263 resultados para paysage


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Ce mémoire de master a comme objectif étudier l influence du recueil Les Nuits d Alfred de Musset dans la poésie de Castro Alves. Nous allons procéder à une analyse textuelle des poèmes A volta da primavera , Murmúrios da tarde et Adeus à partir de la transposition des thèmes traités par le poète français dans La nuit d août , La nuit de mai et La nuit d octobre . A traves l intertextualité manifestée par des épigraphes de ces poèmes mussetiens, nous trouvons des ressemblances et dissemblances éventuelles qui assurent d un rapport entre ces deux auteurs. Le lyrisme romantique d orientation mélancolique établit des liens entre des poètes qui ont un concep cyclique du sentiment amoureux: de la naissance à la mort, et de celle-ci à la renaissance. La femme, qui se trouve liée aux événements naturels, change le paysage, sa présence étant une raison raison de joie et son absence, une souffrance. La nature évoquée et ses saisons servent de décor vivant aux penchants d états d esprit parmi les amants. Alors, nous verront dans le premier poème castroalvino l euphorie des noces printanières; La mélancolie éprouvée au déclin du jour et ses soupirs évanescents dans le deuxième poème; et dans le dernier, le deuil fermé d un amant qui resiste à accomplir le deuil de l objet d amour

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Ce travail est un étude de cas qui analyse la construction litéraire du paysage du « Sertão» du Ceará entre la fin du siècle XIX et le début du siècle XX. Pour cela, quelques oeuvre simbole de la production litéraire du Ceará ont été sélectionnés, comme les textes qui suivent: O sertanejo (1875), de José Martiniano de Alencar; Os retirantes (1879), de José Carlos do Patrocínio; A fome (1890), de Rodolfo Marcos Teófilo; Luzia-Homem (1903), de Domingos Olímpio Braga Cavalcanti; Terra de sol: natureza e costumes do Norte (1912), de Gustavo Dodt Barroso et finalement, Aves de arribação (1914), de Antônio Sales. Ces oeuvres non seulement prend la nature comme personage, elles représentent aussi trois moments de la production litéraire du Ceará : romantique, réaliste et naturaliste. A invenção da Terra da Luz se rapporte à l idée d une littérature qui fait remarquer le paysage diurne du Sertão du Ceará, élaborée par ces hommes des lettres dans ses discours formidables, beaux et des matériaux qui viennent de ses rapports avec le monde naturel. Pour réaliser une tel entreprise, les idées de Edmund Burke et Gaston Bachelard se sont constitués en référence de cet étude. Et cette réflexion sur la description, la rêverie et l imagination marchent côte-à-côte au discours de ces littéreurs qui ont construits un espace simbolique spécifique : le sertão du Ceará. Comme ça, quelques thèmes deviennent canonique à la forme de penser, représenter et imaginer l espace du sertão du Ceará. De cette manière, le paysage est beaucoup plus que la contemplation, une fois qu elle est liée aussi à la rêverie poétique, à la mémoire et l imagination. C est de là l invention du paysage, car ces littéreurs n ont pas l accès au paysage purement naturel parce que ses perceptions et sensibilitées sur le monde du sertão ont été historiquement, c est-à-dire, dans un certain temps et espace

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thèse de maîtrise, qui a été idealizée et exécutée à partir de la réunion et les relations dialogiques établies entre la géographie et l'histoire, et l'espace et le temps, a considéré l'environnement urbain comme le thème général et, comme la référence empirique, l'espace urbain de Caicó, incrusté dans les terres semi-arides du Sertão do Seridó Potiguar, plus précisément à la mi-sud de l'État du Rio Grande do Norte. Dans cet espace, à travers de recherche des fragments de mémoires acquis de diverses sources historiques, on a tenté de faire des investigations sur les transformations urbaines qui ont eu lieu dans la ville au cours des années 50 et 60 du XXe siècle. Ces transformations, dans l espace urbain de Caicó à un moment du pic de l'activité de développement de coton, reflétaient et conditionnaient les propres projets de modernization urbaine qui représentants des élites locales eurent conçu avec l'objectif de la construction d une ville idéal dans les regions isolées du Seridó: moderne, civilisé, progressive et capitale régionale du Seridó. Pour cette construction, les nouveaux équipements et services urbains ont passé du plan imaginaire à l espace réel, installés dans plusieurs quartiers de la ville en transformant le paysage urbain. Face à cette situation, cinémas, magasins, station de radio, énergie électrique, institutions de l'éducation, téléphonie, maison de soins infirmiers, usine de bénéficiement de coton, banques, politiques urbaines, hygiéniques et sanitaires, modes de comportement, sociabilités urbaines distincttes, parmi d'autres éléments géographiques se sont institués à travers la réalisation de certains idéaux de progrès social et dans un esprit de modernité urbaine, dans de nouveaux espaces et pratiques inventés, tramés et éprouvés sur les rochers et entre le cours d eau au milieu d'un quotidien urbain marqué par ruptures et permanence de certaines coutumes et habitudes antiques et de certains paysages et environnement ridé

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As empresas transnacionais e nacionais sob à luz do capitalismo, instaladas especialmente em bairros centrais da cidade de Belém-PA, estariam complementando a metrópole de equipamentos urbanos, com paisagens estandardizadas, introduzidos pelas empresas de fast food, engendrando cosmopolitismo concernentes a todas as grandes metrópoles brasileiras e mundiais, concomitantemente, trazendo inflexões sócio-urbana para os moradores e trabalhadores do circuito inferior da economia, residentes em bairros centrais, como a mudança de frações do espaço urbano, de valor de uso para valor de troca e, sobretudo, a provável transmutação destes lugares para não-lugares, a partir de uma nova apreensão destes citadinos com os recortes espaciais, reforçada pelas mudanças paisagísticas. Apontando, continuamente o capitalismo imanente à globalização como vetores de mudanças na morfologia espacial, e, consequentemente nas relações sócio-cuturais.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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L'article Uma estréia no romance: A mocidade de Trajano veut revoir l'histoire de la publication de ce roman de 1871, renié,quelques années plus tard, par Alfredo d'Escragnolle Taunay. On y veut aussi vérifier les marques qui ce remettent à ceux de Macedo, surtout en ce qui concerne sa filiation au mélodrame (le mot pris dans son sens le plus vaste). Le regard de l'auteur sur le paysage, l'importance du rôle attribué par lui à la nature – scène idéaleopposés à la constatation des dégâts dans les rapports seigneur/esclave, surtout dans les grandes propriétés rurales, pendant le XIXe., ont, eux aussi, été objet de réflexions. Finalement, dans cet article on a essayé de remarquer la filiation idéologique du personnage Trajano à des valeurs européennes, notamment françaises.

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La goutte et la feuille . Transfigurations de la beauté naturelle dans la littérature européenne : Chateaubriand , Hölderlin et Leopardi . La thèse se présente comme une étude morphologique de l'esthétique de la nature à la fin de 18 ans. Siècle. Le dénominateur commun est une étude comparative des paradigmes scientifiques et des images symboliques utilisés dans la littérature européenne . Sous ce point de vue la thèse identifie les formes originaires de la goutte et de la feuille comme un point de contact entre des moments culturels distincts, même si entrelacés. Un passage particulièrement important du travail est l'analyse structurelle du paysage . Le paysage est le point culminant d'accès aux secrets de l'écriture romantique. Le paysage commence avec la représentation classique du jardin édénique et se termine avec la forêt exotique américaine. Celle-ci est décrite par Chateaubriand, en tant qu’objet d’une KOINONIE stylistique à l’immensité sublime du désert et l'océan . Hölderlin place avec la beauté naturelle devient une harmonie secrète et sombre dans l'inconscient symbolique de l'âme humaine . Leopardi est l'auteur du désenchantement , et pourtant il est encore capable de pressentir empathiquement la mesure de l’imagination envers la beauté naturelle. Avec Léopards , cependant, s’accomplit la séparation finale entre l’EPOS de la beauté naturelle et l’ETHOS de la nature . Cette dernière est une grandeur morale, et au fait elle représente le moment de la dissolution nihiliste, notamment magnitude de l’esthétique typiquement romantique . Après Chateaubriand , Leopardi , et Hölderlin beauté naturelle ne seront plus transfigurant .

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L’estimation du stock de carbone contenu dans les forêts peut être effectuée de plusieurs manières. Les méthodes les plus connues sont destructives et nécessitent l’abattage d’un grand nombre représentatif d’arbres. Cette représentativité est difficilement atteinte dans les forêts tropicales, présentant une diversité d’espèces exceptionnelles, comme à Madagascar. Afin d’évaluer le niveau de dégradation des forêts, une étude d'images par télédétection est effectuée au moyen de l’analyse du signal radiométrique, combinée à un inventaire non destructif de biomasse. L’étude de la dynamique du paysage proposé est alors basée sur une correction atmosphérique d’une image SPOT 5, de l’année 2009, et sur une classification semi supervisée de l’occupation des sols, combinant une classification préliminaire non supervisée, un échantillonnage aléatoire des classes et une classification supervisée avec un maximum de vraisemblance. La validation est effectuée à l’aide de points indépendants relevés lors des inventaires de biomasse avec des valeurs du stock de carbone bien précises. La classification non supervisée a permis de ressortir deux classes de forêt dénommées « peu dégradée » et « dégradée ». La première désigne l’état climax (le stock de carbone a atteint une valeur qui varie peu) alors que la seconde est caractérisée par un taux de carbone plus faible que le niveau climax, mais qui peut être atteint sans perturbation. Cette première classification permet alors de répartir les placettes d’inventaire dans chaque classe. La méthode d’inventaire recueille à la fois des données dendrométriques classiques (espèce, densité, hauteur totale, hauteur fût, diamètre) et des échantillons représentatifs de branches et de feuilles sur un arbre. Ces différents paramètres avec la densité de bois permettent d’établir une équation allométrique de laquelle est estimée la biomasse totale d’un arbre et conséquemment de la formation forestière. Par la suite, la classification supervisée a été effectuée à partir d’échantillons aléatoires donnant la valeur de séparabilité des classes, de la classification finale. De plus, les valeurs de stocks de carbone à l’hectare, estimées de chaque placette, ont permis de valider cette classification et d’avoir une évaluation de la précision. La connaissance de ce niveau de dégradation issue de données satellitaires à haute résolution spatiale, combinées à des données d’inventaire, ouvre le champ du suivi interannuel du stock de carbone et subséquemment de la modélisation de la situation future du stock de carbone dans différents types de forêts.

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1865, vier Jahre vor seinem Tod, schenkt der Bieler Sammler Friedrich Schwab seine archäologischen Objekte der Stadt. Er möchte damit den Bewohnern Biels, vor allem der Jugend, einen reichen Fundus zur Verfügung stellen, der einen Einblick in den Alltag der prähistorischen Bewohner der Region bietet. Bis heute ist die Sammlung Schwab ein Studienobjekt für Archäologen geblieben und inspiriert Öffentlichkeit und Schulklassen: So sieht Friedrich Schwab seinen Willen auch nach bald 150 Jahren noch immer erfüllt. Die vorliegende Publikation erläutert die wechselvolle Geschichte des Museums Schwab und bietet gleichzeitig einen Überblick über die archäologische Erforschung der Drei-Seen-Region: von der Entdeckung der ersten Pfahlbausiedlungen bis zu ihrer Aufnahme in das UNESCO Welterbe. Sie folgt den Sammlungen eines Universalmuseums auf ihrer Odyssee, weist auf Details einer einmaligen Architektur hin und zeigt die Zusammenhänge zwischen Kulturpolitik und der aktuellen Bieler Museumslandschaft auf.

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1944/1945 wurde in Cham-Hagendorn eine Wassermühle ausgegraben, die dank ihrer aussergewöhnlich guten Holzerhaltung seit langem einen prominenten Platz in der Forschung einnimmt. 2003 und 2004 konnte die Kantonsarchäologie Zug den Platz erneut archäologisch untersuchen. Dabei wurden nicht nur weitere Reste der Wassermühle, sondern auch Spuren älterer und jüngerer Anlagen geborgen: eine ältere und eine jüngere Schmiedewerkstatt (Horizont 1a/Horizont 3) sowie ein zweiphasiges Heiligtum (Horizonte 1a/1b). All diese Anlagen lassen sich nun in das in den neuen Grabungen erkannte stratigraphische Gerüst einhängen (s. Beil. 2). Dank der Holzerhaltung können die meisten Phasen dendrochronologisch datiert werden (s. Abb. 4.1/1a): Horizont 1a mit Schlagdaten zwischen 162(?)/173 und 200 n. Chr., Horizont 1b um 215/218 n. Chr. und Horizont 2 um 231 n. Chr. Ferner konnten in den neuen Grabungen Proben für mikromorphologische und archäobotanische Untersuchungen entnommen werden (Kap. 2.2; 3.11). In der vorliegenden Publikation werden der Befund und die Baustrukturen vorgelegt, (Kap. 2), desgleichen sämtliche stratifizierten Funde und eine umfassende Auswahl der 1944/1945 geborgenen Funde (Kap. 3). Dank anpassender Fragmente, sog. Passscherben, lassen sich diese zum Teil nachträglich in die Schichtenabfolge einbinden. Die mikromorphologischen und die archäobotanischen Untersuchungen (Kap. 2.2; 3.11) zeigen, dass der Fundplatz in römischer Zeit inmitten einer stark vom Wald und dem Fluss Lorze geprägten Landschaft lag. In unmittelbarer Nähe können weder eine Siedlung noch einzelne Wohnbauten gelegen haben. Die demnach nur gewerblich und sakral genutzten Anlagen standen an einem Bach, der vermutlich mit jenem Bach identisch ist, der noch heute das Groppenmoos entwässert und bei Cham-Hagendorn in die Lorze mündet (s. Abb. 2.4/1). Der antike Bach führte wiederholt Hochwasser ─ insgesamt sind fünf grössere Überschwemmungsphasen auszumachen (Kap. 2.2; 2.4). Wohl anlässlich eines Seehochstandes durch ein Überschwappen der Lorze in den Bach ausgelöst, müssen diese Überschwemmungen eine enorme Gewalt entwickelt haben, der die einzelnen Anlagen zum Opfer fielen. Wie die Untersuchung der Siedlungslandschaft römischer Zeit rund um den Zugersee wahrscheinlich macht (Kap. 6 mit Abb. 6.2/2), dürften die Anlagen von Cham-Hagendorn zu einer in Cham-Heiligkreuz vermuteten Villa gehören, einem von fünf grösseren Landgütern in diesem Gebiet. Hinweise auf Vorgängeranlagen fehlen, mit denen die vereinzelten Funde des 1. Jh. n. Chr. (Kap. 4.5) in Verbindung gebracht werden könnten. Diese dürften eher von einer der Überschwemmungen bachaufwärts weggerissen und nach Cham-Hagendorn eingeschwemmt worden sein. Die Nutzung des Fundplatzes (Horizont 1a; s. Beil. 6) setzte um 170 n. Chr. mit einer Schmiedewerkstatt ein (Kap. 2.5.1). Der Fundanfall, insbesondere die Schmiedeschlacken (Kap. 3.9) belegen, dass hier nur hin und wieder Geräte hergestellt und repariert wurden (Kap. 5.2). Diese Werkstatt war vermutlich schon aufgelassen und dem Verfall preisgegeben, als man 200 n. Chr. (Kap. 4.2.4) auf einer Insel zwischen dem Bach und einem Lorzearm ein Heiligtum errichtete (Kap. 5.3). Beleg für den sakralen Status dieser Insel ist in erster Linie mindestens ein eigens gepflanzter Pfirsichbaum, nachgewiesen mit Pollen, einem Holz und über 400 Pfirsichsteinen (Kap. 3.11). Die im Bach verlaufende Grenze zwischen dem sakralen Platz und der profanen Umgebung markierte man zusätzlich mit einer Pfahlreihe (Kap. 2.5.3). In diese war ein schmaler Langbau integriert (Kap. 2.5.2), der an die oft an Temenosmauern antiker Heiligtümer angebauten Portiken erinnert und wohl auch die gleiche Funktion wie diese gehabt hatte, nämlich das Aufbewahren von Weihegaben und Kultgerät (Kap. 5.3). Das reiche Fundmaterial, das sich in den Schichten der ersten Überschwemmung fand (s. Abb. 5./5), die um 205/210 n. Chr. dieses Heiligtum zerstört hatte, insbesondere die zahlreiche Keramik (Kap. 3.2.4), und die zum Teil auffallend wertvollen Kleinfunde (Kap. 3.3.3), dürften zum grössten Teil einst in diesem Langbau untergebracht gewesen sein. Ein als Glockenklöppel interpretiertes, stratifiziertes Objekt spricht dafür, dass die fünf grossen, 1944/1945 als Stapel aufgefundenen Eisenglocken vielleicht auch dem Heiligtum zuzuweisen sind (Kap. 3.4). In diesen Kontext passen zudem die überdurchschnittlich häufig kalzinierten Tierknochen (Kap. 3.10). Nach der Überschwemmung befestigte man für 215 n. Chr. (Kap. 4.2.4) das unterspülte Bachufer mit einer Uferverbauung (Kap. 2.6.1). Mit dem Bau eines weiteren, im Bach stehenden Langbaus (Kap. 2.6.2) stellte man 218 n. Chr. das Heiligtum auf der Insel in ähnlicher Form wieder her (Horizont 1b; s. Beil. 7). Von der Pfahlreihe, die wiederum die sakrale Insel von der profanen Umgebung abgrenzte, blieben indes nur wenige Pfähle erhalten. Dennoch ist der sakrale Charakter der Anlage gesichert. Ausser dem immer noch blühenden Pfirsichbaum ist es ein vor dem Langbau aufgestelltes Ensemble von mindestens 23 Terrakottafigurinen (s. Abb. 3.6/1), elf Veneres, zehn Matres, einem Jugendlichen in Kapuzenmantel und einem kindlichen Risus (Kap. 3.6; s. auch Kap. 2.6.3). In den Sedimenten der zweiten Überschwemmung, der diese Anlage um 225/230 n. Chr. zum Opfer gefallen war, fanden sich wiederum zahlreiche Keramikgefässe (Kap. 3.2.4) und zum Teil wertvolle Kleinfunde wie eine Glasperle mit Goldfolie (Kap. 3.8.2) und eine Fibel aus Silber (Kap. 3.3.3), die wohl ursprünglich im Langbau untergebracht waren (Kap. 5.3.2 mit Abb. 5/7). Weitere Funde mit sicherem oder möglichem sakralem Charakter finden sich unter den 1944/1945 geborgenen Funden (s. Abb. 5/8), etwa ein silberner Fingerring mit Merkurinschrift, ein silberner Lunula-Anhänger, eine silberne Kasserolle (Kap. 3.3.3), eine Glasflasche mit Schlangenfadenauflage (Kap. 3.8.2) und einige Bergkristalle (Kap. 3.8.4). Im Bereich der Terrakotten kamen ferner mehrere Münzen (Kap. 3.7) zum Vorschein, die vielleicht dort niedergelegt worden waren. Nach der zweiten Überschwemmung errichtete man um 231 n. Chr. am Bach eine Wassermühle (Horizont 2; Kap. 2.7; Beil. 8; Abb. 2.7/49). Ob das Heiligtum auf der Insel wieder aufgebaut oder aufgelassen wurde, muss mangels Hinweisen offen bleiben. Für den abgehobenen Zuflusskanal der Wassermühle verwendete man mehrere stehen gebliebene Pfähle der vorangegangenen Anlagen der Horizonte 1a und 1b. Obwohl die Wassermühle den 28 jährlichen Überschwemmungshorizonten (Kap. 2.2) und den Funden (Kap. 4.3.2; 4.4.4; 45) zufolge nur bis um 260 n. Chr., während gut einer Generation, bestand, musste sie mindestens zweimal erneuert werden – nachgewiesen sind drei Wasserräder, drei Mühlsteinpaare und vermutlich drei Podeste, auf denen jeweils das Mahlwerk ruhte. Grund für diese Umbauten war wohl der weiche, instabile Untergrund, der zu Verschiebungen geführt hatte, so dass das Zusammenspiel von Wellbaum bzw. Sternnabe und Übersetzungsrad nicht mehr funktionierte und das ganze System zerbrach. Die Analyse von Pollen aus dem Gehhorizont hat als Mahlgut Getreide vom Weizentyp nachgewiesen (Kap. 3.11.4). Das Abzeichen eines Benefiziariers (Kap. 3.3.2 mit Abb. 3.3/23,B71) könnte dafür sprechen, dass das verarbeitete Getreide zumindest zum Teil für das römische Militär bestimmt war (s. auch Kap. 6.2.3). Ein im Horizont 2 gefundener Schreibgriffel und weitere stili sowie eine Waage für das Wägen bis zu 35-40 kg schweren Waren aus dem Fundbestand von 1944/1945 könnten davon zeugen, dass das Getreide zu wägen und zu registrieren war (Kap. 3.4.2). Kurz nach 260 n. Chr. fiel die Wassermühle einem weiteren Hochwasser zum Opfer. Für den folgenden Horizont 3 (Beil. 9) brachte man einen Kiesboden ein und errichtete ein kleines Gebäude (Kap. 2.8). Hier war wohl wiederum eine Schmiede untergebracht, wie die zahlreichen Kalottenschlacken belegen (Kap. 3.9), die im Umfeld der kleinen Baus zum Vorschein kamen. Aufgrund der Funde (Kap. 4.4.4; 4.5) kann diese Werkstatt nur kurze Zeit bestanden haben, höchstens bis um 270 n. Chr., bevor sie einem weiteren Hochwasser zum Opfer fiel. Von der jüngsten Anlage, die wohl noch in römische Zeit datiert (Horizont 4; Beil. 10), war lediglich eine Konstruktion aus grossen Steinplatten zu fassen (Kap. 2.9.1). Wozu sie diente, muss offen bleiben. Auch der geringe Fundanfall spricht dafür, dass die Nutzung des Platzes, zumindest für die römische Zeit, allmählich ein Ende fand (Kap. 4.5). Zu den jüngsten Strukturen gehören mehrere Gruben (Kap. 2.9.2), die vielleicht der Lehmentnahme dienten. Mangels Funden bleibt ihre Datierung indes ungewiss. Insbesondere wissen wir nicht, ob sie noch in römische Zeit datieren oder jünger sind. Spätestens mit der fünften Überschwemmung, die zur endgültigen Verlandung führte und wohl schon in die frühe Neuzeit zu setzen ist, wurde der Platz aufgelassen und erst mit dem Bau der bestehenden Fensterfabrik Baumgartner wieder besetzt.