264 resultados para christianisme
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Pagination: Vol. 1: xx, 432 p. -- Vol. 2: vii, [1], 457, [1] p.
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O objetivo principal deste trabalho é a análise do sermão Pecados capitais e hipocrisia, simonia, detração e adulação, circunscrito no conjunto dos escritos antonianos que se reportam ao universo dos bestiários medievais. Na obra em questão, os respectivos vícios humanos são evocados, cada qual, a partir da analogia estabelecida com o comportamento de determinados animais. Santo Antônio de Lisboa (1192-1231) viveu a maior parte de sua vida durante as primeiras décadas do período conhecido como Baixa Idade Média (século XIII ao XV). Data do início dessa era o estabelecimento de uma arte de pregar medieval, que toma como referência as idéias propaladas no princípio do Cristianismo, a filosofia dos Padres da Igreja e, por fim, os diversos preceptores do século XIII, que espelhavam o novo contorno do qual havia se revestido a teoria da prédica, em que se sublinhava também a forma de pregar, até então preterida em função do conteúdo da oratória. É também nessa época que tomam vulto as ordens mendicantes, dentre as quais se destacam os franciscanos. Santo Antônio, como pregador dos Frades Menores, valeu-se dos conhecimentos adquiridos durante o período em que integrou a Ordem dos Cônegos Regrantes de Santo Agostinho; da filosofia propalada pelo fundador da Ordem instituída por São Francisco de Assis; e, por fim, de todos os artifícios que lhe oferecia a oratória de seu tempo. Dirigiu sua prédica, sobretudo, aos cátaros, hereges que desprezavam as coisas materiais, inclusive a natureza. Ao utilizar o simbolismo dos bestiários medievais, estima-se que Santo Antônio conciliou três fatores fundamentais na eficácia de seu discurso. O primeiro deles se refere à plena comunhão entre os recursos da ars praedicandi e a alegoria do bestiário medieval. Em seguida, ressalta-se a própria utilização do mundo animal como fator de eficaz eloqüência, considerando-se a concepção, em voga na sociedade medieval, de que a natureza seria um espelho codificado do universo espiritual, e nela estariam subjacentes os propósitos de Deus para com os homens. O terceiro fator a ser destacado é a harmonia entre a utilização do bestiário medieval como subsídio retórico e a filosofia dos franciscanos, que confere valor especial à natureza, sobretudo aos animais
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The article retraces the career of the famous hypnotist Onofroff and particularly his visit to Buenos Aires, where his activity, in 1895, provoked many discussions and some public embarrassment. In this context Darío, using a pseudonym, published his crónica “La esfinge”. We reproduce “La esfinge”, transcribing the original text of La Nación, with annotations identifying the literary and theosophical sources Darío used when he wrote it.
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Au cours des dernières décennies, la recherche scientifique, toutes disciplines confondues, s’est particulièrement intéressée aux phénomènes et questionnements identitaires, notamment en ce qui concerne les groupes et les mouvements minoritaires ou marginaux, mais également en ce qui concerne la question des identités nationales dont se délectent à leur tour politiciens et médias. Véritable reflet d’un des enjeux majeurs de nos sociétés contemporaines, cet intérêt des chercheurs pour les phénomènes identitaires a particulièrement porté sur l’étude des processus de construction et d’affirmation des identités individuelles et collectives, c’est-à-dire sur les modes et les modalités à partir desquels les identités se construisent, se structurent et sont affirmées dans un rapport comparatif, compétitif et dialogique entre le Soi et l’Autre. Si notre compréhension des phénomènes identitaires s’est considérablement précisée et nuancée depuis la publication dans les années 1950, voire antérieurement, des études fondamentales et fondatrices, il n’en demeure pas moins que le concept d’identité, peu importe les multiples terminologies qu’il peut prendre selon les disciplines, pose actuellement de nombreux problèmes et s’avère abondamment galvaudé par certaines recherches récentes qui en font usage sans nécessairement le définir, voire pire, le maîtriser, comme un champ d’études à la mode qu’il convient d’investir afin d’alimenter un lectorat avide de ces questions et problèmes identitaires. Il est vrai que les travaux scientifiques sur les identités paraissent à un rythme soutenu, voire insoutenable tant cette production est abondante et diversifiée. Tour à tour, les identités ethniques, nationales, provinciales, régionales, politiques, culturelles, religieuses, de genre, des groupes ou mouvements minoritaires et marginaux, pour ne nommer que certains des principaux champs d’investigation, ont été interrogées. Loin de se limiter aux sociétés, aux individus et aux collectivités modernes, les identités du passé, toutes périodes confondues, ont également été revisitées à la lumière des outils d’interprétation développés, entre autres, par la sociologie, par l’anthropologie culturelle et par la psychologie sociale. Bien évidemment, les spécialistes de l’Antiquité n’ont pas échappé à cette tendance, partant à leur tour à la conquête de l’identité (ou des identités) grecque(s), romaine(s), barbare(s), judéenne(s) et chrétienne(s). Leur intérêt s’est également porté sur les identités propres aux diverses catégories ou collectivités sociales, politiques, juridiques, religieuses et professionnelles. Toutefois, aborder la question des identités dans l’Antiquité oblige à délaisser les définitions et compréhensions modernes au profit d’un tout autre mode raisonnement identitaire et d’appartenance propre aux sociétés et collectivités anciennes en prenant en considération les dimensions « – emic » et « – etic » que requiert l’utilisation de cette notion afin d’en avoir recours comme une catégorie d’analyse adéquate pour cette période particulière, une approche double et complémentaire trop souvent négligée par une majorité de recherches dont les résultats aboutissent inévitablement à une compréhension anachronique et « distorsionnée » des réalités anciennes, ce qui est d’autant plus le cas en histoire des religions et des communautés socioreligieuses de l’Antiquité en raison de nombreux présupposés idéologiques et théologiques qui dominent encore tout un pan de l’historiographie actuelle. Bien que le concept même d’identité n’existe pas dans l’Antiquité, le terme « identitas » renvoyant à une tout autre réalité, cela ne signifie pas pour autant que les Anciens n’avaient aucune conscience de leur(s) identité(s) et qu’il est impossible pour nous modernes d’étudier les phénomènes et les discours identitaires antiques. Toutefois, cela impose d’aborder ces phénomènes avec une très grande prudence et beaucoup de nuances en évitant les généralisations hâtives et en circonscrivant bien les contextes d’énonciation dans lesquels ces identités se sont construites et ont été affirmées, car, déterminées par les appartenances, la définition de ces identités s’est constamment élaborée et réélaborée sur un rapport Soi / Autre, inclusion / exclusion et a reposé sur des stratégies discursives qui ont varié selon les époques, les lieux, les auteurs et les contextes d’énonciation. L’enjeu principal est alors de comprendre les stratégies et les mécanismes mis en œuvre par les auteurs anciens dans les processus discursifs de construction identitaire de leur groupe d’appartenance. Produit d’une rhétorique, l’étude des identités anciennes oblige donc de distinguer, ce qui est certes complexe, discours et réalités sociales, du moins cela oblige, encore une fois, à une extrême prudence et beaucoup de nuances afin de ne pas confondre discours et réalités. Si les discours ont effectivement pour effet d’ériger des frontières identitaires fixes et imperméables entre les différents groupes et collectivités, l’étude de la réalité vécue par les acteurs sociaux montre que ces frontières étaient plutôt fluides et perméables. Pour étudier la question des identités dans l’Antiquité, plusieurs postes d’observation peuvent êtres sollicités en s’intéressant, notamment, à la formation des identités, à l’identité en auto-définition, à l’identité dans le miroir de l’Autre, à l’impact des interactions entre le Soi et l’Autre sur les définitions identitaires, aux frontières identitaires et à leurs transgresseurs, aux marqueurs identitaires, etc. Ces différentes approches, notamment lorsqu’elles sont combinées les unes aux autres, contribuent à mettre en évidence la complexité des processus de construction des identités dans l’Antiquité dont on reconnaît désormais le caractère fluide, dynamique et discursif, malgré les idéologies de stabilité sur lesquelles elles se sont élaborées et polémiquées. Loin de susciter de vains débats, les études sur les identités dans l’Antiquité permettent d’aborder sous un angle novateur certains acquis de la recherche et de leur apporter de riches nuances. Cependant, interpréter les phénomènes identitaires anciens à partir de paradigmes, de terminologies et de catégories erronés ou anachroniques a également pour conséquence indéniable de parvenir à une relecture « distorsionnée », si ce n’est orientée, du passé, en lui imposant des catégories de définition et d’auto-définition identitaires qui n’existaient pas dans l’Antiquité. C’est pourquoi il importe également, lorsqu’on tente d’aborder ces phénomènes identitaires, de réfléchir sur les paradigmes, les terminologies et les catégories qui sont invoqués par en parler et ne pas hésiter à les remettre en question en refusant d’adhérer, de manière consciente ou inconsciente, à un quelconque modèle préétabli. S’inscrivant dans ce courant réflexif majeur de l’historiographique actuelle sur l’étude des phénomènes de construction identitaire dans l’Antiquité, notre recherche s’intéresse plus particulièrement aux processus de construction de discours d’appartenance dans la littérature judéenne et chrétienne aux Ier et IIe siècles. Sans avoir cherché à circonscrire une définition unique et unilatérale des identités judéennes et chrétiennes de cette période – définition qui s’avère, selon nous, plus utopique que réaliste en raison de la pluralité des mouvements qui composent le « judaïsme » et le « christianisme » anciens et des auteurs qui ont tenté, par leurs discours, de définir et présenter ces identités – ou tenter d’établir une liste de critères à respecter pour délimiter ce qu’est l’identité judéenne ou chrétienne – et, par conséquent, ceux qui peuvent ou non se réclamer d’être Judéens ou chrétiens –, la perspective que nous adoptons dans cette recherche est plutôt de réfléchir à la manière dont il convient d’aborder les identités anciennes et les processus de construction identitaire dans l’Antiquité. Notre réflexion se veut donc d’abord et avant tout une réflexion méthodologique, épistémologique, terminologique et historiographique des questions et phénomènes identitaires dans l’Antiquité, notamment en ce qui concerne les identités judéennes et chrétiennes des Ier et IIe siècles qui sont abordées à partir de divers postes d’observation et dans une perspective socio-historique qui adopte une démarche « – emic » et « – etic ». Notre recherche est divisée en trois parties. La première sera consacrée aux discussions d’ordre « – etic », c’est-à-dire aux réflexions et aux remarques méthodologiques, épistémologiques, terminologiques et historiographies sur l’approche des phénomènes identitaires et de l’identité chrétienne dans l’Antiquité. Le chapitre I présentera des remarques historiographiques sur les travaux récents en histoire du « christianisme » ancien. Dans le chapitre II, nous discuterons des concepts modernes d’« identité », de « race » et d’« ethnie ». Le chapitre III présentera quelques réflexions épistémologiques et méthodologiques sur l’application des théories et concepts modernes aux réalités antiques dans l’approche des phénomènes identitaires. Finalement, le chapitre IV reviendra sur les différents paradigmes interprétatifs qui ont été utilisés dans le débat moderne sur la question du Parting of the Ways. La deuxième partie sera consacrée à la présentation des cadres contextuels du « judaïsme » et du « christianisme » anciens. Le chapitre V dressera un portrait général de la pluralité qui caractérise le « judaïsme » ancien à la période romaine (Ier – IIe siècles) et des principaux marqueurs identitaires des communautés judéennes de cette époque. Dans le chapitre VI, il sera question de l’origine et de l’expansion du « judaïsme chrétien » dans l’Empire romain (Ier – IIe siècles) de même que de la pluralité des courants chrétiens. La troisième partie abordera la dimension « – emic » de notre recherche en s’intéressant aux processus discursifs de construction de l’identité chrétienne à partir de différents postes d’observation. Le chapitre VII analysera la présentation que l’auteur des Actes des apôtres fait des conditions d’entrée et des premières règles de vie dans la communauté chrétienne. Le chapitre VIII s’intéressera aux enjeux liés à la perception et à la représentation du Soi et de l’Autre en tentant de comprendre comment le mouvement chrétien a tenté de s’auto-définir et comment il a été défini par l’Altérité. Finalement, le chapitre IX analysera la manière dont les auteurs chrétiens se sont approprié le terme « γένος » et comment ils l’ont redéfini sur la base de critères cultuels ou religieux afin de présenter l’originalité distinctive du mouvement chrétien.
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(Résumé de l'ouvrage) Dans cet ouvrage réunissant théologiens et philosophes, le corps contemporain est pensé par rapport à ce qui l'excède, ce qui le met en scène, ce qui le reprend, ce qui le transforme aujourd'hui. Dans une première partie, l'ouvrage propose des éclairages sur le corps à partir de ce qui met en question sa vision strictement rationnelle. Puis, trois auteurs évoquent les différentes manières dont la Bible, la philosophie et la littérature contemporaine mettent en scène les corps. Dans une troisième partie, sont abordées des questions plus spécifiquement reliées à la tradition catholique, au christianisme primitif et à la pratique de l'ascèse. Enfin, quatre contributions explorent le défi posé par la déréalisation du corps dans nos sociétés d'aujourd'hui, avec, pour clore l'ensemble, une réflexion sur le dualisme qui traverse le questionnement sur le corps.
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"Ex bibliotheca billiana" (1)
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Rapport d'un censeur contre le christianisme, désapprouvé par l'Empereur (1711) ; copie.
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Contient : 1 « Livre des causes ou principes et origines des deux Natures » ; 2 « Discours et resolution de la divination, ou Divine et souveraine verité touchant ce qui est à advenir de la guerre des chrestiens et Ismaëlites ou Turchz. De la victoire, en quel lieu sera, et pourquoy. 1575 » ; 3 « La dixieme partie ou section des OEuvres de JAMBLICUS, des Misteres des Egyptiens. 1576 » ; 4 « Consideration du christianisme » ; 5 « La Rome babylonique, ou Petit traicté de la confusion et ruine babylonique en la cité de Rome » ; 6 « Premiere partie de la Demonstration du vespre du monde. 1577 ». Précédée d'une lettre « à Richard Crosnier, presbtre » ; 7 « La Dispute du pape Sylvestre avec les Juifz, celebrée à Rome l'an trois cens apres l'Incarnation, en la presence de l'empereur Constantin et Helene, sa mere, Augustes, touchant la verité de Jesus Christ, Dieu incarné, juxte les antiennes promesses et propheties dont est tres doctement par le meme texte de l'Escripture saincte refutée l'erreur non seulement des Juifz et Mahometains touchant la Trinité, mais aussi de plusieurs heretiques antiens et modernes » ; 8 « De la Naissance, progres et fin de l'empire romain, oeuvre composé, depuis trois cens ans, par ENGELBERT, abbé d'Aumont, faict françois. 1575 » ; 9 « Les quatre Livres de PHILIPPE THEOPH. PARACELSE. De la longue Vie, ou Conservation et prorogation de la vie, faict françoys du latin, l'an. commençant 1576 » ; 10 « Oratio in Assumptione B. Virginis, habita Rothomagi, anno 1576 » ; 11 « Ad senatum urbis novae et fortissimae Portus Gratiae, totius Galliae propugnaculi » ; 12 « In S. Elizabethae, virg. Sconaugiensis, sermonem sextum, sive cap. 4, lib. 2 Viarum Dei sive visionum, inscriptum de Via praelatorum, praefatio ad... Jo. Ruffum, ecclesiae quae est in sylvula Anneburgii antistitem » ; 13 « OΥINKENTIOΣ KOΣΣΑΡΔΟΣ. Ιωάννη τω̃ αυτου̃ πατρι ευ πράττειν », lettre, en grec, de Cossard à son père, 15 décembre 1570 ; 14 Lettres latines, de « GUILLAUME POSTEL à Cossard » ; 3 janvier 1576 (fol. 192); — de « V. COSSARD à G. Postel », 27 septembre 1576 (ibid.), — de « LOUIS MARTEL à V. Cossard », 11 septembre 1576 (fol. 193) ; — de « V. COSSARD à G. Postel », 1er juillet 1577 (ibid.) ; — de « G. POSTEL à V. Cossard », 10 juillet 1577 (fol. 194) ; — de « G. POSTEL à V. Cossard », 2 mai (ibid) ; 15 « Epistre presentée par COSSARD à Mgr le reverendissime archevesque de Raims et abbé de Fescamp, 1576 » ; 16 « Preface à tres affectionné zelateur de la vraye pieté et syncerité du christianisme, Me Robert Joly, prestre, sur la generale et terrible vision faicte à noble et religieuse personne F. Robert, premierement prestre seculier, et depuis, de l'ordre Saint Dominique ; mise en françoys, pour la conversion du monde babylonique, apres avoir été cachée l'espace de 288 ans » ; 17 « Nemo, sive Sermo de vita et rebus gestis viri ad hunc diem incogniti Neminis, videlicet contemporanei Deo Patri, Filio coessentialis, et origine conformis Spiritui Sancto » ; 18 « La Voix du desert » ; 19 « Specilegium exercitationum poeticarum », en vers français ; 20 « Chant royal sur la pure et tres saincte Conception de la Vierge » ; 21 « Ballade sur la mesme Immaculée Conception » ; 22 « Consideration ou elegie sur la mort de Me Romain Cossard, premier aux esleus pour le roy à Rouen » ; 23 « Dixain sur la mort du mesme » ; 24 « Ode sur la mort du dict sieur Esleu, mise à l'entour du cierge bruslant sur le tombeau » ; 25 « Elegie sur la mort de damoyselle Marie Le Bouteiller » ; 26 Lettre à « damoysele Marie Le Bouteiller, mere de la deffuncte, sur la mort de son filz, qui mourust un an apres » ; 27 « Au Roy de la febve », vers ; 28 « Chant royal sur l'Immaculée et saincte Conception » ; 29 « Priere à la Vierge pour le roy » ; 30 « Ballade sur la mesme Conception » ; 31 « Autre ballade » ; 32 Epigrammes traduites d'« ARCHIAS », de « MELEAGRE », de « PALLADE », etc ; 33 « Sonnet sur la tres saincte Conception » ; 34 « Sur le tombeau d'un paovre », traduit « du latin de PONTAN » ; 35 « Quatrain de FRANÇOIS DUFRESNE » ; 36 « Ex Th. Moro », quatrain ; 37 « Horatiana rapsodia pro tumulo », centon de vers d'Horace ; 38 « Tombeau », vers
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Souvenirs de la confrérie de l'Eau Sainte, de Wu lin.Par Zhang Xue shi ; revu par Zhang Wen dao. Préface par Li Zhi zao Bai chen, de Dong hai, rédigée une trentaine d'années après l'introduction du christianisme.9 feuillets.
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Souvenirs de la confrérie de l'Eau Sainte, de Wu lin.Par Zhang Xue shi ; revu par Zhang Wen dao. Préface par Li Zhi zao Bai chen, de Dong hai, rédigée une trentaine d'années après l'introduction du christianisme.9 feuillets.
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Explication abrégée du christianisme.Par le P. Monteiro ; publié avec l'autorisation du P. Furtado. Préface écrite (1655) par Zhang Geng, de Jin jiang, âgé de quatre-vingts ans.28 feuillets.
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Principes du christianisme.Par le P. Diaz, avec une préface non datée de l'auteur.4 livres.
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Évidence du christianisme.Par le P. Varo. Introduction de l'auteur (1677) ; avertissement ; le texte de l'ouvrage manque. Écrit à l'église Mei gui.6 + 3 feuillets.
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Cat. imp., liv. 125, f. 27.Bian xue yi du.Mémoires et lettres sur le christianisme.Lettre de Yu Shun xi De yuan et réponse du P. Ricci ; mémoires du bonze Lian chi Zhu chuang et réfutation du P. Ricci ; notice finale par Liang an ju shi. Gravé au pavillon Xi shi.26 feuillets.