990 resultados para Cabrera, Raimundo, 1852-1923.
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Tesis (Doctor en Ing. Eléctrica) U.A.N.L.
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Tesis (Doctor en Ciencias con acentuación en Manejo de Vida Silvestre y Desarrollo Sustentable) UANL, 2014.
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Ce mémoire présente une analyse indirecte détaillée des niveaux de la fécondité de la population canadienne au XIXe siècle. L’exploitation des recensements canadiens de 1852 et 1881 est rendue possible grâce au Programme de recherche en démographie historique (PRDH) constituant ainsi la source de données sur laquelle s'appuie ce mémoire. Une analyse critique du recensement canadien de 1852 établit qu’il est représentatif pour ce qui est de l’âge des individus, du sexe, de l’état matrimonial, du lieu de naissance et du type de maison habitée, malgré la destruction de près d’un tiers de ses manuscrits avant d’avoir été transposés sur microfilm. De plus, l’impact de l’absence totale ou partielle des données pour les villes est mitigé, car moins de 10 % de la population était établi en ville cette année-là. L’utilisation de micro-données censitaires permet d’élaborer différentes mesures de la fécondité, telles que le rapport enfants par femme et la méthode des enfants propres. Des résultats inédits sont d'ailleurs présentés, notamment à l’aide du recensement de 1852, car ces données n’ont pas encore été exploitées, permettant ainsi d’allonger dans le temps l’analyse de la fécondité.Une analyse différentielle du risque qu’ont les femmes mariées âgées entre 40 et 49 ans vivant avec un enfant de moins de 5 ans a démontré que la fécondité effective était plus élevée chez les femmes catholiques nées au Canada, appartenant au groupe d’âge plus jeune (40-44 ans), vivant en zone rurale et ayant un mari cultivateur. Nous concluons que ces associations sont évidentes autant en 1852 qu’en 1881.
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Marquée par la mise en place et par le développement graduel d’importantes transformations de type socioéconomique et démographique, la deuxième moitié du 19e siècle constitue le scénario à partir duquel nous analysons et comparons le phénomène de la mobilité sociale intergénérationnelle au Québec et en Ontario, plus précisément dans la période 1852-1881. Grâce à la disponibilité de bases de microdonnées censitaires largement représentatives de la population qui habitait dans chacune de ces deux provinces en 1852 et en 1881 ainsi qu’au développement récent d’une technique de jumelage automatique, nous avons réussi à obtenir un échantillon de 4226 individus jumelés entre les recensements canadiens de 1852 et de 1881. Ces individus sont les garçons âgés de 0 à 15 ans en 1852, qui habitaient majoritairement en milieu rural au Québec ou en Ontario et qui se trouvent dans l’échantillon de 20% du recensement canadien de 1852. Cet échantillon jumelé nous a permis d’observer les caractéristiques de la famille d’origine de ces garçons en 1852 – par exemple, le statut socioprofessionnel du père et la fréquentation scolaire – ainsi que leur propre statut socioprofessionnel (en tant qu’adultes) en 1881. Malgré certains défis posés par la disponibilité et le type de données ainsi que par la procédure de jumelage, cet échantillon illustre bien les changements majeurs qui ont eu lieu durant la période étudiée dans le marché du travail, soit le déclin du groupe des cultivateurs au profit des travailleurs non-manuels et des travailleurs manuels (surtout les qualifiés). De plus, cet échantillon nous a permis d’identifier que malgré le déclin du groupe des cultivateurs entre les pères (en 1852) et les fils (en 1881), l’agriculture aurait continué à être importante durant cette période et aurait même été ouverte à des individus ayant des origines socioprofessionnelles ou socioéconomiques différentes, c'est-à-dire, à des fils de non-cultivateurs. Cette importance soutenue et cette ouverture de l’agriculture semble avoir été plus importante en Ontario qu’au Québec, ce qui pourrait être associé aux différences entre les provinces en ce qui a trait aux caractéristiques et au développement du secteur agricole entre 1852 et 1881.
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À la fin du 19e siècle, le Japon inaugure une politique expansionniste qu’il mène avec succès contre la Chine, puis la Russie et enfin l’Allemagne. De 1895 à 1923, les forces armées japonaises cumulent les victoires militaires impressionnantes et indéniables. Contre toute attente, cependant, Tokyo peine à convertir ces triomphes en un capital politique qui lui assurerait le statut de puissance tant convoité et une paix durable, proche de l’hégémonie régionale. Pour expliquer cet échec politique, il n’est pas à regarder vers la mise en œuvre de guerres de revanche menées par les vaincus. Ce sont plutôt étonnamment des puissances étrangères au conflit qui viennent brimer les aspirations stratégiques du Japon. Parce qu’ils sont inquiets des impacts de la montée en puissance du Japon, des pays neutres comme des nations alliées à Tokyo font obstacles à la pleine exploitation des victoires. Mêlant menaces militaires et manœuvres diplomatiques, certains pays européens et les États-Unis réussissent à contrer les ambitions impériales japonaises, à refuser l’obtention du statut de puissance et à contester la reconnaissance de l’égalité raciale. Par le biais d’une analyse du premier impérialisme japonais, notre étude veut démontrer que l’intervention d’une tierce partie, non impliquée dans la guerre, peut obliger le vainqueur à reconsidérer comment il compte profiter de ses tributs de guerre. Pour qu’un traité de paix soit durable, celui-ci ne peut prendre naissance sans égard du contexte général, sans égard des intérêts des principaux acteurs internationaux de l’époque.
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En 1993, le Monument National aura cent ans. À l'aube de ce centenaire, qui correspond sensiblement à celui du théâtre professionnel francophone local, et alors que le Monument subit une importante cure de rajeunissement, l'occasion est belle de rappeler les faits saillants de cette institution à la carrière tourmentée. [...]
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Im Beitrag geht es um die Rekonstruktion der berufs- und bildungsbiographischen Entwicklungen zweier Mitglieder einer Lehrerkohorte, die nach dem Zweiten Weltkrieg den geschichtlichen Prozess ihres eigenen Lebens entdeckt und reflektiert haben. Dabei interessiert vor allem welche Versuche sie unternehmen, ihre Erinnerungen zu formen, eine eigene Identität auszubilden sowie Begriffe bzw. Erklärungsmuster für ihre Lebensgeschichten zu finden.
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Zusammenfassung zur Inaugural-Dissertation: Von „weiblichen Vollmenschen“ und Klassenkämpferinnen – Frauengeschichte und Frauenleitbilder in der proletarischen Frauenzeitschrift „Die Gleichheit“ (1891-1923). Die wissenschaftliche Bedeutung, die der SPD-Frauenzeitschrift „Die Gleichheit“ (1891-1923) als Quelle der Geschichte der Frauenbewegung zukommt, spiegelt sich weder in Darstellungen zur Geschichte der SPD noch in der Geschichtsschreibung der deutschen Frauenbewegung wider. Auch ist die „Gleichheit“, Presseorgan der organisierten proletarischen Frauenbewegung Deutschlands und der Sozialistischen Fraueninternationale, bisher kaum Gegenstand einer umfassenden publizistischen Analyse gewesen. Es galt daher, zumindest das Hauptblatt der „Gleichheit“, die an ihr beteiligten Personen, ihre Strukturen und ihr Selbstverständnis möglichst detailliert und anhand publizistischer Kriterien darzustellen. Wandlungen ihres Erscheinungsbildes, ihrer editorischen und personellen Strukturen oder ihres Seitenumfangs markieren entscheidende Wendepunkte der deutschen Politik während des deutschen Kaiserreichs und der Weimarer Republik. Ihr Niveau lag deutlich über dem einer allgemeinen Frauenzeitschrift, eines Mitteilungs- oder Unterhaltungsblattes. Ihr Ziel war es, sowohl politisches Schulungsblatt für die engagierten Genossinnen als auch Agitationsmittel für die indifferenten Proletarierinnen zu sein. Inwieweit sie mit dieser Zielsetzung erfolgreich war, kann jedoch selbst die große Zahl ihrer Abonnements (der Höchststand lag 1914 bei 124.000 Exemplaren) nicht validieren. Tatsächlich ließ gerade der von ihrer langjährigen Redakteurin Clara Zetkin (1857-1933) angestrebte hohe intellektuelle Anspruch die „Gleichheit“ jedoch nicht zu einem Medium der Massen werden. Im Mai 1917 entschied sich der SPD-Parteivorstand, der dem Burgfrieden abträglichen, konsequent sozialistischen und internationalistischen Haltung Zetkins keine öffentliche Plattform mehr zu geben und entließ sie aus der Redaktion. Die Leitung der „Gleichheit“, die auch bis zu diesem Zeitpunkt durchaus keine „One-Woman-Show“ war, oblag schließlich bis zu ihrem letztmaligen Erscheinen im September 1923 noch einigen weiteren Redakteurinnen und Redakteuren (Marie Juchacz (1879-1956), Heinrich Schulz (1872-1932), Clara Bohm-Schuch (1879-1936), Elli Radtke-Warmuth (?-?) und Mathilde Wurm (1874-1935)). Deren Tätigkeit für die „Gleichheit“ wurde jedoch bisher kaum wissenschaftlich reflektiert. Dies gilt auch für die ausgesprochen internationale Zusammensetzung oder die männlichen Mitglieder des MitarbeiterInnenstabes. Indem sie sich selbst in der Tradition und als Teil eines Netzwerkes deutscher Frauenöffentlichkeit („Die Frauen-Zeitung“ (1849-1852), „Die Staatsbürgerin“ (1886) und „Die Arbeiterin“ (1890-1891)) sah und indem sie besonders mittels frauengeschichtlicher und frauenbiographischer Inhalte das Selbstbewusstsein ihrer Leserinnen zu fördern versuchte, betrieb die „Gleichheit“ gezielt Frauengeschichtsschreibung. Zahlreiche Artikel porträtieren Frauen aus Geschichte und Gegenwart und stellen in ihrem elaborierten Stil „Typen“ bzw. „Vorbilder“ dar. Um die Frage beantworten zu können, welche Frauen der Geschichte und welche ihrer Charaktereigenschaften von der „Gleichheit“ als vorbildlich für Sozialdemokratinnen erachtet wurden, wurden die biographischen Artikel zu 173 Frauen nach Analyse ihrer Inhalte und ihres Duktus vier Frauenleitbildern zugeordnet. Die Kategorisierung der einzelnen Frauenleitbilder „weiblicher Vollmensch“, „sozialistische Mutter“, „sozialistische Ehefrau“ und „Klassenkämpferin“ lehnt sich wiederum an den von Zetkin bereits 1898 veröffentlichten Artikel „Nicht Haussklavin, nicht Mannweib, weiblicher Vollmensch” (Die Gleichheit, Jg. 08/ Nr. 02/ 19.11.1898/ S. 1.) an. Sämtliche frauenbiographischen Artikel appellieren an die „Gleichheit“-Leserinnen, die oft selbst gesetzten Grenzen ihrer Handlungs – und Entwicklungsmöglichkeiten zu sprengen. Die sich daraus ableitenden Identifikationsangebote waren somit nicht auf dem Reissbrett entworfen, sondern basierten auf geschichtlicher Erfahrung und antizipierendem Bewusstsein. Diese Leitbilder versuchten, Realität und Utopie miteinander zu verbinden und konnten daher kaum frei von Widersprüchen sein. Wie die „Gleichheit“ selbst, so blieben auch ihre Ansätze politischer Frauenbildung teilweise zwischen revolutionärem Umsturz und traditioneller Kontinuität gefangen. Indem sich die „Gleichheit“ historischer Vorbilder bediente, machte sie jedoch konkrete Ansprüche geltend: Sie forderte den weiblichen Anteil an Geschichte, an politischer Macht und am öffentlichen Bewusstsein.
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Analizar la compleja evolución de la Primera Enseñanza en Asturias y los elementos innovadores que aparecen en la época estudiada. Estudio del proceso de consolidación de la profesión de Magisterio y de las actitudes ideológicas de la sociedad respecto de la Primera Enseñanza y en sus relaciones con el maestro. Recorrido histórico de situaciones y acontecimientos referidos a la sociedad y educación en Asturias, el Magisterio asturiano y la supervisión y perfeccionamiento del Magisterio -Inspección de Primera Enseñanza y movimiento de renovación pedagógica en Asturias-. Bibliografía. Bibliotecas. Archivos municipales. Manuscritos. Periódicos, revistas y publicaciones oficiales. No se sigue sólo un criterio cronológico sino que se analiza cada uno de los factores de manera particularizada. Se analizan por un lado los elementos coadyuvantes al cambio y de otro, el proceso mismo de perfeccionamiento y renovación profesional concretado en la innovación de las didácticas especiales. La sociedad asturiana, con importantes y manifiestas deficiencias de escolarización, dio muestras de especial interés para poner fin a aquella situación mediante muy diversas fórmulas. La profesión de Magisterio contaba con una baja condición económica y escasa consideración social; sin embargo, la alta valoración de que era objeto por parte de las élites regeneracionistas, así como la propia práctica profesional, contribuyeron a crear una equívoca conciencia de grupo social acreedor. En Asturias logró especial adhesión la Organización sindical Ugetista del Magisterio (ATEA). En la Inspección de Primera Enseñanza, escasamente dotada en los años veinte, primaban las labores burocráticas sobre las de auxilio al maestro, labor que en la segunda mitad de la década va adquiriendo mayor importancia. En la Inspección se percibe una preponderancia de la ideología conservadora y tradicional, aunque los incrementos de plantilla republicanos permitieron la presencia en Asturias de inspectores de formación más abierta. En Asturias el efecto renovador de la profesión se debió en gran parte a la organización de viajes de maestros al extranjero y a la existencia de grupos de maestros entusiastas que secundaron y propusieron iniciativas renovadoras. Así, se generó un movimiento de renovación y de adopción de los métodos del movimiento pedagógico europeo y norteamericano, fundamentalmente los vinculados al movimiento de la Escuela Nueva y Escuela Activa. Se comprueba hasta qué punto la innovación educativa fue una de las características de la II República en Asturias. Quedaría por analizar la consideración social de la profesión, profundizando más en la práctica profesional y la formación del Magisterio asturiano (Escuela Normal).
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Analizar la compleja evoluci??n de la Primera Ense??anza en Asturias y los elementos innovadores que aparecen en la ??poca estudiada. Proceso de consolidaci??n profesional del Magisterio, movimiento societario y reivindicativo del Magisterio Primario, actitudes ideol??gicas de la sociedad respecto de la Primera Ense??anza y la lucha entre tendencias ideol??gicas. Se inicia la investigaci??n con un esbozo del panorama socioecon??mico de la regi??n, un estudio sobre la evoluci??n pol??tica de la sociedad y un breve an??lisis sobre la prensa asturiana respecto a la educaci??n. Se analizan las actitudes de la sociedad y sus ??rganos de expresi??n ante la Primera Ense??anza en el campo de las ideolog??as entonces en pugna: confesionalismo y laicismo. Se realiza un estudio del Magisterio nacional, sus condiciones de vida, asociaciones profesionales, aspiraciones y relaciones entre las entidades societarias. Se analiza, por ??ltimo, el movimiento escolar de renovaci??n y perfeccionamiento profesional. Bibliograf??a. Archivos municipales. Manuscritos. Peri??dicos, revistas y publicaciones oficiales. An??lisis de cada uno de los factores de manera particularizada. Se analizan por un lado los elementos coadyuvantes al cambio y de otro, el proceso mismo de perfeccionamiento y renovaci??n profesional. La sociedad asturiana pese a sus deficiencias de escolarizaci??n, di?? muestras de inter??s para poner fin a aquella situaci??n mediante muy distintas f??rmulas. El tipo de escuela imperante era la llegada por la tradici??n secular. El objetivo b??sico era la mera alfabetizaci??n, obstaculizada por la masificaci??n escolar y el absentismo escolar. La acci??n innovadora se centr?? en una visi??n de la escuela y de la labor del maestro que se concret?? en la introducci??n de nuevas materias escolares (Trabajos Manuales, Dibujo, M??sica y Gimnasia), y en la adopci??n de nuevas metodolog??as did??cticas, proceso en el que tuvo destacado protagonismo la inspecci??n y el medio de difusi??n que, con este objetivo, hab??a previsto el Ministerio: el Bolet??n de cada provincia. Tambi??n se pusieron en pr??ctica otras actividades, como excursiones, prensa escolar, bibliotecas, etc. Con todo, se puede concluir que las t??cnicas de la escuela activa se hab??an difundido lo suficiente como para remover la escuela tradicional a la que se opon??a. Hay que se??alar tambi??n la fuerte influencia de las concepciones de la escuela nueva en lo que se refiere a las metodolog??as did??cticas impartidas y a las opiniones sobre Organizaci??n Escolar. Permite comprobar hasta qu?? punto la innovaci??n educativa fue una de las caracter??sticas de la II Rep??blica en Asturias. Quedar??an por analizar la consideraci??n social de la profesi??n en cuanto a la pr??ctica profesional y la formaci??n del Magisterio asturiano (Escuela Normal).
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Conocer y analizar la difusi??n de la Instrucci??n Primaria en la sociedad asturiana durante la tercera y cuarta d??cadas de este siglo. Conocer en profundidad el proceso de democratizaci??n cultural en Asturias, hasta qu?? punto y cu??ndo es impulsada, por qu?? fuerzas sociales nuestra regi??n se incorpora al tipo de sociedad alfabetizada y desarrollada culturalmente con la generalizaci??n de la educaci??n. Estudio de las redes escolares y las infraestructuras materiales en la escolarizaci??n regional. Este trabajo est?? dividido en cuatro partes. Previamente se presenta una introducci??n que pretende aproximarnos a la realidad de Asturias desde una perspectiva econ??mica, pol??tica, demogr??fica y social. La primera parte se refiere al analfabetismo. La segunda estudia el proceso de escolarizaci??n partiendo de una introducci??n sobre el estado de la Instrucci??n Primaria en v??speras de la Dictadura primorriverista y aportando un estudio diferenciado para los tres periodos: Dictadura, Transici??n y Rep??blica. La tercera parte se dedica al estudio de las infraestructuras educativas. La parte cuarta se dedica a la instrucci??n post-escolar para mayores de catorce a??os dentro del marco global de la cultura popular. Bibliograf??a. Bibliotecas. Peri??dicos, revistas y publicaciones oficiales. Estudio pormenorizado de la actividad escolar en todos los ayuntamientos asturianos agrupados por ??reas geogr??ficas o partidos judiciales. La situaci??n educativa en 1923 se caracterizaba por una red escolar importante por su volumen, pero deficitaria, inadecuada, asentada en infraestructuras arcaicas, con cifras de asistencia escolar reducidas y con unos deficientes resultados educativos limitados a la adquisici??n de un bagaje cultural m??nimo. La actuaci??n de la Dictadura extendi?? la red escolar p??blica cuando la evoluci??n demogr??fica, la ampliaci??n de la edad escolar y la sociedad m??s lo demandaban. Durante el periodo republicano se crearon m??s escuelas pero, a diferencia del total nacional, en Asturias la mayor??a eran mixtas y unitarias en detrimento de las escuelas graduadas y de p??rvulos. Durante la Guerra Civil se reorganiz?? la Instrucci??n Primaria con la nacionalizaci??n de toda la red escolar a partir de la incautaci??n de las privadas y particulares y se consigui?? un alto nivel de funcionamiento educativo con una cobertura del 83 por ciento de los centros escolares existentes en la zona republicana. En Asturias los procesos de alfabetizaci??n y escolarizaci??n se expanden a lo largo del siglo XX debido a la coincidencia de una doble funcionalidad externa e interna. La externa ven??a dada por el Estado en su objetivo de modernizar el pa??s y la interna, por el deseo de cualificaci??n t??cnica y formaci??n sociopol??tica de los individuos, lo que convirti?? a la alfabetizaci??n y a la instrucci??n en una necesidad.
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Resumen basado en la publicaci??n
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Estudio sobre las ideas de carácter educativo contenidas en el pensamiento político de Blas Infante y el análisis de la puesta en marcha de los contenidos teóricos del líder del andalucismo histórico. Realización de un recorrido biográfico, deteniéndose en Casares, el Instituto de Archidona y la Universidad de Granada y análisis del Centro Andaluz en su Sección Sevillana al ser ésta la que más contacto tuvo con Blas Infante y en la que se ve de forma más patente la relación teoría-práctica. Manuscritos inéditos de Blas Infante, prensa sevillana y el Fondo Guichot de la Biblioteca Universitaria de Sevilla. Interpretación. Blas Infante fue un político preocupado por todo lo relativo a la educación, sus ideas pedagógicas estaban influenciadas por sus ideales políticos, por lo que su pensamiento estaba dedicado a paliar la situación que le tocó vivir.
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Pot semblar agosarat per part nostra parlar d'Elionor de Cabrera quan tants d'altres estudiosos n'han parlat. També som conscients que pot semblar estrany parlar-ne en un monogràfic dedicat a la Catedral de Girona. Ara bé, estrany no ho és, perquè la capella que fundà aquesta dama al claustre s'afegeix als elements arquitectònics i artístics de què es parla en aquests annals i, ben al contrari que agosarat, creiem que val la pena afegir-nos als investigadors que ens han precedit després de la troballa del testament d'Elionor al fons de Cabrera i de Bas de l'Arxiu Ducal de la Casa Medinaceli -en concret entre les còpies en microfilm dipositades a l'Arxiu de Poblet-, perquè considerem que pot aportar dades complementàries als estudis anteriors. De fet, aquest estudi concret neix d'una investigació prèvia sobre les inscripcions del claustre de la catedral; el catàleg que resultà d'aquesta recerca presentava més d'un centenar d'inscripcions, la majoria epitafis, de les quals menys d'una desena corresponien a sepultures de dones. D'aquests pocs testimonis femenins en destacava un, i destacava sobretot perquè la inscripció estava inserida en una capella a part, decorada amb relleus, escuts i una escultura; una capella doncs que destaca entre els murs del claustre (Nonó 2003)