996 resultados para Vente sur Internet
Resumo:
[Vente. Estampes. 1857-03-05. Paris]
Resumo:
Cet article passe en revue les côtés positifs et les risques liés à l'utilisation des nouvelles technologies. Parmi les aspects positifs, figurent l'accès rapide à des informations à caractère éducatif, la possibilité d'échanges à caractère social ou intellectuel, et l'ouverture à des renseignements dans le domaine de la santé, des drogues ou de la sexualité. Les menaces sont liées à l'inexpérience et à la difficulté à juger de la validité des informations, ou du risque que les jeunes prennent en diffusant des informations sur le web. La dépendance à internet et le risque de violence sont probablement surestimés. Un monitorage ouvert et interactif de la part des parents constitue une bonne prévention. L'investigation du rapport que chaque jeune patient entretient avec ces outils fait partie intégrante de tout bilan de santé. [Abstract] This reviews the use of new technologies with its benefits and pitfalls. Among the positive aspects are instant access to educational information, the possibility to connect with mates and to develop social exchanges, as well as an access to preventive contents in the field of health, substances or sexuality. The risks are linked with inexperience and the adolescent's inability to assess the validity of information collected on Internet, as well as a lack of insights of the consequences of launching information or images on the web. The menace of addiction or of violence induced by intemet is probably overestimated by many adults but should be taken into account. Parents should monitor their adolescents' activity in an open and interactive way. Moreover, any adolescent medical check-up should touch on the use of new technologies.
Resumo:
Résumé:¦Sur le plan économique, le système de genre est une pierre angulaire du discours publicitaire. Il intervient dans la segmentation des marchés, la sélection des médias et des supports, l'apparence extérieure des produits, le ton des campagnes, le choix des arguments de vente et, bien sûr, les scripts des annonces. En contrepartie, sur le plan symbolique, le discours publicitaire est un dépositaire privilégié des imaginaires de genre qui circulent dans son contexte de diffusion. En cette qualité, confronté à un marché toujours plus concurrentiel, à l'instabilité croissante des consommateurs ainsi qu'à une critique médiatique, académique et publique à l'affût des stéréotypes, le discours publicitaire est amené à proposer des représentations des hommes et des femmes de plus en plus diversifiées. Le présent ouvrage, qui relève de l'analyse linguistique des discours, rentre dans la complexité de ces variations publicitaires sur le féminin et le masculin et déchiffre les imaginaires de genre dont elles relèvent. Il soulève par ailleurs la question de la dimension politique des recherches académiques.
Resumo:
Dans notre pratique auprès des adolescents engagés dans des agirs sexuels violents, la consommation de pornographie est fréquemment convoquée dans le parcours de ces sujets à la découverte de la sexualité. Si bien sûr, tous les adolescents qui visionnent ces images ne commettent pas de tels actes, ce constat préoccupant nous invite à nous interroger sur les effets ou plutôt les méfaits de la pornographie sur l'investissement du corps sexué et sur la construction de la sexualité. Outre une réflexion sur l'impact de l'image dans son caractère obscène et à la suite des travaux de G. Bonnet (2003, Le Défi à la pudeur. Quand la pornographie devient l'initiation sexuelle des jeunes), nous montrerons en quoi la pornographie constitue une forme de violence, parfois jusqu'au traumatisme. Ce danger auquel les adolescents sont (sur)exposés, notamment par le biais d'Internet, pourrait en effet favoriser un clivage (que nous retrouvons systématiquement dans la problématique des violences sexuelles) entre corps érotique et corps sexué. La consommation de pornographie s'apparenterait davantage à l'incorporation de la sexualité génitale marquant ainsi l'échec de l'introjection de la génitalité au moment de l'adolescence. Ne devient-elle pas alors un ersatz de la pulsion de mort ? en tant qu'elle isole le sujet dans une activité auto-pseudo-érotique, retirant à la sexualité sa fonction de lien et par là même ouvrant le champ au déchaînement de toutes formes de violence.
Resumo:
[Table des matières] 1. Thème. 2. Définitions. 3. Méthodes et données. 3.1. Recherche de littérature. 3.2. Récolte des données. 3.3. Données. 4. Analyse des données. 4.1. Situation générale. 4. 2. Constats valaisans. 4.3. Les taux de mortalité par suicide. 4. 4. Comparaisons des sources. 4.5. Comparaison des phénomènes. 4. 5. Tentatives de suicide. 5. Discussion. 5.1. Résultats principaux. 5.2. Force et faiblesse de l'étude. 5.3. Valeur de cette étude. 5.4. Questions ouvertes. 6. Recommandations. 7. Sites internet avec des informations intéressantes. 8. Annexes. 8.1. Etiologie du suicide. 8.2. Concept de prévention (conditions, types de prévention, niveaux des interventions préventives). 8.3. Programmes - Recommandations professionnelles - Recherche (Suisse, étranger, recherches). 8.4. Littérature.
Resumo:
Les conclusions que l'on peut tirer après dix mois d'une campagne de prévention intensive, sont les suivantes: -> la campagne a atteint sa cible, la population générale et les groupes exposés, après une bonne diffusion et amplification par les médias; -> elle n'a pas donné lieu à l'expression de fortes résistances ou d'oppositions; -> des phénomènes multiplicateurs (actions locales, répercussions par les leaders de groupes, etc) sont apparus et contribuent à renforcer la campagne elle-même; -> la vente de préservatifs a augmenté; -> on observe des changements d'attitudes et de comportements dans le sens d'une meilleure protection dans la population générale aussi bien que dans les groupes observés, choisis spécifiquement pour leur probabilité plus grande d'adopter des comportements à risque (jeunes, homosexuels, toxicomanes...), ce qui permet de supposer que ces tendances se généraliseront, pour autant que les campagnes se poursuivent sans relâche et sans dérapage. [Auteurs, p. 7-8]
Resumo:
Enfants de moins de 10 ans fumant passivement 14 cigarettes ! D'avril 2010 à avril 2011, l'exposition de 148 enfants (81 garçons et 67 filles) a été testée: 10 enfants de moins d'un an, 25 de 1 à 5 ans, 19 de 5 à 10 ans, 30 de 10 à 15 ans et 64 de 15 à 18 ans. 10 d'entre eux sont des fumeurs et la plus jeune de 14 ans fume 10 cigarettes par jour. Leurs parents, ou parfois des jeunes eux-mêmes, ont commandé de manière volontaire, via les sites Internet des CIPRET Valais, Vaud et Genève, un badge MoNIC gratuit. Les résultats quant à l'exposition de ces enfants interpellent et méritent l'attention.Pour l'ensemble des enfants, la concentration moyenne de nicotine dans leur environnement intérieur mesurée via les dispositifs MoNIC est de 0,5 mg/m3, avec des maximums pouvant aller jusqu'à 21 mg/m3. Pour le collectif d'enfants âgés de moins de 10 ans (26 garçons et 28 filles; tous non-fumeurs), la concentration de nicotine n'est pas négligeable (moyenne 0,069 mg/m3, min 0, max 0,583 mg/m3). En convertissant ce résultat en équivalent de cigarettes inhalées passivement, nous obtenons des chiffres allant de 0 à 14 cigarettes par jour* avec une moyenne se situant à 1.6 cig/j. Encore plus surprenant, les enfants de moins d'un an (4 garçons et 6 filles) inhalent passivement, dans le cadre familial, en moyenne 1 cigarette (min 0, max 2.2). Pour les deux autres collectifs: 10-15 ans et 15-18 ans, les valeurs maximales avoisinent les 22 cigarettes. Notons cependant que ce résultat est influencé, ce qui n'est pas le cas des enfants plus jeunes, par le fait que ces jeunes sont également parfois des fumeurs actifs.* Quand la durée d'exposition dépassait 1 jour (8 heures), le nombre d'heures a toujours été divisé par 8 heures. Le résultat obtenu donne l'équivalent de cigarettes fumées passivement en huit heures. Il s'agit de ce fait d'une moyenne, ce qui veut dire que durant cette période les enfants ont pu être exposés irrégulièrement à des valeurs supérieures ou inférieures à cette moyenne. [Auteurs]
Resumo:
[Vente (Livres). 1869. Paris]
Resumo:
Introduction : Depuis plusieurs années, la pratique a développé une nouvelle forme d'utilisation de la propriété immobilière : le time-sharing, que l'on appelle aussi couramment propriété en temps partagé ou multipropriété. Son objectif est de permettre à plusieurs personnes de bénéficier du même logement de vacances en prévoyant une répartition temporelle de leur usage. Actuellement, il n'existe dans le système juridique suisse aucune disposition légale qui traite expressément du time-sharing, mais ce concept peut être valablement établi sur la base du droit en vigueur en ayant recours à différentes constructions. En effet, le droit contractuel, le droit des sociétés et les droits réels sont autant de moyens utilisés par la pratique pour atteindre le but fixé. Le choix entre ces diverses alternatives n'est toutefois pas anodin, car il détermine de manière directe la position juridique du time-sharer vis-à-vis des tiers et des personnes qui font partie de la même structure que lui. Le système du time-sharing a suscité un véritable engouement auprès des consommateurs, mais il a également donné lieu à de nombreux abus dont la presse s'est faite l'écho. Pour ces raisons, le législateur envisage aujourd'hui d'introduire des dispositions légales protectrices permettant de délimiter précisément les droits et obligations dont le time-sharer acquiert la titularité. Cette intervention législative ne consiste toutefois pas en une réglementation du time-sharing, mais uniquement en l'élaboration de normes générales qui doivent s'appliquer lors de la conclusion du contrat d'acquisition et qui se veulent compatibles avec les différentes constructions juridiques possibles. Nous avons choisi, pour la présente étude, d'examiner les possibilités qu'offrent les droits réels pour établir le partage de la jouissance d'un appartement et d'analyser la construction qui assure au consommateur la position la plus stable : celle de copropriétaire d'une part de propriété par étages. Les caractéristiques propres au time-sharing qui nous intéresse sont ainsi les suivantes : 1) Le time-sharer est un véritable propriétaire immobilier. Le droit de propriété assure une position forte à son titulaire qui bénéficie alors de tous les attributs et toutes les garanties de ce droit absolu. Mais le fait que plusieurs personnes acquièrent le même objet, nous met en présence du concept de propriété collective qu'il faut analyser afin d'expliquer la construction juridique du time-sharing en droits réels. 2) L'appartement reste toujours le même. L'objectif principal du consommateur est d'acquérir un droit de propriété sur un logement qu'il a lui-même choisi. Nous excluons ainsi les sociétés qui mettent à disposition de leurs membres un choix d'appartements que ce soit contre le versement d'une somme d'argent, par le biais d'un système d'acquisition de points-vacances, ou proportionnellement à l'investissement dans le capital social et le parc immobilier de la société. En outre, bien qu'il soit loisible à tout propriétaire d'entrer en relation avec une société d'échange afin de bénéficier d'un autre appartement, nous n'examinerons pas les rapports juridiques ainsi créés, car ils relèvent du droit contractuel et du droit des sociétés et non des droits réels. 3) L'immeuble est situé en Suisse et il est organisé en propriété par étages avant que les différents appartements qui le constituent ne soient vendus. Malgré le succès connu par le time-sharing hors de nos frontières, nous avons décidé de nous intéresser uniquement au statut réel du time-sharing en droit suisse et non aux divers problèmes qui peuvent surgir en droit international privé face aux contrats passés sous l'empire d'un droit étranger. En outre, comme nous le verrons, la structure de la propriété par étages se révèle être parfaitement adaptée au time-sharing en offrant une organisation élaborée et une communauté bénéficiant de la quasi-personnalité juridique. 4) Il n'y a aucun lien préexistant entre les différents acquéreurs et il n'est, par conséquent, pas nécessaire que l'acquisition de l'appartement se fasse simultanément et de manière collective. Dans la plupart des cas, les acquisitions seront échelonnées dans le temps et les personnes entreront en contact uniquement par le biais de leur logement commun. Le système permet donc une grande indépendance entre les différents membres du time-sharing, autant lors de l'achat que de la revente du droit de jouissance. 5) L'appartement étant vendu à de nombreuses personnes, il est nécessaire de fixer des périodes cycliques de jouissance. Celles-ci sont l'élément essentiel du time-sharing et déterminent le prix de vente par leur durée et par leur situation annuelle en haute saison ou en concordance avec les vacances scolaires. Toutefois, bien d'autres éléments nécessitent d'être règlés au niveau de l'organisation interne pour établir avec précision les droits et obligations de chacun. Le plan de notre étude comporte quatre parties principales qui portent respectivement sur la théorie de la propriété collective, sur les différentes constructions envisageables dans le domaine des droits réels, sur l'organisation de la copropriété fondant le time-sharing et sur l'examen des projets de révisions législatives à la lumière de la copropriété.