. Bajo este formato se complementa el aprendizaje práctico con el teórico y la producción, con la validación del conocimiento. Aunque tal estructura pedagógica presenta importantes variaciones entre unas escuelas de arquitectura y otras, los principales procesos que tienen lugar, son lo suficientemente similares, como para poder ser examinados desde una perspectiva común. Esta investigación, estudia el taller de proyectos desde un aspecto pedagógico, que contempla tanto los discursos educativos, como la historia de la evolución del taller como constructo social. El análisis se estructura sobre los elementos fundantes del acto didáctico: un sujeto que aprende, un sujeto que enseña, un método, la estrategia o procedimiento a través del que se enseña, un contenido y el propio acto docente (Sánchez Cerezo, 1994, 530). Además, se han añadido otros dos elementos que se consideran fundamentales para llevar a cabo el estudio: el contexto de la enseñanza, tanto el tangible como el intangible y la evaluación de la enseñanza y del aprendizaje. El caso de estudio de la presente investigación se sitúa en la Escuela de Arquitectura de Madrid en la actualidad. Sin embargo, no se pretende generar un retrato exacto de esta institución sino utilizarla como ejemplo principal en el desarrollo de los capítulos del método, contenido, acto docente y contexto, en los que también se introducen ejemplos de otras escuelas de arquitectura que amplían los argumentos presentados que constituyen la contextualización teórica del acto pedagógico en los talleres de proyectos arquitectónicos. ABSTRACT Design studio constitutes the core of architectural education. To study its current educational processes involves a theoretical approach of its educational praxis and an historic revision of how its social structure evolved. This structure is inherited from the long tradition of the workshop in which master masons, craftsmen, architects and artists have always been in charge of teaching construction, crafts, architectural design and art. Apprentices were subjected to the authority of their teachers and spent hours practicing, producing and learning along with them. With the establishment of the first Academies of Art and later of Architecture, the interest of the State in artistic and architectural products started growing. The understanding of arts and architecture as a state project entailed the slow, but robust development of a parallel education project. This project coexisted with the masters’ workshops, without the possibility of integration between two, until much later. It was difficult to find a way to synthesize academic “theory” with workshop “practice”. The workshops’ and the Academy's conception about teaching and learning differed significantly. While the Academy represented a verified and explicit knowledge, the workshop worked with a tacit and implicit knowledge. The workshops produced education through artistic practice, while the the Academy organized and verified knowledge. This dual framework has on occasions reached extremes. It is no accident that the biggest known crises in the history of arts education coincide with an increase in the distance between these two "institutions", the workshops and Academies. Furthermore, it seems that most innovative concepts or projects have been founded on restoring the lost balance between the two. In this context, in the field of education, and especially during the 20th century, a debate that contemplated the purpose of education and resulted in two quite differentiated approaches, emerged,. One position claims as the primary purpose of education the development of social awareness and mutuality in individuals. The other approach sets as a purpose developing each student's uniqueness. The quest for the right balance between these two positions is based on the assumption that the general purpose of education is to foster the growth of what is individual in each human being, at the same time harmonizing the individuality thus educed with the organic unity of the social group to which the individual belongs (Read, 2010, 33). This tension forms the basis for many pedagogical discourses, especially the ones utilized in this dissertation. The social structure of architecture studios today demonstrates a very high level of integration between the two institutions, the workshop and the Academy, both in terms of space —where the teaching takes place— as well as on a conceptual and pedagogical level. Architecture studios today have developed a format for teaching and learning that has established a paradigm (Schön, 2008) , not only in architecture, but also in other fields. Under this paradigm, practical and theoretical learning, as well as production and verification of knowledge, complement each other. And although this pedagogical structure presents important variations among different schools of architecture, the principal processes that take place in the studio are sufficiently similar so as to be examined from a common perspective. This research examines the architecture studio from a pedagogical point of view, that takes into account both the educational discourses, as well as the historical evolution of the workshop as a social structure. The analysis presented here is structured on the fundamentals of the teaching act: an individual learning, an individual teaching, a method, strategy or procedure for teaching and learning, the content and the teaching act itself (Sánchez Cerezo, 1994, 530). Two extra elements that were considered essential for carrying out this study have also been added: the context in which teaching takes place, tangible as well as intangible, and the evaluation of teaching and learning. The Madrid School of Architecture in the present day served as a case study. However the aim is not to generate an accurate portrayal of this school but to use it as the principal example for the development of the chapters of method, content, teaching act and context. In addition to that, examples from other schools of architecture are introduced in order to further the presented arguments that constitute the theoretical contextualization of the pedagogical act in architecture studios.