Valeur diagnostique des micro-éveils autonomiques comme substitut aux éveils cérébraux dans l'apnée du sommeil

Les troubles respiratoires du sommeil ont une prévalence élevée dans la population générale, l’apnée obstructive du sommeil étant le plus important de ces troubles. Malgré tout, une grande proportion des patients avec apnée ne sont pas diagnostiqués. La méthode la plus complète pour diagnostiquer l’apnée est l’enregistrement d’une nuit de sommeil par polysomnographie, aussi appelée enregistrement de type 1, qui est un processus long et coûteux. Pour surmonter ces difficultés, des appareils d’enregistrements portables (ou de type 3) ont été développés. Toutefois, ces enregistrements de type 3 ne capturent pas l’activité cérébrale, mesurée avec l’électroencéphalographie (EEG). Le présent mémoire décrit une étude comparative entre les enregistrements de type 1 et de type 3. Tous les événements respiratoires d’apnée, d’hypopnée et d’éveils liés à un effort respiratoire (RERA, en anglais) seront analysés ainsi que les éveils cérébraux (ou éveils EEG) et les éveils autonomiques. Ces éveils autonomiques se définissent par une hausse de la fréquence cardiaque suite à un événement respiratoire. Pour enrichir les analyses, les variables respiratoires suivantes ont été étudiées : une chute de la saturation en oxygène de 4 % (ODI), l’index d’apnée-hypopnée (IAH), l’indice de perturbations respiratoires avec apnées + hypopnées + RERAs et les éveils EEG (RDIe, en anglais) et le RDI incluant les éveils autonomiques définis par une augmentation de la fréquence cardiaque de 5 bpm (RDIa5). L’objectif de la présente étude est d’évaluer la proportion d’événements respiratoires avec éveils autonomiques ainsi que leur impact sur le RDI des enregistrements de type 1 et 3. L’hypothèse suggère que les événements avec éveils autonomiques auraient un plus grand impact sur le RDI des enregistrements de type 3 contrairement au type 1. Cette étude inclut 72 sujets ayant suivi un enregistrement de polysomnographie complète de type 1 ainsi que 79 sujets différents ayant suivi un enregistrement ambulatoire de type 3. Les analyses suivantes ont été effectuées : 1) les pourcentages d’événements associés avec seulement des éveils autonomiques dans les enregistrements de type 1 et de type 3 ; 2) les fréquences de migration entre les catégories basses et élevées de sévérité de l’AHI en prenant en compte les événements associés avec seulement des éveils autonomiques ; 3) les Bland-Altman (B-A) pour mesurer l’accord entre l’AHI, le RDIe et le RDIa5 (type 1), et entre l’AHI et le RDIa5 (type 3) et ; 4) les corrélations de Pearson et les coefficients de corrélation intraclasse (ICC) pour mesurer l’accord entre l’AHI, le RDIe et le RDIa5 (type 1), et entre l’AHI et le RDIa5 (type 3). L’utilisation du critère de RDIa5 permet d’ajouter 49 % d’événements comptés avec l’AHI pour les enregistrements de type 1, et 51 % d’événements pour ceux de type 3. La présente étude montre que les éveils autonomiques ont un impact similaire autant pour le RDI des enregistrements de type 3 que de type 1. En conclusion, on peut affirmer que le RDIa5 est acceptable et fiable pour les enregistrements de type 3.

Valeur diagnostique des micro-éveils autonomiques comme substitut aux éveils cérébraux dans l'apnée du sommeil

Les troubles respiratoires du sommeil ont une prévalence élevée dans la population générale, l’apnée obstructive du sommeil étant le plus important de ces troubles. Malgré tout, une grande proportion des patients avec apnée ne sont pas diagnostiqués. La méthode la plus complète pour diagnostiquer l’apnée est l’enregistrement d’une nuit de sommeil par polysomnographie, aussi appelée enregistrement de type 1, qui est un processus long et coûteux. Pour surmonter ces difficultés, des appareils d’enregistrements portables (ou de type 3) ont été développés. Toutefois, ces enregistrements de type 3 ne capturent pas l’activité cérébrale, mesurée avec l’électroencéphalographie (EEG). Le présent mémoire décrit une étude comparative entre les enregistrements de type 1 et de type 3. Tous les événements respiratoires d’apnée, d’hypopnée et d’éveils liés à un effort respiratoire (RERA, en anglais) seront analysés ainsi que les éveils cérébraux (ou éveils EEG) et les éveils autonomiques. Ces éveils autonomiques se définissent par une hausse de la fréquence cardiaque suite à un événement respiratoire. Pour enrichir les analyses, les variables respiratoires suivantes ont été étudiées : une chute de la saturation en oxygène de 4 % (ODI), l’index d’apnée-hypopnée (IAH), l’indice de perturbations respiratoires avec apnées + hypopnées + RERAs et les éveils EEG (RDIe, en anglais) et le RDI incluant les éveils autonomiques définis par une augmentation de la fréquence cardiaque de 5 bpm (RDIa5). L’objectif de la présente étude est d’évaluer la proportion d’événements respiratoires avec éveils autonomiques ainsi que leur impact sur le RDI des enregistrements de type 1 et 3. L’hypothèse suggère que les événements avec éveils autonomiques auraient un plus grand impact sur le RDI des enregistrements de type 3 contrairement au type 1. Cette étude inclut 72 sujets ayant suivi un enregistrement de polysomnographie complète de type 1 ainsi que 79 sujets différents ayant suivi un enregistrement ambulatoire de type 3. Les analyses suivantes ont été effectuées : 1) les pourcentages d’événements associés avec seulement des éveils autonomiques dans les enregistrements de type 1 et de type 3 ; 2) les fréquences de migration entre les catégories basses et élevées de sévérité de l’AHI en prenant en compte les événements associés avec seulement des éveils autonomiques ; 3) les Bland-Altman (B-A) pour mesurer l’accord entre l’AHI, le RDIe et le RDIa5 (type 1), et entre l’AHI et le RDIa5 (type 3) et ; 4) les corrélations de Pearson et les coefficients de corrélation intraclasse (ICC) pour mesurer l’accord entre l’AHI, le RDIe et le RDIa5 (type 1), et entre l’AHI et le RDIa5 (type 3). L’utilisation du critère de RDIa5 permet d’ajouter 49 % d’événements comptés avec l’AHI pour les enregistrements de type 1, et 51 % d’événements pour ceux de type 3. La présente étude montre que les éveils autonomiques ont un impact similaire autant pour le RDI des enregistrements de type 3 que de type 1. En conclusion, on peut affirmer que le RDIa5 est acceptable et fiable pour les enregistrements de type 3.

El concepto y la práctica de la actividad física y su relación con calidad de vida en los modelos teóricos de la salud

Los estudios acerca del concepto actividad física (AF) son diversos, presentando diferentes concepciones; su relación con calidad de vida suele estar generada dentro del discurso médico, que propende por la ejecución de la Actividad Física desde una mirada netamente biológica. Si bien esta disertación es importante, se debe tener en cuenta que los estudios relacionados con calidad de vida y la AF se basan en la condición de bienestar y percepción frente al estado de salud; dichos estudios no se han realizado desde las condiciones de vida y del contexto social. Si bien es cierto que la mirada médica y lo estudios objetivos son relevantes, ya que arrojan estadísticas que permiten abordar recomendaciones en cuanto a la actividad física, en este documento se elaboró una investigación de tipo cualitativo por medio de la revisión documental del concepto de actividad física, sus prácticas y su relación con calidad de vida, que abordan diferentes autores. Para ello se elige la base de datos PubMed por su énfasis en las publicaciones de salud; se seleccionan artículos publicados del 2004 y 2014, que estudien el concepto de actividad física, sus prácticas y relaciones con calidad de vida, para finalmente hacer un análisis desde los modelos de determinación y determinantes sociales. De esta forma se analiza la posición de los autores con respecto al concepto, sus prácticas y las relaciones que puede llegar a surgir con la calidad de vida. En esta investigación se obtuvo como resultados tendencias biológicas, psicológicas, sociales y culturales, en los cuales los autores dejan clara la posición médica ya que en la mayoría de investigaciones centran sus relaciones en la funcionalidad, y es a través de la visión terapéutica donde buscan el bienestar, la satisfacción de los pacientes que padecen cualquier enfermedad. Además, aparecen categorías emergentes como: cuerpo como medio de publicidad, cibernética que avanza vertiginosamente y el papel del poder en la actividad física que pueden ser contempladas para otros estudios.

La concentración de calcio iónico se asocia a la presencia de fibrilación auricular post operatoria en pacientes llevados a revascularización miocardica

Objetivo. Determinar en un grupo de pacientes llevados a revascularización miocárdica si existió asociación entre la presencia de niveles de calcio iónico inferiores a 1,1 en las 24 horas del post operatorio y la ocurrencia de fibrilación auricular post operatoria. Metodología. Estudio observacional, analítico de casos y controles, en donde de manera consecutiva se incluyeron 110 sujetos (57 en el grupo de casos con presencia de fibrilación auricular post operatoria y 54 en el grupo de controles sin evidencia de fibrilación auricular) estos sujetos fueron llevados a revascularización miocárdica en la Fundación Cardioinfantil en los años 2010 a 2015. Resultados. Hubo 13 casos de fibrilación auricular post operatoria en pacientes con niveles de calcio iónico inferiores a 1,1 mmol/l en las primeras 24 horas del post operatorio OR: 0,5, IC (0,2-1,2) p: 0,1. Sin determinarse asociación por limitaciones del estudio, sin embargo un 29% de los pacientes con fibrilación auricular tuvieron niveles de calcio inferiores a 1,1 mmol/l en las primeras 24 horas del post operatorio, este valor aumenta a 31% cuando se analizan por separado los valores de calcio obtenidos a las 12 horas. Conclusiones. Aunque no se logró determinar asociación entre la fibrilación auricular post operatoria y las concentraciones de calcio iónico, de manera exploratoria se pudo establecer que un 29% de los pacientes con fibrilación auricular tuvieron concentraciones de calcio iónico inferiores a 1,1 mmol/l, este valor aumenta a 31% cuando se analizan los niveles de calcio iónico por separado.

Sleep-disordered breathing among acute ischemic stroke patients in Brazil.

OBJECTIVES Sleep-disordered breathing (SDB) is very common in acute stroke patients and has been related to poor outcome. However, there is a lack of data about the association between SDB and stroke in developing countries. The study aims to characterize the frequency and severity of SDB in Brazilian patients during the acute phase of ischemic stroke; to identify clinical and laboratorial data related to SDB in those patients; and to assess the relationship between sleep apnea and functional outcome after six months of stroke. METHODS Clinical data and laboratorial tests were collected at hospital admission. The polysomnography was performed on the first night after stroke symptoms onset. Functional outcome was assessed by the modified Rankin Scale (mRS). RESULTS We prospectively evaluated 69 patients with their first-ever acute ischemic stroke. The mean apnea-hypopnea index (AHI) was 37.7 ± 30.2. Fifty-three patients (76.8%) exhibited an AHI ≥ 10 with predominantly obstructive respiratory events (90.6%), and thirty-three (47.8%) had severe sleep apnea. Age (OR: 1.09; 95% CI: 1.03-1.15; p= 0.004) and hematocrit (OR: 1.18; 95% CI: 1.03-1.34; p= 0.01) were independent predictors of sleep apnea. Age (OR: 1.13; 95% CI: 1.03-1.24; p= 0.01), body mass index (OR: 1.54; 95% CI: 1.54-2.18; p= 0.01), and hematocrit (OR: 1.19; 95% CI: 1.01-1.40; p= 0.04) were independent predictors of severe sleep apnea. The National Institutes of Health Stroke Scale (NIHSS; OR: 1.30; 95% CI: 1.1-1.5; p= 0.001) and severe sleep apnea (OR: 9.7; 95% CI: 1.3-73.8; p= 0.03) were independently associated to mRS >2 at six months, after adjusting for confounders. CONCLUSION Patients with acute ischemic stroke in Brazil have a high frequency of SDB. Severe sleep apnea is associated with a poor long-term functional outcome following stroke in that population.

Apnea diving: Long-term neurocognitive sequelae of repeated hypoxemia

This article examines the neurocognitive sequelae of repeated exposure to hypoxemia in apnea (breath-hold) divers. A brief review of the literature on the physiological and neurological adaptations involved in the human diving reflex is presented. The results from a neuropsychological investigation of N = 21 elite apnea divers are evaluated. Standard neuropsychological tests, with known sensitivity to mild brain insults, included speed of visuo-motor responding, speed of language comprehension, response inhibition, and visual and verbal attention and recall tasks. Results indicated that the breath-hold divers performed tasks within the average range compared to norms on all tests, suggesting that 1-20 years of repeated exposure to hypoxemia including multiple adverse neurological events did not impact on performance on standard neuropsychological tasks. The results are discussed in relation to implications for clinical conditions such as sleep apnea, respiratory disorders, altitude sickness, and recreational apnea activities.

Electrocardiogram breathing: A study of electrocardiogram derived respiration plus multiresolution wavelet analysis of heartbeat interval variability in sleep study patients

This dissertation presents a unique research opportunity by using recordings which provide electrocardiogram (ECG) plus a reference breathing signal (RBS). ECG derived breathing (EDR) is measured and correlated against RBS. Standard deviations of multiresolution wavelet analysis coefficients (SDMW) are obtained from heart rate and classified using RBS. Prior works by others used select patients for sleep apnea scoring with EDR but no RBS. Another prior work classified select heart disease patients with SDMW but no RBS. This study used randomly chosen sleep disorder patient recordings; central and obstructive apneas, with and without heart disease.^ Implementation required creating an application because existing systems were limited in power and scope. A review survey was created to choose a development environment. The survey is presented as a learning tool and teaching resource. Development objectives were rapid development using limited resources (manpower and money). Open Source resources were used exclusively for implementation. ^ Results show: (1) Three groups of patients exist in the study. Grouping RBS correlations shows a response with either ECG interval or amplitude variation. A third group exists where neither ECG intervals nor amplitude variation correlate with breathing. (2) Previous work done by other groups analyzed SDMW. Similar results were found in this study but some subjects had higher SDMW, attributed to a large number of apneas, arousals and/or disconnects. SDMW does not need RBS to show apneic conditions exist within ECG recordings. (3) Results in this study support the assertion that autonomic nervous system variation was measured with SDMW. Measurements using RBS are not corrupted due to breathing even though respiration overlaps the same frequency band.^ Overall, this work becomes an Open Source resource which can be reused, modified and/or expanded. It might fast track additional research. In the future the system could also be used for public domain data. Prerecorded data exist in similar formats in public databases which could provide additional research opportunities. ^

Moderate sleep restriction in treated older male OSA participants: Greater impairment during monotonous driving compared with controls

Objectives To examine the effects on monotonous driving of normal sleep versus one night of sleep restriction in continuous positive airway pressure (CPAP) treated obstructive sleep apnoea (OSA) patients compared with age matched healthy controls. Methods Nineteen CPAP treated compliant male OSA patients (OSA-treated patients (OPs)), aged 50–75 years, and 20 healthy age-matched controls underwent both a normal night’s sleep and sleep restriction to 5 h (OPs remained on CPAP) in a counterbalanced design. All participants completed a 2 h afternoon monotonous drive in a realistic car simulator. Driving was monitored for sleepiness-related minor and major lane deviations, with ‘safe’ driving time being total time driven prior to first major lane deviation. EEGs were recorded continuously, and subjective sleepiness ratings were taken at regular intervals throughout the drive. Results After a normal night’s sleep, OPs and controls did not differ in terms of driving performance or in their ability to assess the levels of their own sleepiness, with both groups driving ‘safely’ for approximately 90 min. However, after sleep restriction, OPs had a significantly shorter (65 min) safe driving time and had to apply more compensatory effort to maintain their alertness compared with controls. They also underestimated the enhanced sleepiness. Nevertheless, apart from this caveat, there were generally close associations between subjective sleepiness, likelihood of a major lane deviation and EEG changes indicative of sleepiness. Conclusions With a normal night’s sleep, effectively treated older men with OSA drive as safely as healthy men of the same age. However, after restricted sleep, driving impairment is worse than that of controls. This suggests that, although successful CPAP treatment can alleviate potential detrimental effects of OSA on monotonous driving following normal sleep, these patients remain more vulnerable to sleep restriction.

One night CPAP withdrawal impairs performance at a driving simulator task faster than sleep restriction to 5 hours with treatment in OSA patients

Introduction Sleep restriction and missing 1 night’s continuous positive air pressure (CPAP) treatment are scenarios faced by obstructive sleep apnoea (OSA) patients, who must then assess their own fitness to drive. This study aims to assess the impact of this on driving performance. Method 11 CPAP treated participants (50–75 yrs), drove an interactive car simulator under monotonous motorway conditions for 2 hours on 3 afternoons, following;(i)normal night’s sleep (average 8.2 h) with CPAP (ii) sleep restriction (5 h), with CPAP (iii)normal length of sleep, without CPAP. Driving incidents were noted if the car came out of the designated driving lane. EEG was recorded continually and KSS reported every 200 seconds. Results Driving incidents: Incidents were more prevalent following CPAP withdrawal during hour 1, demonstrating a significant condition time interaction [F(6,60) = 3.40, p = 0.006]. KSS: At the start of driving participants felt sleepiest following CPAP withdrawal, by the end of the task KSS levels were similar following CPAP withdrawal and sleep restriction, demonstrating a significant condition, time interaction [F(3.94,39.41) = 3.39, p = 0.018]. EEG: There was a non significant trend for combined alpha and theta activity to be highest throughout the drive following CPAP withdrawal. Discussion CPAP withdrawal impairs driving simulator performance sooner than restricting sleep to 5 h with CPAP. Participants had insight into this increased sleepiness reflected by the higher KSS reported following CPAP withdrawal. In the practical terms of driving any one incident could be fatal. The earlier impairment reported here demonstrates the potential danger of missing CPAP treatment and highlights the benefit of CPAP treatment even when sleep time is short.

Sleep-related eye symptoms and their potential for identifying driver sleepiness

The majority of individuals appear to have insight into their own sleepiness, but there is some evidence that this does not hold true for all, for example treated patients with obstructive sleep apnoea. Identification of sleep-related symptoms may help drivers determine their sleepiness, eye symptoms in particular show promise. Sixteen participants completed four motorway drives on two separate occasions. Drives were completed during daytime and night-time in both a driving simulator and on the real road. Ten eye symptoms were rated at the end of each drive, and compared with driving performance and subjective and objective sleep metrics recorded during driving. ‘Eye strain’, ‘difficulty focusing’, ‘heavy eyelids’ and ‘difficulty keeping the eyes open’ were identified as the four key sleep-related eye symptoms. Drives resulting in these eye symptoms were more likely to have high subjective sleepiness and more line crossings than drives where similar eye discomfort was not reported. Furthermore, drivers having unintentional line crossings were likely to have ‘heavy eyelids’ and ‘difficulty keeping the eyes open’. Results suggest that drivers struggling to identify sleepiness could be assisted with the advice ‘stop driving if you feel sleepy and/or have heavy eyelids or difficulty keeping your eyes open’.

Longitudinal evaluation of sleep-related breathing disorders in an orthodontic population

Introduction: Les troubles respiratoires du sommeil (TRS), qui représentent une préoccupation croissante pour la santé, ont des effets significatifs sur la santé, le comportement et la performance académique chez l’enfant. Les malformations craniofaciales, l’hypertrophie adéno-amygdalienne et l'obésité, représentent des facteurs de risque importants dans le développement de cette condition. Les symptômes des TRS ont été étudiés dans une étude prospective chez les enfants et adolescents durant leur traitement orthodontique dans un milieu universitaire. Cette étude a cherché à décrire la prévalence et les facteurs de risque principaux des TRS, ainsi que l'impact des différentes interventions orthodontiques sur les symptômes TRS. Matériel et méthodes: dans une étude cohorte prospective, un groupe de 168 sujets âgés de 12 à 21 ans ont été soumis, quatre ans après la prise de données initiale, à un examen craniofacial en plus d'être administré des questionnaires qui ont recueilli des données sur la situation socio-démographique, le bruxisme et les troubles d’ATM, le sommeil et le comportement diurne, et les facteurs neuropsychologiques. Résultats: l'indice de masse corporelle a été augmenté mais est demeurée dans la même catégorie aux deux moments de l'enquête. Il ya eu une augmentation du serrement des dents et des symptômes de l'ATM, une diminution de la taille des amygdales, et une augmentation de la somnolence diurne. La prévalence des TRS n'a pas changé entre l’étude initiale et l’étude de suivi. Aucune intervention orthodontique s'est avérée avoir un effet cliniquement significatif sur les voies aériennes supérieures. Conclusions: la prévalence des symptômes TRS était constante par rapport aux valeurs de base pour la population étudiée, mais a augmenté si rapportée à la population générale. Les traitements orthodontiques ne montrent aucun effet sur les TRS. Mots-clés : apnée du sommeil, craniofacial, prévalence, ronflement, traitement orthodontique, voies aériennes supérieures

Sleep-disordered breathing in the child and adolescent orthodontic patient

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Distúrbio de hiperatividade e déficit de atenção na síndrome de apnéia obstrutuiva do sono: Há melhora com tratamento cirúrgico?

Neuropsychological disorders are frequently associated with obstructive ventilatory disorders (OVD). Aim: To analyze the incidence of neuropsychological disorders in Brazilian children with OVD, using a screening questionnaire and to compare the answers given before and after surgery. Patients and Methods: We studied 30 children with clinical diagnosis of OVD. The children were divided into 3 groups: group I, children aged 4 to 7; group II, from 8 to 10; and group III, children over 11. The applied questionnaires were answered by the parents or tutors, and comprised 30 questions, 10 for each disorder: attention deficit, hyperactivity and impulsivity. The children were diagnosed with one of the disorders when presented 3 or more positive answers. The follow up interview occurred 6 months after adenotonsillectomy. Results: There was a predominance of male gender (60.6%) over female gender (39.4%). Group II presented the highest number of significant changes, with reductions raging from 87.5% to 33.3% of patients with attention deficit, 75% to 50% of the hyperactive patients, and 50% to 33% of the impulsive patients. Conclusion: There was neuropsychological improvement after the surgery, which occurred mainly in the children from group II. More interaction among health professionals is necessary when diagnosing and following up similar cases.

Cardiovascular risk and mortality in end-stage renal disease patients undergoing dialysis: sleep study, pulmonary function, respiratory mechanics, upper airway collapsibility, autonomic nervous activity, depression, anxiety, stress and quality of life: a prospective, double blind, randomized controlled clinical trial

Background: Chronic kidney disease (CKD) is one of the most serious public health problems. The increasing prevalence of CKD in developed and developing countries has led to a global epidemic. The hypothesis proposed is that patients undergoing dialysis would experience a marked negative influence on physiological variables of sleep and autonomic nervous system activity, compromising quality of life.Methods/Design: A prospective, consecutive, double blind, randomized controlled clinical trial is proposed to address the effect of dialysis on sleep, pulmonary function, respiratory mechanics, upper airway collapsibility, autonomic nervous activity, depression, anxiety, stress and quality of life in patients with CKD. The measurement protocol will include body weight (kg); height (cm); body mass index calculated as weight/height(2); circumferences (cm) of the neck, waist, and hip; heart and respiratory rates; blood pressures; Mallampati index; tonsil index; heart rate variability; maximum ventilatory pressures; negative expiratory pressure test, and polysomnography (sleep study), as well as the administration of specific questionnaires addressing sleep apnea, excessive daytime sleepiness, depression, anxiety, stress, and quality of life.Discussion: CKD is a major public health problem worldwide, and its incidence has increased in part by the increased life expectancy and increasing number of cases of diabetes mellitus and hypertension. Sleep disorders are common in patients with renal insufficiency. Our hypothesis is that the weather weight gain due to volume overload observed during interdialytic period will influence the degree of collapsibility of the upper airway due to narrowing and predispose to upper airway occlusion during sleep, and to investigate the negative influences of haemodialysis in the physiological variables of sleep, and autonomic nervous system, and respiratory mechanics and thereby compromise the quality of life of patients.

Effect of an occlusal splint on sleep bruxism in children in a pilot study with a short-term follow up

The aim of the present study was to evaluate the effect of the use of an occlusal splint in children with bruxism in a pilot study with a short-term follow up. Seventeen children were recruited, only nine of whom formed the sample following the application of the inclusion criteria: presence of sleep bruxism for at least six months (based on parents' reports); presence of at least the first permanent molars; and no previous history of treatment involving an occlusal splint. The sample was submitted to a clinical exam. Other sleep problems were screened with the use of a sleep questionnaire filled out by parents before and after 90 days of occlusal splint usage. The children received a flat acrylic resin splint with full coverage of the occlusal surfaces to be worn in the maxilla. In children with erupting teeth, a space was created in the splint to allow normal eruption. After the 90-day period, the absence of sleep bruxism and sleep movements was noted in most of children. Moreover, snoring was reduced in nearly 50%, which raises a new issue to be investigated with regard to the pathophysiology of sleep bruxism. The use of an occlusal splint was effective in reducing the symptoms of sleep bruxism and other sleep problems. Further investigations should be carried out on the relationship between snoring and sleep bruxism in children.