935 resultados para maternal age at birth


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OBJECTIF: Évaluer le rôle de l’endostatine, un nouveau marqueur anti-angiogénique, pour prédire le risque de prééclampsie (PE). METHODES: Il s’agit d’une étude cas témoins nichée dans deux cohortes prospectives. Les échantillons sanguins étaient collectés entre 11 et 17 semaines puis entre 18 et 26 semaines d’aménorrhée. L’hypertension gestationnelle était définie par une tension artérielle supérieure ou égale à 140/90mmHg à 2 reprises. Les cas de prééclampsie étaient définis par une hypertension gestationnelle associée à une protéinurie supérieure ou égale à 0.3 g /24h après 20 semaines de grossesse. La concentration d’endostatine était mesurée par une technique d’ELISA. Les résultats étaient exprimés en multiples de la médiane (MoM) et ajustés pour l’âge maternel, l’âge gestationnel, l’ethnie, et la cohorte d’origine. Une régression logistique était utilisée pour calculer des odds ratios (OR) ajustés et prédire le risque de PE. RESULTATS: Au total nous avons étudié 77 PE et 150 témoins chez des grossesses uniques. Parmi les PE 21 étaient de survenue précoce, avec un diagnostic avant 34 semaines et 41 étaient des PE sévères. Les cas avaient un IMC plus élevé que les témoins et étaient plus souvent Africaines. Les taux médians d’endostatine étaient significativement plus élevés chez les PE que chez les témoins au 1er trimestre (94.2 versus 90.7 ng/ml, p=0.004) et 2ème trimestre (105.8 versus 99.3 ng/ml p=0.002). Le taux d’endostatine entre 18 et 26 semaines était même plus élevé chez les patientes qui développaient une PE précoce. Lorsque l’endostatine était supérieure au 75èmepercentile (exprimée en MoM), le OR ajusté était de 1.33 95IC [0.68-2.58] à 11-17 semaines et 1.77 [0.94-3.34] à 18-26 semaines. L’OR ajusté pour les PE précoces était 3.51 [1.18-10.43] entre 11-17 semaines et 2.17 [0.67-7.06] entre 18-26 semaines. CONCLUSIONS: Un taux élevé d’endostatine dès le 1er trimestre est associé à une augmentation du risque de PE et surtout d’un risque de prééclampsie précoce. Toutefois l’endostatine seule a une trop faible valeur prédictive pour avoir une utilité clinique.

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INTRODUCTION: Plusieurs études ont été menées sur le risque d’issus indésirables de grossesse associé à la prise de caféine durant la grossesse; cependant aucune étude n'a encore été réalisée sur les facteurs prédictifs de cette exposition. Pourtant, une prise en considération de ces facteurs augmenterait l’efficacité des recommandations nutritionnelles à ce sujet. En outre, peu d'études ont évalué le risque de nouveau-nés petits pour l'âge gestationnel (PAG) comparé aux autres issues indésirables de grossesse. OBJECTIFS: 1) Déterminer la fréquence de la consommation de caféine durant la grossesse et ses facteurs prédictifs ; 2) quantifier l’association de cette exposition au risque de (PAG). MÉTHODE: 3458 participantes ont été sélectionnées aléatoirement dans le Registre Québécois des Grossesses (RQG) créé par l’appariement de trois banques de données administratives : RAMQ, MED–ÉCHO et ISQ. Des analyses statistiques ont permis d’étudier les facteurs prédictifs de cette utilisation et une étude cas-témoins a permis de quantifier le risque de (PAG) qui lui est associé. RÉSULTATS: 87,3% des participantes consommaient de la caféine avant leur grossesse et 71,4% durant. L'âge maternel avancé, le tabagisme, l'hypertension et les hospitalisations avant la grossesse sont des facteurs prédictifs de la consommation de caféine durant la grossesse. Une augmentation de 20% de risque de PAG a été observée [OR = 1,19; 95% IC (1,01–1,40)]. CONCLUSION: La consommation de caféine pendant la grossesse est répandue et la sécurité de cette utilisation doit être questionnée. Nos résultats suggèrent que la consommation de caféine durant la grossesse augmenterait le risque de PAG.

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Durant la méiose, il se produit des échanges réciproques entre fragments de chromosomes homologues par recombinaison génétique. Les chromosomes parentaux ainsi modifiés donnent naissance à des gamètes uniques. En redistribuant les mutations génétiques pour générer de nouvelles combinaisons, ce processus est à l’origine de la diversité haplotypique dans la population. Dans cette thèse, je présente des résultats décrivant l’implication de la recombinaison méiotique dans les maladies chez l’humain. Premièrement, l'analyse statistique de données de génotypage de familles québécoises démontre une importante hétérogénéité individuelle et sexe-spécifique des taux de recombinaisons. Pour la première fois chez l’humain, nous avons observé que le taux de recombinaison maternel diminue avec l'âge de la mère, un phénomène potentiellement impliqué dans la régulation du taux d’aneuploïdie associé à l’âge maternel. Ensuite, grâce à l’analyse de données de séquençage d’exomes de patients atteints de leucémie et de ceux de leurs parents, nous avons découvert une localisation anormale des évènements de recombinaison chez les enfants leucémiques. Le gène PRDM9, principal déterminant de la localisation des recombinaisons chez l’humain, présente des formes alléliques rares dans ces familles. Finalement, en utilisant un large spectre de variants génétiques identifiés dans les transcriptomes d’individus Canadiens Français, nous avons étudié et comparé le fardeau génétique présent dans les régions génomiques à haut et à faible taux de recombinaison. Le fardeau génétique est substantiellement plus élevé dans les régions à faible taux de recombinaison et nous démontrons qu’au niveau individuel, ce fardeau varie selon la population humaine. Grâce à l’utilisation de données génomiques de pointe pour étudier la recombinaison dans des cohortes populationnelles et médicales, ce travail démontre de quelle façon la recombinaison peut affecter la santé des individus.

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Des études récentes ont démontré une augmentation de la prévalence de l’infertilité au Canada ainsi qu’une augmentation fulgurante de l’utilisation de la procréation assistée. Le Québec s’est doté en 2010 d’un programme de financement de la procréation assistée visant un accès universel ainsi que la protection de la santé des mères et des enfants. Les diverses parties prenantes attribuent un certain nombre de lacunes à ce programme, incluant l’absence de mesures de prévention et de promotion de la santé visant à réduire la prévalence de l’infertilité. En effet, une proportion significative de cas d’infertilité découle de facteurs modifiables et relatifs aux modes de vie tels que le tabagisme, les infections transmises sexuellement et par le sang, les problèmes de poids, les toxines environnementales et l’âge. De plus, l’âge maternel avancé ainsi que l’usage de la procréation assistée comportent des risques pour la santé des mères et des enfants au sujet desquels la population ne possède pas une connaissance suffisante. Des approches en amont ont été proposées par diverses organisations et dans divers pays, toutefois, peu ont été adoptées. Force est de constater que ces initiatives représentent de grands défis au point de vue de l’acceptabilité sociale, en raison de la nature sensible du sujet et d’une grande valorisation sociale de l’autonomie reproductive. L’éthique des communications en santé permet d’identifier ces défis qui touchent l’usage de tactiques persuasives, le risque de stigmatisation et l’attribution indue d’une responsabilité. Si leur élaboration tient compte de ces enjeux, les campagnes de communications en santé ont le potentiel d’informer adéquatement la population afin de favoriser l’autonomie et la santé reproductive des individus, sans causer de dommage iatrogénique. L’éthique de l’ « empowerment », qui requiert l’attribution d’une responsabilité individuelle de nature prospective, l’apport de ressources concrètes et l’implication des communautés, permet d’identifier les besoins en termes de solutions législatives favorisant des contextes socioéconomiques qui soutiennent la santé reproductive et l’autonomie reproductive.

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La inducción del trabajo de parto ha demostrado aumentar simultáneamente las tasas de cesárea, especialmente en nulíparas con cérvix clínicamente desfavorables. Ya que la valoración clínica del cérvix es un método subjetivo, aunque ampliamente utilizado, el objetivo del presente estudio fue determinar la utilidad de la medición ecográfica de la longitud cervical comparándola con el puntaje de Bishop, en la predicción del éxito de la inducción del parto en las pacientes nulíparas en el servicio de Obstetricia del Hospital Universitario Clínica San Rafael, Bogotá. Materiales y métodos: Se realizó un estudio observacional, evaluando una cohorte prospectiva de 80 gestantes a quienes se les realizó valoración ultrasonográfica y clínica del cérvix antes de iniciar la inducción del trabajo de parto. Resultados: El análisis bivariado demostró que las pacientes con longitud cervical >20mm tienen 1.57 veces la probabilidad de tener parto por cesárea (RR 1.57 IC95% 1.03-2.39 p <0.05). De manera similar las pacientes con puntaje de Bishop 0 a 3 tienen 2.33 veces la probabilidad de tener parto por cesárea (RR 2.33 IC95% 1.28-4.23 p <0.05). La regresión logística binaria demostró que la edad materna y la longitud cervical fueron los únicos parámetros independientes con significancia estadística para predecir el éxito de la inducción. Conclusiones: La medición ecográfica de la longitud cervical tiene mayor utilidad que la valoración clínica del cérvix en la predicción del éxito de la inducción del parto en nulíparas.

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La bacteriemia asociada a catéter afecta a pacientes en las unidades de cuidado intensivo con una alta morbilidad, mortalidad y aumento de los costos al sistema de salud. Los recién nacidos son la población de más alto riesgo por el mayor uso de catéteres centrales. Objetivo: Caracterizar factores de riesgo para bacteriemia asociada a catéter en la Unidad de Cuidado Intensivo Neonatal de la Fundación Cardioinfantil entre 2005 - 2010 Materiales y método: Estudio descriptivo de corte transversal, incluyó todos los recién nacidos con diagnostico de bacteriemia asociada a catéter. Se analizó la información utilizando frecuencias y medidas de tendencia central. Resultados: Se encontraron 50 pacientes con diagnostico de bacteriemia asociada a catéter. 50% de género masculino, 52% con edad gestacional al nacimiento menor a 36 semanas y 24% con peso menor a 1500 gramos al momento de la inserción del catéter. La edad fue de 24.2 días al momento de la inserción del catéter. En el 66% de los pacientes el sitio de inserción fue el miembro superior, siendo el Sthaphylococcus Epidermidis el germen con el 50% de las bacteriemias. Conclusión: La bacteriemia asociada a catéter afecta paciente prematuros, de bajo peso sin diferencias en genero. La manipulación de dichos dispositivos, el sitio de inserción, el uso previo de antibióticos, la duración del catéter y el uso de nutrición parenteral son factores que están asociados al mayor riesgo de infección. Siendo el Staphylococcus Epidermidis el germen mas frecuente.

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El síndrome Down (SD) es la trisomía más común en humanos, presentándose en 1 de cada 745 nacidos vivos y es la causa más frecuente de retardo mental. El origen más observado de la trisomíaes una no disyunción meiótica (95%), la cual generalmente es de origen materno, mientras un 5% se debe a errores post-cigóticos mitóticos. Objetivo: identificar el origen parental delcromosoma 21 extra, el momento del error no disyuncional y establecer una correlación entre estos eventos y las manifestaciones fenotípicas de los pacientes afectados. Materiales y métodos: se estudiaron cincuenta familias con un hijo con SD mediante el uso de cinco short tandem repeats (STR) a lo largo de 21q, se construyeron los haplotipos de cada paciente y sus padres, determinandoel origen parental y el momento en que surgió el error no disyuncional. Resultados:en 80% de las familias el error fue en meiosis I y 20% en la meiosis II; 98% de los cromosomasadicionales fue de origen materno y 2% paterno. Se encontró correlación genotipo-fenotipo en ocho características estudiadas: cuello corto y ancho, tercera fontanela, labio inferior prominente, paladar estrecho y corto, raíz del hélix cruzando la concha, alopecia, pliegue único palmar yotras anomalías como nevus y xeroderma y eventos de recombinación en 24,5% de las familias analizadas. Conclusiones: la edad materna y la variación en el número de recombinaciones está asociada con no disyunciones meióticas I y II; se encontró correlación entre el momento del errorno disyuncional y algunas variables clínicas.

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Antecedentes: Cada año hay 2,5 billones de casos de diarrea en menores de 5 años y 1,3 millones de estos niños mueren; lo que constituye a la EDA como segunda causa de muerte en este grupo de edad Metodología: Análisis transversal transnacional multinivel de la Encuesta DHS y el Banco Mundial en 348.706 niños de 40 países Resultados: Prevalencia de EDA 14%. Inequidad (OR=1.335; IC 95% 1.117-1.663) y bajos ingresos en las naciones (OR=1.488; IC 95% 1.024-2.163) presentaron asociación con EDA. Vivir en un país pobre aumenta la asociación entre el índice de riqueza del hogar y EDA (OR=1.0961; IC 95% 1.003-1.207) y la asociación entre no educación de la madre y EDA (OR=1.310; IC 95% 1.035-1.601). Otros factores asociados con EDA fueron sexo femenino, (OR=0.922; IC 95% 1.900-0.944), edad de niño (OR=0.978; IC 95% 0.978-0.979), vacunación (OR=0.821; IC 95% 0.799-0.843), peso normal al nacer (OR=0.879; IC 95% 0.834-0.926), edad de la madre (OR=0.987; IC 95% 0.985-0.989), no educación de la madre (OR=1.416; IC 95% 1.283-1.564), madre trabajadora (OR=1.136; IC 95% 1.106-1.167), embarazo deseado (OR=0.774; IC 95% 0.753-0.795), familia nuclear (OR=0.949; IC 95% 0.923-0.975) e índice de riqueza del hogar (OR=0.948; IC 95% 0.921-0.977) Conclusiones: La desigualdad y los bajos ingresos de los países desarrollados se asocian con EDA, independientemente de las características del niño, la mamá o el hogar. El gasto en salud no presenta asociaciones con EDA. Esto se debe considerar en las campañas de salud pública orientadas al manejo de la EDA.

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Introducción: La retinopatía del prematuro (ROP) se presenta hasta en el 73% de los neonatos pretérmino por debajo de la semana 27, los agentes antiangiogénicos se presentan como una herramienta para su tratamiento con resultados prometedores. En el presente estudio se pretendió evaluar los resultados de la terapia antiangiogénica con ranibizumab en pacientes con retinopatía del prematuro según la evidencia descrita hasta la fecha. Metodología: se realizó una revisión sistemática de literatura con componente meta-analítico de los datos sociodemográficos y clínicos, incluyendo todos los artículos sobre el tema sin límite de fecha de publicación. Se usó una estrategia de búsqueda en diferentes bases de datos, todos los estudios relacionados con el pronóstico de la enfermedad fueron elegibles. Resultados: Se encontraron un total de 13 artículos que cumplieron criterios de elegibilidad para su inclusión, que incluyeron 75 pacientes en total (133 ojos evaluados). La edad promedio al nacimiento fue 23.6 semanas, la edad al momento de aplicación de tratamiento fue 36.3 semanas. 11/13 artículos reportaron que el tratamiento con ranibizumab fue satisfactorio en términos de resolución completa de la enfermedad sin efectos secundarios (64 pacientes) Discusión: Los resultados de la terapia con ranibizumab para retinopatía del prematuro según la evidencia hasta la fecha permiten recomendar el uso de terapia antiangiogénica con el fin de mejorar la salud visual a mediano y largo plazo y por ende disminución en la prevalencia de ceguera por esta causa.

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This article explores the ways that parental death represents a 'vital conjuncture' for Serer young people that reconfigures and potentially transforms intergenerational caring responsibilities in different spatial and temporal contexts. Drawing on semi-structured interviews with young people (aged 15-27), family members, religious and community leaders and professionals in rural and urban Senegal, I explore young people's responses to parental death. 'Continuing bonds' with the deceased were expressed through memories evoked in homespace, shared family practices and gendered responsibilities to 'take care of' bereaved family members, to cultivate inherited farmland and to fulfil the wishes of the deceased. Parental death could reconfigure intergenerational care and lead to shifts in power dynamics, as eldest sons asserted their position of authority. While care-giving roles were associated with agency, the low social status accorded to young women's paid and unpaid domestic work undermined their efforts. The research contributes to understandings of gendered nuances in the experience of bereavement and continuing bonds and provides insight into intra-household decision-making processes, ownership and control of assets. Analysis of the culturally specific meanings of relationships and a young person's social location within hierarchies of gender, age, sibling birth order and wider socio-cultural norms and practices is needed.

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Objective: To identify individual and household factors associated with violence among Australian Indigenous women with dependent children.

Design and participants: Univariate and multivariable analysis of data from the 2002 National Aboriginal and Torres Strait Islander Social Survey, stratified by area.

Main outcome measure: Self-reported experience of being a victim of violence in the previous year.

Results: One in four Indigenous women living with dependent children younger than 15 years reported being victims of violence in the previous year; this corresponds to an estimated 24 221 Indigenous mothers (95% CI, 21 507–26 935) nationwide. Violence was more prevalent in regional areas and cities than remote areas. In remote areas, mothers who had been removed from their natural families during childhood had nearly threefold greater odds of being victims of violence (odds ratio [OR], 2.90; 95% CI, 1.82–4.61); in non-remote areas, the odds were 72% greater (OR, 1.72; 95% CI, 1.23–2.39). Older maternal age (≥ 45 years) was associated with lower odds of experiencing violence in both non-remote areas (OR, 0.39; 95% CI, 0.25–0.60) and remote areas (OR, 0.46; 95% CI, 0.30–0.70). Women with partners residing in the household faced lower odds of violence in both non-remote areas (OR, 0.54; 95% CI, 0.41–0.72) and remote areas (OR, 0.46; 95% CI, 0.32–0.67).

Conclusions: The prevalence of violence against Indigenous mothers with young children is alarmingly high across remote and non-remote areas. This study identified distinctive characteristics of victims, but further research is needed to assess potential risk factors, such as history of removal from natural family.

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OBJECTIVE—Gestational diabetes mellitus (GDM) is an increasingly prevalent risk factor for the development of type 2 diabetes in the mother and is  responsible for morbidity in the child. To better identify women at risk of developing GDM we examined sociodemographic correlates and changes in the prevalence of GDM among all births between 1995 and 2005 in Australia's largest state.
RESEARCH DESIGN AND METHODS—A computerized database of all births (n = 956,738) between 1995 and 2005 in New South Wales, Australia, was used in a multivariate logistic regression that examined the association between sociodemographic characteristics and the occurrence of GDM.
RESULTS—Between 1995 and 2005, the prevalence of GDM increased by 45%, from 3.0 to 4.4%. Women born in South Asia had the highest adjusted odds ratio (OR) of any region (4.33 [95% CI 4.12–4.55]) relative to women born in Australia. Women living in the three lowest socioeconomic quartiles had higher adjusted ORs for GDM relative to women in the highest quartile (1.54 [1.50–1.59], 1.74 [1.69–1.8], and 1.65 [1.60–1.70] for decreasing socioeconomic status quartiles). Increasing age was strongly associated with GDM, with women aged >40 years having an adjusted OR of 6.13 (95% CI 5.79–6.49) relative to women in their early 20s. Parity was associated with a small reduced risk. There was no association between smoking and GDM.
CONCLUSIONS—Maternal age, socioeconomic position, and ethnicity are important correlates of GDM. Future culturally specific interventions should target prevention of GDM in these high-risk groups.

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OBJECTIVE: To examine whether low maternal dietary intake of vitamin C and low maternal plasma ascorbic acid (AA) concentrations are associated with an increased risk of gestational diabetes mellitus (GDM).
METHODS: Cases were 67 women with GDM meeting National Diabetes Data Group criteria. Controls were 260 women without such a diagnosis. Maternal dietary vitamin C consumption during the periconceptional period and during pregnancy was assessed using a 121-item, semiquantitative food frequency questionnaire. Maternal plasma AA concentrations were determined using automated enzymatic procedures on specimens collected during the intrapartum period.
RESULTS: Mean maternal daily consumption of vitamin C and plasma AA concentrations were 10% and 31% lower, respectively, among GDM cases as compared with controls (130.7 +/- 10.2 vs. 145 +/- 4.9 mg/d, P = .190; 36 +/- 2.0 vs. 53 +/- 1.0 micromol/L, P <.001). After controlling for maternal age, race, prepregnancy adiposity, family history of type 2 diabetes, energy intake and income, women reporting low daily vitamin C intake (< 70 mg/d), as compared with the other women, experienced a 3.7-fold increased risk of GDM (odds ratio [OR] = 3.7, 95% confidence interval [CI] 1.7-8.2). There was a linear relation in risk of GDM with decreasing concentrations of plasma AA (P for linear trend <.001). After adjusting for confounders, women in the lowest quartile (< 42.6 micromol/L), as compared with women in the highest quartile (> 63.3 micromol/L), experienced > 12-fold increased risk of GDM (OR = 12.8, 95% CI 3.5-46.2). CONCLUSION: Low maternal dietary vitamin C intake and low plasma AA concentrations are associated with an increased risk of GDM. Large, prospective, cohort studies are needed to further evaluate the potential beneficial role of vitamin C and other antioxidants in the prevention of impaired glucose tolerance in pregnancy.

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Clean fleece weight (CFWt) is affected by liveweight and change in liveweight in Merino sheep, Angora and cashmere goats. However, how these relationships progress as animals age has not been elucidated. Measurements were made over 12 shearing periods on a population of Angora goats representing the current range and diversity of genetic origins including South African, Texan and interbred admixtures of these and Australian sources. Records of breed, sire, dam, date of birth, dam age, birthweight, birth parity, weaning weight, liveweight, fleece growth and fleece quality were taken for does and castrated males (wethers) (n = 267 animals). Fleece-free liveweights (FFLwt) were determined for each goat at shearing time by subtracting the greasy fleece weight from the liveweight recorded immediately before shearing. The average of the FFLwt at the start of the period and the FFLWt at the end of the period was calculated (AvFFLwt). Liveweight change (LwtCh) was the change in FFLwt over the period between shearings. A restricted maximum likelihood model was developed for CFWt, after log10 transformation, which allowed the observations of the same animal at different ages to be correlated in an unstructured manner. A simple way of describing the results is: CFWt = κ (AvFFLwt)β, where κ is a parameter that can vary in a systematic way with shearing age, shearing treatment and LwtCh; and β is an allometric coefficient that only varies with LwtCh. CFWt was proportional to FFLwt0.67 but only when liveweight was lost at the rate of 5–10 kg during a shearing interval of 6 months. The allometric coefficient declined to 0.3 as LwtCh increased from 10 kg loss to 20 kg gain during a shearing interval. A consequence is that, within an age group of Angora goats, the largest animals will be the least efficient in converting improved nutrition to mohair.

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Previous work has shown that, within an Angora goat flock, clean fleece weight is proportional to fleece-free liveweight (FFLwt)2/3 and for goats of the same age and cohort, the mean mohair fibre diameter is proportional to FFLwt1/3. This indicates that fibre length might not be related to the size of animals. This study examines how mohair staple length (SL) is related to FFLwt of Angora goats of different genetic origins over their lifetime and how the relationship varies with other lifetime factors. Measurements were made over 11 shearing periods on a population of Angora goats representing the current range and diversity of genetic origins in Australia, including South African, Texan and interbred admixtures of these and Australian sources. Records of breed, sire, dam, date of birth, dam age, birthweight, birth parity, weaning weight, liveweight, fleece growth and fleece quality were taken for castrated males (wethers) (n = 94 animals). FFLwt were determined for each goat at shearing time by subtracting the greasy fleece weight from the liveweight recorded immediately before shearing. The average of the FFLwt at the start of the period and the FFLWt at the end of the period was calculated. Liveweight change (LwtCh) was the change in FFLwt over the period between shearings. A restricted maximum likelihood model was developed for SL, which allowed the observations of the same animal at different ages to be correlated in an unstructured manner. Average SL differed from ~12.0 to ~14.5 cm, depending on age. There were no consistent effects of season. At any age, an increase of 10 kg LwtCh between animals results in about a 0.34 (s.e. = 0.087) cm increase in SL. There was no evidence of an effect of FFLwt on SL. The results confirm our hypothesis that within a single age cohort of Angora goats, there is very little, if any, relationship between the liveweight and SL of individual animals. This implies that the biological determinants of size of fibres related to cross-sectional area are substantially different to the size determinants of fibre length.