781 resultados para harsh parenting
Resumo:
Background: Adolescent substance use can place youth at risk of a range of poor outcomes. Few studies have attempted to explore in-depth young people’s perceptions of how familial processes and dynamics influence adolescent substance use.
Objectives: This paper aimed to explore risk and protective factors for youth substance use within the context of the family with a view to informing family based interventions.
Methods: Nine focus groups supplemented with participatory techniques were facilitated with a purposive sample of sixty-two young people (age 13-17 years) from post-primary schools across Northern Ireland. The data were transcribed verbatim and analysed using thematic analysis.
Results: Three themes emerged from the data: 1) parent-child attachments, 2) parenting style and 3) parental and sibling substance misuse. Parent-child attachment was identified as an important factor in protecting adolescents from substance use in addition to effective parenting particularly an authoritative style supplemented with parental monitoring and strong parent-child communication to encourage child disclosure. Family substance use was considered to impact on children’s substance use if exposed at an early age and the harms associated with parental substance misuse were discussed in detail. Both parent and child gender differences were cross-cutting themes.
Conclusion: Parenting programmes (tailored to mothers and fathers) may benefit young people via components on authoritative styles, parental monitoring, communication, nurturing attachments and parent-child conflict. Youth living with more complex issues, e.g. parental substance misuse, may benefit from programmes delivered beyond the family environment e.g. school based settings.
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The effectiveness of the Incredible Years Basic parent programme (IYBP) in reducing child conduct problems and improving parent competencies and mental health was examined in a 12-month follow-up. Pre- to post-intervention service use and related costs were also analysed. A total of 103 families and their children (aged 32–88 months), who previously participated in a randomised controlled trial of the IYBP, took part in a 12-month follow-up assessment. Child and parent behaviour and well-being were measured using psychometric and observational measures. An intention-to-treat analysis was carried out using a one-way repeated measures ANOVA. Pairwise comparisons were subsequently conducted to determine whether treatment outcomes were sustained 1 year post-baseline assessment. Results indicate that post-intervention improvements in child conduct problems, parenting behaviour and parental mental health were maintained. Service use and associated costs continued to decline. The results indicate that parent-focused interventions, implemented in the early years, can result in improvements in child and parent behaviour and well-being 12 months later. A reduced reliance on formal services is also indicated.
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Selon la théorie de l’auto-détermination, l’autonomie est un besoin universel de base qui, lorsque soutenu, permet aux individus de mieux fonctionner et de vivre plus de bien-être psychologique (p. ex., Deci & Ryan, 2008). Le style parental des parents qui soutiennent l’autonomie de leur enfant est caractérisé par le soutien du fonctionnement autodéterminé de ce dernier. Sa définition traditionnelle inclut des pratiques telles qu’offrir des explications et des choix lors des requêtes, communiquer de l’empathie, et encourager les prises d’initiatives tout en minimisant l’utilisation d’un langage contrôlant (p. ex., Soenens et al., 2007). Les bénéfices d’un style parental qui soutient l’autonomie d’un enfant ont été bien documentés (p. ex., Grolnick, Deci, & Ryan, 1997), toutefois, peu d’études ont été effectuées auprès des bambins. Or, cette thèse visait à enrichir la littérature sur le « parentage » en explorant les pratiques soutenantes qui sont utilisées par des parents de bambins dans un contexte de socialisation (étude 1), ainsi qu’en examinant les facteurs qui peuvent brimer leur mise en pratique (étude 2). La première étude a examiné un grand nombre de pratiques de socialisation que les parents qui favorisent davantage le soutien à l’autonomie (SA) pourraient utiliser plus fréquemment lorsqu’ils font des demandes à leurs bambins. Cette étude nous a permis d’explorer comment les parents manifestent leur SA et si le SA dans ce type de contexte est associé à un plus grand niveau d’internalisation des règles. Des parents (N = 182) de bambins (M âge = 27.08 mois) ont donc été invités à rapporter la fréquence avec laquelle ils utilisent 26 pratiques potentiellement soutenantes lorsqu’ils demandent à leurs bambins de compléter des tâches importantes mais non intéressantes et de rapporter à quel point ils valorisent le SA. Huit pratiques ont été identifiées comme étant soutenantes: quatre façons de communiquer de l’empathie, donner des explications courtes, expliquer pourquoi la tâche est importante, décrire le problème de façon informative et neutre, et mettre en pratique le comportement désiré soi-même. De plus, l’ensemble des huit pratiques corrélait positivement avec le niveau d’internalisation des bambins, suggérant aussi que celles-ci représentent bien le concept du SA. Des études futures pourraient tenter de répliquer ces résultats dans des contextes potentiellement plus chargés ou ébranlants (p. ex., réagir face à des méfaits, avec des enfants souffrant de retard de développement). La deuxième étude a poursuivi l’exploration du concept du SA parental en examinant les facteurs qui influencent la fréquence d’utilisation des stratégies soutenantes dans des contextes de socialisation. Puisque la littérature suggère que le stress parental et le tempérament difficile des bambins (c.-à-d., plus haut niveau d’affectivité négative, plus faible niveau de contrôle volontaire/autorégulation, plus faible niveau de surgency) comme étant des facteurs de risque potentiels, nous avons exploré de quelle façon ces variables étaient associées à la fréquence d’utilisation des stratégies soutenantes. Les buts de l’étude étaient: (1) d’examiner comment le tempérament des bambins et le stress parental influençaient le SA parental, et (2) de vérifier si le stress parental médiait la relation possible entre le tempérament des bambins et le SA parental. Le même échantillon de parents a été utilisé. Les parents ont été invités à répondre à des questions portant sur le tempérament de leur enfant ainsi que sur leur niveau de stress. Les résultats ont démontré qu’un plus grand niveau d’affectivité négative était associé à un plus grand niveau de stress parental, qui à son tour prédisait moins de SA parental. De plus, le stress parental médiait la relation positive entre l’autorégulation du bambin et le SA parental. Des recherches futures pourraient évaluer des interventions ayant pour but d’aider les parents à préserver leur attitude soutenante durant des contextes de socialisation plus difficiles malgré certaines caractéristiques tempéramentales exigeantes des bambins, en plus du stress qu’ils pourraient vivre au quotidien.
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La prévalence importante des troubles d’adaptation au sein de la population d’enfants et d’adolescents du Québec appuient l’importance d’accorder une attention particulière aux piliers développementaux influençant leur trajectoire (Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, 2002). Dans ce sens, des données longitudinales ont permis de statuer sur la nature de l’impact de la relation d’attachement entre le parent et l’enfant sur son adaptation ultérieure (Sroufe, Egeland, Carlson, & Collins, 2005). La sécurité d’attachement aurait un rôle protecteur, mais cette relation a aussi été identifiée comme le système le plus influent dans la compromission du développement de l’enfant (Cicchetti & Valentino, 2006). Parmi les interventions disponibles, le programme d’intervention Circle of Security Parenting (COS-P) (Powell, Cooper, Hoffman, & Marvin, 2009) s’avère particulièrement prometteur étant donnée la qualité de l’intégration théorique et clinique qui le sous-tend. Cependant, aucune donnée n’est encore disponible pour appuyer son efficacité au sein de la population québécoise dans un contexte de soins de première ligne. La présente étude vise ainsi à amorcer cette démarche avec un devis pré/post tests en explorant les effets du protocole d’intervention COS-P auprès de quatre mères et leur enfant d’âge préscolaire. À ces fins, des mesures cernant la fonction réflexive parentale et les dimensions des représentations de l’expérience affective du parent (Parent Development Interview – PDI; Aber, Slade, Berger, Bresgi & Kaplan, 1985) sont recueillies avant et après l’intervention. Les retombées de l’intervention sont aussi examinées chez les parents au niveau du stress parental (Parental Stress Index — PSI; Abidin, 1995; Bigras, LaFrenière, & Abidin, 1996) et au niveau des problèmes comportementaux et émotionnels chez les enfants (Child Behavior Checklist – CBCL; Achenbach & Rescorla, 2000). L’ensemble de ces données est analysé dans un premier temps avec perspective groupale et dans un deuxième temps, avec une perspective individuelle descriptive détaillant les résultats pour chaque participante. Les analyses ne permettent pas de démontrer une amélioration des représentations parentales et une augmentation de la fonction réflexive parentale, tel qu’attendu. Toutefois, le stress parental et les problèmes intériorisés des enfants diminuent, bien que de façon non significative. Il est proposé que l’effet de l’intervention soit compris en considérant le parent à l’intérieur d’un système dynamique, lui permettant de s’approprier l’intervention à travers un ensemble de facteurs qui lui sont propres. Des suggestions pour les études futures sont formulées en regard des constats méthodologiques et cliniques qui se dégagent de la présente étude notamment quant à la pertinence de mesures de relance (Navarro, manuscrit en préparation) et à la poursuite de la démonstration de l’efficacité du protocole avec un devis expérimental (Lemieux, manuscrit en préparation).
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Effective collaboration between school staff and parents of children identified as having special educational needs is considered to be an essential component of the child’s successful education. Differences in beliefs and perspectives adopted by the school staff and parents play an important role in the process of collaboration. However, little is known about the precise relationship between the beliefs and the process of collaboration. The purpose of this study was to explore the values and beliefs held by the school staff and parents in the areas of parenting and education. The study also explored the link between these beliefs and the process of collaboration within four parent-teacher dyads from mainstream primary schools. Focus groups and semi-structured interviews based on repertory grid technique were used. The findings highlighted an overall similarity in the participants’ views on collaboration and in their important beliefs about parenting and education. At the same time, differences in perspectives adopted by parents and teachers were also identified. The author discusses how these differences in perspectives are manifested in the process of collaboration from the point of Cultural Capital Theory. The factors such as power differentials, trust between parents and teachers, and limited resources and constraints of educational system are highlighted. Implication for practice for teachers and educational psychologists are discussed.
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Selon la théorie de l’auto-détermination, l’autonomie est un besoin universel de base qui, lorsque soutenu, permet aux individus de mieux fonctionner et de vivre plus de bien-être psychologique (p. ex., Deci & Ryan, 2008). Le style parental des parents qui soutiennent l’autonomie de leur enfant est caractérisé par le soutien du fonctionnement autodéterminé de ce dernier. Sa définition traditionnelle inclut des pratiques telles qu’offrir des explications et des choix lors des requêtes, communiquer de l’empathie, et encourager les prises d’initiatives tout en minimisant l’utilisation d’un langage contrôlant (p. ex., Soenens et al., 2007). Les bénéfices d’un style parental qui soutient l’autonomie d’un enfant ont été bien documentés (p. ex., Grolnick, Deci, & Ryan, 1997), toutefois, peu d’études ont été effectuées auprès des bambins. Or, cette thèse visait à enrichir la littérature sur le « parentage » en explorant les pratiques soutenantes qui sont utilisées par des parents de bambins dans un contexte de socialisation (étude 1), ainsi qu’en examinant les facteurs qui peuvent brimer leur mise en pratique (étude 2). La première étude a examiné un grand nombre de pratiques de socialisation que les parents qui favorisent davantage le soutien à l’autonomie (SA) pourraient utiliser plus fréquemment lorsqu’ils font des demandes à leurs bambins. Cette étude nous a permis d’explorer comment les parents manifestent leur SA et si le SA dans ce type de contexte est associé à un plus grand niveau d’internalisation des règles. Des parents (N = 182) de bambins (M âge = 27.08 mois) ont donc été invités à rapporter la fréquence avec laquelle ils utilisent 26 pratiques potentiellement soutenantes lorsqu’ils demandent à leurs bambins de compléter des tâches importantes mais non intéressantes et de rapporter à quel point ils valorisent le SA. Huit pratiques ont été identifiées comme étant soutenantes: quatre façons de communiquer de l’empathie, donner des explications courtes, expliquer pourquoi la tâche est importante, décrire le problème de façon informative et neutre, et mettre en pratique le comportement désiré soi-même. De plus, l’ensemble des huit pratiques corrélait positivement avec le niveau d’internalisation des bambins, suggérant aussi que celles-ci représentent bien le concept du SA. Des études futures pourraient tenter de répliquer ces résultats dans des contextes potentiellement plus chargés ou ébranlants (p. ex., réagir face à des méfaits, avec des enfants souffrant de retard de développement). La deuxième étude a poursuivi l’exploration du concept du SA parental en examinant les facteurs qui influencent la fréquence d’utilisation des stratégies soutenantes dans des contextes de socialisation. Puisque la littérature suggère que le stress parental et le tempérament difficile des bambins (c.-à-d., plus haut niveau d’affectivité négative, plus faible niveau de contrôle volontaire/autorégulation, plus faible niveau de surgency) comme étant des facteurs de risque potentiels, nous avons exploré de quelle façon ces variables étaient associées à la fréquence d’utilisation des stratégies soutenantes. Les buts de l’étude étaient: (1) d’examiner comment le tempérament des bambins et le stress parental influençaient le SA parental, et (2) de vérifier si le stress parental médiait la relation possible entre le tempérament des bambins et le SA parental. Le même échantillon de parents a été utilisé. Les parents ont été invités à répondre à des questions portant sur le tempérament de leur enfant ainsi que sur leur niveau de stress. Les résultats ont démontré qu’un plus grand niveau d’affectivité négative était associé à un plus grand niveau de stress parental, qui à son tour prédisait moins de SA parental. De plus, le stress parental médiait la relation positive entre l’autorégulation du bambin et le SA parental. Des recherches futures pourraient évaluer des interventions ayant pour but d’aider les parents à préserver leur attitude soutenante durant des contextes de socialisation plus difficiles malgré certaines caractéristiques tempéramentales exigeantes des bambins, en plus du stress qu’ils pourraient vivre au quotidien.
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The main contribution of this special issue is to present evaluation studies involving large-scale experiences of implementation of positive parenting programs delivered through home, group-based, and on-line formats in Spain. Two research questions were addressed: (1) what factors affect implementation; and (2) for whom and under which implementation conditions the programs lead to positive outcomes. Target populations were mainly families from low and middle socioeconomic backgrounds, and parents at psychosocial risk attending family support services in need of improving their parenting skills. All the programs fall under the umbrella of the positive parenting initiative launched by the Council of Europe, are evidence-based, follow a collaborative schema with national, regional, or local authorities, have multi-site implementation, and are supported by highly experienced researchers from Spanish universities. Special attention is given to the program adaptations to different contexts, the profile of parents who benefited most from the programs, analyses of the implementation process, and the assessment of parenting programs in the community. The information provided will help to increase our knowledge of evidence-based parenting programs in Spain, their implementation processes and results, and the future challenges that need to be addressed to continue the current expansion of evidence-based parenting programs.
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Adolescence is a developmental period that implies a series of rapid changes that might complicate the role of parents. This study evaluates changes in parental monitoring and the strategies to solve family conflicts reported by parents who participated in the "Living Adolescence in Family" program in local social services and school centers. In addition, the study analyses the moderating role of family and facilitator variables that may affect the final results. The participants were 697 parents attending the social services (438 in the intervention group and 259 in the control group) and 1283 parents from school centers (880 in the intervention group and 403 in the control group). The results showed that families from local social services decreased the amount of control and improved monitoring in education and leisure spheres as well as self-disclosure whereas the families coming from school centers improved supervision in leisure and in self-disclosure. In addition, both groups of families improved their strategies for solving family conflicts, increasing the use of integrative strategies and decreasing the use of dominant strategies. There were differences across contexts: the results of the program in the social services context differed according to the participant and professional profiles whereas program results were more homogeneous in the school context. In sum, the program appears to be an efficient work tool, both for the professionals who work with at-risk families with adolescents and for the teachers who make use of the program for families with children at risk of early school dropout.
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This study aims at providing evidence of the effectiveness of the Program-Guide to Develop Emotional Competences in promoting positive parenting. Contextual, institutional, methodological and professional issues were taken into account to develop a social innovation experience to support parenting as a preventive measure to family conflicts. The study describes both the contents of the Program-Guide and the methodological and evaluation issues that trained professionals need to consider when delivering the Program-Guide to families in natural contexts. Information was gathered and analyzed from 259 parents with children of ages 1-18 who participated in 26 parent training groups. A pre- and post-test design showed that after finishing the sessions parents perceived themselves more competent as parents according to the five dimensions of parenting competences considered: (1) emotional self-regulation abilities; (2) self-esteem and assertiveness; (3) communication strategies; (4) strategies to solve conflicts and to negotiate; and (5) strategies to establish coherent norms, limits and consequences to promote positive discipline. The study presents a discussion on these results from evidence-based parenting programs, as well as some strengths and limitations of the study, together with some suggestions for further research.
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This paper presents the results of a study aimed at identifying and assessing positive parenting programmes and activities carried out in the Autonomous Region of the Basque Country (ARBC), Spain. The study is a development of the III Inter-institutional Family Support Plan (2011), drafted by the Basque Government's Department of Family Policy and Community Development, and its aim is to offer a series of sound criteria for improving existing programmes and ensuring the correct design and implementation of new ones in the future. It analyses 129 programmes and gathers data relative to institutional management and coordination, format, quality of the established aims, adaptation to the theoretical proposal for an Optimal Positive Parenting Curriculum, scientific base, use of the framework of reference for competences, working method, assessment techniques, budgets and publicity, among others. The results highlight the good quality of the programmes' aims and content, and the poor systematic assessment of these same aspects. The study concludes with a series of recommendations for improving the initiatives, integrated into a proposal for a system of indicators to assess and implement positive parenting programmes.
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Childhood sexual abuse has been found to be a risk factor for developing negative parenting self-perceptions later in life. Given this established relationship, it is crucial to investigate factors that may mitigate negative outcomes, such as family support. The present study used secondary analysis of a dataset of 265 predominantly African-American and low-income mothers. This study examined differences in parenting self-perceptions among mothers who experienced childhood sexual abuse and those who did not. Analyses revealed that mothers who experienced childhood sexual abuse did not differ in terms of parenting self-perceptions from non-sexually-abused mothers. After controlling for depression, there was no moderating effect of family support; however, a main effect for family support was observed. The results indicate that depression plays a larger role in mothers’ parenting self-perceptions than childhood sexual abuse, and that family support is beneficial for all mothers, regardless of sexual abuse status. Clinical implications are discussed.
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Parenting is a robust predictor of developmental outcomes among children with ADHD. Early parenting predicts the persistence and course of ADHD and comorbid problems above and beyond risk associated with shared genetic effects. Yet, on average, mothers of children with ADHD are less positive and more negative in their parent-child interactions compared to mothers of non-disordered children. Little is known about psychobiological markers which may be associated with individual variations in maternal parenting in families of children with ADHD. Neurobiological models of parenting suggest that maternal cortisol levels following a stressor may be positively associated with hostile and intrusive parenting; however, to date no studies have examined maternal cortisol reactivity and parenting in school-age, or clinical samples of, children. Mothers’ regulation of physiological stress responses may be particularly important for families of children with ADHD, as parenting a child with chronically challenging behaviors represents a persistent environmental stressor. The current study sought to extend the existing literature by providing an empirical examination of the relationship between maternal cortisol reactivity following two laboratory stressors and parenting among mothers of children with and without ADHD. It was hypothesized that child ADHD group would moderate the relationship between cortisol reactivity and self-reported and observed parenting. Greater total cortisol output and greater increase in cortisol during the TSST were associated with decreased positive parenting and increased negative and directive parenting, with the exception of parental involvement, which was associated with increased cortisol output during the TSST. Conversely, cortisol output during the PCI was associated with increased positive parenting, increased parental involvement, and decreased negative parenting. In contrast to the TSST, a greater decrease in cortisol during the PCI indicated more positive parenting and parental involvement. These associations were specific to mothers of children with ADHD, with the exception of maternal directiveness, which was specific to comparison mothers. Findings add to our understanding of physiological processes associated with maternal parenting and contribute to an integrative biological, psychological, and cognitive process model of parenting in families of children with ADHD.