1000 resultados para Lemaître, Jules, 1853-1914.
Resumo:
No presente trabalho é feito um estudo de cinco trematódeos monogenéticos pertencentes à família Capsalidae Baird, 1853. Para a subfamília Benedeniinae Johnston, 1931, foram criadas duas espécies pertencenteso ao gênero Benedenia Diesing, 1858: Benedenia pompatica sp. n., que muito se assemelha a Benedenia sciaenae (Beneden, 1852), diferindo desta principalmente pela estrutura do 2º e 3º pares de macroganchos e Benedenia innobilitata sp. n. que mais se aproxima de Benedenia jaliscana Bravo-Hollis, 1951, afastando-se desta espécie pela ausência do cirro armado e também pela estrutura e localização da vagina. Da subfamília Trochopodiane (Price, 1936) são apresentados novos hospedadores: Lepidotrigla cavillone para Trochopus pini (Beneden & Hesse, 1863) e Serranus cabrilla para Megalocotyle grandiloba Paperna e Kohn, 1964, sendo apresentadas com novas descrições e ilustrações. Ainda desta subfamília é criada uma nova espécie do gênero Allomegalocotyle (Robinson, 1961) Yamaguti, 1963. A. gabbari sp. n. diferencia-se de A. johnstoni (Robinson, 1961), única espécie do gênero, pela morfologia dos macroganchos, localização do poro vaginal e vesícula seminal bem desenvolvida e externa.
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Dentre 683 serpentes procedentes de diferentes pontos do Brasil, 16 (2,4%) apresentaram em seu sangue (em glóbulos vermelhos maturos e imaturos) Toddia ou Pirhemocyton. Denominamos provisoriamente Toddia os parasitos encontrados em Bothrops moojeni, B. pradoi, B. jararaca e Chironius flavolineatus e Pirhemocyton os encontrados em B. alternatus; fornecemos a primeira referência nestes hospedeiros. Estes parasitos foram estudados comparativamente com o objetivo de estabelecermos a extensão de suas afinidades. Com Toddia de B. moojeni realizamos técnica citoquímica para caracterização de ácidos nucleicos e encontramos positividade apenas para DNA. As maiores afinidades entre os parasitos estudados residiam nas características dos corpúsculos cromáticos e alterações celulares que determinam; observarmos quase total identidade nas maneiras como os parasitos da mesma espécie de serpente se apresentaram. Constatamos a coexistência de inclusões globóides, cristalóides e formas intermediárias associada aos parasitos de B. pradoi e B. alternatus; em C. flavolineatus encotnramos além dos cristais, raríssimas formas intermediárias entre estes e globóides. Afinidades entre Toddia e Pirhemocyton abrangendo o tipo de inclusão contrariam as descrições originais, tornando pouco válida esta separação genérica. Discutimos também os fundamentos da criação das espécies e a possível natureza virótica destes parasitos.
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Examination of the holotype of Lutzomyia marajoensis (Damasceno & Causey, 1944) shows this species to be identical to Lutzomyia walkeri (Newstead, 1914). The name Lutxomyia dubitans (Sherlock, 1962) is resurrected for another sand fly which has been incorrectly named L. marajoensis since 1961. Newly discovered structural differences between males and females of L walkeri from L. dubitans are presented.
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ASSOCIATIVE GEOGRAPHY AND SWISS IMPERIALISM. THE EXAMPLE OF GENEVA (1858-1914) − This article is about geographical society of Geneva and its involvement in the 19th century colonial imperialism. Through this society, Swiss bourgeoisie takes part in the exploration and colonization of the world. Is this participation a sign of Swiss imperialism? This issue will be at the heart of this study.
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Menée dans une approche d'histoire culturelle, cette thèse de doctorat prend pour objet un corpus de guides de voyage en Suisse entre la fin du XVIIIe et le début du XXe siècle. Centrée sur les guides, ces livres qui entretiennent plus que d'autres des liens étroits avec le monde physique, elle a deux grands axes. Le premier est une lecture interdisciplinaire des guides de voyage, qui mêle littérature, bibliographie matérielle, histoire et histoire de l'art. Elle a cherché à comprendre les raisons et logiques du genre, en s'attachant particulièrement à ses fonctions et à ses formes (tant structurelles que textuelles et iconographiques). Cette partie de l'étude est importante, car elle n'a encore jamais été menée. Elle s'articule en deux volets : un volet théorique qui s'intéresse à l'histoire et à la forme des guides de voyage ; et une étude de cas qui s'attache à la lecture plus rapprochée de 6 guides : ceux de Thomas Martyr (1788, 1790 & 1794), Heinrich August Ottokar Reichard (1793 & 1802) et Johann Gottfried Ebel (1793, 1805, 1810-11 & 1817-18) pour la fin du XVIIIe siècle et le tournant du XIXe, et ceux de John Murray (1838 & 1886), Adolphe Joanne (1841, 1865, 1874, 1882 & 1908) et Karl Baedeker (1844, 1852, 1859, 1869, 1876, 1883, 1893, 1901 & 1913) pour le XIXe et la Belle Epoque. Le second axe de cette recherche est une réflexion sur les manières de mettre en scène l'espace dans un texte. En étudiant les itinéraires de voyage en Suisse (mais jusqu'au début du XXe siècle, « la Suisse »est pour les guides de voyage indifféremment un pays et une région supranationale : «les Alpes »), quatre types de mises en forme ont pu être identifiés : le voyage en boucle (linéaire, il part d'un point A pour y revenir), le voyage en marguerite (linéaire avec excursions), le voyage éclaté de l'ordre alphabétique, et enfin le voyage par «routes », fragments d'espace que l'on combine comme les pièces d'un puzzle, créant son chemin au fur et à mesure de sa progression. Ce faisant, on peut affirmer que les guides de voyage modernes (dont la forme se fixe dans les années 1830-1840 avec les premiers Murray, Baedeker et Joanne) se sont construits -malgré tout ce que l'on a pu dire sur la normativité prescriptive du tourisme -autour d'une liberté de plus en plus grande accordée aux voyageurs. Chacune de ces formes et chacun de ces types ayant une histoire et des conditions de possibilités, c'est en s'appuyant sur celles-ci que l'on peut mieux comprendre non seulement l'évolution du voyage et de ses pratiques, mais aussi la constitution de la forme littéraire qui l'a accompagné et permis. Ce faisant, des jalons pour une histoire culturelle du tourisme ont aussi été posés, histoire culturelle que j'appelle maintenant de mes voeux : il est quand même surprenant que, dans le pays de tourisme qu'est la Suisse, quand on s'est jusqu'à présent attaché à l'histoire du tourisme, on n'ait parlé qu'économie, société, infrastructures, loisirs ou santé, voire, plus récemment, écologie et bien-être. Redonner son creuset culturel à ce phénomène, c'est aussi retrouver une part du nôtre, car ces mémoires s'entremêlent indissociablement.
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Aquest treball és una primera aproximació al magmàtic món del teatre societari barceloní de principis de segle XX. Vol ser una radiografia, primer, en forma d’estat de la qüestió general, i després, en forma d’anàlisi de dos casos concrets, el CADCI i l’Ateneu Obrer del districte II, de tots els aspectes que engloba el fet teatral en aquests espais: des dels repertoris al funcionament de les companyies, passant per la recepció, el paper del públic o la importància del teatre com a eina política i de transmissió generacional del coneixement. Tot això en el context d’uns anys de crisi del món teatral, en general, i del teatre català, en particular.
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Le but principal de ce travail est de comparer les idées sur la langue et sur la linguistique a l'intérieur de deux processus de « construction de monde », à savoir le réagencement de l'Europe après la Première guerre mondiale et la création du monde nouveau voulu par l'Union soviétique. La comparaison est rendue pertinente par le fait que ces deux « constructions de monde » eurent lieu dans des atmosphères idéologiques opposées, puisque la Première guerre mondiale et la révolution bolchevique s'opposent radicalement en représentant, respectivement, le triomphe des nations et celui de l'internationalisme de classe. La comparaison se fera aussi à l'intérieur de l'Union soviétique, puisque l'internationalisme des années 1920 laissera la place dans les années 1930 et jusqu'à la mort de Staline en 1953 à un nationalisme soviétique représenté par la métaphore de la « citadelle assiégée ». L'hypothèse du travail est la suivante : la façon d'utiliser les faits de langue et la linguistique, et la façon de considérer l'objet-langue dans un processus de construction étatique dépendent de l'atmosphère idéologique à l'intérieur de laquelle cette utilisation a lieu. Dans la première partie, nous analysons les idées de trois linguistes professionnels (Antoine Meillet, Aleksandar Belic et Jordan Ivanov) relatives au réagencement de l'Europe après la guerre. De l'analyse de ces trois corpus de textes ressortira une espèce de contradiction, puisque ces linguistes qui, au début du XXème siècle, entendaient user de la science linguistique pour asseoir sur des bases solides la nouvelle Europe, le firent avec une « conscience linguistique » d'inspiration romantique, tout droit sortie du XIXeme siècle. La nécessité de proposer pour l'Europe une solution pratique et durable a très certainement amené ces linguistes à privilégier, peut-être inconsciemment, des théories linguistiques certes dépassées, mais qui avaient l'avantage de considérer les langues comme des objets discontinus et homogènes. Dans notre deuxième partie consacrée à l'Union soviétique, nous analysons des textes (d'auteurs parfois méconnus) traitant de ce que nous avons appelé la « révolution en langue » : partant du principe que le monde nouveau de la dictature du prolétariat allait être totalement différent du monde que l'on avait connu précédemment, certains auteurs des années 1920 furent convaincus que ce monde nouveau allait avoir besoin d'une langue nouvelle. Mais au lieu d'attendre que cette langue nouvelle apparaisse spontanément, par évolution, certains proposèrent d'introduire consciemment dans la langue, par révolution, les changements selon eux nécessaires pour que la langue corresponde aux nouveaux besoins. Dans ce contexte, l'objet-langue est considéré comme un simple outil de communication qu'il est possible de modifier à sa guise, et la linguistique comme une discipline technique. Cette idée de changer la langue disparaîtra de l'URSS des années 1930, avec le passage vers le nationalisme soviétique. A la place, on préférera rappeler que les langues ne peuvent évoluer que par évolution, que l'on ne peut pas changer la langue, que l'on ne peut pas créer une langue selon notre volonté. Dans le contexte de la « citadelle assiégée », la langue russe deviendra le signe distinctif de l'Union soviétique qu'il sera impossible de toucher et de modifier. La langue n'est plus un outil, elle est désormais un symbole. Avec la comparaison de ces deux situations particulières (trois si l'on distingue les deux atmosphères de l'URSS), nous pensons avoir montré que l'apparition de certaines idées sur la langue et sur la linguistique est liée au contexte et aux besoins.