858 resultados para Anxiety disorders -- Treatment


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Abstract: Research has primarily focused on depression and mood disorders, but little research has been devoted to an examination of mental health services use amongst those with diagnosable anxiety disorder (Wittchen et al., 2002; Bergeron et al., 2005). This study examined the possible predicting factors for mental health services utilization amongst those with identifiable anxiety disorder in the Canadian population. The methods used for this study was the application of Andersen’s Behavioral Model of Health Services Use, where predisposing, need and enabling characteristics were regressed on the dependent variable of mental health services use. This study used the Canadian Community Health Survey (cycle 1.2: Mental Health and Well-Being) in a secondary data analysis. Several multiple logistics models predicted the likelihood to seek and use mental health services. Predisposing characteristics of gender and age, Enabling characteristics of education and geographical location, and those with co-occurring mood disorders were at the greatest increased likelihood to seek and use mental health services.

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Le GABA est le principal neurotransmetteur inhibiteur du SNC et est impliqué dans le développement du cerveau, la plasticité synaptique et la pathogénèse de maladies telles que l’épilepsie, les troubles de l’anxiété et la douleur chronique. Le modèle actuel de fonctionnement du récepteur GABA-B implique l’hétérodimérisation GABA-B1/B2, laquelle est requise au ciblage à la surface membranaire et au couplage des effecteurs. Il y est cependant des régions du cerveau, des types cellulaires et des périodes du développement cérébral où la sous-unité GABA-B1 est exprimée en plus grande quantité que GABA-B2, ce qui suggère qu’elle puisse être fonctionnelle seule ou en association avec des partenaires inconnus, à la surface cellulaire ou sur la membrane réticulaire. Dans le cadre de cette thèse, nous montrons la capacité des récepteurs GABA-B1 endogènes à activer la voie MAPK-ERK1/2 dans la lignée dérivée de la glie DI-TNC1, qui n’exprime pas GABA-B2. Les mécanismes qui sous-tendent ce couplage demeurent mal définis mais dépendent de Gi/o et PKC. L’immunohistochimie de récepteurs endogènes montre par ailleurs que des anticorps GABA-B1 dirigés contre la partie N-terminale reconnaissent des protéines localisées au RE tandis des anticorps C-terminaux (CT) marquent une protéine intranucléaire. Ces données suggèrent que le domaine CT de GABA-B1 pourrait être relâché par protéolyse. L’intensité des fragments potentiels est affectée par le traitement agoniste tant en immunohistochimie qu’en immunobuvardage de type western. Nous avons ensuite examiné la régulation du clivage par le protéasome en traitant les cellules avec l’inhibiteur epoxomicine pendant 12 h. Cela a résulté en l’augmentation du marquage intranucléaire de GABA-B1-CT et d’un interacteur connu, le facteur de transcription pro-survie ATF-4. Dans des cellules surexprimant GABA-B1-CT, l’induction et la translocation nucléaire d’ATF-4, qui suit le traitement epoxomicine, a complètement été abolie. Cette observation est associée à une forte diminution du décompte cellulaire. Étant donné que les trois derniers résidus de GABA-B1-CT (LYK) codent un ligand pseudo-PDZ et que les protéines à domaines PDZ sont impliquées dans la régulation du ciblage nucléaire et de la stabilité de protéines, en complément de leur rôle d’échaffaud à la surface cellulaire, nous avons muté les trois derniers résidus de GABA-B1-CT en alanines. Cette mutation a complètement annulé les effets de GABA-B1-CT sur l’induction d’ATF-4 et le décompte cellulaire. Cette deuxième série d’expériences suggère l’existence possible de fragments GABA-B1 intranucléaires régulés par le traitement agoniste et le protéasome dans les cellules DI-TNC1. Cette régulation d’ATF-4 dépend des résidus LYK de GABA-B1-CT, qui modulent la stabilité de GABA-B1-CT et favorisent peut-être la formation d’un complexe multiprotéique incluant GABA-B1-CT, ATF-4, de même qu’une protéine d’échaffaudage inconnue. En somme, nous démontrons que les sous-unités GABA-B1 localisées au RE, lorsque non-hétérodimérisées avec GABA-B2, demeurent capables de moduler les voies de signalisation de la prolifération, la différentiation et de la survie cellulaire, via le couplage de protéines G et possiblement la protéolyse régulée. Les mécanismes de signalisation proposés pourraient servir de nouvelle plate-forme dans la compréhension des actions retardées résultant de l’activation des récepteurs 7-TMs.

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Plusieurs études telles que le NESARC ont démontré la comorbidité chez les joueurs pathologiques dans la population générale et dans des échantillons cliniques. Le jeu pathologique se présente souvent avec des troubles comorbides tels que les toxicomanies, les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles de la personnalité. Cette étude a été réalisée auprès de 40 joueurs pathologiques admis en traitement au Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances à Montréal. Les objectifs étaient d’évaluer : la consommation d’alcool et de drogues, la présence d’une détresse psychologique caractérisée par des symptômes et des syndromes cliniques ainsi que par des troubles de la personnalité et la prévalence du trouble de l’ÉSPT dans l’échantillon. L’ICJE a été utilisé pour évaluer la gravité du jeu. Les autres troubles ont été mesurés à travers l’IGT, l’AUDIT, le MCMI-III, le QÉT et l’ÉMST. Les résultats montrent que 65 % des participants présentent une consommation problématique d’alcool (25 % actuellement, 40 % dans le passé), 27,5 % une consommation problématique de drogues; 52,5 %, un diagnostic probable d’au moins un syndrome clinique (surtout anxiété et dépression), 55 %, un diagnostic probable d’au moins un trouble de la personnalité; 30 %, des symptômes du trouble d’ÉSPT et 17,5 %, un diagnostic probable du trouble. Alors, la comorbidité est présente chez les joueurs pathologiques de l’échantillon. Il est essentiel de l’identifier pour mieux répondre aux besoins particuliers de l’individu et l’aider avec les symptômes qui aggravent le problème de jeu et augmentent le risque de récidive.

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Le trouble d’anxiété de séparation (TAS) est le trouble anxieux le plus prévalent chez les enfants. Il apparaît tôt et entraîne plusieurs conséquences négatives. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) a été reconnue efficace pour traiter les troubles anxieux. Toutefois, peu d’études ont vérifié son efficacité pour le traitement spécifique du TAS et très peu en ont examiné l’effet auprès d’enfants de moins de 7 ans. Les quelques interventions étudiées visant les moins de 7 ans ont en commun d’inclure le parent dans le traitement ou de l’offrir directement à celui-ci. L’objectif principal de cette thèse est de vérifier l’efficacité d’un programme d’entraînement parental de type TCC, adapté pour les parents d’enfants de 4 à 7 ans souffrant de TAS. Cette étude vise également deux objectifs spécifiques : observer la fluctuation des symptômes de TAS de l’enfant pendant le traitement et examiner l’impact du programme sur les variables parentales. Un devis à cas unique à niveaux de base multiples a été utilisé. Six familles ont pris part à l’étude. Des entrevues semi-structurées, des questionnaires auto-administrés et des calepins d’auto-observations quotidiennes ont été utilisés auprès des parents pour mesurer les symptômes anxieux des enfants, leurs pratiques parentales, le stress parental et leurs symptômes anxieux et dépressifs. Des questionnaires sur les difficultés de l’enfant incluant l’anxiété ont aussi été envoyés à l’éducatrice ou à l’enseignante. Tous les questionnaires ont été administrés aux trois temps de mesure (prétraitement, post-traitement et relance 3 mois). Les calepins d’auto-observations ont été remplis quotidiennement durant le niveau de base, pour toute la durée de l’intervention et pendant une à deux semaines à la relance. Les résultats de l’étude indiquent que cinq enfants sur six ne répondent plus au diagnostic de TAS suite au traitement ainsi que trois mois plus tard. Les résultats des calepins d’auto-observations montrent une amélioration claire des manifestations principales de TAS pour la moitié des enfants et plus mitigée pour l’autre moitié, de même qu’une amélioration systématique de la fréquence hebdomadaire totale de manifestations de TAS suite à l’intervention pour quatre enfants. Les résultats aux questionnaires remplis par les parents montrent une amélioration des symptômes d’anxiété et de TAS chez quatre enfants au post-test et/ou à la relance, tandis que les questionnaires de l’éducatrice (ou enseignante) suggèrent que les symptômes anxieux des enfants se manifestaient peu dans leur milieu scolaire ou de garde. L’impact du programme sur le stress parental et les pratiques parentales est également mitigé. Ces résultats suggèrent que le Programme d’entraînement parental pour les enfants souffrant d’anxiété de séparation (PEP-AS) est efficace pour réduire les symptômes de TAS chez les enfants d’âge préscolaire ou en début de parcours scolaire et appuient la pertinence d’offrir le traitement aux parents et d’inclure un volet relationnel. D’autres études seront cependant nécessaires pour répliquer ces résultats auprès d’un plus vaste échantillon. Il serait également intéressant de vérifier les effets indépendants des différentes composantes du traitement et d’évaluer les effets du programme sur davantage de pratiques parentales associées spécifiquement à l’anxiété.

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El estudio de la neurología y la psiquiatría se consideró casi por 2000 años como una ciencia única, donde el estudio anatomo-patológico del sistema nervioso iba de la mano con la investigación de la conducta, basándose en el precepto teórico propuesto por Hipócrates que postulaba al cerebro como el origen de la conducta. Sin embargo, no sería sino hasta el siglo XV donde el filósofo y matemático francés René Descartes, propone su teoría dualista de mente y cuerpo, considerando a estas dos entidades como distintas e independientes, dando origen a una forma de pensamiento que hasta el día de hoy genera debate. Esta dicotomía sería más evidente en el siglo XIX con el grupo de la Salpetriere en París, cuna tanto de neurólogos como de psiquiatras dirigidos bajo la batuta de Charcot y sus investigaciones sobre la histeria, posicionándose como un representante igualmente importante en estas dos ciencias, que a partir de allí tomarían caminos cada vez más divergentes, unos centrando su objeto de estudio en enfermedades del sistema nervioso que comprometen la cognición y el comportamiento, los cuales se manifiestan somáticamente (eventos cerebrovasculares, enfermedad de Parkinson, esclerosis múltiple, entre otros); mientras que otros centrarían sus investigaciones en trastornos del afecto y del pensamiento, sin importar que estas presenten o no síntomas somáticos.

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Introducción: La dismenorrea se presenta como una patología cada vez más frecuente en mujeres de 16-30 años. Dentro de los factores asociados a su presentación, el consumo de tabaco ha revelado resultados contradictorios. El objetivo del presente estudio es explorar la asociación entre el consumo de cigarrillo y la presentación de dismenorrea, y determinar si los trastornos del ánimo y la depresión, alteran dicha asociación. Materiales y métodos: Se realizó un estudio de prevalencia analítica en mujeres de la Universidad del Rosario matriculadas en pregrado durante el primer semestre de 2013, para determinar la asociación entre el consumo de tabaco y la presentación de dismenorrea. En el estudio se tuvieron en cuenta variables tradicionalmente relacionadas con dismenorrea, incluyendo las variables ansiedad y depresión como potenciales variables de confusión. Los registros fueron analizados en el programa Estadístico IBM SPSS Statistics Versión 20.0. Resultados: Se realizaron 538 cuestionarios en total. La edad promedio fue 19.92±2.0 años. La prevalencia de dismenorrea se estimó en 89.3%, la prevalencia de tabaquismo 11.7%. No se encontró una asociación entre dismenorrea y tabaquismo (OR 3.197; IC95% 0.694-14.724). Dentro de las variables analizadas, la depresión y la ansiedad constituyen factores de riesgo independientes para la presentación de dismenorrea con una asociación estadísticamente significativa p=0.026 y p=0.024 respectivamente. El análisis multivariado encuentra como factor determinante en la presentación de dismenorrea, la interacción de depresión y ansiedad controlando por las variables tradicionales p<0.0001. Sin embargo, esta asociación se pierde cuando se analiza en la categoría de dismenorrea severa y gana relevancia el uso de métodos de anticoncepción diferentes a los hormonales, mientras que el hecho de haber iniciado la vida sexual presenta una tendencia limítrofe de riesgo. Conclusiones: No se puede demostrar que el tabaco es un factor asociado a la presentación de dismenorrea. Los trastornos del ánimo y la ansiedad constituyen factores determinantes a la presentación de dismenorrea independientemente de la presencia de otros concomitantes. Las variables de asociación se modifican cuando la variable dependiente se categoriza en su estado más severo. Se necesitan estudios más amplios y detallados para establecer dicha asociación.

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El trasplante de órganos y/o tejidos es considerado como una opción terapéutica viable para el tratamiento tanto de enfermedades crónicas o en estadios terminales, como de afectaciones no vitales, pero que generen una disminución en la calidad de vida percibida por el paciente. Este procedimiento, de carácter multidimensional, está compuesto por 3 actores principales: el donante, el órgano/tejido, y el receptor. Si bien un porcentaje significativo de investigaciones y planes de intervención han girado en torno a la dimensión biológica del trasplante, y a la promoción de la donación; el interés por la experiencia psicosocial y la calidad de vida de los receptores en este proceso ha aumentado durante la última década. En relación con esto, la presente monografía se plantea como objetivo general la exploración de la experiencia y los significados construidos por los pacientes trasplantados, a través de una revisión sistemática de la literatura sobre esta temática. Para ello, se plantearon unos objetivos específicos derivados del general, se seleccionaron términos o palabras claves por cada uno de estos, y se realizó una búsqueda en 5 bases de datos para revistas indexadas: Ebsco Host (Academic Search; y Psychology and Behavioral Sciences Collection); Proquest; Pubmed; y Science Direct. A partir de los resultados, se establece que si bien la vivencia de los receptores ha comenzado a ser investigada, aún es necesaria una mayor exploración sobre la experiencia de estos pacientes; exploración que carecería de objetivo si no se hiciera a través de las narrativas o testimonios de los mismos receptores

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In the last few years, many researchers have studied the presence of common dimensions of temperament in subjects with symptoms of anxiety. The aim of this study is to examine the association between temperamental dimensions (high negative affect and activity level) and anxiety problems in clinical preschool children. A total of 38 children, ages 3 to 6 years, from the Infant and Adolescent Mental Health Center of Girona and the Center of Diagnosis and Early Attention of Sabadell and Olot were evaluated by parents and psychologists. Their parents completed several screening scales and, subsequently, clinical child psychopathology professionals carried out diagnostic interviews with children from the sample who presented signs of anxiety. Findings showed that children with high levels of negative affect and low activity level have pronounced symptoms of anxiety. However, children with anxiety disorders do not present different temperament styles from their peers without these pathologies

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Perfectionism is a risk and maintaining factor for eating disorders, anxiety disorders and depression. The objective of this paper is to review the four bodies of evidence supporting the notion that perfectionism is a transdiagnostic process. First, a review of the literature was conducted that demonstrates the elevation of perfectionism across numerous anxiety disorders, depression, and eating disorders compared to healthy controls. Data is presented that shows perfectionism increases vulnerability for eating disorders, and that it maintains obsessive–compulsive disorder, social anxiety and depression as it predicts treatment outcome in these disorders. Second, evidence is examined showing that elevated perfectionism is associated with co-occurrence of psychopathology. Third, the different conceptualisations of perfectionism are reviewed, including a cognitive-behavioural conceptualisation of clinical perfectionism that can be utilised to understand this transdiagnostic process. Fourth, evidence that treatment of perfectionism results in reductions in anxiety, depression and eating pathology is reviewed. Finally,the importance of clinicians considering the routine assessment and treatment of perfectionism is outlined.

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A new wave of computerised therapy is under development which, rather than simulating talking therapies, uses bias modification techniques to target the core psychological process underlying anxiety. Such interventions are aimed at anxiety disorders, and are yet to be adapted for co-morbid anxiety in psychosis. The cognitive bias modification (CBM) paradigm delivers repeated exposure to stimuli in order to train individuals to resolve ambiguous information in a positive, rather than anxiety provoking, manner. The current study is the first to report data from a modified form of CBM which targets co-morbid anxiety within individuals diagnosed with schizophrenia. Our version of CBM involved exposure to one hundred vignettes presented over headphones. Participants were instructed to actively simulate the described scenarios via visual imagery. Twenty-one participants completed both a single session of CBM and a single control condition session in counter-balanced order. Within the whole sample, there was no significant improvement on interpretation bias of CBM or state anxiety, relative to the control condition. However, in line with previous research, those participants who engage in higher levels of visual imagery exhibited larger changes in interpretation bias. We discuss the implications for harnessing computerised CBM therapy developments for co-morbid anxiety in schizophrenia.

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Self-report measures of obsessive-compulsive disorder (OCD) in children and adolescents are needed for practical evaluation of severity and treatment response. We compared the self- and parent-report Obsessional Compulsive Inventory Revised (CHOCI-R) to the interview-based Child Yale-Brown Obsessive-Compulsive Scale (CY-BOCS) in a clinical sample of 285 children and adolescents with OCD. Classical test theory and item-response theory were applied to compare the instruments. The self- and parent-report CHOCI-R had good internal consistency and were strongly related to each other. The self- and parent-report CHOCI-R severity scores correlated with the CY-BOCS (Pearson's r 0.55 and 0.45 respectively). The CY-BOCS discriminated better at the severe end of the spectrum. The CHOCI-R provided better discrimination in the mild to moderate range. The time-efficient self- and parent-report alternatives will enable routine measurement of OCD severity in clinical practice. Estimates of equivalent summed scores are provided to facilitate comparison. (c) 2007 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Objective: Autism spectrum disorders are now recognized to occur in up to 1% of the population and to be a major public health concern because of their early onset, lifelong persistence, and high levels of associated impairment. Little is known about the associated psychiatric disorders that may contribute to impairment. We identify the rates and type of psychiatric comorbidity associated with ASDs and explore the associations with variables identified as risk factors for child psychiatric disorders. Method: A subgroup of 112 ten- to 14-year old children from a population-derived cohort was assessed for other child psychiatric disorders (3 months' prevalence) through parent interview using the Child and Adolescent Psychiatric Assessment. DSM-IV diagnoses for childhood anxiety disorders, depressive disorders, oppositional defiant and conduct disorders, attention-deficit/hyperactivity disorder, tic disorders, trichotillomania, enuresis, and encopresis were identified. Results: Seventy percent of participants had at least one comorbid disorder and 41% had two or more. The most common diagnoses were social anxiety disorder (29.2%, 95% confidence interval [CI)] 13.2-45.1), attention-deficit/hyperactivity disorder (28.2%, 95% CI 13.3-43.0), and oppositional defiant disorder (28.1%, 95% CI 13.9-42.2). Of those with attention/deficit/hyperactivity disorder, 84% received a second comorbid diagnosis. There were few associations between putative risk factors and psychiatric disorder. Conclusions: Psychiatric disorders are common and frequently multiple in children with autism spectrum disorders. They may provide targets for intervention and should be routinely evaluated in the clinical assessment of this group.

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Background: Parental overprotection has commonly been implicated in the development and maintenance of childhood anxiety disorders. Overprotection has been assessed using questionnaire and observational methods interchangeably; however, the extent to which these methods access the same construct has received little attention. Edwards, 2008 and Edwards et al., 2010 developed a promising parent-report measure of overprotection (OP) and reported that, with parents of pre-school children, the measure correlated with observational assessments and predicted changes in child anxiety symptoms. We aimed to validate the use of the OP measure with mothers of children in middle childhood, and examine its association with child and parental anxiety. Methods: Mothers of 90 children (60 clinically anxious, 30 non-anxious) aged 7–12 years completed the measure and engaged in a series of mildly stressful tasks with their child. Results: The internal reliability of the measure was good and scores correlated significantly with observations of maternal overprotection in a challenging puzzle task. Contrary to expectations, OP was not significantly associated with child anxiety status or symptoms, but was significantly associated with maternal anxiety symptoms. Limitations: Participants were predominantly from affluent social groups and of non-minority status. Overprotection is a broad construct, the use of specific sub-dimensions of behavioural constructs may be preferable. Conclusions: The findings support the use of the OP measure to assess parental overprotection among 7–12 year-old children; however, they suggest that parental responses may be more closely related to the degree of parental rather than child anxiety.

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Objective: Obsessive-compulsive disorder (OCD) in young people can be effectively treated with Cognitive Behavior Therapy (CBT). Practice guidelines in the United Kingdom recommend that CBT be delivered with parental or family involvement; however, there is no evidence from randomized trials that this enhances effectiveness. The aim of this trial was to assess if CBT with high parental involvement was more effective than CBT with low parental involvement (individual CBT) in reducing symptoms of OCD. Method: Fifty young people ages 12–17 years with OCD were randomly allocated to individual CBT or parent-enhanced CBT. In parent-enhanced CBT parents attended all treatment sessions; in individual CBT, parents attended only Sessions 1, 7, and the final session. Participants received up to 14 sessions of CBT. Data were analyzed using intent-to-treat and per-protocol methods. The primary outcome measure was the Children’s Yale-Brown Obsessive Compulsion Scale (Scahill et al., 1997). Results: Both forms of CBT significantly reduced symptoms of OCD and anxiety. Change in OCD symptoms was maintained at 6 months. Per-protocol analysis suggested that parent-enhanced CBT may be associated with significantly larger reductions in anxiety symptoms. Conclusions: High and low parental involvement in CBT for OCD in young people were both effective, and there was no evidence that 1 method of delivery was superior on the primary outcome measure. However, this study was small. Future trials should be adequately powered and examine interactions with the age of the young person and comorbid anxiety disorders.