298 resultados para Socrate de Constantinople


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Qu’est-ce que l’être humain ? La question se pose depuis plusieurs millénaires. Platon n’y échappe pas et il suit l’inscription du temple de Delphes, le fameux « connais-toi toi-même », lorsqu’il cherche à mieux cerner l’homme dans ses écrits. Cette quête de l’essence de l’homme est présente à plusieurs moments de l’œuvre de Platon, mais nous sommes d’avis qu’il ne suggère jamais de définition de l’homme aussi claire que dans l’Alcibiade. Toute la fin de ce dialogue se consacre à cette question et l’on y trouve un Socrate avide de partager sa propre pensée sur le sujet. Les commentateurs de ce dialogue ne s’entendent pourtant pas sur la signification que l’on doit donner à ce développement parfois obscur sur l’essence de l’homme. Plusieurs affirment que l’homme y est présenté comme étant essentiellement son âme, d’aucuns que l’homme y est la réunion du corps et de l’âme, et d’autres encore que l’homme y est plutôt présenté comme étant la partie rationnelle de son âme. Les trois chapitres de ce mémoire présentent et analysent les arguments principaux de chaque camp dans le but de trancher la question. Il y est défendu que dans l’Alcibiade l’homme est, de manière approximative, son âme, mais que de manière plus précise, il correspond à la partie en lui qui domine, soit sa raison. Il y est également suggéré que cette conception de la nature humaine est reprise ailleurs dans le corpus platonicien.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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En 1993, l’église du monastère Humor et six autres églises du nord de la Moldavie (Roumanie) ont été classifiés comme patrimoine de l'UNESCO, en particulier en raison de leurs caractéristiques iconographiques et architecturales uniques. Construit au seizième siècle, le monastère Humor est devenu un riche centre religieux et culturel sous le patronage du prince Petru Rares de Moldavie. Ce centre a encouragé les innovations architecturales ecclésiales, ainsi qu’un programme très prolifique de fresques, extérieures et intérieures, exprimant une créativité au-delà du canon de la peinture de l'époque. La présente thèse est concentrée sur ces innovations architecturales et iconographiques, comprises à la lumière du contexte historique de ce moment unique dans l'histoire de la Moldavie, dans le siècle qui suivit la chute de Constantinople (1453). Tandis que la première partie de la thèse est concentrée sur ces circonstances historiques, et plus précisément sur l'impact du patronage du Prince Rares, la deuxième partie de la recherche est concentrée sur l'analyse des sources littéraires et de la théologie d’une série unique de fresques, placé dans la gropnita (chambre funéraire) de l’église monastique d’Humor, évoquant la vie de la Mère de Dieu. La série est un exemple extraordinaire d’interaction des textes, le Protévangile de Jacques et le Synaxarion, avec l'iconographie. Une attention particulière à l'iconographie du monastère Humor démontre le besoin de la corrélation entre texte et icône d'une part, ainsi que la nécessité d’une corrélation entre les études théologiques, l'art et l’histoire d’autre part. Un autre avantage de la recherche est de contribuer à une appréciation plus riche des trésors culturels et religieux des communautés chrétiennes de l'Europe de l'Est aux points de vue religieux et culturel, en réponse à leur reconnaissance comme patrimoine de l’UNESCO.

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Cette thèse a pour but de dresser un panorama complet des croyances de Xénophon en la divination. À l’aide d’une analyse rigoureuse de la totalité des œuvres de cet auteur antique pendant longtemps déprécié, il ressort que le problème de la consultation des dieux, loin d’être abordé de manière anecdotique et spontanée à la façon d’un legs de la tradition que la pensée critique n’a pas touchée, est au contraire un élément essentiel de la formation d’une réflexion profonde sur la piété et plus généralement les rapports qu’entretiennent les hommes avec les dieux. D’autre part, en raison du zèle de Xénophon à avoir rapporté des récits ou des réflexions à propos de la divination, cette analyse offre l’occasion de mieux comprendre les subtilités de cette pratique rituelle logée au cœur de la religion grecque et qui ne saurait être réduite à une forme de superstition.

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Thrasymaque de Chalcédoine, un sophiste de renom dans l'Athènes du Ve siècle av. J.C. est présenté comme l'interlocuteur principal de Socrate dans le livre I de la République. Il y est surtout question de la justice et des implications qui en découlent, Socrate et Thrasymaque ne s'entendant évidemment pas sur la nature de la justice. Thrasymaque, poussé par le questionnement constant de Socrate, en vient à formuler différentes thèses sur la justice, notamment : «Je soutiens, moi, que le juste n'est rien d'autre que l'intérêt du plus fort» (Rép. 338c) et «la justice et le juste constituent en réalité le bien d'un autre.» (Rép. 343c) Parallèlement, il oppose au philosophe une vision de la justice difficile à accepter, mais aussi difficile à réfuter : celui qui commet l'injustice est plus heureux que celui qui agit en fonction de la justice. Ainsi, pour Thrasymaque, l'injuste est meilleur que le juste et est plus heureux, car l'injustice est plus profitable pour soi-même. Selon cette vision, qu'est-ce donc que la justice, et en quoi n'est-elle pas profitable pour soi-même? L'objectif de ce mémoire sera de faire ressortir positivement la conception de la justice de Thrasymaque, car c'est avec elle qu'entre en conflit la recherche du bonheur. En effet, si la justice est la représentation des intérêts du dirigeant, comme l'avance le sophiste, alors être juste n'est rien d'autre qu'agir en fonction des intérêts d'autrui et non de soi-même. Cependant, dans une Cité où les individus sont sous la gouverne de la loi, il n'est pas si simple d'agir toujours selon ses propres intérêts lorsque ceux-ci sont contraires à la justice. C'est pourquoi il sera également pertinent de s'attarder aux caractéristiques et aux vertus qu'un individu doit posséder, selon Thrasymaque, pour être heureux. Nous essaierons donc de dégager de la pensée de Thrasymaque un modèle de vie à suivre : le κρείττων. En dernière analyse, nous mettrons en relief la position de Thrasymaque avec la critique platonicienne. Pour Socrate, la position voulant que l'injustice soit profitable est difficile, car il lui faudra montrer que c'est en fait la justice qui apporte le bonheur, en tant qu'elle est une vertu de l'âme.

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La présente étude se propose de dégager les significations successives qu’emprunte le fameux paradoxe socratique du mal involontaire dans l’œuvre de Platon. Pour ce faire, notre propos se déclinera en trois principaux développements : 1) le premier consistera à clarifier le sens que recouvraient les catégories du volontaire et de l’involontaire dans l’Antiquité, de manière à éviter toute confusion anachronique avec les acceptions modernes de ces mêmes notions ; 2) le second tâchera de mettre au jour le postulat anthropologique qui fonde chez Platon l’idée qu’aucun homme ne saurait agir méchamment de son plein gré ; 3) le troisième exposera à tour de rôle les trois grands dispositifs de disculpation qu’élabore Platon dans son œuvre : les dispositifs de l’âme ignorante, de l’âme renversée et de l’âme malade. Nous montrerons ainsi comment Platon, à rebours de la théodicée chrétienne classique, cherche à blanchir l’homme de toute implication morale véritable dans la genèse causale de ses « mauvaises » actions.

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Le présent mémoire se penche sur la dramaturgie que mettent en scène le Banquet et le Phédon de Platon. Dans le cas du premier dialogue, une étude de l'épilogue et du discours d'Alcibiade, assortie de parallèles ponctuels dans la République et la Lettre VII, permet de déceler un exemple de la rétention d'information platonicienne, telle que comprise sous l'égide des écoles platoniciennes de Tübingen et de Milan, de même qu'une attestation de l'existence de doctrines non-écrites qualitativement supérieures à celles que renferment les dialogues. L'épilogue du Banquet fait ensuite, à la lumière des conclusions susmentionnées, l'objet d'une interprétation qui distingue trois niveaux de lecture des dialogues platoniciens : l'extériorité, l'intériorité et l'oralité philosophique, symbolisées respectivement par le poète comique Aristophane, le poète tragique Agathon et le poète philosophique Socrate. Il va de soi que ce dernier renvoie sémantiquement au philosophe par excellence, titre que Platon endosse volontiers. L'essai exégétique touchant le Phédon se concentre pour sa part sur la dernière volonté de Socrate. Celle-ci survient au dénouement de la partie la plus « dramaturgique » du dialogue, c'est-à-dire après les discours proprement philosophiques sur l'immortalité de l'âme. En ciblant ces moments, de même que l'introduction, nous distinguons l'adjonction des tons tragique et comique, illustrant par là un procédé inhabituel dont le but, ultimement, est de soustraire le dialogue au registre tragique afin d'éviter la propagation d'émotions contraires à la philosophie. En exploitant l'oxymore comique-tragique sur un plan mimétique, nous montrerons que la dernière volonté de Socrate véhicule un dessein parénétique.

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Le présent mémoire se donne pour fin d'étudier, en les replaçant au sein du contexte politique de leur époque, deux textes importants de la pensée politique de Justinien : l'Ekthesis d'Agapète le diacre, et le Dialogue de science politique. Ces deux textes représentent le point de vue de deux groupes d'acceptation de Constantinople – à savoir des groupes qui peuvent participer à l’élévation ou à la destitution d’un empereur : le clergé, et l'élite des sénateurs et des hauts-fonctionnaires. À partir de ce cadre conceptuel, il s'agira, pour ce mémoire, de définir les problématiques ayant trait à la fonction et la conception du pouvoir impérial et à la forme de l'État, telles que les présentent ces deux textes. À terme, devra émerger comme cadre interprétatif l'affrontement de deux tendances: d'une part, un hellénisme politique christianisé (associé au clergé), et, d'autre part, une romanité conjuguée à une vision néoplatonicienne du monde (associée à l'élite sénatoriale et fonctionnaire). Ces deux traditions posent des questions différentes. D'un côté, celle de l'orthodoxie de l'empereur et de la nécessité, pour ce dernier, de suivre les préceptes de l'éthique chrétienne, de se montrer digne de Dieu, dont il est le serviteur; de l'autre, celle de la sauvegarde de l'héritage romain, portant notamment sur le rôle du Sénat et l’importance de la loi, de même que le lien entre empereur et philosophe.

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Les éthiques de Calliclès et de Diogène de Sinope sont brièvement mises en parallèle. Elles sont radicalement contradictoires sur les questions du contrôle des désirs et de la relation avec autrui : la première est hédoniste et prône la domination ; la seconde défend à la fois une ascèse anti-hédoniste et une éthique de l’adaptation. Or, ces deux discours normatifs se ressemblent en ce qu’ils font tous deux appel à la nature pour fonder leurs thèses. De surcroît, Diogène et Calliclès défendent de véritables naturalismes au sens où leur recours à la nature n’est pas uniquement rhétorique, mais bien justificatif. Cela se manifeste, d’une part, par l’anticonventionnalisme des deux penseurs et, d’autre part, par l’inscription en faux de ces positions contre la vision antinaturaliste de Socrate. C’est dire que l’entreprise naturaliste antique fait face à de sérieux problèmes.

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The ancient civilizations were dependent upon sophisticated systems of water management. The hydraulic engineering works found in ancient Angkor (ninth to thirteenth century AD), the Aztec city of Tenochtitlan (thirteenth to fifteenth century AD), Byzantine Constantinople (fourth to sixth century AD) and Nabatean Petra (sixth century BC to AD 106) are particularly striking because each of these is in localities of the world that are once again facing a water crisis. Without water management, such ancient cities would never have emerged, nor would the urban communities and towns from which they developed. Indeed, the ‘domestication’ of water marked a key turning point in the cultural trajectory of each region of the world where state societies developed. This is illustrated by examining the prehistory of water management in the Jordan Valley, identifying the later Neolithic (approx. 8300–6500 years ago) as a key period when significant investment in water management occurred, laying the foundation for the development of the first urban communities of the Early Bronze Age.

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At the beginning of the Medieval Climate Anomaly, in the ninth and tenth century, the medieval eastern Roman empire, more usually known as Byzantium, was recovering from its early medieval crisis and experiencing favourable climatic conditions for the agricultural and demographic growth. Although in the Balkans and Anatolia such favourable climate conditions were prevalent during the eleventh century, parts of the imperial territories were facing significant challenges as a result of external political/military pressure. The apogee of medieval Byzantine socio-economic development, around AD 1150, coincides with a period of adverse climatic conditions for its economy, so it becomes obvious that the winter dryness and high climate variability at this time did not hinder Byzantine society and economy from achieving that level of expansion. Soon after this peak, towards the end of the twelfth century, the populations of the Byzantine world were experiencing unusual climatic conditions with marked dryness and cooler phases. The weakened Byzantine socio-political system must have contributed to the events leading to the fall of Constantinople in AD 1204 and the sack of the city. The final collapse of the Byzantine political control over western Anatolia took place half century later, thus contemporaneous with the strong cooling effect after a tropical volcanic eruption in AD 1257. We suggest that, regardless of a range of other influential factors, climate change was also an important contributing factor to the socio-economic changes that took place in Byzantium during the Medieval Climate Anomaly. Crucially, therefore, while the relatively sophisticated and complex Byzantine society was certainly influenced by climatic conditions, and while it nevertheless displayed a significant degree of resilience, external pressures as well as tensions within the Byzantine society more broadly contributed to an increasing vulnerability in respect of climate impacts. Our interdisciplinary analysis is based on all available sources of information on the climate and society of Byzantium, that is textual (documentary), archaeological, environmental, climate and climate model-based evidence about the nature and extent of climate variability in the eastern Mediterranean. The key challenge was, therefore, to assess the relative influence to be ascribed to climate variability and change on the one hand, and on the other to the anthropogenic factors in the evolution of Byzantine state and society (such as invasions, changes in international or regional market demand and patterns of production and consumption, etc.). The focus of this interdisciplinary

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The late historian Robin Evans, takes up the debate symbolised between Wblfflin, proposing that meaning is directly accessible through the form of a building, and Wittkower, arguing that meaning lies behind the form of architecture, in other texts and ideas. The focus of their argument is the centralised church of the Renaissance, which holds a special place in the history of architecture for all three historians. Evans' argument makes detours into the histories of theology, geometry and mathematics attempting to find how architecture participates with these fields. He concludes that architecture, in its singular artistic physicality "suspends our disbelief in the ideal", offering a world that does not reflect culture, in all its fullness, but rather supplements culture's incompleteness. Architecture, like art is able to resolve that which in society and in other fields remains a contradiction, giving a picture (albeit fictional) of a harmonious and unified order. Does architecture aspire towards transcendence, if so, what is transcendental value in architecture? In this essay I want to turn to Hagia Sofia (Istanbul, 532-537), a church that marks the beginning of a Christian empire relocated to the East of Rome, in Constantinople, built one thousand years before the Renaissance churches; and a building that symbolises the shift towards a domed centralised form, away from a basilica form. Hagia Sofia is an architecture, observed and described in an almost devotional manner, as though addressing the architecture of the church is equivalent to a pious person addressing the church itself, and more significantly, addressing the Divine figure of God, through the architecture of the church. What role does Hagia Sofia play in the kind of artistic mastery that Evans is proposing?

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The study by Robin Evans of the centralised churches of the Renaissance explores the idea of centrality, and argues that architecture does not simply invest in one geometric centre. Evans’s analysis makes detours into the histories of theology, geometry and mathematics attempting to find how architecture participates with these fields. In a footnote, he suggests that architecture in its singular artistic physicality ‘suspends our disbelief in the ideal’, offering a world that does not reflect culture, in all its fullness, but rather supplements culture’s incompleteness. This idea reiterates psychoanalytic theories of Freud and Kristeva that qualify the notion of transcendence with the psychoanalytic concept of transference. Architecture, like art, is able to resolve that which in society and in other fields remains a contradiction, giving a picture (albeit fictional) of a harmonious and unified order and wholeness. In this essay, I turn to Hagia Sofia (532–537AD) in present-day Istanbul, a church that marks the beginning of a Christian empire relocated to Constantinople, East of Rome, and built one thousand years before the Renaissance churches discussed by Evans. Hagia Sofia is a building that symbolises the shift towards a domed centralised form, away from a basilica form, and a building that develops an innovative interior. Hagia Sofia is usually observed and described in a devotional manner, as though addressing the architecture of the church is equivalent to a pious person addressing the church itself, and more significantly, addressing the Divine figure of God, through the architecture of the church. Its influence on Islamic mosque design has been noted. What rôle does Hagia Sofia play in the kind of artistic mastery that Evans is proposing, and what other dimensions of centrality and transcendence in architecture are offered by a study of Hagia Sofia?

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Cette thèse a pour objectif principal examiner comment les Mênon, Platon listes l'anámnesis avec les autres théories qui sont abordés dans ce dialogue et, par conséquent, essayer de comprendre ce que c'est. Cette recherche vise dans un premier temps situées dans d'autres dialogues de Platon la survenance du terme anamnésis à veifique les points qui relient ces oeuvres à clarifier la compréhension d'un plus approprié dans le Mênon. Jetez-y aussi, quels sont les éléments de la platonicienne théorie de la connaissance sera reliant le dialogue afin de prouver que le Mênon, qui est la question centrale areté, garde un conflit dans la sophistique et la philosophie. Ce choc entre ce qui se passe papapep indirectement par l'intermédiaire de son Mênon enseigné, et Socrates qui conteste la thèse de l'éthique et le relativisme épistémologique. Nous voyons aussi, de quelle manière le dialogue est donnée de prendre une voie d'accès au savoir qui est configuré comme sûrs, à savoir anámnésis. L'interrogatoire de Mênon depuis le début dans les appels d'enquêter éristique cet intérêt, que lorsqu'ils sont confrontés à des intérêts les amènerait à l'état aporétique initial et qui est progressivement remplacé par l'aporie fondamental de connaissance, ce n'est point pour aporie la compréhension de anámnesis. En prenant la dialectique comme méthode d'enquête dans le dialogue, il est nécessaire de la part de Socrates et Mênon, de quitter le didaskein et en profiter pour mathésis que la construction des connaissances. Il ouvre de manière un des principaux enjeux dans ce travail examine si le anámnesis permettre l'accès aux moyens et si elle a un statut similaire à mnéme. À un moment où Socrate explique dans le dialogue qui est le anámnesis par monstration monstration fait avec esclave de Mênon il est l'utilisation d'éléments mythiques que, selon notre analyse, permettre à comprendre le sens de dialogue les connaissances qui montre l'opportunité d'apprendre, qui est la anámnesis