Détection santé : plusieurs failles dans la gestion des absences grèvent le processus

Une recherche du Fonds national et de la SUVA [sur la réinsertion professionnelle des travailleurs absents en raison de troubles musculosquelettiques dorsaux] dévoile plusieurs failles dans la gestion des absences. Ce qui freine la détection puis la réinsertion de collaborateurs souffrant de mal de dos. La récolte des données est souvent incomplète et la coordination RH-managers-partenaires externes est lacunaire. Enquête et quelques pistes pour corriger le tir. [Ed.]

Internetissä tehtyjen rikosten paikallistaminen

Kirjoitus on vierailuluento, jonka tekijä piti Helsingin yliopistossa 16. helmikuuta 1999

Exposition des enfants à la fumée passive: le point sur des campagnes de sensibilisation

Enfants de moins de 10 ans fumant passivement 14 cigarettes ! D'avril 2010 à avril 2011, l'exposition de 148 enfants (81 garçons et 67 filles) a été testée: 10 enfants de moins d'un an, 25 de 1 à 5 ans, 19 de 5 à 10 ans, 30 de 10 à 15 ans et 64 de 15 à 18 ans. 10 d'entre eux sont des fumeurs et la plus jeune de 14 ans fume 10 cigarettes par jour. Leurs parents, ou parfois des jeunes eux-mêmes, ont commandé de manière volontaire, via les sites Internet des CIPRET Valais, Vaud et Genève, un badge MoNIC gratuit. Les résultats quant à l'exposition de ces enfants interpellent et méritent l'attention.Pour l'ensemble des enfants, la concentration moyenne de nicotine dans leur environnement intérieur mesurée via les dispositifs MoNIC est de 0,5 mg/m3, avec des maximums pouvant aller jusqu'à 21 mg/m3. Pour le collectif d'enfants âgés de moins de 10 ans (26 garçons et 28 filles; tous non-fumeurs), la concentration de nicotine n'est pas négligeable (moyenne 0,069 mg/m3, min 0, max 0,583 mg/m3). En convertissant ce résultat en équivalent de cigarettes inhalées passivement, nous obtenons des chiffres allant de 0 à 14 cigarettes par jour* avec une moyenne se situant à 1.6 cig/j. Encore plus surprenant, les enfants de moins d'un an (4 garçons et 6 filles) inhalent passivement, dans le cadre familial, en moyenne 1 cigarette (min 0, max 2.2). Pour les deux autres collectifs: 10-15 ans et 15-18 ans, les valeurs maximales avoisinent les 22 cigarettes. Notons cependant que ce résultat est influencé, ce qui n'est pas le cas des enfants plus jeunes, par le fait que ces jeunes sont également parfois des fumeurs actifs.* Quand la durée d'exposition dépassait 1 jour (8 heures), le nombre d'heures a toujours été divisé par 8 heures. Le résultat obtenu donne l'équivalent de cigarettes fumées passivement en huit heures. Il s'agit de ce fait d'une moyenne, ce qui veut dire que durant cette période les enfants ont pu être exposés irrégulièrement à des valeurs supérieures ou inférieures à cette moyenne. [Auteurs]

Effect of long-term climbing training on cerebellar ataxia: a case series.

Background. Efficient therapy for both limb and gait ataxia is required. Climbing, a complex task for the whole motor system involving balance, body stabilization, and the simultaneous coordination of all 4 limbs, may have therapeutic potential. Objective. To investigate whether long-term climbing training improves motor function in patients with cerebellar ataxia. Methods. Four patients suffering from limb and gait ataxia underwent a 6-week climbing training. Its effect on ataxia was evaluated with validated clinical balance and manual dexterity tests and with a kinematic analysis of multijoint arm and leg pointing movements. Results. The patients increased their movement velocity and achieved a more symmetric movement speed profile in both arm and leg pointing movements. Furthermore, the 2 patients who suffered the most from gait ataxia improved their balance and 2 of the 4 patients improved manual dexterity. Conclusion. Climbing training has the potential to serve as a new rehabilitation method for patients with upper and lower limb ataxia.

Early mobilization out of bed after ischaemic stroke reduces severe complications but not cerebral blood flow: a randomized controlled pilot trial.

OBJECTIVE: To evaluate whether early mobilization after acute ischaemic stroke is better than delayed mobilization with regard to medical complications and if it is safe in relation to neurological function and cerebral blood flow. DESIGN: Randomized controlled pilot trial of early versus delayed mobilization out of bed with incidence of severe complications as the primary outcome. SETTING: Acute stroke unit in the neurology department of a University Hospital. PARTICIPANTS: Fifty patients after ischaemic stroke with a National Institutes of Health Stroke Scale (NIHSS) score >6 were recruited. INTERVENTION: All patients were treated with physiotherapy immediately after their admission. In the early protocol patients were mobilized out of bed after 52 hours, in the delayed protocol after seven days. RESULTS: Eight out of 50 randomized patients were excluded from the per-protocol analysis because of early transfer to other hospitals. There were 2 (8%) severe complications in the 25 early mobilization patients and 8 (47%) in the 17 delayed mobilization patients (P < 0.006). There were no differences in the total number of complications or in clinical outcome. In the 26 patients (62%) who underwent serial transcranial Doppler ultrasonography, no blood flow differences were found. CONCLUSION: We found an apparent reduction in severe complications and no increase in total complications with an early mobilization protocol after acute ischaemic stroke. No influence on neurological three-month outcomes or on cerebral blood flow was seen. These results justify larger trials comparing mobilization protocols with possibly even faster mobilization out of bed than explored here.