984 resultados para Children injury


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Les accidents sont la cause la plus fréquente de décès chez l’enfant, la plupart du temps à cause d’un traumatisme cranio-cérébrale (TCC) sévère ou d’un choc hémorragique. Malgré cela, la prise en charge de ces patients est souvent basée sur la littérature adulte. Le mannitol et le salin hypertonique (3%) sont des traitements standards dans la gestion de l’hypertension intracrânienne, mais il existe très peu d’évidence sur leur utilité en pédiatrie. Nous avons entrepris une revue rétrospective des traumatismes crâniens sévères admis dans les sept dernières années, pour décrire l’utilisation de ces agents hyperosmolaires et leurs effets sur la pression intracrânienne. Nous avons établi que le salin hypertonique est plus fréquemment utilisé que le mannitol, qu’il ne semble pas y avoir de facteurs associés à l’utilisation de l’un ou l’autre, et que l’effet sur la pression intracrânienne est difficile à évaluer en raison de multiples co-interventions. Il faudra mettre en place un protocole de gestion du patient avec TCC sévère avant d’entreprendre des études prospectives. La transfusion sanguine est employée de façon courante dans la prise en charge du patient traumatisé. De nombreuses études soulignent les effets néfastes des transfusions sanguines suggérant des seuils transfusionnels plus restrictifs. Malgré cela, il n’y a pas de données sur les transfusions chez l’enfant atteint de traumatismes graves. Nous avons donc entrepris une analyse post-hoc d’une grosse étude prospective multicentrique sur les pratiques transfusionnelles des enfants traumatisés. Nous avons conclu que les enfants traumatisés sont transfusés de manière importante avant et après l’admission aux soins intensifs. Un jeune âge, un PELOD élevé et le recours à la ventilation mécanique sont des facteurs associés à recevoir une transfusion sanguine aux soins intensifs. Le facteur le plus prédicteur, demeure le fait de recevoir une transfusion avant l’admission aux soins, élément qui suggère probablement un saignement continu. Il demeure qu’une étude prospective spécifique des patients traumatisés doit être effectuée pour évaluer si une prise en charge basée sur un seuil transfusionnel restrictif serait sécuritaire dans cette population.

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Does a brain store thoughts and memories the way a computer saves its files? How can a single hit or a fall erase all those memories? Brain Mapping and traumatic brain injuries (TBIs) have become widely researched fields today. Many researchers have been studying TBIs caused to adult American football players however youth athletes have been rarely considered for these studies, contradicting to the fact that American football enrolls highest number of collegiate and high-school children than adults. This research is an attempt to contribute to the field of youth TBIs. Earlier studies have related head kinematics (linear and angular accelerations) to TBIs. However, fewer studies have dealt with brain kinetics (impact pressures and stresses) occurring during head-on collisions. The National Operating Committee on Standards for Athletic Equipment (NOCSAE) drop tests were conducted for linear impact accelerations and the Head Impact Contact Pressures (HICP) calculated from them were applied to a validated FE model. The results showed lateral region of the head as the most vulnerable region to damage from any drop height or impact distance followed by posterior region. The TBI tolerance levels in terms of Von-Mises and Maximum Principal Stresses deduced for lateral impact were 30 MPa and 18 MPa respectively. These levels were corresponding to 2.625 feet drop height. The drop heights beyond this value will result in TBI causing stress concentrations in human head without any detectable structural damage to the brain tissue. This data can be utilized for designing helmets that provide cushioning to brain along with providing a resistance to shear.

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Technological advances during the past 30 years have dramatically improved survival rates for children with life-threatening conditions (preterm births, congenital anomalies, disease, or injury) resulting in children with special health care needs (CSHCN), children who have or are at increased risk for a chronic physical, developmental, behavioral, or emotional condition and who require health and related services beyond that required by children generally. There are approximately 10.2 million of these children in the United States or one in five households with a child with special health care needs. Care for these children is limited to home care, medical day care (Prescribed Pediatric Extended Care; P-PEC) or a long term care (LTC) facility. There is very limited research examining health outcomes of CSHCN and their families. The purpose of this research was to compare the effects of home care settings, P-PEC settings, and LTC settings on child health and functioning, family health and function, and health care service use of families with CSHCN. Eighty four CSHCN ages 2 to 21 years having a medically fragile or complex medical condition that required continual monitoring were enrolled with their parents/guardians. Interviews were conducted monthly for five months using the PedsQL TM Generic Core Module for child health and functioning, PedsQL TM Family Impact Module for family health and functioning, and Access to Care from the NS-CSHCN survey for health care services. Descriptive statistics, chi square, and ANCOVA were conducted to determine differences across care settings. Children in the P-PEC settings had a highest health care quality of life (HRQL) overall including physical and psychosocial functioning. Parents/guardians with CSHCN in LTC had the highest HRQL including having time and energy for a social life and employment. Parents/guardians with CSHCN in home care settings had the poorest HRQL including physical and psychosocial functioning with cognitive difficulties, difficulties with worry, communication, and daily activities. They had the fewest hours of employment and the most hours providing direct care for their children. Overall health care service use was the same across the care settings.

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Les accidents sont la cause la plus fréquente de décès chez l’enfant, la plupart du temps à cause d’un traumatisme cranio-cérébrale (TCC) sévère ou d’un choc hémorragique. Malgré cela, la prise en charge de ces patients est souvent basée sur la littérature adulte. Le mannitol et le salin hypertonique (3%) sont des traitements standards dans la gestion de l’hypertension intracrânienne, mais il existe très peu d’évidence sur leur utilité en pédiatrie. Nous avons entrepris une revue rétrospective des traumatismes crâniens sévères admis dans les sept dernières années, pour décrire l’utilisation de ces agents hyperosmolaires et leurs effets sur la pression intracrânienne. Nous avons établi que le salin hypertonique est plus fréquemment utilisé que le mannitol, qu’il ne semble pas y avoir de facteurs associés à l’utilisation de l’un ou l’autre, et que l’effet sur la pression intracrânienne est difficile à évaluer en raison de multiples co-interventions. Il faudra mettre en place un protocole de gestion du patient avec TCC sévère avant d’entreprendre des études prospectives. La transfusion sanguine est employée de façon courante dans la prise en charge du patient traumatisé. De nombreuses études soulignent les effets néfastes des transfusions sanguines suggérant des seuils transfusionnels plus restrictifs. Malgré cela, il n’y a pas de données sur les transfusions chez l’enfant atteint de traumatismes graves. Nous avons donc entrepris une analyse post-hoc d’une grosse étude prospective multicentrique sur les pratiques transfusionnelles des enfants traumatisés. Nous avons conclu que les enfants traumatisés sont transfusés de manière importante avant et après l’admission aux soins intensifs. Un jeune âge, un PELOD élevé et le recours à la ventilation mécanique sont des facteurs associés à recevoir une transfusion sanguine aux soins intensifs. Le facteur le plus prédicteur, demeure le fait de recevoir une transfusion avant l’admission aux soins, élément qui suggère probablement un saignement continu. Il demeure qu’une étude prospective spécifique des patients traumatisés doit être effectuée pour évaluer si une prise en charge basée sur un seuil transfusionnel restrictif serait sécuritaire dans cette population.