189 resultados para lamentation funèbre
Resumo:
Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
Resumo:
Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
Resumo:
Contient : Rondeaux ; « Epistre en françois adressant à une dame », et autres épîtres ; « Ballade au détriment d'une dame » ; « Les douze entrectz du corps humain » ; « Le Te Deum de Luther. Detestatio in Lutherum a quodam fratre Minore facta. » Sorte de litanies, en latin ; « Lamentation des âmes du Purgatoire » [par Jean MOLINET, Faictz et Dictz, fol. 17 de la grande édition] ; « Le diton du ryche mallureux », en vers français ; « MAROT. Épitaphe de monsieur de Beaulyeu », en vers français ; « Cy apprès ensuict l'ordre et table des rondeaulx, épistolles et aultres chozes contenuz en ce présent livre » ; Rondeau ajouté après coup
Resumo:
Contient : « Les 12 principes de la philosophie de Lulle, qui peuvent aussy estre dictz Lamentation ou plainte de la philosophie contre les Averoïstes, et physique de Lulle »
Resumo:
Contient : 1° « Traductions faictes par le roy CHARLES neufiesme, que luy bailloit à faire son precepteur si renommé, Jacques Amiot, evesque d'Auxere et grand aumosnier de France », à savoir ; 1 « Oraison de CICERON pour T. Annius Millon » ; 2 « Oraison de CICERON pour M. Marcellus » ; 3 « Ordre de l'oracion de CICERON pour la loy de Manlius » ; 2° Exercices littéraires, à savoir ; 1 Exorde d'oraison funèbre ; 2 Dissertation en forme de lettre sur « la condition de ceux que le monde appelle grandz » ; 3 Discours politique sur l'obéissance due au prince ; 3° « Responce de POLEMANDRE à la lettre de Cleophon (Colombey) sur les affaires de ce temps » ; 4° Dialogue de « Dotour et d'Angoulevant » ; 5° Fragment de lettre ; 6° « Table contenant la division des universelz » ; 7° « Discours sur l'endurcissement au peché, en forme de comparaison, traduit par M. LE MAISTRE » ; 8° « Discours satyrique contre l'ode de Godeau presentée au roy... par monsieur COSTAR, prestre » ; 9° « Preceptes de la predication »
Resumo:
Contient : 1° « Pseaulmes » de « DAVID », traduits en vers français par « A. » (fol. 44), — « ADAM » (fol. 36), — « ADEL. » (fol. 15, 25, 34, 46), — « ADELPH. » (fol. 47), — « C. D. » (fol. 75), — « D. » (fol. 47 bis), — « DEL. » (fol. 31), — « J. FAURE » (fol. 20), — « PIERRE LE GAY » (fol. 5), — « CLEMENT GROLIER » (fol. 61), — « CLEMENT LESC. » (fol. 35), — « G. DE LA MAGDALENE » (fol. 62, 83), — « CLEMENT MAROT » (fol. 1, 3, 4, 5, 8, 62), — « N. » (fol. 42, 44), — « MAURICE SCEVE » (fol. 59, 84), — « VAUDEMONT » (fol. 7, 9, 10, 13, 16, 21, 22, 31, 35, 36, 37, 42, 45, 49, 51, 53, 55, 56, 58, 63, 68bis, 77, 82) ; 2° Recueil de poésies du XVIe siècle, parmi lesquelles on remarque la « Lamentation de Venus en la mort d'Adonis », par « SAINCT GELAIS » (fol. 101)
Resumo:
Contient : Histoire du Canada (1608-1700) ; « Histoire de l'eau de vie au Canada » ; « Diverses exhortations aux sauvages yvrognes » ; « Les trois principales raisons pour lesquelles l'évesque de Québec, Mgr. de Laval, s'est réservé le péché qui se commet dans la traite des boissons aux sauvages du Canada » ; « Deux sermons contre l'yvrognerie » des sauvages du Canada ; « Oraison funèbre de... Louis de Buade, comte de Frontenac,... gouverneur... dans toute l'Amérique septentrionale, prononcé,... le 19 déc. 1698, par le R. P. Olivier Goyer,... supérieur de tous les Récollets de la Mission du Canada » ; « Entretien charitable d'un missionnaire et d'un vendeur d'eau-de-vie » ; « Récit de ce qui s'est passé au voyage que Mr de Courcelles, gouverneur de la Nouvelle-France, a fait au lac Ontario, ou des Irocquois, » par l'abbé Dollier
Resumo:
Comprend : Oraison funèbre de Berryer
Resumo:
Comprend : Oraison funèbre de Mirabeau ; Epitaphe d'Honoré Gabriel Riquetti Mirabeau
Resumo:
L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale. Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles.
Resumo:
L’objectif de ce mémoire est de démontrer le rôle important de la langue dans la pièce de théâtre Death and the King’s Horseman par l’auteur nigérian Wole Soyinka. Le premier chapitre traite les implications de l'écriture d'un texte postcolonial dans la langue anglaise et revisite les débats linguistiques des années 1950 et 1960. En plus de l'anglais, ce mémoire observe l'utilisation d'autres formes de communication telles que l'anglais, le pidgin nigérian, les dialectes locaux et les métaphores Yoruba. Par conséquent, l'intersection entre la langue et la culture devient évidente à travers la description des rituels. La dernière partie de ce mémoire explore l'objectif principal de Soyinka de créer une «essence thrénodique». Avec l'utilisation de masques rituels, de la danse et de la musique, il développe un type de dialogue qui dépasse les limites de la forme écrite et est accessible seulement à ceux qui sont équipés de sensibilités culturelles Yoruba.
Resumo:
The mean state, variability and extreme variability of the stratospheric polar vortices, with an emphasis on the Northern Hemisphere vortex, are examined using 2-dimensional moment analysis and Extreme Value Theory (EVT). The use of moments as an analysis to ol gives rise to information about the vortex area, centroid latitude, aspect ratio and kurtosis. The application of EVT to these moment derived quantaties allows the extreme variability of the vortex to be assessed. The data used for this study is ECMWF ERA-40 potential vorticity fields on interpolated isentropic surfaces that range from 450K-1450K. Analyses show that the most extreme vortex variability occurs most commonly in late January and early February, consistent with when most planetary wave driving from the troposphere is observed. Composites around sudden stratospheric warming (SSW) events reveal that the moment diagnostics evolve in statistically different ways between vortex splitting events and vortex displacement events, in contrast to the traditional diagnostics. Histograms of the vortex diagnostics on the 850K (∼10hPa) surface over the 1958-2001 period are fitted with parametric distributions, and show that SSW events comprise the majority of data in the tails of the distributions. The distribution of each diagnostic is computed on various surfaces throughout the depth of the stratosphere, and shows that in general the vortex becomes more circular with higher filamentation at the upper levels. The Northern Hemisphere (NH) and Southern Hemisphere (SH) vortices are also compared through the analysis of their respective vortex diagnostics, and confirm that the SH vortex is less variable and lacks extreme events compared to the NH vortex. Finally extreme value theory is used to statistically mo del the vortex diagnostics and make inferences about the underlying dynamics of the polar vortices.
Resumo:
par Zadoc Kahn
Resumo:
Esta pesquisa se dedica ao debate em torno da redação e composição do livro de Amós, e pretende, primeiramente, apresentar e criticar algumas hipóteses sobre as camadas literárias, que poderiam pertencer ao próprio profeta, e os acréscimos tardios. Como primeiro passo para uma abordagem do problema redacional, este estudo examina algumas contribuições de especialistas estrangeiros e de estudiosos brasileiros, e tenta fazer um julgamento crítico de suas hipóteses sobre a redação do livro de Amós. A questão do processo redacional do livro de Amós tem sido, na verdade, objeto de uma animada discussão entre muitos estudiosos. Em segundo lugar, a leitura diacrônica é complementada com o estudo sincrônico do livro, isto é, com o debate em torno da estrutura não só da composição em Amós 6,1-14, mas também do livro todo. Em terceiro lugar, a partir da avaliação do resultado da pesquisa e com a utilização do método histórico-crítico, a composição em Amós 6,1-14 é analisada como uma unidade literária de sentido. Para tal análise são, indubitavelmente, relevantes algumas considerações prévias sobre o gênero literário da lamentação, a denúncia profética da injustiça social e a instituição do banquete do marzeah. Em seqüência, esta tese analisa o fenômeno literário dos panfletos proféticos e da organização social, que poderia estar por detrás de sua autoria. Por isso, e levando em conta o desafio de novas propostas metodológicas, esta pesquisa visa dar uma contribuição específica ao estudo de Amós. Ela se empenha em demonstrar que, em relação a Amós 6,1-14, o leitor está diante de uma criação coletiva. De fato, a mencionada composição é o resultado não só da pregação oral do próprio profeta, mas também, em razão de sua forma compósita, das vozes proféticas de pessoas oprimidas, que, impulsionadas pelo Espírito, confirmaram a denúncia severa de Amós e até a completaram com suas próprias experiências e sofrimentos. Finalmente, um despretensioso excursus examina o livro de Amós em um contexto literário mais amplo, para dar uma visão geral do debate em torno do processo redacional do Livro dos Doze Profetas, particularmente a partir de sua perspectiva escatológica mediante a categoria teológica do Dia do Senhor.(AU)