251 resultados para parade vocale


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Comprend : Amadis ; Le mariage des roses

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : 1 à 4 Rangs et préséances ; 1 « Memoire pour les rangs des princes et grands » ; 2 « Discours des rangs et preseances de France. Année 1605 » ; 3 « Du differend qui, en l'an 1434, survint au concile de Basle pour la preseance entre les ducz de Bourgongne et de Bretaigne » ; 4 « Preseance entre les ambassadeurs de France et d'Espagne, à Rome, lors de la canonisation de S. Ignace, en aoust 1609 » ; 5 « Extrait de l'Histoire du roy Philippe III par LOUIS CABRERA de Cordoue, historiographe de Castille, lib. V, cap. 13, imprimée à Madrid », en « 1619 » ; 6 « Diverses ceremonies observées aux entrées, sacres des roys, enterremens et autres, et l'ordre de chacun officier de la couronne » ; 7 à 9 Cérémonies ; 7 « Creation de l'office de grand maistre des ceremonies par le roy HENRY III, en janvier 1585, pour le Sr de Rhodes, Guillaume Pot, prevost et maistre des ceremonies » des « deux ordres » du roi ; 8 « Don fait par le roy HENRY [IV] au Sr de Rodes, filz du deffunt Sr de Rhodes, de l'office de grand maistre des ceremonies, en juin 1603 » ; 9 « Don fait par le roy LOUIS XIII à François Pot, sieur de Rhodes, de l'office de deffunt Guillaume Pot, sieur de Rhodes, son pere, en febvrier 1616 » ; 10 et 11 Rangs et préséances ; 10 « Ordonnance du roy CHARLES IX, par laquelle il declare que les officiers de la couronne precederont les ducz, marquis et comtes creez depuis le trespas de son pere le roy Henry II. A Moullins, le 18 mars 1566 » ; 11 « Lettres patentes du roy HENRY III pour la preseance des officiers de la couronne sur les ducz et pairs non princes du sang, à la reserve des quatre maisons de Longueville, Savoye, Lorraine et Mantoue. En l'an 1582 » ; 12 « Habitz royaux et pieces de la royauté » ; 13 « Maistres des ceremonies et prevost de l'ordre » ; 14 « Fault faire advertir ceux qui s'ensuit (sic) d'avoir la robbe longue et chapperon sur l'espaulle... ». Ordre pour une audience d'ambassadeurs ; 15 à 19 Rangs et préséances ; 15 « Reiglement fait par le roy [LOUIS XIII] pour le rang et sceances des princes enfans naturels des roys et de ceux issus des maisons souveraines estrangeres... Fontainebleau, le 15 septembre 1629 » ; 16 « Declaration du roy LOUIS [XIII], que l'arrest du 15 septembre 1629, touchant les rangs des princes autres que du sang de France, ne porte aucun prejudice au rang, preeminence et dignité de M. le duc de Longueville,... Fontainebleau, le 20 octobre 1629 » ; 17 « Declaration du roy CHARLES IX, par laquelle il recongnoist Mre Leonor d'Orleans, duc de Longueville, pour prince du sang, veult que luy et ses enfans masles soyent reputez pour telz et ayent le premier lieu apres les autres princes du sang. Duretal, decembre 1571 » ; 18 « L'ordre qui sera observé jeudy que le roy donnera audience aux ambassadeurs » ; 19 « Memoire touchant la preseance entre evesques et parlemens » ; 20 à 50 Cérémonies ; 20 « Ceremonie observée quand le roy se communie » ; 21 « Ceremonies observées le jour du jeudy saint, au lavement des piedz des pauvres » ; 22 « Ceremonie observée quand le roy touche les malades des escrouelles » ; 23 « Forme que l'on observe pour servir le roy, lorsqu'il est au lit malade » ; 24 « Ceremonie qui s'observe lorsque le roy donne le bonnet à un cardinal » ; 25 « Ceremonie observée par la royne mere [Marie de Médicis], en donnant le bonnet à M. le cardinal de Berulle, le mardy 26 octobre 1627, à Paris » ; 26 « Ceremonies observées à la canonisation de S. Jaques d'Alcala, celebrée en l'eglise de S. Pierre, le 2 juillet 1588 » ; 27 « Ceremonies observées à la canonisation de S. Charles Boromée, le 1 novembre 1618 » ; 28 « Les ceremonies observées à la solemnisation de la paix faite en l'eglise N. D. de Paris, le 21 juin 1598 » ; 29 « Tiré du ceremonial de la chambre des comptes. La paix. Ce jourd'huy 12 juing 1598, Mrs ayans esté advertis du Te Deum que l'on alloit dire en l'eglise de N. D.... » ; 30 « Ceremonies de la confederation entre les royaumes de Hongrie et de Boheme et les provinces incorporées et haulte et basse Austriche, le 25 avril 1620, à Prague » ; 31 « Extrait des lettres de M. DE STE CATHERINE, agent de France » en Allemagne. « Du 6 may 1610 » ; 32 « Ceremonie observée à la procession generalle faite par le roy pour implorer l'ayde de Dieu contre les heretiques. Du mercredy 29 septembre 1568 » ; 33 « Ordre que le roy veult estre gardé et observé en la procession generalle que S. M. entend faire dimanche prochain 26 de ce mois... Fait à Paris, le 23 octobre 1614 » ; 34 « Discours des entreveues. Les roys et princes font quelquefois non seulement des entrées dans les villes de leurs royaumes... » ; 35 « Entreveues du roy Louis XII et de Philippe, archiduc d'Austriche, pere des empereurs Charles V et Ferdinand. A Blois, l'an 1501 » ; 36 Même sujet. Extrait de JEAN D'AUTON ; 37 « Seance du roy Louis XII et du roy Ferdinand d'Arragon, à la messe qu'ils ouirent ensemble à Savonne, le jour de la feste S. Pierre et S. Paul, le 29 juin 1507, celebrée par le cardinal Ste Praxedde, lors legat en Lombardie » ; 38 « Sacre et couronnement du roy Louis XI. L'an 1461, le 14 jour d'aoust, entra Louis, roy de France... » ; 39 « L'ordre tenu au couronnement du roy Jean d'Albret et Catherine de Navarre. Au nom du Seigneur tout puissant, le Pere, le Fils et le S. Esprit, trois personnes en une essence... en tesmoignage de verité, requis de ce faire... ». 1494 ; 40 « L'ordre du sacre et couronnement du roy Henry III pour roy de Polongne. Apres avoir fait son entrée à Cracovie... » ; 41 « L'ordre qui s'observe au sacre et couronnement des roys de Polongne... In primis enim convocantur primores et consiliarii regni... ». En latin ; 42 « Ceremonies observées au sacre et couronnement du roy Henry IV, à Chartres. 1594. Sa Majesté se desirant conformer aux louables coustumes de plusieurs roys, ses predecesseurs... » ; 43 « C'est l'ordre et les rangs que le roy veut estre tenus au sacre et couronnement de la royne. Faict à Paris, le 16 avril 1610 » ; 44 « Les ceremonies du sacre et couronnement du tres chrestien roy de France et de Navarre Louis XIII. Bien qu'en France les roys sont couronnez... Voilà tout ce qui s'est passé de plus remarquable en cette année » ; 45 « Lettres du roy LOUIS XIII à la chambre, pour la resjouissance de son sacre. Tiré du cerimonial de la chambre des comptes. Ce jourd'huy, 22 octobre 1610... » ; 46 « Fonctions de la dame d'honneur au sacre des roynes. Mme de Guiercheville a de la naissance... » ; 47 « L'ordre et façon des Carintiens au couronnement de leurs princes. En ceste province de Carintie, il y a une grande plaine... » ; 48 « Chambre de parade pour le baptesme des enfans de France. La chambre de parade de Monsieur doibt estre tapissée... » ; 49 « Memoire de ce qui s'est passé au baptesme de M. le prince de Piémont, où a esté envoyée Mme de Carnavalet pour representer la personne de la royne mere du roy. Pour satisfaire au commandement que la royne mere du roy a fait au Sr de Storis,... » ; 50 Pièce imprimée de 16 pages, portant pour titre : « L'ordre et triumphe du baptesme de tres hault et tres puissant prince Mgr Loys, second filz de France, duc d'Orleans, faict à S. Germain en Laye, le XIX jour du moys de may M.D.XLIX »

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Don Chapman was a Silver Badger, a unique distinction given to the first class of Brock University students upon their graduation in 1967 and 1968. Mr. Chapman was an active participant in the student life during his years at Brock University. After graduation he continued to take an active role as a member of the alumni of Brock University. Mr. Chapman was a teacher at St. John’s-Kilmarnock School, Waterloo, Ont., until his death in 2005.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Walter D’Arcy Ryan was born in 1870 in Kentville, Nova Scotia. He became the chief of the department of illumination at the General Electric Company of Schenectady, New York. He was a founder in the field of electrical illumination. He built the electric steam scintillator which had numerous nozzles and valves. The operator would release steam through the valves. The nozzles all had names which included: Niagara, fan, snake, plume, column, pinwheel and sunburst. The steam scintillator was combined with projectors, prismatic reflectors, flashers and filters to produce the desired effects. In 1920 a group of businessmen from Niagara Falls, New York formed a group who called themselves the “generators’. They lobbied the American and Canadian governments to improve the illumination of the Falls. They were able to raise $58, 000 for the purchase and installation of 24 arc lights to illuminate the Falls. On February 24th, 1925 the Niagara Falls Illumination Board was formed. Initially, the board had a budget of $28,000 for management, operation and maintenance of the lights. The power was supplied free by the Ontario Power Company. They had 24 lights installed in a row on the Ontario Power Company surge tank which was next to the Refectory in Victoria Park on the Canadian side. The official opening ceremony took place on June 8th, 1925 and included a light parade in Niagara Falls, New York and an international ceremony held in the middle of the Upper Steel Arch Bridge. Walter D’Arcy Ryan was the illuminating engineer and A.D. Dickerson who was his New York field assistant directed the scintillator. with information from American Technological Sublime by David E. Nye and the Niagara Falls info website Location: Brock University Archives Source Information: Subject Headings: Added Entries: 100 Ryan, W. D’A. |q (Walter D’Arcy), |d 1870-1934 610 General Electric Company 650 Lighting, Architectural and decorative 650 Lighting |z New York (State) |z Niagara Falls 700 Dickerson, A.F. 700 Schaffer, J.W. Related material held at other repositories: The Niagara Falls Museum in Niagara Falls, Ontario has a program (pamphlet) dedicating new lighting in 1958 and it has postcards depicting the illumination of the Falls. Some of Ryan’s accomplishments can be seen at The Virtual Museum of the City of San Francisco. Described by: Anne Adams Date: Sept 26,Upper Steel Arch Bridge. Walter D’Arcy Ryan was the illuminating engineer and A.D. Dickerson who was his New York field assistant directed the scintillator. with information from American Technological Sublime by David E. Nye and the Niagara Falls info website

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Eleanore Celeste discusses going to the theatre alone and remarks "these war times are making girls independent". She also mentions her studies and how much she enjoys learning. She has enclosed an article titled "Heroes of our Army Parade in Paris". The letter is labelled number 127.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La présente recherche a pour objet la pratique orthophonique en suppléance à la communication (SC) auprès de personnes qui ont une déficience intellectuelle (DI). Des recherches ont montré que les aides à la communication à sortie vocale (ACSV) pouvaient améliorer la communication des personnes ayant une DI. Cependant, la plupart de ces recherches ont été menées dans des conditions idéales qui ne reflètent pas nécessairement celles que l’on retrouve dans les milieux cliniques typiques. On connaît peu de choses sur les pratiques professionnelles en SC auprès des personnes ayant une DI. Le but de cette recherche est de décrire la pratique orthophonique, de documenter les perspectives des utilisateurs sur les résultats des interventions et de décrire l’implication des parents et leurs habiletés à soutenir leur enfant dans l’utilisation d’une ACSV afin de proposer un modèle d’intervention en SC auprès de cette clientèle qui tienne compte de ces différentes perspectives. Une méthode qualitative a été choisie pour réaliser la recherche. Des entrevues individuelles semi-structurées ont été réalisées avec onze orthophonistes francophones et avec des parents ou familles d’accueil de dix utilisateurs d’ACSV et des entrevues structurées ont été menées avec huit utilisateurs d’ACSV. Un outil d’entrevue a été conçu à l’aide de pictogrammes pour permettre aux utilisateurs d’ACSV de répondre à des questions portant sur leur appréciation et utilisation de leur ACSV, leur satisfaction et priorités de communication. Un cadre conceptuel a été conçu à partir des guides de pratique clinique et un codage semi-ouvert a été utilisé pour réaliser les analyses thématiques des données provenant des orthophonistes. Un codage ouvert a servi à analyser les données provenant des parents. Des analyses descriptives ont servi à examiner les réponses des utilisateurs. Diverses procédures ont assuré la crédibilité des analyses. Entre autres, les analyses des entrevues des orthophonistes ont été validées lors d’un groupe de discussion avec sept participantes orthophonistes. Les résultats montrent que les ACSV sont utilisées surtout dans le milieu scolaire. Elles sont parfois utilisées lors des loisirs et dans la communauté, mais ces contextes sont ceux où les utilisateurs ont exprimé le plus d’insatisfaction et où se situe la majeure partie des priorités qu’ils ont identifiées. Les analyses ont permis d’identifier les facteurs qui rendent compte de ces résultats. Les orthophonistes manquent d’outils pour réaliser des évaluations exhaustives des capacités des clients et elles manquent de procédures pour impliquer les parents et obtenir d’eux une description complète des besoins de communication de leur enfant. Conséquemment, l’ACSV attribuée et le vocabulaire programmé ne répondent pas à l’ensemble des besoins de communication. Certaines orthophonistes manquent de connaissances sur les ACSV ou n’ont pas le matériel pour faire des essais avec les clients. Il en résulte un appariement entre la personne et l’ACSV qui n’est pas toujours parfait. À cause d’un manque de ressources en orthophonie, les parents sont parfois laissés sans soutien pour apporter les changements à la programmation lors des transitions dans la vie de leur enfant et certains ne reçoivent pas d’entraînement visant à soutenir l’utilisation de l’ACSV. Un modèle d’intervention en SC est proposé afin d’améliorer la pratique orthophonique auprès de cette population.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La voix humaine constitue la partie dominante de notre environnement auditif. Non seulement les humains utilisent-ils la voix pour la parole, mais ils sont tout aussi habiles pour en extraire une multitude d’informations pertinentes sur le locuteur. Cette expertise universelle pour la voix humaine se reflète dans la présence d’aires préférentielles à celle-ci le long des sillons temporaux supérieurs. À ce jour, peu de données nous informent sur la nature et le développement de cette réponse sélective à la voix. Dans le domaine visuel, une vaste littérature aborde une problématique semblable en ce qui a trait à la perception des visages. L’étude d’experts visuels a permis de dégager les processus et régions impliqués dans leur expertise et a démontré une forte ressemblance avec ceux utilisés pour les visages. Dans le domaine auditif, très peu d’études se sont penchées sur la comparaison entre l’expertise pour la voix et d’autres catégories auditives, alors que ces comparaisons pourraient contribuer à une meilleure compréhension de la perception vocale et auditive. La présente thèse a pour dessein de préciser la spécificité des processus et régions impliqués dans le traitement de la voix. Pour ce faire, le recrutement de différents types d’experts ainsi que l’utilisation de différentes méthodes expérimentales ont été préconisés. La première étude a évalué l’influence d’une expertise musicale sur le traitement de la voix humaine, à l’aide de tâches comportementales de discrimination de voix et d’instruments de musique. Les résultats ont démontré que les musiciens amateurs étaient meilleurs que les non-musiciens pour discriminer des timbres d’instruments de musique mais aussi les voix humaines, suggérant une généralisation des apprentissages perceptifs causés par la pratique musicale. La seconde étude avait pour but de comparer les potentiels évoqués auditifs liés aux chants d’oiseaux entre des ornithologues amateurs et des participants novices. L’observation d’une distribution topographique différente chez les ornithologues à la présentation des trois catégories sonores (voix, chants d’oiseaux, sons de l’environnement) a rendu les résultats difficiles à interpréter. Dans la troisième étude, il était question de préciser le rôle des aires temporales de la voix dans le traitement de catégories d’expertise chez deux groupes d’experts auditifs, soit des ornithologues amateurs et des luthiers. Les données comportementales ont démontré une interaction entre les deux groupes d’experts et leur catégorie d’expertise respective pour des tâches de discrimination et de mémorisation. Les résultats obtenus en imagerie par résonance magnétique fonctionnelle ont démontré une interaction du même type dans le sillon temporal supérieur gauche et le gyrus cingulaire postérieur gauche. Ainsi, les aires de la voix sont impliquées dans le traitement de stimuli d’expertise dans deux groupes d’experts auditifs différents. Ce résultat suggère que la sélectivité à la voix humaine, telle que retrouvée dans les sillons temporaux supérieurs, pourrait être expliquée par une exposition prolongée à ces stimuli. Les données présentées démontrent plusieurs similitudes comportementales et anatomo-fonctionnelles entre le traitement de la voix et d’autres catégories d’expertise. Ces aspects communs sont explicables par une organisation à la fois fonctionnelle et économique du cerveau. Par conséquent, le traitement de la voix et d’autres catégories sonores se baserait sur les mêmes réseaux neuronaux, sauf en cas de traitement plus poussé. Cette interprétation s’avère particulièrement importante pour proposer une approche intégrative quant à la spécificité du traitement de la voix.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le présent mémoire cherche à déterminer s’il existe des facteurs qui conduisent aux aveux chez les agresseurs sexuels durant un interrogatoire. Dans ce but, notre étude est basée sur 183 dossiers d’agression sexuelle traités par le Service de police de la Ville de Montréal. Les 137 participants qui ont fait une ou deux victimes (un dossier par victime) étaient âgés de 15 à 71 ans au moment du crime, et sont majoritairement francophones, caucasien et sans emploi. Toutes les variables sélectionnées ont été divisées en trois catégories : les caractéristiques de l’agresseur, les caractéristiques du crime et les caractéristiques contextuelles de l’interrogatoire. Les agresseurs sexuels qui ont avoué leur crime avaient les caractéristiques suivantes : caucasien, célibataire, n’ayant pas utilisé la menace ni causé de blessures, la victime était un garçon ou une femme adulte. Il n’y avait, contre eux, ni preuves matérielles ou biologiques, ni présence de sperme sur la victime, et il n’y a pas eu de séance d’identification. De plus, ils ont subi plusieurs interrogatoires, souvent dans un bureau privé en présence d’un seul interrogateur, qui n’est pas l’enquêteur principal, mais ils ont écrit et signé leur déclaration. Ces résultats devraient aider les policiers à cibler les facteurs les plus favorables aux aveux tout en montrant qu’il s’agit généralement d’un ensemble de facteurs qui conduisent les agresseurs sexuels aux aveux lors d’un interrogatoire.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU).