426 resultados para BRACHIAL PLEXUS
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Subclavian steal phenomenon due to proximal subclavian artery stenosis or occlusion is not un-common but often remains asymptomatic. We describe the case of a 66-year-old man with end-stage renal disease hemodialysed through a brachio-brachial loop graft of the left forearm. Echo-Doppler precerebral examination showed a high reversed flow of 570 ml/min in the ipsilateral vertebral artery. After successful endovascular recanalization of the subclavian artery, access blood flow increased and vertebral flow decreased to 30 ml/min. Complete neurological examination was normal both before and after endovascular treatment. This case demonstrates how high a subclavian steal can be without causing symptoms and how well precerbral and cerebral circulation can adapt to hemodynamic changes.
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PURPOSE: Implanted venous access devices (IVADs) are often used in patients who require long-term intravenous drug administration. The most common causes of device dysfunction include occlusion by fibrin sheath and/or catheter adherence to the vessel wall. We present percutaneous endovascular salvage techniques to restore function in occluded catheters. The aim of this study was to evaluate the feasibility, safety, and efficacy of these techniques. METHODS AND MATERIALS: Through a femoral or brachial venous access, a snare is used to remove fibrin sheath around the IVAD catheter tip. If device dysfunction is caused by catheter adherences to the vessel wall, a new "mechanical adhesiolysis" maneuver was performed. IVAD salvage procedures performed between 2005 and 2013 were analyzed. Data included clinical background, catheter tip position, success rate, recurrence, and rate of complication. RESULTS: Eighty-eight salvage procedures were performed in 80 patients, mostly women (52.5 %), with a mean age of 54 years. Only a minority (17.5 %) of evaluated catheters were located at an optimal position (i.e., cavoatrial junction ±1 cm). Mechanical adhesiolysis or other additional maneuvers were used in 21 cases (24 %). Overall technical success rate was 93.2 %. Malposition and/or vessel wall adherences were the main cause of technical failure. No complications were noted. CONCLUSION: These IVAD salvage techniques are safe and efficient. When a catheter is adherent to the vessel wall, mechanical adhesiolysis maneuvers allow catheter mobilization and a greater success rate with no additional risk. In patients who still require long-term use of their IVAD, these procedures can be performed safely to avoid catheter replacement.
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Streptococcus suis de type 2 est un microorganisme pathogène d’importance chez le porc. Il est la cause de différentes pathologies ayant comme caractéristique commune la méningite. C’est également un agent émergeant de zoonose : des cas cliniques humains ont récemment été rapportés en Asie. Cependant, la pathogénèse de S. suis n’est pas encore complètement élucidée. Jusqu’à présent, la réponse pro-inflammatoire initiée par S. suis n’a été étudiée qu’in vitro. L’étude du choc septique et de la méningite requiert toujours des modèles expérimentaux appropriés. Au cours de cette étude, nous avons développé un modèle in vivo d’infection chez la souris qui utilise la voie d’inoculation intra-péritonéale. Ce modèle a servi à l’étude de la réponse pro-inflammatoire associée à ce pathogène, tant au niveau systémique qu’au niveau du système nerveux central (SNC). Il nous a également permis de déterminer si la sensibilité aux infections à S. suis pouvait être influencée par des prédispositions génétiques de l’hôte. Le modèle d’infection par S. suis a été mis au point sur des souris de lignée CD1. Les résultats ont démontré une bactériémie élevée pendant les trois jours suivant l’infection. Celle-ci était accompagnée d’une libération rapide et importante de différentes cytokines pro-inflammatoires (TNF-α, IL-6, IL-12p40/p70, IFN-ɣ) et de chémokines (KC, MCP-1 and RANTES), qui ont entraîné un choc septique et la mort de 20 % des animaux. Ensuite, pour confirmer le rôle de l’inflammation sur la mortalité et pour déterminer si les caractéristiques génétiques de l’hôte pouvaient influencer la réponse inflammatoire et l’issue de la maladie, le modèle d’infection a été étendu à deux lignées murines consanguines différentes considérées comme résistante : la lignée C57BL/6 (B6), et sensible : la lignée A/J. Les résultats ont démontré une importante différence de sensibilité entre les souris A/J et les souris B6, avec un taux de mortalité atteignant 100 % à 20 h post-infection (p.i.) pour la première lignée et de seulement 16 % à 36 h p.i. pour la seconde. La quantité de bactéries dans le sang et dans les organes internes était similaire pour les deux lignées. Donc, tout comme dans la lignée CD1, la bactériémie ne semblait pas être liée à la mort des souris. La différence entre les taux de mortalité a été attribuée à un choc septique non contrôlé chez les souris A/J infectées par S. suis. Les souris A/J présentaient des taux exceptionnellement élevés de TNF-α, IL-12p40/p70, IL-1β and IFN- γ, significativement supérieurs à ceux retrouvés dans la lignée B6. Par contre, les niveaux de chémokines étaient similaires entre les lignées, ce qui suggère que leur influence est limitée dans le développement du choc septique dû à S. suis. Les souris B6 avaient une production plus élevée d’IL-10, une cytokine anti-inflammatoire, ce qui suppose que la cascade cytokinaire pro-inflammatoire était mieux contrôlée, entraînant un meilleur taux de survie. Le rôle bénéfique potentiel de l’IL-10 chez les souris infectées par S. suis a été confirmé par deux approches : d’une part en bloquant chez les souris B6 le récepteur cellulaire à l’IL-10 (IL-10R) par un anticorps monoclonal anti-IL-10R de souris et d’autre part en complémentant les souris A/J avec de l’IL-10 de souris recombinante. Les souris B6 ayant reçu le anticorps monoclonal anti-IL-10R avant d’être infectées par S. suis ont développé des signes cliniques aigus similaires à ceux observés chez les souris A/J, avec une mortalité rapide et élevée et des taux de TNF-α plus élevés que les souris infectées non traitées. Chez les souris A/J infectées par S. suis, le traitement avec l’IL-10 de souris recombinante a significativement retardé l’apparition du choc septique. Ces résultats montrent que la survie au choc septique dû à S. suis implique un contrôle très précis des mécanismes pro- et anti-inflammatoires et que la réponse anti-inflammatoire doit être activée simultanément ou très rapidement après le début de la réponse pro-inflammatoire. Grâce à ces expériences, nous avons donc fait un premier pas dans l’identification de gènes associés à la résistance envers S. suis chez l’hôte. Une des réussites les plus importantes du modèle d’infection de la souris décrit dans ce projet est le fait que les souris CD1 ayant survécu à la septicémie présentaient dès 4 jours p.i. des signes cliniques neurologiques clairs et un syndrome vestibulaire relativement similaires à ceux observés lors de méningite à S. suis chez le porc et chez l’homme. L’analyse par hybridation in situ combinée à de l’immunohistochimie des cerveaux des souris CD1 infectées a montré que la réponse inflammatoire du SNC débutait avec une augmentation significative de la transcription du Toll-like receptor (TLR)2 et du CD14 dans les microvaisseaux cérébraux et dans les plexus choroïdes, ce qui suggère que S. suis pourrait se servir de ces structures comme portes d’entrée vers le cerveau. Aussi, le NF-κB (suivi par le système rapporteur de l’activation transcriptionnelle de IκBα), le TNF-α, l’IL-1β et le MCP-1 ont été activés, principalement dans des cellules identifiées comme de la microglie et dans une moindre mesure comme des astrocytes. Cette activation a également été observée dans différentes structures du cerveau, principalement le cortex cérébral, le corps calleux, l’hippocampe, les plexus choroïdes, le thalamus, l’hypothalamus et les méninges. Partout, cette réaction pro-inflammatoire était accompagnée de zones extensives d’inflammation et de nécrose, de démyélinisation sévère et de la présence d’antigènes de S. suis dans la microglie. Nous avons mené ensuite des études in vitro pour mieux comprendre l’interaction entre S. suis et la microglie. Pour cela, nous avons infecté des cellules microgliales de souris avec la souche sauvage virulente (WT) de S. suis, ainsi qu’avec deux mutants isogéniques, un pour la capsule (CPS) et un autre pour la production d’hémolysine (suilysine). Nos résultats ont montré que la capsule était un important mécanisme de résistance à la phagocytose pour S. suis et qu’elle modulait la réponse inflammatoire, en dissimulant les composants pro-inflammatoires de la paroi bactérienne. Par contre, l’absence d’hémolysine, qui est un facteur cytotoxique potentiel, n’a pas eu d’impact majeur sur l’interaction de S. suis avec la microglie. Ces études sur les cellules microgliales ont permis de confirmer les résultats obtenus précédemment in vivo. La souche WT a induit une régulation à la hausse du TLR2 ainsi que la production de plusieurs médiateurs pro-inflammatoires, dont le TNF-α et le MCP-1. S. suis a induit la translocation du NF-kB. Cet effet était plus rapide dans les cellules stimulées par le mutant déficient en CPS, ce qui suggère que les composants de la paroi cellulaire représentent de puissants inducteurs du NF-kB. De plus, la souche S. suis WT a stimulé l’expression de la phosphotyrosine, de la PKC et de différentes cascades liées à l’enzyme mitogen-activated protein kinase (MAPK). Cependant, les cellules microgliales infectées par le mutant déficient en CPS ont montré des profils de phosphorylation plus forts et plus soutenus que celles infectées par le WT. Finalement, la capsule a aussi modulé l’expression de l’oxyde nitrique synthétase inductible (iNOS) induite par S. suis et par la production subséquente d’oxyde nitrique par la microglie. Ceci pourrait être lié in vivo à la neurotoxicité et à la vasodilatation. Nous pensons que ces résultats contribueront à une meilleure compréhension des mécanismes sous-tendant l’induction de l’inflammation par S. suis, ce qui devrait permettre, d’établir éventuellement des stratégies plus efficaces de lutte contre la septicémie et la méningite. Enfin, nous pensons que ce modèle expérimental d’infection chez la souris pourra être utilisé dans l’étude de la pathogénèse d’autres bactéries ayant le SNC pour cible.
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les prothèses myoélectriques modernes peuvent être dotées de plusieurs degrés de liberté ce qui nécessite plusieurs signaux musculaires pour en exploiter pleinement les capacités. Pour obtenir plus de signaux, il nous a semblé prometteur d'expérimenter si les 6 compartiments du biceps brachial pouvaient être mis sous tension de façon volontaire et obtenir ainsi 6 signaux de contrôle au lieu d'un seul comme actuellement. Des expériences ont donc été réalisées avec 10 sujets normaux. Des matrices d'électrodes ont été placées en surface au-dessus du chef court et long du biceps pour recueillir les signaux électromyographiques (EMG) générés par le muscle lors de contractions effectuées alors que les sujets étaient soit assis, le coude droit fléchi ~ 100 ° ou debout avec le bras droit tendu à l'horizontale dans le plan coronal (sur le côté). Dans ces deux positions, la main était soit en supination, soit en position neutre, soit en pronation. L'amplitude des signaux captés au-dessus du chef court du muscle a été comparée à ceux obtenus à partir du chef long. Pour visualiser la forme du biceps sous les électrodes l'imagerie ultrasonore a été utilisée. En fonction de la tâche à accomplir, l'activité EMG a était plus importante soit dans un chef ou dans l'autre. Le fait de pouvoir activer préférentiellement l'un des 2 chefs du biceps, même si ce n'est pas encore de façon complètement indépendante, suggère que l'utilisation sélective des compartiments pourrait être une avenue possible pour faciliter le contrôle des prothèses myoélectriques du membre supérieur.
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Contexte L’américanisation des habitudes de vie, notamment de l’alimentation, semble être en grande partie responsable de l’augmentation incessante de l’incidence élevée des maladies cardiovasculaires. La période postprandiale, où l’homéostasie vasculaire et métabolique est mise à l’épreuve, est d’une importance considérable dans le développement ou la prévention de l’athérosclérose et représente maintenant la majeure partie du temps d’éveil. La compréhension de l’influence de la composition d’un repas sur son impact postprandial est donc essentielle dans notre lutte dans la prévention de ces maladies. Objectifs L’objectif principal de ce projet de recherche était d’étudier les réponses endothéliale et métabolique à un repas de type méditerranéen mixte (MMM), puisqu’elles sont inconnues. Ce projet avait aussi pour objectifs d’évaluer l’impact microvasculaire d’un tel repas et de caractériser la composition postprandiale des acides gras plasmatiques. À titre comparatif, ces éléments ont aussi été étudiés suite à un repas riche en gras saturés (HSFAM). Méthodes Vingt-huit (28) hommes sains, exempts de facteurs de risque de maladies cardiovasculaires ont reçu de façon randomisée les deux repas à l’étude. Le MMM, composé de saumon frais et de légumes cuits dans l'huile d'olive, contenait 7.87g de SFA et 2.29g d’acides gras polyinsaturés oméga-3, tandis que le HSFAM, composé d'un sandwich déjeuner avec œuf, saucisse et fromage, contenait 14.78g de SFA. Les mesures de la fonction endothéliale mesurée par échographie brachiale (FMD), de la fonction microvasculaire mesurée par spectroscopie proche de l’infrarouge (NIRS) et de la composition des acides gras plasmatique ont été effectuées à jeun et en période postprandiale. Résultats Deux sous-groupes de répondeurs aux repas à l’étude se sont dégagés de ces travaux. Un premier sous-groupe de sujets ayant une triglycéridémie à jeun élevée, mais normale (hnTG) a démontré des altérations endothéliales seulement suivant le repas HSFAM. Un second sous-groupe de sujets ayant une triglycéridémie plus faible et normale (lnTG) n’a quant à lui pas subi d’altérations endothéliales suivant les deux repas à l’étude. Les sujets hnTG ont aussi démontré une charge triglycéridémique postprandiale (iAUC) plus importante et qui était de surcroît enrichie en acide stéarique suivant la HSFAM et en acide gras polyinsaturés oméga-3 suivant le MMM. L’évaluation par NIRS de la fonction microvasculaire nous révèle un ralentissement de la réoxygénation post-ischémique qui suggère une altération postprandiale du recrutement capillaire chez les sujets hnTG seulement. De telles altérations, qui semblent être plus importantes suivant le HSFAM, pourraient être en partie responsables de l’impact endothélial de ce repas. Conclusions Cet essai clinique démontre donc de façon novatrice qu’un repas MMM n’a pas d’effet endothélial délétère et que cette neutralité est indépendante de la triglycéridémie à jeun. De plus, une triglycéridémie à jeun élevée mais normale semble indiquer des dysfonctions endothéliales et métaboliques à des épreuves nutritionnelles tel un repas HSFAM. La consommation de repas méditerranéens par des individus sains à la triglycéridémie marginale serait bénéfique, peut-être même davantage que pour des individus de triglycéridémie plus faible, dans la prévention de l’athérogénèse et des maladies cardiovasculaires.
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La fibrillation auriculaire est le trouble du rythme le plus fréquent chez l'homme. Elle conduit souvent à de graves complications telles que l'insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux. Un mécanisme neurogène de la fibrillation auriculaire mis en évidence. L'induction de tachyarythmie par stimulation du nerf médiastinal a été proposée comme modèle pour étudier la fibrillation auriculaire neurogène. Dans cette thèse, nous avons étudié l'activité des neurones cardiaques intrinsèques et leurs interactions à l'intérieur des plexus ganglionnaires de l'oreillette droite dans un modèle canin de la fibrillation auriculaire neurogène. Ces activités ont été enregistrées par un réseau multicanal de microélectrodes empalé dans le plexus ganglionnaire de l'oreillette droite. L'enregistrement de l'activité neuronale a été effectué continument sur une période de près de 4 heures comprenant différentes interventions vasculaires (occlusion de l'aorte, de la veine cave inférieure, puis de l'artère coronaire descendante antérieure gauche), des stimuli mécaniques (toucher de l'oreillette ou du ventricule) et électriques (stimulation du nerf vague ou des ganglions stellaires) ainsi que des épisodes induits de fibrillation auriculaire. L'identification et la classification neuronale ont été effectuées en utilisant l'analyse en composantes principales et le partitionnement de données (cluster analysis) dans le logiciel Spike2. Une nouvelle méthode basée sur l'analyse en composante principale est proposée pour annuler l'activité auriculaire superposée sur le signal neuronal et ainsi augmenter la précision de l'identification de la réponse neuronale et de la classification. En se basant sur la réponse neuronale, nous avons défini des sous-types de neurones (afférent, efférent et les neurones des circuits locaux). Leur activité liée à différents facteurs de stress nous ont permis de fournir une description plus détaillée du système nerveux cardiaque intrinsèque. La majorité des neurones enregistrés ont réagi à des épisodes de fibrillation auriculaire en devenant plus actifs. Cette hyperactivité des neurones cardiaques intrinsèques suggère que le contrôle de cette activité pourrait aider à prévenir la fibrillation auriculaire neurogène. Puisque la stimulation à basse intensité du nerf vague affaiblit l'activité neuronale cardiaque intrinsèque (en particulier pour les neurones afférents et convergents des circuits locaux), nous avons examiné si cette intervention pouvait être appliquée comme thérapie pour la fibrillation auriculaire. Nos résultats montrent que la stimulation du nerf vague droit a été en mesure d'atténuer la fibrillation auriculaire dans 12 des 16 cas malgré un effet pro-arythmique défavorable dans 1 des 16 cas. L'action protective a diminué au fil du temps et est devenue inefficace après ~ 40 minutes après 3 minutes de stimulation du nerf vague.
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Objetivo: Comparar las complicaciones del uso de Angioseal® versus compresión manual en los pacientes llevados a cateterismo cardíaco en el Servicio de Hemodinamia de la Fundación Santa Fe de Bogotá, del 1º de enero de 2005 al 31 de diciembre de 2010, mediante punción arterial femoral percutánea. Metodología: Se realizó un Estudio Observacional, Analítico, de tipo Cohorte Retrospectiva. Partiendo de dos grupos de personas con indicación de cateterismo cardíaco por cualquier causa, uno expuesto al procedimiento con Angioseal® y el otro con compresión manual. Resultados: Con el uso de Angioseal® versus compresión manual la aparición de complicaciones fue 7,3% vs 4,1%, estas diferencias no fueron significativas (OR 1,81 IC95 0,96-3,40; RR 1,75 IC95 0,96-3,18) . La enfermedad coronaria (OR 2,27 IC95 1,07-4,79; RR 2,18 IC95 1,06-4,46) y a la colocación de stent (OR 3,49 IC95 1,82-6,69; RR 3,25 IC95 1,75-6,02 si se relacionaron significativamente con la aparición de complicaciones menores. Conclusión: No encontramos soporte para aprobar o desaprobar el uso de Angioseal® o compresión manual como manejo de la hemostasia, con respecto a las complicaciones. Sin embargo, se encontró que la colocación de stents está fuertemente relacionada con el desarrollo de complicaciones menores, lo cual hace que estos pacientes deban ser objeto de monitorización estrecha.
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La úlcera venosa es una revelación clínica severa de la insuficiencia venosa crónica. Es la causa del 54-76% de las úlceras venosas de miembros inferiores. La ciencia médica ha generado diversos procedimientos en el manejo de esta patología, es así como a partir de conocimientos en fisiopatología de la ulceración venosa, se han aplicado procedimientos como opción de tratamiento. Objetivos: Valorar si el uso de rutina de la oclusión endoluminal con espuma guiada por ecografía del sistema venoso superficial insuficiente, en adicción al manejo convencional de la ulcera venosa (vendaje no compresivo, gasa vaselinada y curaciones) podría mejorar la tasa de curación a las 24 semanas de tratamiento. Diseño: Estudio clínico aleatorizado prospectivo de pacientes de la consulta externa de cirugía vascular del Hospital Occidente de Kennedy-Bogotá, durante el 01 de junio del 2011 hasta el 30 junio del 2012. Métodos: Un total de 44 pacientes con ulcera activa que cumplieron criterios de selección ingresaron al estudio, correspondientes a 48 extremidades con clasificación CEAP (C6), los pacientes fueron a aleatorizados a manejo convencional (control) o con manejo adicional de oclusión endoluminal con espuma eco-guiada. El objetivo principal fue el cierre de la ulcera a las 24 semanas. Resultados: La Curación de la ulcera a las 24 semanas de la aleatorización fue de 20 (83.3%) extremidades del grupo de oclusión endoluminal con espuma eco-guiada Vs 3(12.5%) para el grupo de control P: 0.0005 Discusión: Las tasas de curación de la ulcera luego de la oclusión endoluminal con espuma eco-guiada es muy superior al manejo convencional con curaciones y vendaje no compresivo, las tasa de curación son tan altas como las reportadas con sistemas de alta compresión y cirugía a las 24 semanas. La oclusión endoluminal eco-guiada es segura, mínimamente invasiva y clínicamente efectiva.
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Calcitonin gene-related peptide (CGRP) exerts its diverse effects on vasodilation, nociception, secretion, and motor function through a heterodimeric receptor comprising of calcitonin receptor-like receptor (CLR) and receptor activity-modifying protein 1 (RAMP1). Despite the importance of CLR.RAMP1 in human disease, little is known about its distribution in the human gastrointestinal (GI) tract, where it participates in inflammation and pain. In this study, we determined that CLR and RAMP1 mRNAs are expressed in normal human stomach, ileum and colon by RT-PCR. We next characterized antibodies that we generated to rat CLR and RAMP1 in transfected HEK cells. Having characterized these antibodies in vitro, we then localized CLR-, RAMP1-, CGRP- and intermedin-immunoreactivity (IMD-IR) in various human GI segments. In the stomach, nerve bundles in the myenteric plexus and nerve fibers throughout the circular and longitudinal muscle had prominent CLR-IR. In the proximal colon and ileum, CLR was found in nerve varicosities of the myenteric plexus and surrounding submucosal neurons. Interestingly, CGRP expressing fibers did not co-localize, but were in close proximity to CLR. However, CLR and RAMP1, the two subunits of a functional CGRP receptor were clearly localized in myenteric plexus, where they may form functional cell-surface receptors. IMD, another member of calcitonin peptide family was also found in close proximity to CLR, and like CGRP, did not co-localize with either CLR or RAMP1 receptors. Thus, CGRP and IMD appear to be released locally, where they can mediate their effect on their receptors regulating diverse functions such as inflammation, pain and motility.
Expression and function of the bile acid receptor GpBAR1 (TGR5) in the murine enteric nervous system
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BACKGROUND: Bile acids (BAs) regulate cells by activating nuclear and membrane-bound receptors. G protein coupled bile acid receptor 1 (GpBAR1) is a membrane-bound G-protein-coupled receptor that can mediate the rapid, transcription-independent actions of BAs. Although BAs have well-known actions on motility and secretion, nothing is known about the localization and function of GpBAR1 in the gastrointestinal tract. METHODS: We generated an antibody to the C-terminus of human GpBAR1, and characterized the antibody by immunofluorescence and Western blotting of HEK293-GpBAR1-GFP cells. We localized GpBAR1 immunoreactivity (IR) and mRNA in the mouse intestine, and determined the mechanism by which BAs activate GpBAR1 to regulate intestinal motility. KEY RESULTS: The GpBAR1 antibody specifically detected GpBAR1-GFP at the plasma membrane of HEK293 cells, and interacted with proteins corresponding in mass to the GpBAR1-GFP fusion protein. GpBAR1-IR and mRNA were detected in enteric ganglia of the mouse stomach and small and large intestine, and in the muscularis externa and mucosa of the small intestine. Within the myenteric plexus of the intestine, GpBAR1-IR was localized to approximately 50% of all neurons and to >80% of inhibitory motor neurons and descending interneurons expressing nitric oxide synthase. Deoxycholic acid, a GpBAR1 agonist, caused a rapid and sustained inhibition of spontaneous phasic activity of isolated segments of ileum and colon by a neurogenic, cholinergic and nitrergic mechanism, and delayed gastrointestinal transit. CONCLUSIONS & INFERENCES: G protein coupled bile acid receptor 1 is unexpectedly expressed in enteric neurons. Bile acids activate GpBAR1 on inhibitory motor neurons to release nitric oxide and suppress motility, revealing a novel mechanism for the actions of BAs on intestinal motility.
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Mast cells that are in close proximity to autonomic and enteric nerves release several mediators that cause neuronal hyperexcitability. This study examined whether mast cell tryptase evokes acute and long-term hyperexcitability in submucosal neurons from the guinea-pig ileum by activating proteinase-activated receptor 2 (PAR2) on these neurons. We detected the expression of PAR2 in the submucosal plexus using RT-PCR. Most submucosal neurons displayed PAR2 immunoreactivity, including those colocalizing VIP. Brief (minutes) application of selective PAR2 agonists, including trypsin, the activating peptide SL-NH2 and mast cell tryptase, evoked depolarizations of the submucosal neurons, as measured with intracellular recording techniques. The membrane potential returned to resting values following washout of agonists, but most neurons were hyperexcitable for the duration of recordings (> 30 min-hours) and exhibited an increased input resistance and amplitude of fast EPSPs. Trypsin, in the presence of soybean trypsin inhibitor, and the reverse sequence of the activating peptide (LR-NH2) had no effect on neuronal membrane potential or long-term excitability. Degranulation of mast cells in the presence of antagonists of established excitatory mast cell mediators (histamine, 5-HT, prostaglandins) also caused depolarization, and following washout of antigen, long-term excitation was observed. Mast cell degranulation resulted in the release of proteases, which desensitized neurons to other agonists of PAR2. Our results suggest that proteases from degranulated mast cells cleave PAR2 on submucosal neurons to cause acute and long-term hyperexcitability. This signalling pathway between immune cells and neurons is a previously unrecognized mechanism that could contribute to chronic alterations in visceral function.
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Background: Microalbuminuria in Type 2 diabetes is associated with arterial endothelial dysfunction, but the venous bed was never evaluated. Aim: To study the endothelial function in the venous and arterial bed in patients with Type 2 diabetes with normoalbuminuria or microalbuminuria. Material and methods: We evaluated 28 patients with Type 2 diabetes, glycated hemoglobin (Hbak(1c)) <7.5%, who were classified as normo- (albuminuria <30 mg/24 h; no.=16) or microalbuminuric (albuminuria 30-300 mg/24 h; no.=12). Venous and arterial endothelial function were assessed by the dorsal hand vein technique (venodilation by acetylcholine) and brachial artery flow-mediated vasodilation, respectively. Results: Patients were normotensive (systolic arterial pressure: 131.1 +/- 10.6 mmHg) and on good metabolic control (HbA(1c): 6.6 +/- 0.6%). Microalbuminuric patients presented impaired venous (32.9 +/- 17.4 vs 59.3 +/- 26.5%; p=0.004) and arterial vasodilation (1.8 +/- 0.9 vs 5.1 +/- 2.4; p<0.001), as compared to normoalbuminuric patients. There was a negative correlation between acetylcholine-induced venodilation and albuminuria (r=-0.62; p<0.001) and HbA(1c) (r=-0.41; p=0.032). The same was observed between flow-mediated arterial vasodilation and albuminuria (r=-0.49; p=0.007) and HbA(1c) (r=-0.44; p=0.019). Venous and arterial vasodilation was positively correlated (r=0.50; p=0.007). Conclusions: Both venous and arterial endothelial function are impaired in Type 2 microalbuminuric diabetics, in spite of good metabolic control, suggesting that other factors are involved in its pathogenesis. (J. Endocrinol. Invest. 33: 696-700, 2010) (C) 2010, Editrice Kurtis
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The dorsal premammillary nucleus (PMd) is one of the most responsive hypothalamic sites during exposure to a predator or its odor, and to a context previously associated with a predatory threat; and lesions or pharmacological inactivation centered therein severely reduced the anti-predatory defensive responses. Previous studies have shown that beta adrenergic transmission in the PMd seems critical to the expression of fear responses to predatory threats. In the present study, we have investigated the putative sources of catecholaminergic inputs to the PMd. To this end, we have first described the general pattern of catecholaminergic innervation of the PMd by examining the distribution and morphology of the tyrosine hydroxylase (TH) immunoreactive fibers in the nucleus; and next, combining Fluoro Gold (FG) tracing experiments and TH immunostaining, we determined the putative sources of catecholaminergic inputs to the nucleus. Our results revealed that the PMd presents a moderately dense plexus of catecholaminergic fibers that seems to encompass the rostral pole and ventral border of the nucleus. Combining the results of the FG tract-tracing and TH immunostaining, we observed that the locus coeruleus was the sole brain site that contained double FG and TH immunostained cells. In summary, the evidence suggests that the locus coeruleus is seemingly a part of the circuit responding to predatory threats, and, as shown by the present results, is the sole source of catecholaminergic inputs to the PMd, providing noradrenergic inputs to the nucleus, which, by acting via beta adrenoceptor, seems to be critical for the expression of anti-predatory responses. (C) 2011 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.
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Protein deficiency is one of the biggest public health problems in the world, accounting for about 30-40% of hospital admissions in developing countries. Nutritional deficiencies lead to alterations in the peripheral nervous system and in the digestive system. Most studies have focused on the effects of protein-deficient diets on the enteric neurons, but not on sympathetic ganglia, which supply extrinsic sympathetic input to the digestive system. Hence, in this study, we investigated whether a protein-restricted diet would affect the quantitative structure of rat coeliac ganglion neurons. Five male Wistar rats (undernourished group) were given a pre- and postnatal hypoproteinic diet receiving 5% casein, whereas the nourished group (n = 5) was fed with 20% casein (normoproteinic diet). Blood tests were carried out on the animals, e.g., glucose, leptin, and triglyceride plasma concentrations. The main structural findings in this study were that a protein-deficient diet (5% casein) caused coeliac ganglion (78%) and coeliac ganglion neurons (24%) to atrophy and led to neuron loss (63%). Therefore, the fall in the total number of coeliac ganglion neurons in protein-restricted rats contrasts strongly with no neuron losses previously described for the enteric neurons of animals subjected to similar protein-restriction diets. Discrepancies between our figures and the data for enteric neurons (using very similar protein-restriction protocols) may be attributable to the counting method used. In light of this, further systematic investigations comparing 2-D and 3-D quantitative methods are warranted to provide even more advanced data on the effects that a protein-deficient diet may exert on sympathetic neurons. (C) 2009 Wiley-Liss, Inc.